L’avenir politique au Mali : L’écoute et l’entente

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L’une est demandée par l’opposition, l’autre est prônée par la majorité. Toutes deux sont également indispensables par les temps que nous vivons

Signe du déferlement mondial des urgences et des alertes, l’agenda politique classique relève désormais du très lointain souvenir. Chez nous, par exemple, et en des temps plus paisibles, ce mois de mai aurait constitué la porte d’entrée vers un ralentissement des activités qui se serait poursuivi jusqu’en septembre. Ralentissement amené tout d’abord par le mois de Ramadan qui installait traditionnellement une certaine torpeur dans le pays et qui faisait décaler pour après sa clôture les activités non essentielles. Ralentissement prolongé ensuite par le bimestre de l’assouplissement international que constituaient dans un passé encore récent juillet et août. Les affaires sérieuses auraient alors attendu septembre pour revenir au devant de la scène.

Mais aujourd’hui sur notre planète et dans certaines des zones les plus troublées, la période du jeûne musulman est même redoutée, parce que choisie par les extrémistes comme propice aux coups d’éclat meurtriers. Plus personne ne s’aventure donc à programmer dans l’actualité des périodes de trêve ou de pause. La montée des radicalismes, l’inclination à la stigmatisation, le choix de l’affirmation identitaire, le repli dans la solidarité communautaire et la multiplication des actes violents posent de vrais dilemmes aux autorités, dont certaines sont logiquement tentées par une réponse d’abord sécuritaire. Les mêmes phénomènes désorientent tout autant des populations qui, bousculées dans leur vivre ensemble, interpellent avec exaspération l’Etat, mais tentent aussi – et de plus en plus fréquemment – d’organiser leur propre riposte. Les repères anciens vacillent donc à une époque qui fait malheureusement le lit des populistes et des propagateurs de vérités supposées nouvelles.

La plupart des secousses énumérées plus haut atteignent depuis 2012 notre pays dont les populations s’accoutument mal au fait de voir leurs espérances à peine nées que déjà contredites. Nos compatriotes ne s’étaient guère mobilisés contre le putsch du 22 mars, car ils pensaient que l’électrochoc provoqué par l’événement mettrait fin au traitement hasardeux de la situation au Nord du pays et à la déliquescence de l’autorité de l’Etat. Mais ils avaient assez rapidement constaté qu’ils avaient troqué Charybde contre Scylla et que la Transition générait plus d’interrogations qu’elle n’amenait de rectifications. Ils avaient applaudi à la reconstitution de l’intégrité territoriale amenée par l’offensive éclair déclenchée par Serval appuyé par les troupes maliennes, mais avaient assisté avec dépit à l’interruption du processus salvateur par le traitement particulier accordé à la ville de Kidal.

EN RATISSANT LARGE. Ils étaient convaincus en 2014 d’une complète revitalisation des FAMAs avant de subir le traumatisme national que constituèrent les événements du 21 mai. Ils avaient espéré que la normalisation s’amorcerait de manière décisive après la signature de l’Accord pour la paix et la réconciliation, ils prennent désormais la mesure de toute la complexité et de toutes les difficultés du combat à mener encore contre le terrorisme et de tous les obstacles dressés par ce dernier sur le chemin de la reconstruction. Il n’existe pas dans notre pays d’instruments permettant de mesurer régulièrement l’état de l’opinion nationale. Mais il ne faut pas un grand effort d’imagination pour imaginer cette dernière lasse des obstacles rencontrés ces quatre dernières années et impatiente d’enregistrer des améliorations continues qui porteraient aussi bien sur le quotidien des citoyens que sur la sécurité générale dans le pays.

Opposition et majorité ne pouvaient rester passives devant le tourbillon incessant des questions. Chacune a par conséquent essayé le week-end dernier de donner sa part de réponse à l’interpellation implicite des populations. La première l’a fait en soulignant les insatisfactions du moment. La seconde en insistant sur la nécessité de rétablir une vraie entente nationale. L’opposition s’est employée à capitaliser les mécontentements sociaux pour organiser sa marche pacifique de samedi passé. Dans le message annonçant l’événement, les organisateurs avaient ratissé très large pour l’énoncé des motifs. Ceux-ci allaient des accusations de mauvaise gouvernance aux ruptures de fourniture d’eau et d’électricité en passant par les critiques sur la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation. Les initiateurs de la marche avaient aussi renforcé leur capacité de mobilisation en se ralliant une aile « société civile » constituée d’associations contestataires.

Au total, l’opposition devrait être satisfaite du nombre de marcheurs réunis à un moment où ce mode de mobilisation ne fait guère recette. Il lui reste à présent à attendre la réponse aux appels lancés par elle. Soumaïla Cissé avait, dans son intervention finale, déploré la difficulté qu’avaient les formations de l’opposition à nouer un dialogue dépassionné avec la majorité présidentielle et à faire entendre leurs propositions sur la gestion des difficultés actuelles. Parmi les suggestions de création de futurs espaces d’échange présentées par le chef de file des opposants, l’on notera l’organisation d’ « assises nationales pour la refondation de l’Etat » et « le retour au dialogue pour contenir le malaise social ».

