L’avenir politique au Mali : Les certitudes à conquérir

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L’avenir politique au Mali : Les certitudes à conquérir

Cette préoccupation sera quasiment planétaire en 2016. Et notre pays est également concerné par la quête

En cette fin d’année 2015, les amateurs de signes, qui se hasarderaient à quêter les grandes tendances des douze prochains mois, se destinent d’avance à se perdre dans le labyrinthe des indices contradictoires. D’un côté, les faits qui, comme le succès de la COP 21, semblent présager l’émergence d’une prise de conscience planétaire sur des périls dont on ne peut ni mésestimer l’ampleur, ni différer plus longtemps le traitement. De l’autre, des événements et des choix qui démontrent que les menaces les plus odieuses et les plus pernicieuses, comme celle que le terrorisme fait peser sur le monde, ne suffisent ni à éteindre les divergences géostratégiques, ni à abolir l’ambivalence des solutions appliquées. D’un côté, résonnent les messages courageux comme celui de la chancelière Merkel qui n’a pas hésité à prendre à rebrousse-poil une frange importante de son opinion publique en prônant un effort exceptionnel en faveur des réfugiés. De l’autre, se font entendre les accents rugueux des discours nationalistes qui dans certains pays de l’ancien bloc de l’Est européen glorifient l’enfermement sur soi et le rejet sans état d’âme de ceux qui viennent d’ailleurs.

D’un côté, une partie du monde où les conflits à intensité variable et l’instabilité paraissent s’installer à demeure. De l’autre, des nations qui s’alarment de la progression sur leur territoire de la gangrène de l’insécurité et poussent souvent à l’extrême l’application du principe de précaution. Ce serait céder à une grandiloquence mal venue que de présenter notre monde comme se trouvant à une croisée des chemins. Mais, il est indéniable que de très graves questions ont pratiquement atteint leur point d’orgue au cours des mois passés et que les interpellations qu’elles lancent ne peuvent recevoir en réponse des incantations ou des vœux convenus, encore moins des solutions élaborées sous la pression.

Car ce qu’il faut craindre par dessus tout, si le flou actuel persiste sur un certain nombre de difficiles décisions à prendre, c’est qu’à la défunte bipolarisation idéologique succède une fracture durable de destins entre un Sud incapable de se sortir seul du piège de conflits dont la complexité dépasse actuellement sa capacité de résolution et un Nord échaudé par le fiasco de ses grandes aventures militaires et se cantonnant dorénavant dans un laborieux « ni ingérence, ni indifférence », faute de dégager un mode d’intervention qui ne mettrait pas les dirigeants en porte-à-faux avec leurs opinions publiques. Il ne s’agit pas ici de faire la leçon à qui ce soit, et encore moins à ceux des grands partenaires qui s’investissent du mieux qu’ils peuvent et en fonction de la lecture qu’ils font des grands problèmes de la planète. Il importe néanmoins de relever que l’efficacité des instruments mis en place depuis plus d’un demi-siècle pour prévenir ou endiguer les menaces contre la paix et la tranquillité du monde s’est totalement érodée.

LE TEMPS COMME ALLIÉ. La multiplication et le durcissement des conflits asymétriques imposés par le terrorisme, la démultiplication des guerres civiles qui s’alimentent aux mamelles de la prédation organisée et de l’exacerbation des particularismes identitaires, la dérive des combats politiques vers des affrontements armés constituent autant de phénomènes sur la neutralisation desquels aussi bien les Nations unies, les organisations continentales que les grands ensembles régionaux peinent à élaborer une réponse qui irait au-delà d’un rappel des principes adressé aux belligérants.

En Afrique, le cas du Burundi est absolument illustratif de la difficulté qu’éprouve aujourd’hui la communauté internationale à s’opposer à un autocrate déterminé à prolonger son séjour au pouvoir, quitte à payer cette longévité allongée du prix d’une guerre civile. En apparence, les intervenants africains et internationaux ont posé les actes qu’il fallait pour prévenir une catastrophe qui s’annonce imminente. Ils avaient détecté très tôt le caractère belliqueux d’une réinterprétation de la Constitution burundaise en faveur d’un troisième mandat du président Nkurunziza. Ils avaient dépêché plusieurs représentants spéciaux – dont notre compatriote Boubacar Gaoussou Diarra – pour dissuader le chef de l’Etat burundais de son aventureuse entreprise. Les leaders de l’Afrique centrale ont confié au président ougandais une mission de médiation entre le pouvoir burundais et ses opposants. L’Union européenne et d’autres partenaires internationaux avaient prévenu les « putschistes constitutionnels » d’une possible suspension de leur coopération en cas de marche forcée vers un troisième mandat.

