Le développement par la paix et l’environnement : Les grands chantiers d’Aliou Boubacar Diallo

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La reconstruction et la réconciliation nationales nécessairement passent par la paix et la lutte contre la pauvreté. Et c’est désormais le cheval de bataille du très respecté Aliou Boubacar Diallo, trio de tête, de la dernière présidentielle. Opérateur économique honorifique, fin négociateur, l’enfant du terroir a marqué de son empreinte, à sa manière, les festivités du récent anniversaire de l’accession de notre pays à la souveraineté nationale par des actions d’éclats dont entre autres le reboisement pour le retour à notre environnement normal, la dotation des plus démunies en forages d’eau etc. Le tout sous le sceau du patriotisme.

L’honneur ne s’achète pas. Le patriotisme ne se présume pas. Oui, Aliou Boubacar Diallo, candidat d’ADP/MALIBA pour l’élection présidentielle de 2022, si elle a eu lieu, vient d’engager un combat, à corps perdu, pour le développement de son pays, le Mali. C’est ainsi que quelque 61000 arbres ont été plantés dans les 20 régions que compte le Mali pour 122 forages en faveur des populations les plus démunies du pays. Des actions salvatrices qui continuent d’être contées dans le Mali profond. Vraisemblablement, le troisième de la présidentielle de 2018 est attachée à la patrie mère, mais aussi à la terre des anciens. L’homme d’affaires qui a taillé des croupières aux mastodontes du landernau, en les reléguant à leurs dimensions réelles, est plutôt un iconoclaste de la politique par ses innovations et l’originalité de ses engagements auprès du peuple. Car, jusqu’alors, la restauration du couvert végétal représentait le cadet des soucis des acteurs connus de l’échiquier politique malien. C’est donc une première qu’un leader politique et même d’opinion, annonce ainsi inscrire à son agenda et sa détermination à relever, à travers un engagement écologique affirmé, le défi de la sauvegarde de l’environnement et la lutte contre la déforestation et l’avancée rapide de la désertification. Ceci constitue d’autant une originalité et certainement une vision intégrée des maux multiformes d’un pays dans lequel le partage des espaces de vie participe tout aussi des conflits communautaires récurrents aujourd’hui exacerbés. La symbolique des 61000 arbres plantés porte donc fortement les promesses d’une future germination à la fois de l’espoir et du vivre-ensemble séculaire sur lequel reposait jusqu’ici la coexistence entre les différentes communautés, aujourd’hui déchirées.

A la préservation de l’environnement et donc de l’espace de vie des populations, le candidat de l’ADP-Maliba annonce ainsi que « la Fondation Maliba, courant de cette année, a construit 122 forages », représentant deux fois l’âge du Mali. Et ce choix n’est pas anodin : pour Aliou Boubacar, « ce chiffre correspond à deux fois 61 pour exprimer notre volonté d’aller vers la deuxième indépendance dont rêve tous les Maliens : l’indépendance économique que j’appelle la nouvelle indépendance »pour relancer le pays vers un futur prometteur.

L’objectif de ce pionnier dans plusieurs domaines des affaires au Mali, c’est de renouer avec le Mali du rêve des Pères fondateurs, « le Mali d’une école performante, le Mali d’un bon système de santé de proximité, le Mali des unités industrielles ambitieuses, le Mali du plein emploi sans chômage de masse de nos jeunes ». Mais, ce Mali-là d’antan auquel il aspire contraste profondément avec « la corruption, l’impunité, la gabegie, les grèves dans les secteurs clés (qui) sont devenues notre quotidien », déplore Aliou Boubacar Diallo.

Et l’espoir renaît !

Plusieurs chantiers ont fait l’objet d’engagements résolus du candidat de l’ADP-Maliba, initiés à travers la Fondation du même nom. Ce dernier a ainsi multiplié « des actions en faveur de la santé, de l’éducation, de la lutte contre le chômage (et)… également formé plus de 1000 femmes à la fabrication du savon et d’autres produits d’entretien », entre autres. Car « pour combattre le terrorisme, il faut lutter contre la pauvreté et le chômage de masse des jeunes », croit fermement le candidat.