La première proposition n’a, à notre avis, aucune chance d’être examinée. Elle se ramène en effet à l’organisation d’une sorte de Conférence nationale au cours de laquelle seraient mis à plat les grands dossiers de la nation. Adhérer à un tel scénario reviendrait pour la majorité présidentielle à reconnaître explicitement son incapacité à produire les solutions idoines. La seconde proposition, plus modeste dans son objet et plus précise dans ses objectifs, se heurtera vraisemblablement aux divergences internes au RPM. Les Tisserands sont en effet divisés entre deux courants opposant d’une part, les partisans d’un fonctionnement « autocentré » qui recourrait qu’occasionnellement à l’appui et à l’avis des autres formations (même celles alliées) et d’autre part, les adeptes d’une démarche inclusive alliant concertation avec les autres composantes de la majorité et échanges avec les opposants.

INTENSE, MAIS BRÈVE. Malgré l’encouragement explicite donné par le président de la République à la seconde tendance, c’est pour le moment la première qui s’exprime le plus fréquemment, notamment par la voix du Secrétaire général du parti. La ligne isolationniste devrait vraisemblablement prévaloir jusqu’à ce que le Congrès du parti formule une ligne tactique claire sur cette question. Et jusqu’à que soient mis fin au clanisme et aux batailles de positionnement dénoncés avec une pointe d’agacement par le président Boulkassoum Haïdara lors de la conférence régionale du Rassemblement tenue dimanche dernier à Bamako.

Le second événement marquant du samedi passé mérite un décryptage particulier. Non pas pour amoindrir le mérite des organisateurs. Mais pour partager trois remarques sur ce meeting pour la paix et la réconciliation au Mali qui s’est tenu au Palais de la culture. Primo et par les temps que nous vivons, aucun plaidoyer ardent en faveur d’un engagement sans calcul et sans réserve en faveur de la paix et de la réconciliation ne s’avère superflu. Surtout au regard des traumatismes que subit encore notre Septentrion et dont les ondes de choc se propagent sur le reste du territoire national. Deuxio, les dissensions politiques dont l’extinction a été souhaitée par plusieurs intervenants sont de nature absolument différentes. Il y a d’abord celles amenées par les changements brutaux de régime qu’ont constitué le putsch de novembre 1968 et le coup d’Etat qui accompagna la Révolution de mars 1991. Ces deux épisodes de totale rupture ont logiquement généré des mises à l’écart assez brutales et des stigmatisations persistantes, surtout dans la nomenklatura politique et administrative.

Mais les fractures créées se sont fortement atténuées depuis, même si les protagonistes marquants demeurent sur des positions idéologiquement inconciliables. Ainsi que l’a d’ailleurs souligné la récente parution de l’ouvrage collectif « Le Mali sous Moussa Traoré ». Mais le fait même que la passe d’armes entre certains des auteurs du livre et leurs contradicteurs venus du Mouvement démocratique ait été certes intense, mais brève et circonscrite indique bien qu’un certain type d’affrontements indiffère complètement la majorité silencieuse des Maliens.

D’autre part, et à notre perception, il ne s’est pas créé entre les partisans des présidents Alpha Oumar Konaré, Amadou Toumani Touré et Ibrahim Boubacar Keïta des antagonismes si forts qu’il est nécessaire d’organiser un événement solennel pour les surmonter. Il existe, certes, entre les membres de cercles politiques proches de ces personnalités des contentieux, des rancoeurs et des malentendus. Mais, à notre avis, ce genre de conflits représente un aspect inévitable de l’exercice du pouvoir et une conséquence prévisible de toute alternance politique.

PLUTÔT LA DÉCRISPATION. Or, notre pays a vécu trois de ces dernières depuis 2002. Chacune d’elles a produit son contingent de personnalités partisanes laissées au bord du chemin, de chamboulements dans la haute administration et malheureusement de victimes de règlements de comptes. Mais ces phénomènes, tout regrettables qu’ils soient, n’ont pas généré de fractures d’ampleur dans le corps social malien. Surtout que les chefs d’Etat cités n’ont jamais posé d’actes qui auraient laissé supposer une animosité persistante entre eux.

Tertio, si le retour de l’entente a été le vœu partagé de tous les intervenants, les visions énoncées sur la manière de l’amener ont parfois divergé de manière assez nette. Cela s’est constaté essentiellement dans l’approche de la situation de Amadou Toumani Touré. Pour Hamane Touré, président des clubs et associations de soutien à ATT, il est urgent et indispensable pour l’Etat de réhabiliter l’ancien président et de le réinstaller solennellement dans tous ses droits.

