De retour de Paris au terme de sa visite d’Etat, le président de la République, dans le salon présidentiel en compagnie de certains membres du gouvernement seulement, face au micro de l’ORTM, est revenu sur la visite qu’il venait d’effectuer en France, un cheveu dans la soupe ? Il ne pouvait en être autrement.
Une visite de très belle facture, commentée et saluée par tous, ici et ailleurs au regard de tout ce qui a été vu et entendu de tous les médias ayant assurés la couverture, de Bamako, à l’hexagone. Mais, comme on pouvait ne pas s’y attendre, notre président a passé le savon sur Tièbilé Dramé, le président du Parena, non moins membre du collectif des leaders de l’opposition malienne. Le sabotage de sa visite à Paris au moyen de tracts rédigés et distribués avant le début de la visite, est à l’origine de la colère présidentielle. Ce qui, cet après-midi là dans le salon présidentiel de l’aéroport a été dit devant un parterre sélectionné et composé de hauts dignitaires de l’Etat. Rien de grave jusqu’ici, puisque, n’importe qui, en ce moment précis, n’avait accès à la salle, donc une information qui pouvait ne même pas tomber dans les oreilles de l’intéressé, si tous ceux qui étaient aux côtés du président, à commencer par le Premier ministre, s’y étaient mis.
Le Premier ministre sur une simple suggestion du directeur de la cellule de Communication du Président IBK, aurait dû approcher celui-ci, en toute humilité, lui demandant la permission de pouvoir enlever cette partie de son interview, en lui faisant comprendre la mauvaise perception non seulement par l’intéressé mais aussi et surtout par l’ensemble de la classe politique, majorité et opposition toutes tendances confondues. Le président de la République, ne serait-ce que par respect pour son grand frère de Premier ministre, ne s’y serait pas opposé. IBK a le cœur dans la main, il aurait fait l’économie de la publication de ce qui finirait par le gêner personnellement. Si cela avait été fait, entre le salon VIP de Senou et les ateliers de la maison rose à Bozola, le bon travail aurait été fait.
Mais, mon Dieu, bon Dieu, ils étaient au moins 4 ou 5 membres du gouvernement en plus du PM et normalement du directeur de sa communication, personne n’a eu la vision de protection dont le président de la République a tout le temps besoin de la part de ses collaborateurs. Dommage, le dableni tiré à Senou s’est transformé en calice pour nous autres qui croyons sincèrement au président, cet homme que nous connaissons, que nous avions côtoyé. Il est généreux, humble et écoute le plus petit d’entre ses compatriotes.
La première mauvaise passe aurait bien pu être redressé si après coup, la Cellule de Communication avait récupéré la balle au bond en la redressant intelligemment, histoire d’éviter au gouvernement l’exercice qui à notre humble avis, n’était pas le sien. Nous affectionnons les débats de grande facture, les sorties au vitriol s’il le faut, mais pas ces polémiques qui distraient la République. A trois ou deux niveaux essentiels, il ne s’est trouvé personne pour jouer à fond son rôle de proche collaborateur du président.
IBK est un humain, censé même se tromper, mais ceux- là qui sont à côté de lui, en raison de leurs expertises prononcées, n’ont pas droit à l’erreur, même si c’est au prix de leur poste respectif. Malheureusement, c’est comme ça, que des hauts d’en haut, se comportent avec tous les présidents. Refusez de les éclairer pour selon eux, ne pas perdre leurs faveurs. Un crime de mauvaise collaboration.
Sory de Motti
IBK a raison de répondre au petit monsieur, car ses affirmations gratuites peuvent enduit la population dans l’erreur en particulier le citoyen lambda. Ce n’est pas de la politique proprement dite, ni de l’attaque à l’encontre de la personne de Tièbilé Dramé, IBK protège purement et simplement sa population.
Un vrai patriote ne trahit jamais son pays.
Tièbilé Dramé a trahi le Mali lors de la signature de l’accord à Ouaga 2013. #ce petit monsieur a signé un pacte en dessous avec le Ançardine et blaise Compaoré dans le cadre de le propulsé au pouvoir et en retour le nord du Mali sera à l’Ançardine.
Soumaïla Cissé été complice de l’attaque de mercenaire pendant la transition de 2012.