De même, le candidat, comme à son habitude, n’a jamais cessé de soutenir « l’armée avec la construction des forages, des dons de matériels de santé, mais aussi le soutien aux enfants et veuves des soldats tombés » pour la patrie sur le champ de l’honneur.

Par ailleurs, le Président d’honneur de l’ADP-Maliba, a saisi l’opportunité de l’adresse à ses compatriotes, en ce 61ème anniversaire de l’indépendance, pour dérouler également une série de propositions pour sortir le Mali de « cette crise multidimensionnelle qui perdure depuis 2012 avec son lot de meurtres, de tueries, de déplacés, d’instabilité politique, mais, de trafics de tous genres ».

Certes, l’avenir de ce pays et de sa jeunesse paraît sérieusement hypothéqué, mais « ce tableau sombre ne doit pas nous faire perdre espoir… (le) Mali peut se relever fièrement et reprendre sa place dans le continent africain mais également au niveau mondial », est convaincu l’homme d’affaires.

Mais, c’est un impératif, selon le candidat de l’ADP-Maliba, « il en faut plus pour soigner les maux du Mali ».Et pour cela, il faut restaurer  les vertus qui ont fondé et constitué le ferment de cette nation, à travers « Plus de solidarité, de cohésion, détermination, de transparence et plus d’initiative auprès du peuple malien ». Ce sont là les « actions que nous menons à travers la Fondation Maliba (complémentaires de) toutes les autres actions de solidarité menées par d’autres compatriotes et des partenaires au développement (et qui)n’auront d’effet durable que si nous arrivons à construire une paix durable », indique t-il.

Pour trouver donc une solution durable à la situation de crise interminable, dans laquelle le pays se débat depuis d’une décennie maintenant, celui-ci « propose au gouvernement de transition de procéder à la sélection d’une personnalité consensuelle à Bamako qui sera accompagnée par des délégués ayant une légitimité traditionnelle et qui seront choisies dans chaque cercle du Mali ». En restaurant les légitimités, fondées sur la confiance du terroir profond en ses représentants réels, Aliou Boubacar Diallo pense que « ceci permettra de trouver une solution à la crise multiforme que traverse le Mali ».

Et de conclure : « Le Mali ne sera que ce que nous en ferons, nous pouvons ensemble relever le défi de la stabilité sécuritaire et du développement socio-économique …».

Rassemblés par Oumar Ouattara

 

Aliou Boubacar Diallo :

Pourquoi le Mali peut dépasser un jour le Qatar

Un homme d’action, qui a une grande ambition pour le Mali, et qui s’efforce à s’investir, pour le concrétiser, c’est Aliou Boubacar Diallo, capitaine d’entraines et homme politique. Celui-là même, sans trompette ni tambours, qui va réaliser un important challenge minier et gazier, d’une capitalisation de près de 100 milliards US$, annoncé pour transformer complètement le Mali en une véritable puissance économique.

Aliou Boubacar Diallo n’est pas homme à se lamenter sur son sort : bien qu’il a connu toutes sortes de difficultés, pour le déposséder de sa puissante mine d’or de Wassoul’Or, une réussite économique qu’il a bâtie à la sueur de son front, en étant l’un des rares nationaux à s’illustrer dans un monde fermé réservé aux multinationales, il n’a jamais renoncé à ses ambitions pour son pays.

Fort de l’expérience et du respect dont il bénéficie dans la finance internationale avec la prouesse économique et financière, il a réussie à faire coter sa mine d’or à la bourse de Francfort. Aujourd’hui homme politique de grande influence dans son pays natal et dans la sous-région, Aliou s’est vite tourné vers d’autres opportunités d’affaires. Pour cet homme d’affaires, prendre un tel risque relève du naturel, dès lors qu’il s’agit de l’avenir de son pays.

En orientant ses investissements dans l’hydrogène naturel et le gaz, après avoir perforé plus d’une vingtaine de forages, Aliou Boubacar Diallo, sans conteste, est en passe de devenir le pionnier, dans la production d’électricité, notamment avec l’hydrogène naturel sans émission de CO2. Le créateur de Wassoul’Or s’est donc propulsé dans un domaine prisé, où il fait office d’innovation économique, en investissant plus nettement et plus massivement dans un créneau, non exploité auparavant par quiconque, avec le risque que cela importe.