Toutes ces mises en garde ont été, comme on le dit, de nul effet. Le calcul fait par les autorités burundaises est celui de tous les régimes autoritaires. Ceux-ci estiment, en effet, que contrairement à ce que l’on pense, leur meilleur allié reste le temps. Le temps qui use la détermination des opposants engagés dans un combat inégal. Le temps qui permet à la répression de s’accentuer, forte de l’impunité dont elle bénéficie. Le temps qui promène les médiateurs dans d’interminables allers et venues. Le temps qui accentue les scrupules des partenaires étrangers peu désireux d’engager des sanctions radicales qui en ajouteraient aux souffrances des populations. Le temps qui pourrait donc amener les contestataires à se résigner à la présence d’un homme inébranlable dans sa décision et dont les collaborateurs se délectent à faire tourner en rond la communauté internationale.

LES IRRESPECTUEUSES RODOMONTADES. Parmi les parties embarquées dans un jeu de dupes dont l’acte le plus récent se joue actuellement à Entebbé, l’Union africaine a pour une fois déployé des efforts méritoires afin de prévenir une guerre civile qu’elle pressent meurtrière à l’extrême. Mais sa dernière proposition – celle d’envoyer une mission africaine de 5 000 hommes au Burundi – a été retoquée par un double refus du Parlement et du Conseil supérieur de défense de ce pays. L’UA a certes la possibilité de passer outre ce refus de collaboration, mais il paraît hautement improbable de voir des troupes africaines encourir le risque de se colleter avec les forces locales. Elle est, en effet, bien lointaine la période qui vit le président Julius Nyéréré envoyer en 1978 un corps expéditionnaire tanzanien chasser d’Ouganda le dictateur Idi Amin Dada dont les prétentions territoriales et les rodomontades irrespectueuses avaient épuisé sa patience.

Face à une position extrême tenue par un chef de l’Etat contesté dans son propre pays et par rapport à un Etat présumé très vulnérable aux représailles extérieures, la communauté internationale a donc étalé son impuissance à imposer un respect élémentaire des règles de bonne gouvernance. Elle a surtout – pour le moment – échoué à endiguer la probabilité d’une catastrophe sécuritaire et humanitaire. Cela en dépit du déploiement de tout l’arsenal de dissuasion qu’elle pouvait utiliser. Cette impuissance avérée n’annonce rien de rassurant pour la profusion des élections qui se dérouleront en 2016 sur notre continent et dans certaines desquelles ne manquent pas les germes de la contestation.

Notre pays, lui, a besoin du concours de tous ses partenaires au moment d’aborder une année qui sera certainement décisive pour la réinstauration de la sécurité sur le territoire national et surtout pour la crédibilité de l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale. Dans le premier domaine surtout, et accessoirement dans le deuxième, la nomination de l’ancien ministre des Affaires étrangères du Tchad, Mahamat Saleh Annadif, à la tête de la MINUSMA est incontestablement une bonne nouvelle. Non que les prédécesseurs du nouveau patron de la Mission aient démérité dans cette fonction. Mais aussi bien Bert Koenders que Mongi Hamdi sont passés par une phase assez longue d’imprégnation au dossier qui a ralenti leur action et influé sur la pertinence de leurs décisions. L’imprégnation en question va, en effet, bien au-delà de l’appropriation de la situation à travers les dossiers, les déplacements sur le terrain et les rencontres officielles. Elle doit surtout déboucher impérativement sur une vraie connaissance du dessous des cartes, une perception affinée des protagonistes et un déchiffrage correct des enjeux cachés.

Ces trois préalables, Mahamat Saleh Annadif ne devrait pas avoir, à notre avis, trop de difficultés à les remplir. L’ancien ministre a très judicieusement rappelé à nos confrères de Tchadinfos.com qu’il avait activement participé au traitement de la crise qui avait frappé son pays à travers une interminable rébellion et que cette expérience des situations compliquée lui servirait au Mali. A cet égard, deux déclarations du nouveau Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies sont intéressantes à retenir. Mahamat Saleh Annadif a tout d’abord indiqué sur les ondes de la BBC que l’une de ses tâches prioritaires sera de réconcilier la MINUSMA avec les Maliens. Cette intention exprimée sans détours se démarque de l’attitude guindée des précédents représentants spéciaux qui n’avaient jamais voulu prendre acte publiquement du désamour frôlant le rejet qui persistait entre la mission onusienne et la plupart de nos compatriotes.