Amadou Koïta, président du Parti socialiste Yélen Koura, estimait, lui, au nom de l’opposition que le retour « du soldat du développement » (retour consolidé par une prise de position nette de l’Assemblée nationale) symboliserait la restauration dans notre pays des pratiques d’écoute et de contact. L’éclairage était tout à fait différent du côté du député Moussa Timbiné, président du comité d’organisation de l’événement, qui saluait explicitement dans le retour de l’ancien président la capacité bien connue du Mali à pardonner pour continuer à aller de l’avant.

Il serait cependant superfétatoire de s’appesantir outre mesure sur ces nuances. Il nous semble par contre indispensable de souligner le fait que les divergences qui opposent les différents acteurs politiques n’ont pas atteint le degré critique qui mettrait véritablement en danger l’unité nationale. Ceci pris en compte, le terme « décrispation » reflèterait de manière plus exacte certains enjeux du meeting que celui de « réconciliation ». Cette remarque, répétons-le, n’enlève absolument rien au mérite des organisateurs. Car dans le contexte actuel, la décrispation politique, si elle devient effective, constituerait un atout supplémentaire dans la recherche commune de solutions.

Notre pays bénéficie d’un avantage : il s’est jusqu’ici épargné la montée des surenchères, telle que celle-ci se constate dans d’autres Etats en difficulté où la dramatisation délibérée vient s’ajouter aux tensions pour compliquer la sortie de crise. Nos compatriotes, eux, ont conscience qu’au-delà d’un certain seuil de fragilisation politique, économique et sociale, le pays peut partir dans une tragique dérive. C’est pourquoi la majorité d’entre eux, sans taire leur amertume devant les difficultés persistantes, restent à distance de ce qu’ils perçoivent comme des radicalisations inappropriées. C’est pourquoi aussi dans l’opposition, les voix les plus raisonnables déplorent que leur soit déniée par certains de leurs adversaires la sincérité de proposition.

Or, le moment est à l’écoute de toutes les alertes, d’où que celles-ci viennent. Il est aussi à une évaluation lucide des menaces dont les manifestations se sont additionnées au cours des deux semaines passées. Sur la nature autant que sur la persistance des périls, il n’y a malheureusement pas à se méprendre.

G. DRABO

PS – Dans notre chronique du mardi 17 mai, une malencontreuse inattention nous avait fait évoquer la Région de Tessalit. Nos lecteurs auront certainement rectifié d’eux-mêmes et compris que nous parlions de la Région de Taoudénit. Toutes nos excuses cependant aux ressortissants de l’entité administrative qui se mobilisent pour faire tenir à celle-ci son rang.

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71 COMMENTAIRES

  1. Tout cela pour dire que Mali aujourd'hui n’est pas aussi mauvais que c’était pas pourrait à l’avenir ?

    Si cette forme de gouvernance au Mali est le seul acceptable pour les maliens et étrangers observateurs à l’étranger, au moins laisser être représenté par des gens qui ne sont pas des opportunistes de la portion libre.

    Politique peut fonctionner aussi longtemps que les personnes au service sont axés sur la fourniture de l’humanité pour l’homme que le désir qui doivent

  2. Ce qui ne semble vraiment pas être le cas pour nos opposants qui ne cherchent que leurs intérêts personnels au détriment de celui du peuple. Le président de la république est dans la lancée pour satisfaire ses promesses et répondra aux attentes du peuple malien qui lui a accordé sa confiance. Il n’a pas trahi son peuple comme veulent nous le faire croire ces opposants véreux. Tous les pays ont des problèmes et s’ils ne peuvent pas aider à résoudre les nôtres; qu’ils nous fichent la paix.

  3. La marche a échoué, les pseudo opposants ne savent pas que les maliens ont connu leur jeu.Cette marche qui se prépare depuis des mois déjà n’a vu que la participation de quelques centaines de personnes.Il faut comprendre quelques chose à cet échec de l’opposition malienne.Le peuple malien est avec son président et le soutient pour le travail qu’il fait pour le pays.

  4. Il faut savoir que le gouvernement et les forces de l’ordre ont aussi fait des exploits dans l’affaire de sécurité. Dans le combat contre l’insécurité il n’y a jamais eu de risque zéro le gouvernement met tout en pratique pour déjouer à savoir les attaques perpétrés sur le sol malien.

  5. Voila les maliens qui se soucie du Mali, dans son ensemble, tout bon malien au jour ou nous sommes prône pour la paix et la réconciliation de tout ces fils et filles de l’intérieur comme de l’extérieur.

  6. L’extrémisme n’est pas le fils du Mali, mais du monde, la solution est que nous devons être un derrière nos force de l’ordre pour bannir ce fléau, le Mali est l’un des rares pays au monde, qui traque matin midi soir les terroristes, nous rendons un vibrant hommage à nos force de l’ordre qui se sont donné leurs vies pour que le Mali retrouve sa dignité, son intégrité.