Je pense que le président IBK à très fait de mettre en garde Tièbilé Dramé et l’opposition en général. L’opposition malienne est devenue comme un bâton dans les roues dans la gestion du pays, car elle ne joue pas correctement son rôle.
Un vrai patriote ne ment jamais sur son pays et le régime au pouvoir :
L’éventuelle mort d’IBK.
Mensonge : corruption, surfacturation et affirmation gratuite sans preuve concret ou document falsifié comme preuve à l’appui.
Tièbilé est un vrai apatride.
Tièbilé Dramé est la médiocrité de la politique malienne en particulier de l’opposition. Le PARENA du petit monsieur méritait qu’IBK pousse le bouchon plus loin.
Tant d’acte qui prouve le manque de patriotisme.
Un vrai patriote ne met pas les intérêts personnels au-devant des intérêts du pays. Tous les opposants font d’avance croire à la population de défendre leur cause alors qu’ils ont des cause plus importante à défendre à leur yeux, leurs intérêts personnels.
L’opposition malienne n’est pas une opposition digne de son nom, mais plus tôt une sorte d’association ambitieuse qui menace toujours la stabilité politique du pays dans le cadre de voir le pouvoir majoritaire échoué.
Monsieur le journaliste il ne faut incriminer personne. Ces petits messieurs commencent à se perdre, donc il leurs fallait un calmant.
Une opposition d’opportunité, IBK a bien fait et il a raison. Il ne s’est jamais opposé aux critiques de l’opposition mais TIEBILE a dépassé ses limites et il risque de créer un grand problème à notre pays.
Il y’a liberté d’expression et il y’a savoir parler. L’opposition ne veut pas dire de raconter tout ce qu’on veule. TIEBILE a été juste averti par le président de la république et il a encore répondu le président avec des mots irrespectueux. Même si le gouvernement ne doit pas répondre aux critiques de l’opposition, mais l’opposition aussi ne doit pas dépasser les bornes. Il ne faut accuser pas accuser personne.
Thiam n’a rien fait et Choguel aussi n’a rein fait. Le problème a été seulement que ce sont certains journalistes et le jeu médiatique de Tièbilé qui a empiré cette histoire.
Ce n’est pas une erreur, ni une faute à quelqu’un. Le récadrement de ces opposants malhonnêtes a été bien fait. Parce qu’au Mali l’opposition commence à prendre un autre sens. Monsieur le journaliste ces opposants ont trop dépassé.
Certains opposants ont tendance a changé complètement le sens de la démocratie en autre chose. Merci à Choguel d’avoir mis au point les petits messieurs pour la sauvegarde et au respect de la démocratie malienne.
Si tous les tous les hommes politiques de la classe politique malienne discernaient le sens de la démocratie de la même manière comme IBK le comprend. La gestion du pouvoir malien ne serait pas difficile jusqu’à ce niveau.
Le problème de chez nous ici au Mali est qu’on ne doit pas raisonner trop, sinon on ne sera jamais respecté. Il faut taper fort pour être entendu.
Au Mali certaines personnes ne souhaitent que du trouble soit une situation tragique dans le pays. Ils agissent comme ils ne sont pas des maliens. Ces petits messieurs méritent d’être répondus. Que Dieu sauve le Mali!!!
On ne peut pas plaire à tout le monde. IBK a tout accordé à cette opposition de merde mais malheureusement ces opposants veulent seulement voir le vieux dans le problème. Mais avec tout cela le vieux arrive à s’en sortir. Vive IBK !!!