PLUS INCANDESCENT. Cela en dépit des lourdes pertes en vies humaines essuyées par les Casques bleus. Cela malgré des objurgations des officiels maliens que cette animosité à peine voilée inquiétait. La seconde affirmation forte du nouveau patron de la Mission, affirmation faite sur la Deutsche Welle, est que le mandat de la MINUSMA est assez robuste pour faire face à la montée de l’insécurité, et même pour combattre le terrorisme. Là également, la rupture de ton avec les prédécesseurs est tranchée. Mahamat Saleh Annadif prend en fait acte d’une réalité. Le schéma qui prévaut au Mali n’est pas celui d’un pays qui se trouve dans une phase post conflit classique et dans laquelle les troupes onusiennes se limiteraient à contenir un banditisme résiduel, à assurer des opérations de maintien de la paix, à aider au cantonnement et au désarmement des ex combattants. L’Accord pour la paix et la réconciliation a certes considérablement réduit la tension amenée par la confrontation entre groupes armés et par les affrontements entre la rébellion et les FAMAs.

Mais l’accalmie qu’il a amenée est occultée par le regain des attaques perpétrées par les terroristes et très souvent dirigées contre les camps et les convois de la MINUSMA. La Mission n’a donc d’autre choix que celui de renforcer ses équipements et de se placer dans une posture moins passive. Mahamat Saleh Annadif le sait, lui qui a eu à diriger la mission de l’Union africaine en Somalie (AMISOM) de 2012 à 2014. Le contexte dans ce pays de la Corne de l’Afrique était bien plus incandescent que celui malien, mais de fortes similitudes se constatent en ce qui concerne les forces en présence et le défi sécuritaire à relever. Ce défi s’est ici accentué en cette fin d’année au point d’amener le gouvernement à instaurer l’état d’urgence pour une dizaine de jours. Il n’y a pas en effet à se tromper dans l’interprétation des récents indices. Après la phase des avertissements lancés entre juillet et octobre, les djihadistes ont entamé les actions contre toutes les cibles qu’ils avaient identifiées.

La période de latence (liée à l’impraticabilité du terrain en saison d’hivernage) est donc révolue ainsi que l’indique l’élargissement de la gamme des actions entreprises par les terroristes. Actions qui ont inclus tout dernièrement l’intimidation des médias (l’assassinat à Tombouctou du directeur général adjoint de la radio Tahanitt et de deux de ses amis) et l’attaque des positions des groupes signataires de l’Accord (celle de la CMA en l’occurrence). Ces tentatives de fragilisation du Septentrion devraient nous remettre en mémoire une vérité élémentaire. Un surcroît de précautions peut agacer le citoyen lambda. Mais il ne saurait être mis en balance avec les regrets que suscitera la sous-estimation de la menace. Telle a été la très dure leçon qui nous a été infligée par l’offensive djihadiste de 2012.

Nous en sommes donc encore aujourd’hui dans une période non de jouissance, mais de conquête de certitudes. Dans le redressement que nous entamons, rien ne pourra être considéré comme acquis avant de longues années. Admettre cette incontournable vérité n’est pas céder au pessimisme. C’est souligner l’essence même du combat que nous menons.

G. DRABO

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  1. Je pense qu’il est plus difficile de faire la paix que la guerre. En effet, pour une paix durable, il faut le sacrifice et le courage de tout un chacun pour y arriver. Parce qu’il n’y a de paix durable que celle qui ne s’achète au prix d’aucune faiblesse. Par conséquent, je demande à toutes les parties signataires de l’accord d’Alger de s’y investir et d’éviter toutes actions tendant à freiner le processus de paix.
    VIVE LE MALI UN ET INDIVISIBLE!!!

  2. Il faut dire que l’accord de paix, signé une première fois par le gouvernement et les groupes armés loyalistes le 15 mai, a été difficile à décrocher. Longtemps accusé de ne rien faire pour régler la situation dans le Nord, durement critiqué en coulisses par ses partenaires régionaux et internationaux, IBK a fini par passer la vitesse supérieure. Quant à l’application diligente de cet accord, il faudrait que toutes les parties s’y mettent. Cela va de l’intérêt de la nation.

  3. Notre pays a été durablement affecté par ce conflit d’intérêt qu’on nous impose. Je pense que nous devrions être uni et solidaire afin d’aider nos dirigeants dans leurs missions. Car c’est ensemble qu’on peut relever les défis de la paix et de la réconciliation nationale.

  4. Notre pays a été trop affecté par cette crise qui a fait beaucoup de dégâts tant humain que matériel. Pour ce faire, nous devrions nous battre pour le retour de la paix et de la réconciliation nationale gage d’un développement durable.

  5. De plus en plus le monde fait face à un vent de terrorisme sans précédent. En effet, Ces opérations terroristes provoquent naturellement d’énormes dommages comme on a pu le voir à New York, Madrid, France et au Mali, j’en passe.
    En plus, il ne faut pas oublier ses conséquences tant humain que matériel notamment les destructions d’infrastructures et les pertes en vies humaines sont toujours les premiers éléments que l’on remarque après des attentats. L’image la plus forte reste bien entendu la destruction. De tous ces constats alarmants, nous condamnons avec la dernière énergie toutes les attaques terroristes dont fait l’objet notre pays et partant tous les attentats perpétrés en Afrique. Il faut que nous nous mettions ensemble pour combattre ce fléau.

