L’avenir politique au Mali : Les Signaux Nouveaux

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L’opinion attendait certainement plus, le dernier remaniement comporte pourtant quelques enseignements intéressants

On connaît la fameuse formule : une élection présidentielle est principalement la rencontre d’un homme et d’un peuple. En prolongeant cet axiome difficilement discutable, on pourrait définir le mandat présidentiel comme le dialogue au long cours entre un homme et un peuple. On pourrait aussi considérer que l’échange pour rester bénéfique à chacune des deux parties doit pouvoir très souvent s’extraire du formalisme imposé par le cérémonial institutionnel.

Chez nous, l’une des occasions pour le chef de l’Etat de prendre le pouls de la nation, de percevoir la respiration du pays profond est offerte par les cérémonies de présentation de vœux à l’occasion de l’année nouvelle. L’événement n’a certes pas la capacité de tendre au président de la République un tableau absolument exhaustif des attentes et des espoirs, mais aussi des inquiétudes, voire des griefs des citoyens. Mais pour peu que certains interlocuteurs s’autorisent un vrai effort de sincérité et sachent trouver les mots justes pour dire leurs vérités, la cérémonie peut prendre date dans le calendrier national.

Sans vouloir désobliger en aucune manière les intervenants actuels, nous nous permettrons de regretter que le vide laissé par la disparition de Mgr Luc Sangaré n’ait pas été entièrement comblé. Le défunt prélat avait le don d’allier dans ses adresses le diagnostic incisif, la formule chirurgicale et la métaphore définitive. Il affichait aussi l’impassibilité de celui qui s’investissait dans le devoir de transmettre des vérités indispensables dans une extrême courtoisie, mais sans déroger à la plus scrupuleuse netteté. A bien considérer les choses, on s’aperçoit qu’aucune personnalité n’a véritablement cherché à porter aussi haut le flambeau, comme si le passage à la démocratie avait rendu superflue la fonction de vigie morale. Rien de plus inexact, serions-nous tentés de dire. On a en effet vérifié à loisir les dégâts causés ces dernières années dans notre pays par l’unanimisme et par les discours euphorisants.

 

DANS LES CHOIX ESSENTIELS.

Depuis deux ans cependant, le président du Haut conseil islamique s’érige en héraut de la remontée des opinions populaires et de certains malaises sociaux. Dans cet exercice, il fait souvent mouche en usant de son réel franc-parler, mais de par la difficile fonction qu’il exerce, il lui reste encore à se tailler une stature inattaquable. A défaut de grande voix, l’indiscutable nouveauté a été apportée cette année par l’invitation de participation faite aux opposants par le président de la République. Il était donc intéressant d’observer aussi bien le ton que choisirait d’adopter Soumaïla Cissé, chef de file de l’opposition et procureur logique de la gouvernance actuelle, et la tonalité de la réponse du chef de l’Etat.

Le leader de l’URD fut dans le contenu de son intervention tel que l’on l’attendait : extrêmement sévère dans son diagnostic, implacable dans ses dénonciations et pressant dans ses appels au changement. Dans la forme, Soumaïla Cissé ne dérogea pas non plus au style qu’on lui connaît. Son intervention ne manquait ni de souffle, ni de piques, tout particulièrement en direction de ceux qui investissent l’essentiel de leur énergie dans le discrédit de l’opposition. A l’opposé, il tint à rendre hommage au « patriotisme parfois à fleur de peau » du chef de l’Etat, tout comme il insista sur le fait qu’avec ce dernier, il avait « en partage le pays, le Mali ».

La réponse du président de la République s’inscrivit, elle également, dans une double tonalité. Le ton fut tranchant et offensif pour rappeler que les difficultés qu’affronte actuellement le pays ne datent pas de 2013 et que beaucoup de ses critiques ont leur part de responsabilité dans la survenue de ce qui a tourné au désastre national ; pour aussi déplorer que certaines attaques supposées politiques ont en fait ciblé délibérément et sans raison son honneur et sa dignité ; et pour assurer enfin que le peuple malien n’étant « pas léger dans ses choix essentiels », il a, en tant que président élu et exerçant toutes ses responsabilités régaliennes, un « souci réel de corriger ce qui doit l’être ». Mais Ibrahim Boubacar Keïta, qui d’emblée avait souligné que notre démocratie n’était pas factice, s’est également posé en conciliateur en renouvelant et en précisant deux propositions déjà faites lors de sa tournée dans la Région de Ségou : celle d’une concertation plus poussée et systématique avec l’opposition sur les grands dossiers de la nation et celle d’un recours aux expertises disponibles sans considération d’appartenance partisane.

L’HALLALI MÉDIATIQUE

 . Deux facteurs rendent aux yeux de Ibrahim Boubacar Keïta ces options incontournables. Tout d’abord, le devoir qu’il a en tant que président de la République de (selon sa propre formule) nécessairement « privilégier tout ce qui rassemble et qui unit ». Ensuite, la situation de post crise qu’affronte notre pays et qui exige « un effort collectif pour redresser l’autorité de l’Etat ». Le chef de l’Etat s’est toutefois voulu précis. Il s’agit pour lui non pas de préconiser une quelconque union sacrée, formule qui, à son entendement, s’appliquerait à une nation se trouvant dans une situation désespérée. Mais d’avancer avec « ceux qui croient dans le Mali ». A ses partisans de la majorité présidentielle qui exprimaient le souhait d’être « un peu plus écoutés », Ibrahim Boubacar Keïta a renouvelé sa reconnaissance aux compagnons qui avaient cru en lui au moment où sa victoire à la présidentielle relevait de l’improbable perspective. Mais il n’a pas manqué de renouveler sa déception d’avoir été dans l’exercice de sa charge insuffisamment soutenu par son propre camp.

