Le capitalisme : Une peste pour les peuples d’Europe, d’Amérique et donc du monde 

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Au-delà de tout colmatage politique et politicien, les émeutes et la criminalité dans les pays capitalistes, tirent leur source de la misère accablante et de l’humiliation des masses laborieuses, desdits pays. Le gangstérisme est une culture capitaliste. Il est l’expression du désarroi des travailleurs. Le chômage chronique légalisé par les gouvernants de ces pays capitalistes témoigne, si besoin en était, du malaise social et de la détermination des dirigeants occidentaux de se nourrir du sang de leurs peuples laborieux.

L’on ne dira jamais assez que dans les pays capitalistes, le banditisme à grande échelle, les holdups, les piratages des mers et / ou des océans, les vols à mains armées, les assassinats quotidiens, les détournements d’avions, entre autre maux, les caractéristiques majeures de la vie des masses travailleuses.

Aux USA, au Royaume Uni, en France, en Allemagne (pour ne citer que ces pays) on se tue comme des moustiques et les gens meurent comme des mouches. Comme si la vie humaine ne signifie rien pour les capitalistes. Effectivement, ce qui compte chez eux, ce n’est pas la personne humaine, même si l’on y chante à tout instant «les droits de l’homme».

La liberté, que les nantis réclament, assassine les pauvres, la jeunesse démunie qui endure dans leur chair et dans leur conscience les affres de la misère et de l’humiliation. Les droits de l’homme, chez eux, c’est la possibilité régulière pour la bourgeoisie insolente de manger ce qu’elle veut et quand elle veut. Il en est de même du logement, des soins de santé, de l’habillement. Bref, les riches assistent impuissamment à leur propre descente aux enfers. Dans ces pays dits «démocratiques», les peuples souffrent de tous les maux. Dans ces pays que l’on qualifie malheureusement de grands, les riches se nourrissent constamment du sang des plus pauvres.  C’est bien en cela que réside leur grandeur, leur prestige. Mais pour nous, la vraie grandeur d’un pays réside avant tout dans son affabilité, dans son sens élevé de l’honneur et de la dignité humaine. La puissance d’un pays, l’humilité d’une vraie puissance réside dans son sens aigu de la justice et de l’équité sociales.

Dans ces pays où les grands vivent du sang des plus démunis, il ne saurait être question de dignité humaine, de liberté véritable. La liberté, au Royaume Uni, en France et dans le pays de l’Oncle Sam, est la latitude pour la bourgeoisie  de se nourrir de la sueur des travailleurs. Au-delà de tout colmatage politique et politicien, les émeutes et la criminalité dans les pays capitalistes, tirent leur source de la misère accablante et de l’humiliation des masses laborieuses, desdits pays.

Le gangstérisme est une culture capitaliste. Il est l’expression du désarroi des travailleurs. Le chômage chronique légalisé par les gouvernants de ces pays capitalistes témoigne, si besoin en était, du malaise social et de la détermination des dirigeants occidentaux de se nourrir du sang de leurs peuples laborieux. Le surpeuplement des prisons aux USA, en France et en Angleterre est la preuve que leurs peuples travailleurs sont bâillonnés, meurtris dans leur chair et dans leur conscience.
Les prisons françaises sont bondées de monde. Selon nos sources, elles sont passées de 56 000 (cinquante  six mille) prisonniers en 2006 à 65 000 (soixante cinq mille) en 2010. Toujours en France, dans la même fourchette de temps, les suicides se sont multipliés par cinq (5).

Dans ce pays, les détenus assistent impuissamment à leur mort lente parce que sans autre issue fiable, quand on sait que les gouvernants français n’ont pratiquement rien entrepris de bon pour la réinsertion des prisonniers. Parler de liberté dans ces conditions, c’est vraiment se moquer des Français victimes des affres d’un capitaliste dévoreur  mais moribond.

La crise financière, qui a secoué toutes les banques capitalistes à travers le monde en 2007- 2008, est la preuve que les économistes des pays capitalistes ont échoué dans leurs nombreuses prévisions : au lieu de la croissance, les économies capitalistes ont amorcé leur dernier virage dans leur processus de désagrégation. Les peuples américain, britannique, français, allemand, etc., doivent se ruer vers des études profondes du marxisme- léninisme afin d’y découvrir que leurs gouvernants sont assurément leurs bourreaux, leurs assassins. Ils découvriront dans les prévisions marxistes que le capitalisme n’a pas d’autre destin que de disparaître et de céder ainsi la place au socialisme qui constitue la première étape de la réalisation du communisme dont le principe fondamental est et demeure : «De chacun selon ses capacités et à chacun selon ses besoins».