  6. Je pense que dans cette lutte contre le réchauffement climatique les pays développés ont plus de responsabilités car ce sont eux les plus grands pollueurs et par conséquent leur implication doit être plus importante. Aussi faut-il que les accords de paris puissent être mis en œuvre et que l’Afrique puisse être soutenue car il paye le plus lourd tribu à cette situation à laquelle elle a peu participé.

  7. Tous ces conflits en Afrique sont dus au faut que nos dirigeants veulent n’ont pas la culture de l’alternance et veulent s’éterniser au pouvoir. On doit contribuer au développement de nos nations et laisser la place pour que les autres puissent apporter aussi leurs expériences car c’est de tripatouillages en tripatouillages de nos constitutions que nous tombons dans ces situations qui nous font régresser de jours en jours.

  8. « D’un côté, résonnent les messages courageux comme celui de la chancelière Merkel qui n’a pas hésité à prendre à rebrousse-poil une frange importante de son opinion publique en prônant un effort exceptionnel en faveur des réfugiés »
    NOUS SOMMES TOUS DES CITOYENS DE CE MONDE ET PAR CONSÉQUENT NOUS DEVONS POUVOIR ALLER PARTOUT SANS GRANDE CONTRAINTE. NOUS DEVONS AVOIR A L’IDÉE QUE LES FRONTIÈRES QUE NOUS AVONS NE SONT QUE MATÉRIELS ET QUE NOUS RESTONS TOUS DES HOMMES EN QUI LE MÊME SANG COULE.
    BATTONS-NOUS TOUS POUR LA PAIX ET LA STABILITÉ DANS CE MONDE.

  9. Cette insécurité généralisée qui mine notre monde aujourd’hui est due aux conflits d’intérêts et à cette nouvelle forme de guerre asymétrique que les terroristes ont imposée à notre monde. Il faut donc qu’il y ait une réponse globale comme l’a préconisé le président Hollande car un seul pays ne peut pas venir à bout de ces vendeurs de morts.

  10. Je pense que pour que le monde soit stable aujourd’hui il faut que le partenariat gagnant-gagnant dont tout le monde fait les éloges soit une réalité car les richesses sont inégalement partagées au plan mondial. Les pays les plus puissants exploitent les plus pauvres. Comment voulons-nous donc un monde stable sur une partie de ses habitants est frustré par l’autre ? Réfléchissons-y donc !

  11. « Il importe néanmoins de relever que l’efficacité des instruments mis en place depuis plus d’un demi-siècle pour prévenir ou endiguer les menaces contre la paix et la tranquillité du monde s’est totalement érodée. »
    Il faut que les textes de l’ONU soient revus car ils ne répondent plus aux réalités d’aujourd’hui. Le monde a connu des avancées de 1945 à ce jour et il convient d’adapter cette structure aux réalités de nos jours pour permettre de garantir la paix de notre monde qui se veut de plus en plus fragile.

  12. « La multiplication et le durcissement des conflits asymétriques imposés par le terrorisme, la démultiplication des guerres civiles qui s’alimentent aux mamelles de la prédation organisée et de l’exacerbation des particularismes identitaires, la dérive des combats politiques vers des affrontements armés »
    Il faut qu’au plan national comme international nous privilégions le dialogue car c’est le moyen plus sur de régler un conflit de manière durable. Cependant, une autre réalité existe : c’est le fait que ce sont les occidentaux qui arment nos concitoyens contre nos républiques. Ce qui est vraiment regrettable. Il faut donc que nos leaders prennent conscience.

  13. Notre pays, lui, a besoin du concours de tous ses partenaires au moment d’aborder une année qui sera certainement décisive pour la ré-instauration de la sécurité sur le territoire national et surtout pour la crédibilité de l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale.
    NOTRE PAYS A CERTES BESOIN DE SES PARTENAIRES MAIS SES PREMIERS PARTENAIRES SONT CES PROPRES FILS QUI DOIVENT SE METTRE ENSEMBLE POUR SORTIR NOTRE PAYS DE LA CRISE ET DE LE HISSER SUR LES RAILS DU DÉVELOPPEMENT CAR UN PROVERBE DE CHEZ NOUS DIT QU’AVANT DE DEMANDER QU’ON TE LAVE LE DOS IL FAUT QUE TU TE LAVES LE VENTRE D’ABORD !
    C’EST POUR DIRE QUE NOUS DEVONS NOUS METTRE AU TRAVAIL POUR NOTRE PAYS AVANT DE DEMANDER UNE QUELCONQUE AIDE.
    VIVE LA PAIX DANS NOTRE PAYS. VIVE LES INSTITUTIONS DE LA RÉPUBLIQUE !