Faut-il inscrire le remaniement ministériel intervenu 72 heures après ces prises de positions dans la suite immédiate de celles-ci ? Pas tout à fait. Les changements survenus relèvent plutôt de la volonté présidentielle de procéder à une indispensable mise au net. En effet, les informations faisant état de l’octroi de logements sociaux à des proches du Premier ministre avaient accentué l’hallali médiatique contre le chef du gouvernement. Nous disons « accentuer », car plusieurs confrères avaient auparavant évoqué un supposé engagement de Modibo Keïta de se retirer à la fin de l’année 2015. Comme il fallait s’y attendre, les effets collatéraux de cette poussée de fièvre ne se sont pas fait attendre et les scénarios de succession à la tête du gouvernement ont naturellement prospéré.

Or, deux éléments méritaient d’être pris en considération pour comprendre la tournure prise finalement par les événements. Primo, sur le dossier des logements sociaux le Premier ministre s’était expliqué en toute franchise avec le président de la République. Il avait démontré la totale absence de son implication personnelle, mais avait tout de même présenté sa démission à Ibrahim B. Keïta. Une attitude dont le Président avait su gré à son interlocuteur. Secundo, des indices existaient effectivement qui laissaient présumer que le chef de l’Etat a entamé une réflexion sur les performances du gouvernement et sur les changements profonds à apporter au fonctionnement de l’Exécutif. Mais rien n’indiquait qu’il l’avait bouclée en intégrant notamment les modifications induites de la mise en application de l’Accord pour la paix. Par contre, connaissant le tempérament du président Keïta, on pouvait imaginer celui-ci prodigieusement agacé (pour ne pas dire plus) par tout le battage fait autour d’une succession « primatoriale » qu’il n’avait pas décidée et par la léthargie que l’incertitude engendrait dans l’Administration publique.

Le président de la République a donc opté pour un assainissement immédiat de l’atmosphère de travail gouvernemental. Il a tranché dans le vif en mettant à l’écart un poids lourd (Bocary Tréta) et une personnalité qui se positionnait en étoile montante (Mamadou Igor Diarra). L’ancien ministre du Développement rural paie pour plusieurs torts. D’abord, celui de n’avoir jamais fait mystère, ni de n’avoir jamais renoncé à son ambition de diriger l’équipe gouvernementale. Cela en excipant de sa qualité de Secrétaire général du RPM, parti au pouvoir. Or l’éventualité de sa nomination sur cet unique critère ne s’appuyait ni sur une prescription constitutionnelle, ni même sur une jurisprudence liées aux pratiques présidentielles antérieures. Elle contredisait donc d’une certaine manière la latitude qu’ont conservée depuis 1992 tous les présidents de la IIIème République de se donner le Premier ministre de leur choix et de leur convenance.

LE TIERS RECOMPOSÉ.

Bocary Tréta a aussi commis la maladresse de s’être laissé présenter en plusieurs circonstances comme le gardien du temple, garant d’un fonctionnement orthodoxe du parti des Tisserands face à des ingérences externes. L’ancien ministre paie enfin le traitement peu satisfaisant des polémiques nées des affaires embarrassantes qu’ont été celles de l’acquisition de lots d’engrais frelaté et de l’achat des tracteurs. Le président Ibrahim Boubacar Keïta a longtemps préféré ne pas créer de remous au sein de sa formation en sanctionnant l’un des barons de celle-ci. Mais la récurrence des ambitions « primatoriales » prêtées à son ministre a certainement lassé sa patience.

Cette même patience a été incontestablement éprouvée par ce qui s’assimilait à une intense campagne d’autopromotion lancée au cours des derniers mois par le ministre de l’Economie et des Finances. Cela alors même qu’au sein des différents services se faisaient entendre de plus en plus fort les récriminations contre le comportement à la hussarde du chef du Département et surtout son déni des difficultés qui s’accumulaient. Mamadou Igor Diarra donnait la sensation d’être sorti de son rôle de « ministre technique » et de se prédestiner explicitement à une fonction plus importante.

Le remaniement du 15 janvier dernier laissera certainement sur sa faim une bonne partie du grand public. En effet, ce dernier ne faisait pas mystère de son souhait d’un changement d’une plus grande ampleur. Il ne cachait pas non plus sa préférence pour une équipe plus réduite et plus homogène. Pourtant, les modifications survenues sont plus significatives que beaucoup ne le pensent et elles se reflètent tout particulièrement dans le nouvel ordre de préséance. Contrairement à une coutume établie, celui-ci ne s’est pas modifié cette fois-ci de manière mécanique par une montée en grade des ministres par ordre d’ancienneté. Dans son premier tiers recomposé, le nouvel Exécutif indique clairement les urgences de l’heure : la reconstruction du pays et singulièrement de notre Septentrion, le rétablissement de la sécurité sur tout le territoire national, la promotion de la réconciliation, l’accentuation du plaidoyer en direction de nos amis et partenaires de l’extérieur, la conduite des réformes induites dans l’Accord pour la paix, l’amélioration de la gouvernance économique, la lutte contre la corruption, la mobilisation de la diaspora malienne et la mise sur le secteur agricole.