La vie des opposants maliens:
Le moins que l’on puisse dire c’est que l’opposition, ou disons le carrément, le Parena réagit au quart de tour. Les responsables de ce parti ne ratent jamais une occasion pour parler (souvent ils manquent des occasions pour se taire). C’est une qualité qui fait défaut à beaucoup d’hommes politiques qui brillent par une prudence excessive qui frise souvent la frilosité. La prudence, la frilosité, le Parena ne connait pas. Ce qui a pour conséquence souvent des dérapages, parfois des excès, et même des outrances. Mais cela n’est pas l’objet. Pour reprendre le fil, nous disions que le Parena réagit au quart de tour. Nous avons l’impression que les responsables de ce parti ressemblent à ces chasseurs de tornades. Dès qu’il y a un petit vent qui se lève, ils trouvent espoir à le transformer en tornade. En tout cas, le Parena développe depuis deux ans dans une formidable propension à voir des scandales partout, à voir dans n’importe quel marché une surfacturation sur fond de délit d’initié donnant lieu à des rétro-commissions. Et souvent le Parena ne prend aucune précaution pour préserver sa crédibilité. Ce qui est malheureux pour le débat dans la mesure où ce parti regorge de vrais talents. La preuve de ce que nous disons est cette histoire de tracteurs subventionnés par l’Etat pour aider les paysans. Pour le moment, le Parena est le seul (peut-être avec ceux qui n’ont pas enlevé le marché) à y voir des problèmes. Le Parena parle de marché passé sans appel d’offres, par entente directe ; parle de surfacturation, de rétro-commissions ; de scandale, etc. De ce que nous en savons, tout cela n’est que balivernes. Face à la réaction par journaux opposés du gouvernement, le Parena souhaite qu’il y ait un débat contradictoire à la Maison de la Presse avec le ministre du Développement rural. Professionnels de l’agi-prop, les responsables du Parena voudraient que le débat soit radiotélévisé. Ils savent bien que le gouvernement n’acceptera pas. Pour la simple raison que les espaces de débat contradictoires ne manquent pas. Le Parena qui a des élus à l’Assemblée n’a qu’à interpeller le ministre du Développement rural. Arguments contre arguments, preuves contre preuves, ils pourront débattre à souhait, devant les députés et devant les Maliens qui les suivront grâce à l’ORTM.
Avant cette histoire de tracteurs déjà, le Parena avait fait la preuve de sa propension à ne rien laisser passer à l’occasion du deuxième anniversaire de l’accession d’IBK au pouvoir.Quitte à faire preuve de mauvaise foi. Le président de la République avait accordé un entretien à deux confrères de la presse audiovisuelle. L’entretien du président IBK a été diffusé la nuit du vendredi 4 septembre sur les antennes de l’ORTM et d’Africable. Dès le lendemain samedi, le Parena qui semble disposer d’une permanence hyper active a réagi. Ayant lu ce que le parti de l’opposition a écrit, nous nous sommes rendus compte qu’il est arrivé au Parena ce qui arrive généralement à ceux qui confondent vitesse et précipitation.
En effet, même une lecture rapide permet de constater que le Parena était plus pressé de répondre au Président de la République que de l’écouter. Ceux qui ont eu le stylo rapide devaient avoir une oreille pour le moins distraite. Nous donnons un seul exemple. Dans sa réaction, le Parena réduit l’intervention d’IBK concernant l’équipement de l’armée aux seules tenues militaires. Avec une certaine perfidie, la réaction note que « Pour le président de la République, équiper l’armée c’est acheter pour les militaires (à des prix faramineux) des uniformes, des chaussettes et des chaussures!
Est-ce avec des “uniformes impeccables” que nos soldats vont défendre l’intégrité du territoire et vaincre le terrorisme? ». Bien sûr que non, ce n’est pas avec des « uniformes impeccables » que l’armée fera la guerre. Mais comme le dirait l’autre, « même si l’habit ne fait pas le moine, il fait partie du moine ». La fierté de voir les militaires tout fiers et heureux de défiler dans des tenues propres avec des godasses bien cirées et des chaussettes assorties est partagée par tous les Maliens. Le Chef suprême des armées ne veut pas rentrer dans le détail des équipements militaires parce que n’en déplaise à ceux qui font la gorge chaude à toutes les occasions, ces domaines là sont sensibles et relèvent du secret-défense. Toutefois, IBK a parlé des « 12-7 et des 14-5 dont la puissance de feu est significative pour le militaire ». On est bien loin de la seule perception vestimentaire des équipements de l’armée. Cela revient à ce qui nous disions : le Parena voulait plus répondre avant d’écouter.