  7. Cette opposition après avoir échouée à tous ces coups fourrés du mois de mars se lancent dans une autre campagne de déstabilisation du pays. J’ai mal au cœur quand je vois ces personnes qui prétendent aimer ce pays et défendre nos intérêts communs se lancer même dans des actions qui ne nous profitent guère. Pendant que l’on prends des dispositions sécuritaires pour répondre à la menace terroriste; c’est le moment que des personnes choisissent pour vouloir organiser des marches afin de pouvoir semer le désordre. Le pouvoir dans notre pays ils pourront l’avoir mais seulement dans les urnes car nous n’accepterons jamais des coups de forces qui déstabiliserait encore plus notre pays.

  8. La bonne foi du président IBK n’est pas à montrer, le Président de la République Ibrahim Boubacar Keïta est en train de tous mettre en n’œuvre pour protéger les personnes et leurs et sur toute l’étendue du territoire national et aussi l’accord de paix et de réconciliation.

  9. L'opposition de voleur, manipulateur, menteur, les maliens ont compris leur jeu, nous sommes dans une situation ou nous voulons la paix dans tout le Mali, c'est en ce moment que les mauvais fils du Mali, déstabiliser encore le Mali, le Mali veut la paix.
    .

  10. Il veut nous trompé, il veut nous manipulé, il veut nous berné, la marche a été échec totale , l’opposition attendait 50000 elles n’ont eu que 3000 marchant les malines sont coupé de vous, ça ce n’est rien lors des élections nous allons nous montré à vous.

  11. L’opposition de voleur, manipulateur, menteur, les maliens ont compris leur jeu, nous sommes dans une situation ou nous voulons la paix dans tout le Mali, c’est en ce moment que les mauvais fils du Mali, déstabiliser encore le Mali, le Mali veut la paix.

  12. Il faut être un opposant pour faire enterrer le Mali, encore, nous dans une crise plus profonde , nous voulons une réconciliation de tous les fils du Mali, c’est en ce moment là que l’opposition organise leur jeu d’intérêt en mêlant le nom du Mali

  13. Les détracteurs essayent à tout prix de profiter de la situation en inversant la vérité des faits. Les opposants malveillants tentent de créer polémique au tour de cet affaire de sécurité. Ils racontent toute sorte de baliverne autour cela dans le seul but de porter atteinte au régime en place.

  14. L’insécurité grandissante qui menace la paix et la stabilité durable dans notre pays est un fléau qui provient de la mauvaise gérance des régimes passés. Le Président de la République Ibrahim Boubacar Keïta est en train de tous mettre en n’œuvre pour protéger les personnes et leurs et sur toute l’étendue du territoire national et aussi l’accord de paix et de réconciliation.

  15. Le terrorisme reste toujours un fléau intenable partout dans le monde, malgré cela les autorités maliennes font de leur mieux pour faire instaurer la sécurité sur le sol malien.

  16. La population doit savoir contrairement à ce dont les opposants tentent de leur faire croire, les autorités mettent tout en n’œuvre pour résoudre le problème d’insécurité et cela sur toute l’étendue du territoire national.

  17. Les détracteurs qui accusent le régime en place d’adopter une négligence vis-à-vis de l’insécurité grandissante. Alors que pensent-ils de cet exploit des autorités et des forces de l’ordre et de sécurités. Il faut savoir que le gouvernement et les forces de l’ordre ont aussi fait des exploits dans l’affaire de sécurité. Dans le combat contre l’insécurité il n’y a jamais eu de risque zéro le gouvernement met tout en pratique pour déjouer à savoir les attaques perpétrés sur le sol malien.

  18. IBK a promis pendant les campagnes présidentielles de 2013 de reformer les forces armées maliennes et de changement leurs conditions de vie. Les résultats aujourd’hui montrent pleinement que le président a respecté ses paroles et continue de faire d’avantage. Les preuves sont bien visibles.

  19. C’est le monde entier qui fait face à ce problème existentiel, lors le Mali seul ne pourra être une exception. La seul manière de sortie le Mali de ce trou est que la population malienne doit rester en parfaite complicité avec les forces de l’ordre et de sécurités.

  20. Le terrorisme est un fléau très difficile à cerner. Pas que MALI seulement, le terrorisme sévit partout dans le monde entier. Malgré les mesures misent en place par les autorités maliennes, le terrorisme reste incernable. Tant que la société civile ne s’engage pas a aidé l’Etat, cette lutte restera incertaine et vaine.

  21. La lutte contre le terrorisme au MALI commence à porter fruit. Le Mali seul ne pas lutter contre le terrorisme. La communauté internationale doit aider le Mali, pour mieux affronté le problème.

  22. IBK a promis à tous les maliens de réformer notre armées, lors des élections présidentielles de 2013. Les résultats de l’armées est déjà salutaire, IBK est à féliciter de son engagement pour le rétablissement de notre armée. Les promesses deviennent une réalité, fini les rêves promesses vaines. Le gouvernement est à féliciter des exploits de son armée.

  23. Les opposants maliens n’ont aucune crédibilité aux yeux des maliens.Cette marche qui se prépare depuis des mois déjà n’a vu que la participation de quelques centaines de personnes.Il faut comprendre quelques chose à cet échec de l’opposition malienne.Le peuple malien est avec son président et le soutient pour le travail qu’il fait pour le pays.