L’accent mis sur ces objectifs a assuré une promotion fulgurante à certains départements qui font des gains de quatre à huit places par rapport à l’ordre de préséance établi dans le gouvernement du 24 septembre 2015. Les priorités ainsi affichées font écho au diagnostic dressé par le chef de l’Etat trois jours plus tôt et les avertissements lancés par lui. Des dangers extrêmes sur l’ampleur et la nature desquels il ne faut pas s’illusionner demandent à être combattus dans la plus grande détermination. De fortes espérances des populations quêtent toujours des réponses satisfaisantes et attendent qu’on s’attelle avec abnégation à les satisfaire. Face à de tels impératifs, les jeux d’ambition et de positionnement n’ont guère pesé.

G. DRABO

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87 COMMENTAIRES

  1. Le chef de l’Etat s’est toutefois voulu précis. Il s’agit pour lui non pas de préconiser une quelconque union sacrée, formule qui, à son entendement, s’appliquerait à une nation se trouvant dans une situation désespérée. Mais d’avancer avec « ceux qui croient dans le Mali » 😉 😉 😉 😉 😉
    Le président de la république a une très bonne vision pour notre pays parce qu’ayant été responsables de plusieurs domaines.
    Cependant, il ne bénéficie plus depuis un certain moment de l’apport de certains collaborateurs avec lesquels il avait l’ambition de réaliser son ambition pour ce pays pour de simple questions de leadership au niveau du gouvernement. Il est acculé de toute part par des détracteurs prétendant qu’il n’a pas de vision pour le pays. Situation qui je penses à susciter ce recadrage gouvernemental afin que les choses puissent bouger pour le bien de la population. Chose à laquelle nous devons osez y croire et de notre modeste contribution y participer.

  2. Il y a vraiment de personnes dans ce pays qui sont la mauvaise foi incarné. Soumaïla Cissé se joue les étrangers à la situation que connait notre pays. Notre pays était couché depuis belle lurette et le président IBK à travers ses actions tentent tant bien que mal de ficeler son développement.
    Nous ne devons pas être sans ignoré qu’un pays qui sort de crise est toujours sujet à des situations d’insécurités résiduelle. La condition première pour que le pays soit totalement sécurisé est la mise en œuvre de l’accord de paix; chose que le gouvernement en fait sa priorité.
    Alors au lieu de toujours dénigrer il ferait mieux de participer à la promotion de cette paix qui profite à tous.

  3. Le gouvernement actuel peut être provisoire mais cela ne doit pas être un frein à la conduite des affaires du pays. Les ex-rebelles peinent à trouver leurs représentants qui feront parti du gouvernement. On ne peut donc pas tout bloquer indéfiniment pendant que le pays doit vivre.

  4. Les Maliens devraient se donner la main pour bâtir ensemble le Mali.
    Comme dit un célèbre adage que l’union fait la force.
    Compte tenu de la devise du Mali, un peuple, un but ; une foi, les Maliens sont tous les mêmes alors donnons-nous la main pour renforcer cette devise et faire renaître le pays qui a trop souffert.
    Vive le développement, Vive le peuple malien; Vive le président IBK

  5. Je crois que les prérogatives pour qu’un pays puisse se développer sont d’abord la paix et la stabilité politique et je crois que nos plus hautes autorités à savoir le président de la république et le premier ministre en sont conscientes et feront tout pour mettre en œuvre l’accord de paix pour que le pays soit réunifié, sécurisé dans son ensemble afin que le développement réel puisse être amorcé.
    Aussi, on peut remarquer qu’il y a eu quelques avancées malgré tous les problèmes que le pays à connu.

  6. Le premier ministre Modibo kéïta est un grand homme qui connait les aspirations des populations de ce pays car ayant servi dans plusieurs domaines et pendant de longues années. Son programme montre qu’il a une belle optique de développement pour pays. Mais celui-ci ne semble pas depuis un certain bénéficier de l’aider politique de certains membres du gouvernement et de certaines personnes véreuses qui veulent toujours marquer sa gestion du sceau de l’échec à travers des campagnes de dénigrements et de désinformation à son endroit ce qui n’est pas du tout normal pour un pays qui sort de crise et qui a besoin de la compétence de tous ses fils.
    Nous devons donc l’aider avec le président IBK à apporter d’abord la paix, la justice dans notre pays et l’essor économique que nous attendons tous.

  7. Le premier ministre Modibo et son gouvernement ont devoir de résultats et je crois qu’ils ne décevront pas le peuple. Nous devons savoir aussi qu’il n’est pas très aisé de reconstruire un pays qui sort d’une crise multidimensionnelle et multi-sectorielle. Mais avec la vision qu’il a pour le pays il doit pouvoir y arriver et on doit croire en lui. La résolution des problèmes de notre pays passe aussi par la mise en œuvre de l’accord de paix pour lequel un comité de suivi national vient d’être mis en place et dégagera les voies et moyens pour que celui-ci ( l’accord de paix) ne connaisse plus de blocages afin que nous ayons la paix, socle du développement.

  8. De grands défis attendent le premier ministre Modibo et son équipe gouvernementale. Partant de la réunification du pays à la réduction de la pauvreté en passant par la lutte contre la corruption.
    Les défis sont énormes mais je crois que si le premier ministre bénéficie du concours de toutes les personnalités de ce pays et des membres de son gouvernement; il pourra atteindre ces objectifs.
    Au delà du conseil des ministres il peut même établir un cadre où les ministres communiqueront avec les populations sur leurs activités afin que le peuple soit imprégné du travail qui est fait et donner son appréciation et préconiser des solutions.