Le Parena n’est pas seul à tomber dans les excès et mêmes les outrances. SoumaïlaCissé, celui qui a été décrété chef de l’opposition, n’y va pas de main morte.“Le bateau Mali tangue dangereusement et le pilote navigue à vue sans main ferme au gouvernail” affirme-t-il. Et d’égrainer la longue des « scandales », attestés selon lui par le Bureau du Vérificateur général, la Cour suprême, et le FMI et la Banque mondiale. Bien entendu, tout ce qu’il dit n’est pas faux. Et d’enfoncer le clou lors d’une conférence de presse exclusivement dédiée aux deux ans d’IBK. Un seul mot traduit selon lui ces deux ans : « désillusion ». Nous pensons qu’il fait preuve d’une solide mauvaise foi. Primo, SoumaïlaCissé aurait pu dire, dans « l’affaire » des équipements militaires, que la Cour suprême n’a jamais mis en doute la légalité des achats des équipements militaires. Secundo, pour reprendre les propos d’un de ses illustres dévanciers dans l’opposition, « les rapports du Bureau du Vérificateur général ne sont ni la Bible ni le Coran » (l’un des opposants actuels sait bien cela dans la mesure où c’est la justice qui l’a blanchi alors qu’il avait été sérieusement noirci par la CASCA). Tertio, le président de la République a déclaré que tous les dossiers ont été transmis à qui de droit, c’est-à-dire la Justice. La séparation des pouvoirs voudrait que chacun reste à sa place. Ils auraient été les premiers à crier à l’instrumentalisation de la Justice si l’Exécutif avait donné des indications.
Nous, nous pensons que le Mali mérite mieux qu’une opposition au rabais. Nous avons la chance d’avoir comme animateurs de cette opposition des hommes et des femmes qui connaissent l’Etat pour l’avoir servi au plus haut sommet, sur le plan administratif (Premier ministre, Ministre d’Etat, Super ministre, multi-ministre, etc.). Nous ne parlons pas des postes électifs ou des postes occupés à l’international qui leur donne de la valeur ajoutée et leur confère une notoriété certaine. Ils connaissent l’Etat et ses points de fragilité. A notre avis, ils devraient être une chance pour la démocratie, pour la République, pour le Mali, pour les Maliens. Cela suppose qu’ils sortent un peu du bois en disant la vérité quand cela est possible pour eux ou à se taire quand ils ne peuvent pas dire la vérité. Seule la vérité construit la démocratie. Pour cela, leur relation aux faits doit être exacte. En donnant des faits qui ne sont pas fondés, en les commentant à la limite de la caricature dans un pays où le ressenti est souvent dominant, en excitant l’opinion, ils n’aident pas à la construction citoyenne ; ils ne tirent pas le système démocratique par le haut. Et puis, soyons francs, les Maliens n’attendent pas d’eux qu’ils se comportent comme des roquets, aboyant pour un oui et mordant dans tous les mollets à portée de leurs dents pour un non.
Comme visiblement les opposants étaient plus préoccupés à préparer leur réponse au président de la République qu’à l’écouter, nous allons leur rappeler des propos qui ont dû échapper à leur oreille distraite. « Je ne suis pas leur égal, ils ne peuvent pas être mes opposants, Dieu et les Maliens m’ont placé au-dessus d’eux. Ils peuvent s’opposer au RPM par exemple, mais pas à moi ». Voilà grosso modo ce qu’IBK pense de leur réaction. En français facile, cela veut dire qu’ils ne boxent pas dans la même catégorie que le président de la République, IBK est le Président pour tous les Maliens, donc y compris ceux qui ont voté contre lui. Ce n’est pas dédain de la part d’IBK que de leur indiquer le parti RPM. Au contraire, nous pouvons affirmer que le président de la République admire le travail mené par l’opposition. Nous nous rappelons de ses propos fort élogieux tenus à Sikasso à l’endroit de la minorité ; et fort justes ajouterons. Rencontrant les partis de la majorité, IBK leur a dit que l’opposition est plus visible.
Nous devons reconnaître que les partis qui tiennent lieu de majorité présidentielle ne sont pas à la hauteur. Le RPM qui doit être la locomotive de cette majorité est empêtrée dans des querelles intestines et byzantines. Jamais dans l’histoire du Mali démocratique nous n’avons vu un parti aussi divisé. La lutte pour les places y bat son plein. Il nous est arrivé de nous poser la question de savoir si ceux qui dirigent le RPM n’ont pas ouvert la succession d’IBK. En tout cas, leur comportement laisse songeur. En plus, au motif qu’ils auraient passé dix ans dans l’opposition, les responsables de ce parti ont les yeux plus gros que le ventre. Ils veulent tout prendre, oubliant que d’autres partis sont à leurs côtés, que d’autres partis ont contribué à la victoire électorale de 2013. Hormis la course aux postes, on ne les sent nulle part.