  24. La marche de l’opposition malienne a été boudée par les populations maliennes qui ne se reconnaissent pas dans cette bêtise.Le meeting de la réconciliation nationale a vu la participation de plusieurs milliers de personnes notamment des jeunes qui sont venus communier avec les artistes venus qui ont été invité pour que la fête soit belle.La jeunesse malienne est pour la réconciliation nationale qui est gage d’un pays plus prospère et équitable.

  25. Le meeting de la réconciliation avait pour but de faire comprendre aux populations maliennes que la paix et la cohésion sociale conditionnent tout développement.Il est donc nécessaire que les enfants du pays se retrouvent et débattent des problèmes du pays afin d’y porter des solutions.Quant à la marche de l’opposition ce n’est qu’une campagne en vue des élections à venir.On se réjouit que le peuple malien l’ait compris et n’a pas pris part à cette marche idiote.

  26. L’opposition malienne s’est rendue compte que les populations maliennes ne sont pas dupes.En effet les maliens ont compris que ces opposants ne faisaient que se servir d’eux pour mettre un discrédit sur le régime en place qui a rompu avec la mangécratie et qui travaille pour l’intérêt général de la nation malienne.Et cela n’est pas au goût de cette opposition qui se voit priver de sa part de gâteau.C’est ce qui explique toute cette agitation de ces opposants.

  27. Je pense vraiment que les populations sont maintenant informées des manipulations de l’opposition malienne.C’est pourquoi elles ne sont pas sorties pour cette marche de l’opposition qui a été un échec pour l’opposition malienne.Le peuple malien ne se reconnaît pas dans leurs revendications insensées et inopportunes.

  28. « …La première proposition n’a, à notre avis, aucune chance d’être examinée. Elle se ramène en effet à l’organisation d’une sorte de Conférence nationale au cours de laquelle seraient mis à plat les grands dossiers de la nation. Adhérer à un tel scénario reviendrait pour la majorité présidentielle à reconnaître explicitement son incapacité à produire les solutions idoines…. »
    Et pourtant Mr Drabo, cette proposition se realiserait , inevitablement, que la Majorite le veuille ou non. Il vaut mieux pour elle qu’elle se l’approprie sinon la rue et la situation ly forcerait, ce qui serait la pire des cas.
    « …Surtout que les chefs d’Etat cités n’ont jamais posé d’actes qui auraient laissé supposer une animosité persistante entre eux….. » Hum hum Mr Drabo, Quon le dise ou non, il y a une rancune persistance entre AOK et IBK
    » C’est pourquoi la majorité d’entre eux, sans taire leur amertume devant les difficultés persistantes, restent à distance de ce qu’ils perçoivent comme des radicalisations inappropriées. »Mr Drabo, une radicalisation « inapropriee » ici au Mali serait la consequence aussi de “l’autisme ” des gouvernants. Jamais dans l’histoire du Mali, on a vu des dirigeants aussi « suffisants que les presents. Une suffisance , qui ne repose que du faux, du mensonge et la malhonnetete.

  29. La réconciliation nationale est impérative à tout développement.Je pense donc que le meeting de la réconciliation nationale est plus la plus importante.Il faut donc que les maliens s’inscrivent dans cette logique de réconciliation pour faire avancer le pays.Quant à l’opposition et sa marche insensée ce n’est rien d’autre que d’attirer les projecteurs sur elle.Une marche qui n’a eu que la participation de quelques naïfs.

  30. De toute les façons nous sommes obligés de vivre ensemble.Une personne qui vous appelle pour parler de votre pays commun est plus raisonnable que celle qui te dit que tout va mal dans le pays et t’invite à une marche.Il faut donc faire la part des choses.Le meeting de la réconciliation nationale est très bien contrairement à cette marche insensée.

  31. Je pense que je suis plus pour la réconciliation nationale qui prône le vivre ensemble et qui va dans le sens de la cohésion sociale.Mais la marche de l’opposition était vraiment inopportune et sans fondement.Ces même gars qui ont mis ce pays dans le trou prétendent être le sauveur.Le peuple malien a compris leur manigance qui ne vise qu’à s’enrichir sur le dos des maliens.

  32. Marche de l’opposition malienne boudée par les populations maliennes.Meeting de la réconciliation nationale envahit par le peuple malien.C’est le constat qu’on a eu de ce samedi.Le peuple malien désavoue ainsi cette opposition qui a fait du bruit pour rien du tout.Le Mali continue sa marche vers la paix et la prospérité avec le président IBK.

  33. Sadou Diallo et Amadou koita; votre ATT personne ne l’empêche de rentrer au pays. Les portes du pays lui sont grandement ouvertes. C’est vraiment déplorable de voir des responsables se faire manipuler de la sorte. La plupart des personnes qui sont sortis ce samedi ne l’ont fait que pour la cause du retour d’ATT qui sait comment il est parti et c’est lui qui aussi qui sait comment revenir. Ouvrons un peu les yeux!