  14. Il faut que la nomination de l’ancien ministre des Affaires étrangères du Tchad, Mahamat Saleh Annadif, à la tête de la MINUSMA, puisse permettre de faire bouger les lignes dans notre pays et lui permettre de retrouver la paix tant recherché gage de tout développement.

  15. Je pense vraiment que cette décision de réconcilier les casques bleus avec les populations est très bonne car les populations n’ont plus confiance en eux du fait de leur passivité face à certaines situations que les populations civiles qu’ils sont censées protéger vivent. Ensuite, force est de le reconnaitre ces hommes ont vraiment contribué à la dépravation des mœurs dans notre pays.
    Ce qui fait que nous sommes vraiment déçu d’eux.

  16. Aujourd’hui, toute une frange de notre jeunesse ne sait pas où est le bien et où est le mal. On peut très tôt donner un message clair.
    Notre jeunesse manque d’éducation adéquate pour être l’avenir de demain .
    Alors il faut lutter contre ce fléaux

  17. Évidemment, l’insécurité et le sentiment d’insécurité ne cesseront d’augmenter tant que la réponse
    collective à la délinquance ne sera pas adaptée

  18. Les auteurs d’atteintes aux biens (cambriolages, vols…), les plus importantes numériquement, bénéficient d’un traitement pénal qui leur permet de continuer à exercer leurs activités.» Si le mot «impunité» n’a pas été lâché.
    Sachez que une affirme que le taux d’insécurité dans le monde s’élève à 65%.
    Alors Il faut que les hautes autorités prennent des mesures pour freiner ce fléaux

  19. Ce journaliste part de son point de vu pour créer une polémique dans le coeur des maliens.
    Nais malgré ces attaques et ces moments difficiles que le Mali endurait durant les prédécesseurs d’ibk,celui ci a dû mettre le mali a un point culminant de sa croissance.

  20. La causes 1ère du terrorismes est la misère :
    Nous venons, donc, de démontre l’autre revers de la mondialisation qui réside, essentiellement, dans : la pauvreté (a), le chômage (b), la famine (c), la situation tragique de l’enfance (d), la propagation des maladies graves (e), et l’injustice résultant des disparités de développement entre les pays (f).

  21. Les extrémistes faisant partie de groupes voués à une question particulière constituent une autre source croissante de violence terroriste. L’escalade récente des attentats dirigés contre du personnel médical, des cliniques et des hôpitaux par des militants anti-avortement aux Etats-Unis et contre des chercheurs scientifiques, des laboratoires et d’établissements commerciaux par les défenseurs des droits des animaux , donne une idée de la nature des motivations en cause. Même si ce groupe d’extrémistes visent à modifier des politiques ou des pratiques précises, plutôt que l’ensemble du régime socio-politique, on ne devrait pas sous-estimer leur capacité de mettre en danger la vie et le bien être social et économique.

  22. Au milieu des années soixante se développe la plus spectaculaire manifestation du terrorisme. Elle est portée par les progrès de la technologie, la diffusion d’armes légères et efficaces, ainsi que par la publicité qui vient désormais accompagner tout acte terroriste.

    Par ailleurs, plusieurs zones ont été frappé par le terrorisme : le Proche-Orient, l’Allemagne, l’Italie, le japon, l’Irlande, l’Espagne, la France,le Mali.. et bien sûr les Etats-Unis d’Amérique, dont l’épisode terroriste le plus célèbre et le plus meurtrier est la série d’attentas du 11 septembre 2001. dès lors, la lutte contre le terrorisme est devenue un principe majeur du droit international ,ainsi qu’en 2015

  23. Le terrorisme n’est pas synonyme de “guérilla” même s’il y a des regroupement dans les objectifs et dans les méthodes. La guérilla est une stratégie militaire qui se rapproche des principes de la guerre régulière. Au contraire, les terroristes toujours clandestins maintiennent leur caractère de petit groupe secret. La guérilla vise à occuper les esprits le terrorisme est souvent un point de sortie pour une guérilla qui a échoué.
    Alors l’etat malien comme celui des états du monde luttent tous contre ce fléau

  24. Les causes du terrorisme ne pouvait être posée et, à notre avis, ne le sera pas, car, toute analyse sérieuse voire logique conduit à constater que cette guerre contre le terrorisme est menée par une coalition qui compte en son sein bon nombre d’Etats terroristes (…), qu’elle est au mieux, une guerre contre une certaine classes d’actes terroristes soigneusement choisis par eux et en ignorant scrupuleusement leurs propres actes terroristes.

  25. Il faut d’abord comprendre que le terrorisme est un fléau tellement complexe qu’aucun pays ne peut le combattre tout seul.
    C’est pourquoi il serait important de discuter avec nos pays voisins qui deviennent souvent des bases arrière pour ces assassins.