  9. Des gens comme SOUMAILA ne méritent pas d’être un chef, car c’est un individu mal intentionné, il souhaite toujours la dissolution du gouvernement, mais malgré tout cela IBK et son gouvernement restera toujours le meilleur.

  10. Entant que le chef de fil de l’opposition, il devrait chercher à résoudre le problème dont le pays confronte, le seul problème qui existe au sein du gouvernement est l’œuvre des opposants et certains journalistes qui ne souhaitent pas le développement du Mali. SOUMAILA CISSE EST UN EXEMPLE DE CELA.

  11. Le jour ou SOUMAILA CISSE et TIEBILE DRAME dirons du bien sur le régime en place, c’est ce jour ou l’humanité prendra fin, on vous rassure que SOUMAILA ne serais jamais président de la république du Mali.

  12. Pauvre SOUMAILA CISSE, la lutte contre les terroristes est différente à la lutte contre les bandes armées, les différents attaquent et les violences du pays ne sont pas dues autorités du pays, car l’Etat a mis tous les moyens disponibles pour renforcer la sécurité du pays.

  13. Le président IBK a tout à fait eu raison de faire confiance au PM Modibo Kéïta.
    En effet,depuis sa nomination à ce poste, cet homme ne fait que montrer sa grande capacité de gestion des affaires de l’État et cela est très bénéfique pour notre pays.
    Merci au président d’avoir fait confiance à ce grand homme.

  14. Le président IBK n’a pas limogé Tréta et Igor pour faire plaisir à qui que ce soit. Comment comprendre que des personnes veulent prendre en otages une institution aussi importante qu’est la primature pour une question de parti politique. Bien que le premier ministre Modibo n’est pas membre du rpm; il travaille pour ce pays et il est donc inadmissible que des personnes comme lui mettent les bâtons dans les roues fut-ils secrétaire général du parti au pouvoir. Toute personne qui a des compétences reconnus doit pouvoir les mettre au profil du pays sans distinction aucune.
    Le Mali n’appartient pas au rpm encore moins à tréta, de la même manière IBK n’est pas le président de rpm mais de tous les Maliens.

  15. Le Président IBK s’est vraiment investi dans la recherche de la paix depuis son élection comme il l’avait promis.
    son engagement a eu plusieurs résultats sur le terrain dont notamment les patrouilles mixte avec les pays voisins à nos différentes frontières.Cela a considérablement contribué à la réduction de la criminalité transnationale et nous ne pouvons que nous en réjouir.

  16. En effet, l’exigence de transparence dans la gestion des affaires publiques qui est devenue une réalité avec le mouvement de démocratisation et la volonté des autorités de réaliser des résultats économiques en termes de développement, ont constitué les faits déclencheurs de ce combat contre le crime économique. Vraiment IBK est à saluer.

  17. Dès son élection à la présidence,le président IBK a dégagé les grandes lignes de son action pour que les maliens sachent où on va avec lui.
    Et depuis lors,il fait tout son possible pour rester dans sa ligne de conduite avec son gouvernement.
    C’est ce qui lui permet de bien travailler pour avoir les bons résultats que nous connaissons tous.
    Bonne continuation à lui…

  18. Le président de la république est venu au pouvoir pour le bonheur des Maliens, alors tous ceux qui cherchent à rendre la situation plus difficile vont tous payer selon les degrés de leurs actes.

  19. Entant que fils digne de cet pays, nous devrions tous se souciés l’avenir de cet pays, alors il faut réellement que la population se mobilise pour défendre le régime en place, car il est en train de faire tout ce qui est à leur pouvoir pour le bonheur des Maliens.

  20. J’ai toujours eu confiance à nos autorités, car ils sont en train de faire tout pour que la paix revienne au Nord, nous avons un gouvernement capable de faire sortir le Mali dans cette situation, le président IBK a fait tout son mieux pour un Mali meilleur

  21. Tout ce que le président IBK a pu réaliser en moins de trois ans doit rassurer les maliens.
    En effet en seulement deux années à la tête du pays,ce monsieur a réussi relever des défis très importants qui ont permis à notre pays faire surface.
    Nous lui souhaitons bonne chance avec ce nouveau gouvernement.

  22. Dans tous les cas nous savons que les opposants véreux ne cesseront jamais de critiquer la politique du président IBK et de sont Premier Ministre.
    Mais les maliens qui ont un peu de bon sens savent que c’est une équipe qui fera tout pour donner une meilleure vie aux maliens.
    Bonne chance à vous…

  23. Le Président IBK est conscient de l’immensité de la tâche qui lui incombe et je suis certains que tous les membre du gouvernement en sont instruits pour que toutes les forces convergent vers un seul et même objectif pour le développement de notre pays…

  24. Le président IBK est un homme d’expérience.
    A ce titre nous avons confiance en lui et en ses choix pour conduire notre pays vers un avenir plus radieux pour le bonheur de tous les maliens.

  25. Vu ce que le PM Modibo a comme bilan,nous pensons que ce nouveau gouvernement est sur la même lancée pour sortir le pays du trou.
    En effet,nous avons constaté avec joie que le bilan de l’année 2015 a été largement positif et cela est à mettre aussi à l’actif du PM et de son gouvernement et cela nous donne confiance pour l’avenir.

  26. Le chômage sous l’ère IBK a baissé d’un cran. En effet, lors de son accession à la magistrature suprême a décidé de faire son cheval de bataille le chômage des jeunes à travers la création de 200 000 emplois. Et en deux ans, il a créé 81 000 emplois. Ce qui est à féliciter et à encourager.