Nous disons que pour accélérer leur libération historique véritable, les peuples laborieux d’Amérique et d’Europe se doivent de lire les documents authentiques écrits par Marx, Engels et Lénine sur tous les domaines du savoir : de l’économie à la politique en passant par la  culture. Cette lecture leur permettra de comprendre sérieusement tout le mécanisme monté par les bourgeoisies euro- américaines pour bander leurs yeux et sucer sans vergogne leur sang. Il est clair que les régimes capitalistes feront tout pour cacher les vérités marxistes à leurs peuples. Mais la libération de ceux-ci passe nécessairement par la découverte de ces vérités. Parmi ces vérités, les peules européens et des USA doivent avoir à l’esprit que pour rendre «l’oppression de fait plus oppressive, il faut lui ajouter la conscience de l’oppression». Comme pour dire que ces peuples doivent bien étudier le mécanisme de la lutte des classes qui tourne aujourd’hui à l’évidence que leurs dirigeants leur cachent la simple vérité que «le capitalisme assassine les travailleurs».

Dans tous les cas de figure, les peules doivent comprendre que ce ne sont pas les sociologies, anthropologies et psychologies bourgeoises qui leur permettront de se libérer des serres de l’impérialisme américain et de ses suppôts euro- africains.

Au contraire, par le relativisme béat des vérités scientifiques marxistes des supposés experts en analyse, les peuples végèteront encore longtemps dans la misère la plus humiliante à l’absence d’une  clairvoyance marxiste.

Pour rallonger la survie des régimes capitalistes, les dirigeants occidentaux ont toujours choisi d’exporter leurs crises par les guerres, par la vente d’armes à des frères pour qu’ils se tuent et cela au nom de la fallacieuse liberté qui tue la liberté et la dignité humaine.

L’Occident a les mains tachées de sang, de boue et de honte. Ses dirigeants (démocrates ou républicains, centristes, gauchistes ou droitistes) ont toujours bâillonné leurs masses laborieuses chaque fois que celles-ci veulent sortir la tête au sein d’organisation de tendance révolutionnaire.
Les émeutes de Los Angeles aux USA, de France et tout dernièrement de Grande Bretagne ont été réprimées avec une violence policière inouïe. Mais les princes d’Occident capitaliste doivent se rendre à l’évidence que le capitalisme est à son terme et n’a pas d’autre destin que sa disparition.
La simple preuve de cette désagrégation prochaine du système capitaliste mondial réside dans les récessions économiques dues à la banqueroute des grandes institutions financières capitalistes  comme le Fonds monétaire international (FMI), créée en 1944 pour soutenir le marché de l’économie capitaliste mondiale.

En tout cas, toute l’Afrique a compris que le FMI et la Banque mondiale ont pour seul gage la spoliation des peuples travailleurs. De leur création à l’année 1990, toutes les «aides» des pays capitalistes à l’Afrique étaient subordonnées à la bonne entente de nos gouvernements africains avec les institutions financières de Breton Woods.
Depuis le sommet France Afrique de la Baule (France) de 1990, la France subordonne son «aide» aux pays africains à l’instauration chez de la «démocratie» (capitaliste, ajoutons). Mais vingt (20) ans que l’Afrique ait adhéré à ce choix politique, la démocratie se fait attendre. En tout cas, celle en cours en Afrique assassine la démocratie qui signifie le pouvoir du peuple, entendant par peuple l’ensemble des hommes qui vivent de leur sueur. Le combat est certainement engagé par les peules d’Amérique et d’Europe capitalistes pour liquider les vestiges de cette peste mondiale qu’est le capitalisme.

Ces peuples doivent à présent aller à la découverte du marxisme- léninisme pour accélérer leur processus de libération des serres des régimes capitalistes à travers le monde. Celui qui dira qu’il y a là de l’idéologie est au service incessant de l’idéologie capitaliste qui se manifeste tous les jours par la «démocratie occidentale» et la prétendue mondialisation (du système capitaliste). Les nombreuses crises à répétition du système capitaliste mondial annoncent sa déconfiture et sa chute finale. De sa pourriture et de ses cendres germent assurément le capitalisme indispensable aux masses laborieuses du monde entier.

N’en déplaise aux dirigeants intellectuels véreux, valets de l’Occident impérialiste !
N’en déplaise aux dirigeants africains qui doivent leurs fauteuils à leurs consciences machiavéliques et machiavélistes d’Occident capitaliste.

La Chine démocratique, la République démocratique de Corée, Cuba, les pays latino américains socialistes ont fait le bon choix et la victoire finale des peuples du monde est à ce seul prix.

Très prochainement, nous exposerons à l’adresse de nos lecteurs le mécanisme par lequel les gouvernements capitalistes pillent les économies et les finances des pays africains en l’occurrence les garanties monétaires et la francophonie. Il est temps que les intellectuels s’assument pour le bonheur de leurs peuples.

Fodé KEITA

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