  26. Nous en appelons à la bonne volonté de tous les pays partenaires pour nous aider à lutter contre ces terroristes qui menacent l’intégrité de notre pays.
    Ce combat ne peut être celui d’un seul pays;alors unissons noue le mener à bien.

  27. Étant donné que la paix est une denrée rare,il faut se donner tous les moyens de la rechercher et la sauvegarder lorsqu’elle est menacée.
    C’est pourquoi je préconise que tous les acteurs maliens se mettent ensemble pour combattre les réfractaires qui veulent mettre notre accord de paix en péril.

  28. Certitudes heinnnn, j’aimerais bien y croire car le chemin sera long et en plus il faudra des changements de politiques nationaux, sous regionaux et internationaux. On ne recolte que ceux que l’on sème dit on.
    Le pire est nous africains et africaines, particulièrement Maliens et Maliennes. Regardons simplement la descente aux enfers du Mali a commencé sous AOK et après ATT et aujourdhui IBK suit les mêmes traces mais comme la crise actuelle n’a jamais été egalée alors ces mafieux – vampires cherchent a recoller les morceaux que eux mêmes ont coupés en dechiquetant le Mali a leurs guises et a leurs profits clanniques.
    J’espère que bien le massage a assez passé ou il faudra qu’On se retrouve tous et toutes pour comprendre qu’il faut des refaire nos politiques autrement et cela est valable pour toutes les institutions nationales, continentales et internationales.
    A suivre…..

  29. Les forces de sécurité et la MINUSMA les trouveront car elles sont très actives. Mais la population doit être coopérative si nous devons arrêter ces genres d’attaques.
    Nos condoléances aux familles des victimes

  30. Il faut vraiment qu’on se pardonne pour la paix qui est à la base de tout projet de développement.
    Les solutions sont déjà prises dans ce sens pour éviter une autre rébellion telle est leur vraie intention. La population ne doit pas céder à la panique comme l’a dit le Ministre Salif car les auteurs seront retrouvés

  31. Ce sont des individus malintentionnés qui s’adonnent à ces pratiques pour semer la psychose et mettre des doutes sur les accords. Nous déplorons cette situation. Nos sincères condoléances aux victimes

  32. Les forces de sécurité ont besoin de la franche collaboration de la population pour mettre fin à ces barbarismes. Ils ne réussiront jamais à ébranler les accords de paix. Nous faisons confiance à nos FAMAS

  33. Nul n’est à l’abri des attaques terroristes aujourd’hui malgré les moyens qu’on peut disposé car on ignore jusque-là leur réelle motivation. La population doit être vigilante et coopérative avec les forces de sécurité pour coincer ces barbares

  34. Les organisations internationales doivent unir leurs forces pour mettre fin à l’avancée du terrorisme en Afrique et maintenant le monde entier.

  35. Iyad et Koufa ont toujours refusé de prendre part à la signature des accords de paix. Nous irons à la paix avec ceux qui ont accepté lesdits accords. Nous pouvons compter sur les fils de ce pays pour ces accords soient une réussite.

  36. Le président IBK encourage les accords de paix. Il souhaite dans les prochains jours faire un remaniement pour permettre l’entrée des différents partis au gouvernement.
    Le terrorisme est un phénomène qui ne prévient pas et j’en suis convaincu que notre gouvernement trouvera une solution.

  37. Le Mali a toujours mené une lutte contre le terrorisme. Après l’UE, les Etats Unis apportent leur expertise au Mali à travers ces accords car nul n’est à l’abri d’imminente attaque aujourd’hui. Le Nord malien se présente comme une base arrière pour le terrorisme donc un soutien de grande portée pour réussir à les contrer

  38. Nous ne souhaitons pas que la population cède à la panique. Pour le moment nous n’avons pas de mobile pour qualifier ce crime qui est extrêmement odieux. Nous allons prendre toutes les dispositions pour rechercher, appréhender l’auteur de ces coups de feu et le traduire devant la justice.
    Nous devons réitérer notre confiance à nos FAMAS pour les encourager défendre notre pays. Ce n’est pas la faute ou une incapacité du gouvernement car ce n’est pas facile de faire à ces individus qui se fondent dans la population après leur sale besogne donc la population doit faire son travail celui de fournir les informations qui permettront à nos services de faire leur travail.

  39. 💡 💡 Malgré la montée en flèche de l’insécurité, je peux vous assurez que le gouvernement use de tous les mesures possible pour mettre en sécurité sa population et l’intégrité territoriale. Le combat contre le terrorisme est un bat de fantôme c’est-à-dire un combat dont l’ennemie apparait n’ importe où pour frapper et ensuite s’évaporer dans la nature.

  40. Les autorités maliennes seules ne peuvent pas combattre le terrorisme. La communauté internationale doit épauler le Mali dans sa lutte contre ce fléau.