  27. Pour ma part, mes concitoyens doivent comprendre une chose, c’est que nous venons de loin. Et le président a plus que besoin de nos soutiens pour faire avancer les choses. C’est pas du tout facile pour un pays qui revient d’une crise multidimensionnelle et sectorielle de se retrouver très rapidement. Mais avec la volonté de tous, nous y parviendrons.

  28. Je pense que l’intervention du président lors de cette rencontre est très sage. Cela démontre la grandeur de l’homme. J’appelle mes concitoyens à soutenir le président car c’est l’homme qui faut sortir le pays de son état actuel.

  29. Je pense que la population doit comprendre une chose,c’est que nous revenons d’une crise militaro-politique qui a fragilisé le pays. Donc, les choses peuvent pas aller comme sur des roulettes. Il faut confiance à IBK et son gouvernement et je pense qu’ils ont besoin de nos soutiens pour sortir le pays dans sa léthargie.

  30. Le RPM doit comprendre que le président sait ce qu’il veut. Ce parti doit savoir qu’il n’a pas porté le président IBK pour venir se remplir les poches mais pour travailler.
    Si Tréta est parti c’est qu’il ya une belle raison et il peut être appelé pour d’autre mission. Ce n’est pas seulement ministre qu’on peut servir son pays

  31. Je pense que pour la question sécuritaire, le président a été toujours soucieux de la sécurité des personnes et de leurs biens. Et à cela, il a promis d’équiper les forces armées. Il a déjà fait parlé son cœur en leur donnant un hélico. En plus, l’adoption de la loi de programmation militaire en est une preuve de cette volonté à doter nos forces de moyens efficaces contre le terrorisme. Comme la si bien dit le président, le pays revient de loin, pour ce faire, il faut le concours et le soutien de tous pour que le pays retrouve sa place dans le concert des nations.

  32. Le problème pour vous les journalistes maliens, est que vous manquez de formation de journalisme à proprement dit. Vous avez tant clamé ce remaniement, il est fait pourquoi nous fatiguer avec de tels articles à la con.
    Ils ont failli en quelque sorte à leur mission sinon ils resteraient à leur poste

  33. A mon avis, le Mali revient d’une crise militaro-politique qui a fragilisé le tissu social. Pour recoudre ce tissu social, il faut de la part de tout un chacun une volonté ferme car on ne peut avoir la paix et la réconciliation que si nous nous donnions les moyens pour y parvenir. Et cela réside dans notre état d’esprit et l’acceptation de l’autre tel qu’il est sans distinction de race et d’ethnie.

  34. Pour ma part, je pense que le défi de la paix et de la réconciliation nationale n’est pas la seule affaire du président de la république. A quoi serviraient les efforts du président en faveur de la paix et la réconciliation si nous populations sommes pas préparées à celles-ci ? Donc à mon avis, ce challenge est l’affaire de tous. Et le président fait bien de le rappeler car nous venons de loin.

  35. Contrairement à d’autres opinions avancées concernant le bilan du président en deux ans de gestion , je pense qu’il est satisfaisant. Certes, beaucoup d’efforts ont été consenti pour le retour de la paix et de la sécurité, mais de nombreux défis nous attendent notamment l’application intégrale de l’accord d’Alger. Et, j’ai foi car les parties signataires ont toujours montré leur bonne volonté pour son application. Je souhaiterais que l’opposition emboîte les pas du président pour une sortie de crise réussie.
    QUE 2016 SOIT POUR NOTRE PAYS, L’ANNEE DU RETOUR DE LA PAIX DEFINITIVE !

  36. Il est bien qu’il ait reconnu qu’IBK est un démocrate qui a donné la chance à l’opposition de s’exprimer en lui accordant certaines prérogatives. Le président est accusé par des faits injustifiés. Il n’a jamais outrepassé les lois pour faire passer quiconque.

  37. Les actions de développement menées par IBK sont nombreuses et sont à encourager car sans paix tout projet de développement est un échec. IBK a mis un point sur la lutte contre la corruption, la création d’emploi pour les jeunes.

  38. Moi, je pense que l’arrivée du président IBK au pouvoir a été très important pour notre pays car il vivait une crise qui l’a plongé dans le gouffre. Mais grâce à son dynamisme et son dévouement a relevé le pays, il a donné de l’espoir au peuple avec la signature d’un accord de paix. Certes, cet accord peine a rentré dans sa phase de mise en oeuvre, mais force est de reconnaître qu’il est un moyen de restaurer la paix et la réconciliation nationale. Par conséquent, il faut les encouragements et le soutien de tous pour que nous consolidions les acquis et avancions dans sa mise en oeuvre effective. Que les opposants véreux laissent leurs intérêts mesquins au profit de l’intérêt du Mali. Car le Mali est notre bien commun donc nous n’avons pas intérêt à ce qu’il sombre davantage.
    VIVE LE MALI ! ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗

  39. Une opposition qui cherche coûte que coûte à mettre des bâtons dans les roues du pouvoir. Ils voient le mal partout et n’ont jamais tenté d’apporter de bonnes initiatives, des propositions de gestions adéquates. Que peut -on donc attendre d’une telle opposition ?