Et puisque c’est le Mali qui en est le plus grand bénéficiaire, il fait fi de toutes considérations, autre que le développement de son pays. Après tout, on le sait, c’est un homme d’expériences et avisé en la matière qui s’engage ainsi. Pour le challenge gagnant de l’hydrogène, Aliou Boubacar Diallo y croit.

Avec l’efficacité qu’on lui connait, il a réalisé des travaux dans le Bloc 25 au Mali. Un tel investissement économique lui a permis de réaliser la plus grande découverte d’hydrogène naturel, parmi la dizaine de découvertes, signalées à travers le monde. Et ça, ce n’est pas une simple estimation économique. C’est le BGR, une structure d’évaluation scientifique allemande, l’une des plus respectables en matière de recherche géologique, qui le déclare ainsi, au Mali.

Voilà ce que ce capitaine d’entreprises, très respecté, le présente lui-même : « Aujourd’hui, le Mali a une crédibilité certaine dans le secteur minier et gazier. Son potentiel est avéré et confirmé par différentes études scientifiques ». Il n’est pas une fatalité, selon lui, qu’avec une telle capacité économique, Le Mali sans nul doute puisse dépasser un jour le Qatar ».

Déjà, il y travaille d’arrache-pied. Cela passe, dit-il, par une innovation dans l’investissement au niveau d’un secteur, dont peu sinon pas d’opérateurs maliens, comme étrangers, n’avaient osé s’aventurer. Il l’a cru, pour l’ambition qu’il nourrit pour son pays. Et ça lui réussit, en tant qu’opérateur économique, déterminé à tout mettre à son profit pour sortir son pays de l’ornière.

La nouvelle société dont il a l’ambition de construire autour de ce créneau porteur, est, déjà, dans l’optique de se classer comme « le plus grand producteur africain d’hydrogène et un fournisseur majeur d’hydrogène naturel et vert à l’Europe pour lui permettre d’arriver à la neutralité carbone, tel que décidé à l’accord de Paris lors de la COP21».

Autre bonne nouvelle : il n’a plus désormais aucune dette qu’il draine derrière lui. Ce qui constitue une prouesse personnelle, pour lui, après avoir subi tant d’hostilités, et un challenge économique important, pour la nouvelle société, dont il a l’ambition de créer. Une société solide qui pourra bénéficier d’un investissement total de plus de 20 milliards d’Euros, et dont la valorisation dans le futur atteindra et dépassera la centaine de milliards de dollars américains, pour la production d’hydrogène naturel et vert au Mali et dans plusieurs autres pays africains où des filiales seront créées à terme.

Avec ce projet d’électricité faramineux, qui fera du Mali un grand producteur d’énergie, dans le monde, l’engagement de cet homme de conviction, Aliou Boubacar Diallo, président d’honneur de ADP-Maliba, pour faire de notre pays une grande force économique, capable de créer la richesse et les emplois pour ses enfants, se réalisera sans aucun doute. D’ailleurs, les avis économiques éclairés du monde, le disent, depuis des années. C’est l’énergie, et non le pétrole, comme c’est le cas aujourd’hui, qui constitue la richesse économique et financière inestimable de demain.

Avec cet homme d’innovation économique, le Mali marque déjà un pas décisif en la matière, en figurant dans le peloton de tête des nouvelles nations gazières avec de surcroît d’importants avantages comparatifs. C’est pourquoi il ne cesse d’affirmer que « le secteur minier et gazier, avec sa grande capacité de création d’emplois de masse, doit être soutenu et protégé par l’Etat du Mali et les Maliens.

Le golden boy malien des affaires, Aliou Boubacar Diallo, qui croit dur comme fer à la diversification de l’économie, est par ailleurs persuadé que le Mali atteindra son plein régime économique, synonyme de création massive d’emplois durables, par de grands projets miniers et gaziers structurants, qui lui procureront, une fois une gouvernance vertueuse installée et ancrée, de quoi affronter sereinement et efficacement son avenir.

S.SK 

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