  41. L’insécurité grandissante qui menace la paix et la stabilité durable dans notre pays est un fléau qui provient de la mauvaise gérance des régimes passés. Le Président de la République Ibrahim Boubacar Keïta est en train de tous mettre en n’œuvre pour protéger les personnes et leurs et sur toute l’étendue du territoire national et aussi l’accord de paix et de réconciliation.

  42. Le terrorisme est un fléau très difficile à cerner. Pas que MALI seulement, le terrorisme sévit partout dans le monde entier. Malgré les mesures misent en place par les autorités maliennes, le terrorisme reste intenable. Tant que la société civile ne s’engage pas a aidé l’Etat, cette lutte restera incertaine et vaine.

  43. 💡 Après la signature de l’accord les groupes de rebelles qui refuseront de se rallier au gouvernement doivent être considéré comme bandits armées. Nous ne voulons que la paix au Mali, les séparatistes qui se permettent toujours de violer l’accord de paix sont à butter du territoire malien. Ils seront considérés comme des terroristes. 💡

  44. IBK a promis pendant les campagnes présidentielles de 2013 de reformer les forces armées maliennes et de changement leurs conditions de vie. Les résultats aujourd’hui montrent pleinement que le président a respecté ses paroles. Les preuves sont bien visibles.

  45. 💡 💡 La lutte contre le terrorisme au MALI commence à porter fruit. Le Mali seul ne pas lutter contre le terrorisme. La communauté internationale doit aider le Mali, pour mieux affronté le problème. 💡 💡

  46. Les forces de l’ordre doivent être encouragées et félicitées de leurs bons travaux, ils méritent plus que cela. La population malienne commence à leur accorder une grande confiance, la confiance qu’elles ont perdue pendant les régimes passées.

  47. La paix et la réconciliation est un long processus qui nécessite plusieurs mois voire plusieurs années pour qu’elles soient dans les rangs de la stabilité !!! Et il faut reconnaitre que le cas de notre pays est plus compliqué qu’on ne le pense !!!

  48. L’effort déployé par le président de la république et son gouvernement n’est pas négligeable dans cette situation, il faut reconnaitre qu’ils se donnent à fond pour améliorer les conditions de vie et la sécurité des populations dans ces différentes localités !!!

  49. Le président de la république est en train de tout mettre en œuvre pour assurer la sécurité des populations des différentes localités, et pour lutter contre le banditisme dans les régions du nord !!!

  50. Il faut savoir aussi que la sécurité d’une localité qui vaut trois fois la France ne peut pas être garantit en un clin d’œil, c’est un long processus et il faut du temps au président de la république et son gouvernement pour toucher toutes les zones !!!

  51. La sécurité des populations des régions du nord-MALI sera assurer, mais on ne peut pas sortir d’une crise qui a duré plus de 20ans et crier pour la stabilité le jour d’après, cela n’est pas possible, il faut du temps pour cela Monsieur !!!

  52. La stabilité dans ces différentes régions se fera, mais je ne peux pas dire sans problème car nous savons tous comment est la tendance dans ces régions, et aussi face à quels problèmes le président et son gouvernement doivent faire face pour le retour de la stabilité !!!

  53. Les terroristes ont pour intention de semer la peur et la terreur, nous ne devons pas leurs laisser faire, nous sommes une nation qui est entourer des nombreux atouts.
    Nous ne devons surtout pas avoir peur, le Mali a le soutien de plusieurs pays du monde entier.
    Il est possible de combattre le terrorisme.

  54. En effet, cette attaque d’une autre époque ne doit pas diviser les Maliens, encore moins les divertir. L’union sacrée doit se faire autour du Président de la République, non pour son confort mais pour sauver le Mali, parce que l’Etat est ébranlé dans ses fondements républicains.
    Gardons le bons sens d’apporter l’essentiel à la nation et c’est dans l’union qu’on gagne.

  55. Certes l’année 2015 a été pour le Mali une année qui a confirmer son intégration dans le cible des terroristes, La politique politicienne doit être mise de côté, en attendant que l’Etat se sauve, se consolide, à travers d’abord la sécurité, sans laquelle rien n’est possible. Au-delà des mesures prises par le Conseil des ministres extraordinaire de vendredi soir, d’autres mesures fortes s’imposent, pour frapper les esprits ou tout au moins impressionner les uns et les autres.

  56. Nous pouvons compter que le leadership de notre président IBK a pu apporter des atouts considérables pour la nation, dans un cadre que notre pays a un rapport dans toutes les grandes organisations du monde entier.

  57. Nous devons combattre tous les groupes armés sans exception, parce qu’il ne doit pas y avoir deux armées sur un même territoire soit tu laisses les armes soit tu seras considéré comme un ennemi. Toutes mes condoléances aux victimes du terrorisme.