  40. Si les maliens ont accordé leur vote à IBK c’est qu’il est l’homme qui peut aider véritablement le Mali pour son développement effectif. A travers ce discours,nous lui réaffirmons notre confiance afin de réaliser tous ces projets de grande portée pour notre pays

  41. Il ne faut pas se voiler la face, IBK est un travailleur infatigable qui veut le meilleur pour le Mali. C’est pourquoi il n’a jamais cesser de chercher les fonds afin de développer ce pays qui a tout perdu du fait de la crise. Nous pensons que nous sommes sur la voie du développement. Inch’ALLAH

  42. La paix est l’un des facteurs de développement d’un pays. C’est pourquoi le président Ibrahim Boubacar Kéita a donné une chance d’avoir cette paix en signant les accords de paix avec les groupes armés.
    Aujourd’hui, l’espoir en cette paix est belle et bien réel avec la libération de prisonniers, le cantonnement , l’insertion des ex-combattants.

  43. Avec le nouveau gouvernement IBK compte offrir ce qui y a de mieux pour les maliens. Tous les ministres sont appelés à donner le meilleur d’eux pour atteindre l’objectif que le président s’est assigné.
    Cette année est une année de grands défis donc aucune tolérance pour les ministres paresseux.
    Vous êtes bien prévenus.

  44. IBK a bel et bien trouvé la corruption dans notre société et en bon chef il en a fait son problème. C’est pourquoi il s’est donné tous les moyens possibles pour éradiquer notre société de ce fléau qui ralenti notre essor.
    Il est temps que les détracteurs prennent conscience et arrêter leur petit de dénigrement de cet homme qui se donne corps et âme pour nous donne une vie meilleure.

  45. Pour ma part, je pense que l’année dernière a été l’année de grands défis notamment l’adoption d’un accord de paix, la relance économique et la sécurité des biens et des personnes. Concernant ces défis, le président a su tirer son épingle du jeu. Pour cela, nous en sommes fiers et nous lui souhaitons le meilleur pour cette nouvelle année.

  46. EN 2018 IL N’Y AURA PAS DE “YA BE”
    PAYS ÉTAIT A TERRE
    PATATI PATATA….
    ON EST FATIGUE
    ON A ENVIE DE TOURNER LA BOUSSOLE
    MAIS POUR LES CHANCEUX 2018 N’EST PAS LOIN
    VIVE 2018

  47. LES COMMENTAIRES DES PINTADES SONT UNE SOURCE INEPUISABLE DE CONNERIES ET A CE TITRE, UNE SOURCE INEPUISABLE D’OCCASIONS DE RIRE: 😆 😆 😆 :mrgreen: 😛

    Tenez, j’en prends un au hasard:
    Sa Majesté (ENCORE UN MODESTE 😛 😀 !) 19 Jan 2016 at à 10:44
    148 commentaires (ENCORE UN PETIT NOUVEAU! :mrgreen: 😆 )
    “Quel que soit les propos sataniques des détracteurs, (SATANIQUES!!! 😆 😆 😆 😆 ) IBK reste toujours vérace (VERACE? 😯 😯 😯 ) puisque par ses compétences, il demeure toujours l’homme de la situation (DE LA SITUATION SUREMENT…. MAIS DE LAQUELLE? 😀 😛 ). L’homme qui vaut (MAIS COMBIEN VAUT-IL? 😆 :mrgreen: )à la place qu’il faut. Il a seulement besoin du soutien de la population qui l’a élu avec plus 78% de voix (Y COMPRIS LES 900 000 VOIX FICTIVES! :mrgreen: :mrgreen: ), ainsi ensemble nous pourrons sortie notre pays de cette crise existentielle (CRISE “EXISTENTIELLE” SEULEMENT??? 😆 😛 . OU BIEN CRISE ECONOMIQUE, SECURITAIRE, ET POLITIQUE A LA FOIS? 8) ) Le président n’est pas le seul malgré qu’il soit le chef de l’Etat, toute les souches (LES “SOUCHES” C’EST BIEN, MAIS LES “COUCHES” C’EST MIEUX! 😀 😆 😆 ) de la société sans exception ont leurs mots à dans reconstruction du pays. (EXACT! ET CE MOT, C’EST: “IBK DEGAGE!” ET NOUS SOMMES QUELQUES MILLIONS DE MALIENS A LE DIRE TOUS LES JOURS 😆 😆 😆 😆 😆 :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: )

    Non, vraiment, je le dis et le redis: LES PINTADES SONT UNE SOURCE INEPUISABLE DE RIRES! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

    PS: Par contre, je n’ai toujours pas compris pourquoi elle ne peuvent pas me sentir! 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 Surtout que moi, je lézème 😆 , je lézadore 😆 , nos laborieuses pintades! :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

  48. Ibk n’a aucune excuse. Il a brigué la magistrature suprême en connaissance de cause. Il n’ignorait pas la situation désastreuse du pays même s’il feint de l’avoit découverte plus tard. Il nous a tous dupés .Il n’est tout simplement pas sérieux

  49. C’EST LES SIGNAUX DE L’ALTERNANCE
    VIVE L’ALTERNANCE EN 2018
    UN SEUL CONSEIL IL FAUT SE PRÉPARER A L’ALTERNANCE ELLE EST INÉVITABLE
    LE TEMPS DES MENSONGES EST RÉVOLU
    MÊME UN AVEUGLE POLITIQUE SAIT QU’IL AURA UN CHANGEMENT EN 2018
    LE PEUPLE A ÉTÉ DÉÇU
    IL N’Y A PLUS RIEN LES LIMITES SONT CONNUES