C’est avec plaisir que nous revenons sur les propos d’IBK lors de sa récente tournée à Sikasso : «Je ne vous sens pas dans le débat, alors que c’est vous qui constituez la majorité. Ceux qui sont minoritaires sont plus visibles que vous. Je ne vous sens pas. Je vous sens frileux. Vous n’avez pas de complexe à vous faire. Je ne vois pas quel combat un combattant frileux va gagner. Si déjà devant le ring, tu trembles, je ne sais pas où tu vas ». On peut dire que le président IBK sait de quoi il parle. Sur aucun des grands chantiers qu’il a menés, le RPM et ses alliés ont été absents. Sauf quand le Président leur a remonté les brettelles. Là, ils accourent ventre à terre pour reprendre, tels des perroquets, les propos présidentiels.
Avant Sikasso, on se rappelle que l’année dernière, presqu’à la même période, les recevant à Koulouba, le président IBK leur avait dit ceci : « vous m’avez laissé sur ma faim ». C’était suite à un meeting de soutien organisé dans la salle des 1000 places du CICB. La centaine de parti soutenant IBK n’avait pas été à mesure de remplir la salle au 1/3. Il aura fallu toute l’ingéniosité des monteurs de l’ORTM pour faire illusion en masquant péniblement les nombreuses places restées vides. Le président de la République avait surtout été déçu par le contenu des messages. Nous étions en plein tempête autour de l’achat de l’avion et des équipements de l’armée. Frileux comme des poules mouillées, les responsables de la majorité présidentielle qui avaient la possibilité de disposer de toutes les informations afin de contrebalancer ce qui se disait n’ont rien trouvé de mieux à dire que « le président est trahi par des gens en qui il a placé sa confiance ». Pathétique. Tout simplement pathétique.
Il faut croire qu’ils n’apprennent ni de leurs erreurs ni de leurs absences. En effet, personne ne les a vus ou entendus pendant ces moments d’interrogations sur le contenu de l’Accord de paix et son application. Nous serions tentés de dire que ce n’est pas leur affaire. D’où l’ire présidentielle à Sikasso. « Il faut oser dire la vérité aux Maliens. Ce que nous avons fait est appréciable. Il faut que cette majorité s’imprègne de l’Accord de paix et de réconciliation, parce que c’est cela votre devoir», a déclaré le Président de la République à ses partisans.Pour justifier l’incurie et l’inanité ambiantes, un respectable cadre du RPM a fait une sortie pour le moins malencontreuse. Nancoma Kéita pour ne pas le nommer, connu pour être quelqu’un de très sobre, a déclaré devant ses militants de la Commune II : « « Sachez que la conquête du pouvoir est plus difficile que l’exercice du pouvoir surtout dans le contexte actuel que vous connaissez tous. Au-delà de tous ces aspects, le président IBK est au pouvoir mais retenez que ce sont ses adversaires politiques qui ont les leviers du pouvoir. Ce sont eux qui sont dans l’administration, à la police …car le président ne veut pas se limiter à sa seule famille politique pour la gestion des affaires publiques. Et, à l’heure du bilan, ce sont ces mêmes personnes qui vont critiquer sa gestion. Donc faites attention, resserrer les rangs autour du président pour ne pas faciliter la tâche à nos adversaires surtout à l’aube des élections communales ». Comme le dirait Jacques Chirac, c’est tout simplement « abracadabrantesque ».
Et pour ne rien arranger à leur situation, les partis de la majorité présidentielle ont complètement raté le deuxième anniversaire de l’investiture d’IBK. Toujours à la manœuvre et dans ses œuvres solitaires, c’est semble-t-il la veille que le RPM a informé les autres partis de la tenue d’un meeting de soutien au président IBK le samedi 5 septembre. Si c’est ça un soutien, IBK devrait s’inquiéter sérieusement. La majorité, fidèle à elle-même, n’a pas été capable de remplir la salle des 1000 places du CICB. Même les efforts des monteurs de l’ORTM n’ont pas pu masquer le vide sidéral dans la salle. Quand l’incapacité de mobilisation atteint ce niveau, c’est très inquiétant. Tout cela parce que ceux qui veulent tout faire à eux seuls, en se cachant aux autres, ne sont pas à la hauteur. Et ils sont pourtant prompts à jouer les perroquets.