  34. Cette situation de prétendu dénonciation des tares de la gouvernance du président IBK et maintenant de marche est tout à fait facile à comprendre. Si l’opposition se lance dans ce genre d’actions; c’est tout simplement parce que le président IBK les a écarter de la gestion des affaires de l’état. C’est tout simplement parce qu’ils n’ont plus l’occasion de voler que ces derniers veulent nous faire croire que le président IBK est le pire président que notre pays n’ait connu sinon malgré sa pseudo mauvaise gouvernance que les opposants chantent sur tous les toits les progrès surtout économiques sont remarqués par les organisations internationales. C’est juste dire que c’est de la calomnie que ne saurait tarder à être découvert par le peuple.

  35. Au lieu de se lancer dans les querelles politiciennes et les débats d’intérêts et mettre les bâtons dans les roues de ceux qui tiennent le pouvoir; le plus bénéfique pour tous les habitants de ce pays n’est autre que la paix et la réconciliation car elle est la prérogative à toutes les autres actions humaines. Il faut que se message de réconciliation passé ce samedi soit entendu pour le bonheur du Mali.

  36. Les personnes qui participent à deux manifestations distinctes de ce genre ne savent pas ce qu’elles veulent pour elles-mêmes à plus forte raison pour le pays. Nous devons avoir des convictions et celles-ci doivent mettre en avant le MALI. Les manifestations donc qui vont contre le MALI comme celles de l’opposition dont les membres ne cherchent que leurs intérêts personnels doivent être boycottées car le pays n’en bénéficie aucunement.
    Merci à ce mouvement de la mouvance présidentielle qui a montré à ses opposants que s’ils n’aiment pas le pays; il y a des personnes qui aiment ce pays.

  37. Le meeting pour la réconciliation nationale est vraiment à saluer car si des personnes montrent qu’elles n’aiment pas ce pays; il faut qu’il y en ait d’autres qui montrent que ce pays n’est pas à brûler. Il faut donc en féliciter les initiateurs et leur demander de persévérer dans leurs actions.

  38. Le soutien de tout le peuple doit être indéfectible au président de la république qui se bat tant bien que mal pour sortir la tête du pays de l’eau. Gérer un pays qui sort de crise avec des tares accumulées de part et d’autres n’est vraiment pas facile et on se doit de l’aider dans sa tâche.
    Ce qui ne semble vraiment pas être le cas pour nos opposants qui ne cherchent que leurs intérêts personnels au détriment de celui du peuple. Le président de la république est dans la lancée pour satisfaire ses promesses et répondra aux attentes du peuple malien qui lui a accordé sa confiance. Il n’a pas trahi son peuple comme veulent nous le faire croire ces opposants véreux. Tous les pays ont des problèmes et s’ils ne peuvent pas aider à résoudre les nôtres; qu’ils nous fichent la paix.

  39. Il faut vraiment cette paix dans notre pays et nous devons tous y contribuer en tant que jeunes. La paix nous en profitons tous et c’est par l’action commune que nous parviendrons; la jeunesse en particulier. Nous pouvons défendre des idéaux politiques mais nous devons mettre l’accent sur le pays d’abord.

  40. Il faut vraiment saluer les responsables du comité Mali en marche car nous devons marquer notre soutien aux personnes qui travaillent pour nous afin qu’elles puissent se sentir conforter dans leurs positions et prendre les décisions qui s’imposent afin de nous offrir le mieux être.

  41. Cette marche de l’opposition n’était qu’une autre action pour nous distraire de l’essentiel qui est la construction du pays. Le président IBK sait ce que le peuple attend de lui car c’est sur cette base que le pouvoir lui a été donné.
    Des opposants qui parlent d’assises nationales quand ce sont eux les premiers à quitter les cadres de discussions établis par le gouvernement pour prendre en compte leurs points de vue.
    Pour leur information; les FAMAs ne font plus de replis stratégiques aujourd’hui par manque de munitions; c’est sous le président IBK que nos FAMAs reçoivent le meilleur traitement salarial et des équipements à hauteur de souhait. Que Soumi et sa bande arrête de nous distraire. Malgré la crise le pays fait des progrès au plan économique. Si le gouvernement était dans l’immobilisme ; nous n’aurions pas tous ses résultats.

  42. En ces moments de crise pour notre pays; la priorité devrait être accordée à la réconciliation car sans elle rien de solide ne peut être construit pour le pays car les marches comme celle de l’opposition ne sont de nature qu’à accentuer la fracture sociale. Chose dont le pays n’a nullement besoin en ce moment. Nous devons nous mettre ensemble pour construire notre pays; c’est en cela que nous gagnons tous.