  50. Bel article! Belle analyse . Quel contraste avec les baubards du républicain et consor.

  51. De toutes les façons à cette époque Moussa TRAORE se fichait pas mal de ces dires de ce grand catholique Luc SANGARE, d’ailleurs il enfonçait le clou en faisant souffrir son peuple encore et encore, seul Allah était venu au secours des maliens de cette difficile période, je refuse de m’en souvenir tellement que la souffrance était forte et douloureuse pour le citoyen lambda que nous étions.
    Il faut reconnaitre qu’IBK à la différence d’Alpha Oumar KONARE a une force terrible face à son parti, le RPM où il a toute la possibilité de s’imposer à tout moment. Quant à Alpha Oumar KONARE, il n’était qu’un homme de consensus au sein de l’ADEMA-PASJ.
    Oui, les présidents successifs de l’ère démocratique avaient retenus de mettre qui ils veulent au poste de PM, mais force est de reconnaitre que le cas Alpha Oumar KONARE et IBK était élucidant, car le premier a toujours souhaité mettre un non partisan à la tête de la Primature de l’époque pendant que le second refusait en s’imposant avec succès, mais cela a eu comme conséquence la gestion du pays dans le style parti unique avec la déliquescence des institutions de l’état. En outre, quelque soit la performance d’Igor, il devait aller à la patience face à un homme plus âgé que son Papa et qui mérite d’être respecté, même si la valeur d’un homme ne dépend pas du nombre des années. Qu’Allah le tout puissant aide et protège notre très cher Mali.

  52. Le Mali a une politique prometteuse sauf que les maliens ne sont unanime. C’est l’union qui fait la force, nous devons laisser nos différends de côté et se donner la main enfin de reconstruire le Maliba. 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😯 😯 😯 😯 😯

  53. Le terrorisme a nui au voix et moyens permettant de développer notre cher pays. Malgré leur présence, nous espérons que l’année prochaine sera différente de celle qu’on est sur le point d’achever.

  54. Notre cher pays fut trop affecté par le terrorisme ce qui a engendré une insécurité universel durant tout le cour de l’année 2015. Par contre, l’année 2016 peut être quasiment différente de cette année si toutes les dispositions seront prises pour lutter contre ces djihadistes.

  55. Le Mali traverse certes une période difficile mais cela ne peut affecter longtemps notre pays si l’union nationale devient une réalité. Les maliens doivent se donner la main pour pouvoir donner une bonne image à notre patrie.

  56. Le terrorisme joue sur l’état de progression de notre pays, comme vous l’avez dit cela peut ni éteindre les divergences géostratégiques, ni à abolir l’ambivalence des solutions appliquées. Mais en unissant nos forces on peut lutter contre ces bandits.

  57. Le Mali peut avoir une bonne politique en s’investissant dans les secteurs prometteurs. Notre pays a toujours été riche en mode rural, cela peut facilement aider le pays à une émergence sans égale. 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳

  58. Mais que raconte Soumaïla Cissé ? Moi je dirai plutôt que c’est lui qui a fait preuve de laxisme, parce que l’opposition malienne est devenue le tréfonds de la bêtise.

  59. Le limogeage des ministres Treta Bocari et du ministre Igor Diarra n’a pas été fait au hasard. Ces ministres ont fait plusieurs fois preuve d’incompétence. Ils ont peut être faillir quelque part ou encore mal géré leurs domaines et doivent céder leurs places à des personnes plus compétentes.

  60. Merci Monsieur le President. On vous a pousser a mettre Moussa Mara a la porte par la meme strategie. Nous sommes heureux que c’est eux meme qui prenent la porte cette fois ci. Et cella est a votre honheur…

  61. Je pense que nous devrions plutôt le nouveau gouvernement, car ce nouveau gouvernement peut répondre aux attentes de la population malienne. Les ministres retenus disposes des compétences réunit pour mener à bon termes la lourde tâche qui leur est désigné.

  62. Je demande à l’opposition malienne en particulier à Soumaïla Cissé et petit monsieur un peu de respect pour les maliens, l’opposition pas forcement de la banalité. L’opposition se fout de la population malienne, elle nous prend pour qui, parce qu’à chaque fois, c’est eux qui viennent nous raconte du n’importe quoi.

  63. L’opposition en tant qu’organe actif pour le bon fonctionnement du pays, quel a été leurs participations vis-à-vis de la crise multidimensionnelle. Soumaïla Cissé en tant chef de file de l’opposition n’a fait aucun geste remarquable digne de son statut d’opposition politique. L’opposition devient un problème dans le développement du pays, hors il doit être tout à fait le contraire.

  64. Je pense que le plus important reste les résultats, nous ne devrions pas créer des polémiques autour de ce remaniement. On doit plutôt accompagner le nouveau gouvernement dans sa nouvelle tâche.

  65. Je ne me lasserai jamais de le dire et redire haut et fort, IBK a hérité d’un pays à bout de souffle que ce soit économiquement, politiquement et tant d’autre. Les prédécesseurs d’IBK ont mal géré le pays, leurs modes de gouvernance étaient à la pointe de la corruption, de l’impunité. Evidement le pays a fini par sombrer dans une crise sans antécédent. IBK n’est pas le fautif mais il est élu pour trouver une suite favorable aux maux de notre patrie.

  66. Quel que soit les propos sataniques des détracteurs, IBK reste toujours vérace puisque par ses compétences, il demeure toujours l’homme de la situation. L’homme qui vaut à la place qu’il faut. Il a seulement besoin du soutien de la population qui l’a élu avec plus 78% de voix, ainsi ensemble nous pourrons sortie notre pays de cette crise existentielle. Le président n’est pas le seul malgré qu’il soit le chef de l’Etat, toute les souches de la société sans exception ont leurs mots à dans reconstruction du pays.