Talfi 👿 👿 👿 💡 💡 💡 💡
La population malienne doit prendre des précautions contre tous ceux qui tentent ou tenteront de nuire à leur première institution, le président de la république. De ce fait tous les maliens sont dans l’obligation de respecter cette institution. Mais Tièbilé Dramé, le “petit monsieur#, semble vouloir faire le contraire, c’est-à-dire nuire à cette institution. Les maliens n’accepteront pas cela. 😛 😛 😛 💡 💡 💡
Je pense que le président de la république a bien fait de répondre aux faits de Tièbilé Dramé en France. Son acte ne pouvait pas resté sans réponse ou sans mise en garde. Les ministres du gouvernement ne pouvaient rien faire. Ils savaient tous que le président de la république avait raison. 😯 😯 😯 😆 😆 😆
Je demande à Tièbilé Dramé, le #petit monsieur# de ne pas se faire ridiculisé par soi-même. Il n’a aucune preuve démontrant le contraire de ce qu’IBK disait. Si réellement il a été en France, il est sans doute vrai qu’il a invité les maliens de la France à boycotter la visite d’Etat d’IBK. Chose qui n’a pas marché. Voilà pourquoi d’ailleurs il ne pouvait pas dire le contraire. Ces propos sont des simples dires tendant à inviter les maliens à ne pas le détester. 😛 😛 😛 😈 😈 😈
Je n’aime pas du tout la sale tête de Tièbilé Dramé. Il n’aime pas le Mali. Il voile la face des citoyens seulement. C’est un politicien sans dignité, aucune. Il est plus dominé par la jalousie que celle-ci a tendance à le détruire. 😀 😀 😀 💡 💡 💡
Le #PETIT MONSIEUR# est un homme politique et crève la faim. Il est facile pour lui de critiquer que de proposer ou entreprendre des actes patriotiques pour ce pays. Donc on ne peut et ne doit pas soutenir ce monsieur dans ses actes. 😀 😀 💡 💡 💡
On ne peut pas être égoïste jusqu’à ce point. L’égoïsme tant à détruire Tièbilé Dramé, #le petit monsieur#. Le président a juste fait une mise en garde. Tièbilé sait qu’il a fait les faits qui lui sont reprochés. Ces soi-disant auteurs de tracts diffusés à Paris veulent sauver l’honneur de chien de Tièbilé. 😀 😀 😆 😆 😆
Tièbilé est un politichien qualifié. Il est tout sauf un homme de dignité. Il n’a aucune affection pour ce pays. Il est vraiment #petit monsieur# et il le restera. Je suis sûr que ces gens sont tous ses hommes 😀 😀 😀 😛 😛 😛 😛
“…Mais, mon Dieu, bon Dieu, ils étaient au moins 4 ou 5 membres du gouvernement en plus du PM et normalement du directeur de sa communication, personne n’a eu la vision de protection dont le président de la République a tout le temps besoin de la part de ses collaborateurs…” HEY POTI POTI, “TON” HOMME NE PEUT-IL PAS SE CONTROLER ?
“…IBK est un humain, censé même se tromper, mais ceux- là qui sont à côté de lui…. n’ont pas droit à l’erreur…”. ET CEUX LA QUI SONT A SES COTES SONT DES EXTRA-TERRESTRES QUI N’ONT PAS DROIT A L’ERREUR. “… en raison de leurs expertises prononcées…” PENSES-TU VRAIMENT QUE C’EST LA RAISON DE LEUR EMBAUCHE?
ET UNE QUESTION POTI POTI, COMBIEN DE PERSONNE CONCOURE A LA REDACTION DE “NOUVELLE PATRIE”?
l’opposition à le droit de critiquer dans le bon sens bien sur.
le pouvoir ne dois pas répondre à toute les provocations de l’opposition.
VIVE LE MALI POUR QUE VIVE LA DEMOCRATIE MALIENNE
Analyse trés limitée et bidon , car le problème a été murement discuté pendant et durant le voyage présidentiel.Donc conlusion unanime du chef de l'Etat et de ces proches collaborateurs.Tu passes a coter encore une fois.
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