  43. De sources sûres et bien introduites, il nous revient que les opposants au régime, sentant le degré de leur impopularité à Bamako, ont dépêché des centaines de SOTRAMA (transport commun) à des zones périphériques de la capitale, notamment Tienfala pour ramasser les exploitants de sable, les femmes et jeunes désœuvrés et de gonfler leurs rangs, à charge de revanche. Sur les lieux de la marche, certains d’entre eux se plaignaient même du retard du paiement de la chose convenue, car voulant regagner vite leurs localités respectives à la quête du complément de la pitance journalière.

  44. 20 ou 25 mille personnes, selon les estimations, mais il s’agit pour sûr d’une performante jamais atteinte par un parti ou coalition d’opposition, ont pu se réjouir les initiateurs de la marche qualifiée d’action pacifique de l’opposition républicaine. 😎 😎 😎 😎 😎 😆 😆 😆 😆 😆 😆
    Tu étais aveugle vraiment pour savoir que c’était à peine 1000 malgré le décaissement des 180 millions et l’appel incessant aux imams qui ont décliné l’offre même si ils ont pris l’argent

  45. Regarde combien de fois ils sont ridicules. Les investisseurs ont confiances car le président IBK est digne de confiance et un grand réformateur c’est pourquoi nous avons atteint les 6 %.
    Ces opposants sont de mauvaise foi sinon ils savent bien que le président est capable de développer le Mali. Tous les faits montrent tels les routes, l’électrification des villages, usines, emplois, équipements des militaires. Ils n’ont rien à dire
    Que Tiébilé aille payer sa facture à l’Edm et Somagep. Des voleurs qui crient au vol et à la corruption

  46. Une vraie honte à l’URD et ses satellites. Ils savent bien qu’ils ne peuvent rien contre le pouvoir IBK. Ils pensaient qu’ils pouvaient faire partir le président avec leur marché. Des vieux guignols qui se sont faits noircir par le soleil. Rien qu’un groupe d’opportunistes et voleurs qui mentent au peuple.

  47. Le Mali a été 2 ème pays entreprenant et réformateur sous régional après la Côte d’Ivoire. Ils en veulent au président car ils ont été écarté à cause de leur mauvaise foi et détournement.
    Ils veulent manger avec tous les pouvoirs donc il faut comprendre leur haine car ils sont capables de tout pour destituer ce pouvoir mais ils ne pourront jamais car le peuple a compris leur jeu d’où le boycott de leur marche.

  48. Qu’est ce que cela peut donner si on envoie des Sotrama pour ramasser des vendeurs de sable pour combler le vide. Malgré cela n’a pas été atteint avec 5000 par personnes. Si c’était la vraie le peuple adhérerait à la cause sans argent mais il se reconnait pas à cette lutte de Soumi et sa bande.

  49. le meeting de réconciliation et de paix est salutaire car il vise à réunir le peuple malien de toute la classe politique et sociale malienne. il faudra multiplier ces genres de meeting afin que tous comprennent qu’il est important de s’unir, de regarder dans la même direction, se pardonner afin de construire le pays pour un avenir meilleur pour nos enfants.

  50. Je pense que le coût de cet article vaut ton loyer et ta popote mensuel pour oublier que cette marche a été un échec. Malgré les sommes versées aux jeunes, ils se sont désolidarisés de leur idéologie de semeur de trouble.

  51. C’est une opposition sans programme donc je ne sais pas ce qu’elle peut bien proposer au pouvoir pour faire avancer les choses. Elle ne facilite pas le dialogue avec la majorité présidentielle pour la mise en place d’une plateforme d’échanges.

  52. Pour l’honneur du pays le président IBK avec la ferme volonté et l’engagement à bâtir un Mali nouveau, un Mali émergent, joue avec sa sagesse et la diplomatie pour arriver à ses fins et aujourd’hui nous pouvons dire Dieu merci car avec le régime IBK, la corruption a été ralenti, nous avons une armée opérationnelle, nous assistons à la croissance économique, des projets d’insertion et les nominations sur des bases strictes et j’en passe…….Nos incapables opposants n’ont pas de propositions à faire pour l’amélioration des conditions de vie du peuple malien, pour le développement du pays et ils se permettent seulement de crier mauvaise gouvernance sans proposer.

  53. Il faut dire que l’opposition pense que lorsque nous sommes à l’opposition il faut s’opposer à tout. Il n’est pas mauvais de s’opposer mais on s’oppose à des reformes qui n’arrange la vie de la nation tout en apportant des solutions mais on ne s’oppose pas des reformes qui arrange le pays à cause de nos propres intérêts. Moi je pense que lorsque tu t’opposes tu es en mesure d’apporter quelque chose de nouveau. Mais c’est dommage de voir des opposants maliens qui s’opposent à tout alors qu’ils n’ont pas d’idée. Il faut dire l’opposition malienne est très nulle.

  54. Certes il est vrai que nous sommes dans l’opposition mais pensons un peu à ceux qui sont derrière nous. Il ne faut pas être prisonnier de l’opposition en voyant tout en mal. Main dans la main nous vaincrons l’ennemie. Soutenons les actions du président même si nous sommes opposant car c’est pour la nation. Des personnes ont passé à la tête du pays et continueront de passer, aujourd’hui c’est le tour du président IBK donc nous devons l’aider afin qu’il donne un plus à la vie de la nation.