  67. QU’ON SOIT D’ACCORD OU PAS SUR “TOUT” CE QU’IL ECRIT, JE PENSE QUE NOUS DEVONS SALUER L’EXCELLENCE JOURNALISTIQUE DE CE DRABO! 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯

    DANS NOS MEDIAS TELLEMENT SURPEUPLES DE MEDIOCRES SCRIBOUILLARDS, AFFABULATEURS DE NIVEAU DEF ET AUTRES TOCARDS, LA PRESENCE (TROP RARE SUR MW) D’UNE PLUME DE CETTE QUALITE SE DOIT, JE PENSE, D’ÊTRE SALUEE, ET JE M’ETONNE QUE PERSONNE NE SEMBLE ENCLIN A FAIRE ! 8) 8) 8)

    Chapeau bas, Drabo!… 😉
    Et bien venu au “club” très fermé des Thiam et de quelque autres… 😉

  68. Tous d’abord à savoir que c’est le premier Ministre qui nomme ses Ministres. Le Président de la République ne peut faire des suggestions au premier Ministre. Donc le PM est et reste le premier décisionnaire de son gouvernement. Ce remaniement arrive au bon moment, le peuple attend avec impatience.

  69. La politique malienne est une politique qui se voit manipuler par l’opposition. La population malienne venu tout récemment de traversé une crise existentielle dont elle tergiverse encore. Si la population malienne reste sous l’influence de cette opposition elle remettra encore le pays en feu. Le président IBK est conscient de cela voilà pourquoi, il tient à protéger son peuple.

  70. Le nouveau gouvernement sera à la hauteur des attentes de la population. Ce gouvernement ne gouvernera pas de la même sorte que les autres. Le président de la république veut coûte que coûte mettre un terme à la crise multidimensionnelle et cela à tout prix.

  71. Ibrahim Boubacar Keïta depuis son arrivée au pouvoir s’est montré disponible et prêt à placer toute personne qui a la capacité et le talent de mieux faire. Il n’a pas affiché l’image de celui qui prime l’intérêt du parti sur l’intérêt de toute la nation en plaçant les militants de son parti. Voilà pourquoi il a été exposé à toute sorte de critique de part et d’autre. Tantôt ma famille d’abord, tantôt mon parti d’abord. Il a bien fait pour Treta frelaté.

  72. Monsieur le journaliste le départ de Bocari Treta a été une bonne solution pour notre agriculture et pour que les paysans fassent de nouveau confiance à l’actuel locateur de Koulouba. L’affaire des engrais frelatés a été une balle perdue pour le bilan d’IBK.

  73. Il n’y a pas un ennemi de cette nation plus que Soumaïla Cissé. Il peut tout dire et tout faire contre la gestion d’Ibrahim Boubacar Keïta mais les maliens ne vont jamais tenir compte de ses dires. Car nous savons tous qu’il n’aime pas ce pays. 😯 😛 😛 😛

  74. Les attentes des maliens ne sont pas toutes comblées. C’est au nouveau gouvernement de combler le reste de ces attentes. Le plus important est le retour de la paix que nous attendons avec impatience depuis plus de deux ans.

  75. Ce n’est le départ de Bocari Treta qui m’a choqué mais celui de Mamadou Igor Diarra, le ministre de l’économie et des finances de l’Etat. Je suis plutôt content du départ de celui à la faute de qui le président de la république n’a plus de bonne image aux yeux des détracteurs suite à la présence des engrais hors norme dans notre pays.

  76. Soumaïla Cissé et Tiébilé Dramé sont tous deux des oiseaux de même plumage. Au moment où le pays est sombré dans la calamité qui demande l’implication de tous aux côtés de l’élu de la nation, ces deux hommes préfèrent se détacher de cette masse de patriotes pour former une sorte de (contre-cause-de-la-nation).

  77. Les affamés du pouvoir sont priés de ne pas trop se donner aux critiques, dénonciations et autres attaques contre ce nouveau gouvernement. Nous devons tous accompagner ces ministres pour que la paix règne dans ce pays.

  78. C’est à cause de la mauvaise gestion du rural dans ce pays qui a fait que la campagne agricole 2014-2015 a été jugée mauvaise par les hommes politiques et les détracteur. Ce qui a eu de l’impact sur le bilan de la gestion de l’actuel locateur de Koulouba.

  79. Les deux ministres renvoyés du gouvernement, Mamadou Igor Diarra et Bocari Treta, avaient l’ambition de précipiter le départ de l’homme à qui le président de la république a de l’estime. Déjà que le gouvernement a été remanié, espérons que la nouvelle équipe fasse mieux que les gouvernements passés.

  80. Le chef de l'Etat a bien fait de répondre ainsi le fameux chef de file de l'opposition politique, Soumaïla Cissé, qui ne parvient pas jusqu'à présent à faire preuve d'un homme brave. Les maliens ne sont plus confiants envers sa personne. On s'est rendu compte maitenant qu'il n'est qu'un simple opportuniste qui ne se soucie point de ce pays.

  81. Le chef de l'Etat a bien fait de répondre ainsi le fameux chef de file de l'opposition politique, Soumaïla Cissé, qui ne parvient pas jusqu'à présent à faire preuve d'un homme brave. Les maliens ne sont plus confiants envers sa personne. On s'est rendu compte maitenant qu'il n'est qu'un simple opportuniste qui ne se soucie point de ce pays.

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