  55. pour les laisser des personnes comme ce voleur de Soumi qui s’est permis le pays ne pourra jamais s’en sortir il a :
    – décaissé 50 millions pour l’organisation de cette marche et ses camarades vautours 15 millions, ce qui est officiel
    -et Soumi pour avoir du monde (les 100 000 personnes attendues) il a été obligé de décaisser 120 millions pour la mobilisation car il comptait sur la participation des religieux et autres comme il le fait d’habitude avec 2000 francs par personnes pour sa participation à la marche pour montrer aux yeux des gens qu’il est populaire.
    mais le peuple malien a boycotté cette marche qui n’avait pas sa raison d’être. Bravo à vous peuple malien pour votre sagesse et ensemble nous devons soutenir les actions du président IBK car c’est en lui que nous avons mis notre confiance.

  56. ATT a déjà tout mélanger grâce a sa mauvaise gestion.C est du passé,maintenant c est le temps du président IBK donnons nous la main pour pouvoir bien redresser ce pays sur ces pieds.

  57. je pense que il y a pas grand chose a tirer de cette mobilisation de opposition ils ont seulement a réussir a faire sortir des gens pour marcher et montrer leur mécontentement au monde entier.C est leur droit mais il vaut mieux qu’ils savent aussi que personne d’autre ne viendra construire ce pays a notre place.

  58. La gestion d’un pays en pleine crise n’a pas facile même si c’était l’opposition qui était au pouvoir nous serons dans la même situation ,même peut être plus pire en ce moment.Heureusement nous avons fait le bon choix pour IBK qui est la tête de cette nation.

  59. Cette marche n’a eu aucune importance apparemment dans l’état actuel du Mali nous voulons que la paix et la réconciliation dans notre pays.Si ce n’est que pour créer plus de désordre dans notre pays, je ne vois pas son intérêt de cette marche du 21 mai.

  60. il faut dire que la signature des accords étaient la bienvenue en ce moment car notre armée n’était pas équipée car on pouvait voir des soldats sans chaussure ni gilets et pas assez de munition pour aller combattre contre des chiens enragés et armés jusqu’aux dents. aussi les accords de paix sont sensés à ramener la paix au pays mais avec la mauvaise foi des groupes armés nous sommes encore à ce stade.

  61. Ramener la paix et la réconciliation nationale dans un pays n’est pas quelque chose de facile du tout donc admettons que le gouvernement est entrain de fait tout son possible pour pouvoir ramener la paix au pays.

  62. je crois que ceci n’est le souhait de personne dans ce pays mais nous avons pas le choix.Notre pays en crise c’est la raison pour laquelle l état malien est en train d’explorer toute cible possible pour le retour de la paix et la stabilité.Et si l’opposition veut mettre du bâton dans les roues du gouvernement.

  63. Nous savons tous très bien combien de temps les maliens ont passé avec ses ex rebelles pour pouvoir trouver un accord pour que la paix et la réconciliation puisse revenir sur nos terres.Chaque partie a été oblige revoir ou de sacrifier certains de ses principes auxquels ils tenaient beaucoup.
    N’oublie pas cela.

  64. si ATT n’avait pas permis aux combattants venus de Libye s’installer sans les désarmer, la situation que nous vivons actuellement n’allait pas arriver. ATT est à la base des malheurs qui frappes aujourd’hui le pays car en tant qu’un Général et Chef d’Etat il ne devrait pas laisser des soldats lourdement armés s’installés sans le désarmement.

  65. Les problèmes du mali se sont aggravés en 2012 et il faut dire que la France n’avait pas joué franc jeu lors de l’opération serval qui avait permis à la France d’avoir la main mise sur la ville de Kidal et l’armée malienne pouvait s’installer tranquillement. Mais aujourd’hui Kidal est la base de la CMA par la faute de la France.

  66. Je suis sûr d’une chose si toutes les oppositions des pays autres faisaient de la même manière comme la notre.Il n y aurai plus question des partis d’opposition dans ces pays là.

  67. Il y a une chose que l’opposition doit savoir, c est que le fait de faire partir de l’opposition ne veut pas dire que vous êtes des ennemis du pouvoir,qui feront tout pour nuire a ce gouvernement en place car en essayant de faire du mal a ce régime en place vous le faites a toute la nation.

  68. J’ai vraiment peur de ce genre de situation dans ce pays.Parce que grâce a ses genres de manifestations qui plonge le pays dans ce que nous avons vécu de 2012 à 2014 nous n aimerons guère que ces moments arrivent encore l’histoire de notre cher patrie.

  69. Une vraie opposition est celle qui sait faire les choses au bon moment. Je n’en disconviens pas avec le fait que l’opposition soit optimiste pour la mal gouvernance sous Ibrahim Boubacar Keïta.

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