  58. La communauté internationale ne doit pas minimiser le cas du Mali, ces gens ne connaissent pas de frontière, ils n’ont pas de nationalité, ils sont partout et ils sont contre tout le monde sans exception.

  59. Nous avons confiance au retour de la paix et de la sécurité dans les trois régions du nord MALI, et ça se fera quoi qu’il arrive !!! Mais il nous faut juste être patient et solidaire envers nos autorités pour leur faciliter la tâche !!!

  60. La communauté internationale doit se mobiliser derrière tous les pays qui sont cibles du phénomène djihadiste ou terroriste. C’est un problème international, parce qu’un seul terroriste est un danger pour l’humanité même. Donc ensemble pour vaincre le terrorisme.

  61. Pour le cas du Mali, ils veulent faire le Mali comme les Afghanistan, l’IRAK, la SYRIE, la LYBIE pour mieux exporter les ressources minières que nous avions selon les recherches. Sinon dans un pays comme le nôtre personne n’a besoin de pratiquer la violence pour faire passer un message au sujet de l’islam. Le Mali compte au sein de sa population 95 à 98% de musulmans, alors quoi de plus ?

  62. La paix au Mali ne leur arrange pas parce qu’ils profitent de la pagaille pour faire leurs business de drogue et d’armement raison pour laquelle tous ces bruits. Sinon nous savions tous que sur le plan religieux au Mali il n’y a pas question surtout avec un taux de 95% de musulmans dans le pays.

  63. Même la gestion de la crise malienne n’est trainée que par la complicité de certains pays européens. Il faut l’ONU adopte une politique de toujours bannir la rébellion dans un pays de droit.

  64. Il faut que la nation unie aussi change sa façon d’intervention dans les problèmes internes des pays membres. Beaucoup de problèmes dans le monde sont empirés par elle.

  65. Les africains doivent comprendre que les occidentaux se servent de nous actuellement pour détruire notre propre pays pour leurs intérêts et non le nôtre. Que nos hommes politiques ouvrent les yeux, il est temps.

  66. Surtout l'année 2015, cela a été une année la plus complexe et dure depuis des années, par des attaques terroristes et du réchauffement climatique. Il faut que les blancs prennent conscience sinon le monde a assez souffert.

  67. Les problèmes africains ne sont rien d’autres que la politique de recolonisation de l’Afrique par les occidentaux. Sinon quant à Afrique seule il n’y aura jamais ces genres de problèmes.

  68. Tous ces problèmes que le monde est confronté actuellement sont dus à certaines puissances mondiales. Ce sont elles qui sont à la base de tout.

  69. Nous avons un atout avec le président IBK dans les différentes organisations du monde entier. Comme dans la COP21 dans laquelle 150 chefs d’État dont le président de la République, Ibrim Boubacar Keita, l’Onu et l’Union européenne ont été présents au Bourget dans la banlieue de la capitale française, pour relever les défis du changement climatique. L’objectif de cette rencontre est d’obtenir un accord contraignant pour limiter le réchauffement de la planète en dessous de 2 degrés d’ici 2100. L’Afrique est largement représentée à cette COP 21. Le continent Africain est confronté à de nombreux défis.

  70. Parlant de la Cop 21. C’est est une grande opportunité pour les pays de l’Afrique, nous sommes honorer par la participation de notre pays et de cet honneur qui lui soit réserver en tant que porte-parole des pays Africain.
    Même la situation géographique de mon pays a besoin de cette intervention de co21, voilà que l’honneur vient de lui sourire en lui donnant la position de porte-parole des pays Africain.

    Vivement la réussite de cette Coopération de 150 Pays.

  71. Le terrorisme est à combattre, Cela va nécessiter un déploiement de moyens et de ressources humaines. C’est donc un sacrifice que l’Etat se doit de consentir, au nom de la lutte contre le terrorisme et pour sa crédibilité, pour ne pas être le maillon faible de la chaine, le ventre mou de la lutte contre le terrorisme international.

  72. Les terroristes ont touché le Mali dans sa plus profonde chaire et nous sommes prêts à les combattre sans arrêt.
    A l’Hôtel Radisson, nous avons assisté à 21 morts dont 2 terroristes7 blessés.

    Il aurait pu être ce bilan plus sévère n’eut été l’engagement immédiat, constant et courageux de nos Forces de sécurité auxquelles il me plaît encore une foi de rendre ici au nom de la République, l’hommage le plus vibrant pour le courage de jeunes hommes, pour leur patriotisme et leur foi en le Mali.
    Nous disons merci à nos forces de l’ordre et de Sécurité.

  73. Depuis la survenue de cette tragédie, notre pays a élargi considérablement le champ de sympathie dont nous ne dirons jamais assez combien, nous l’avons apprécié et le considérons comme un témoignage éloquent du refus de tous les hommes épris de paix et du souci du respect des valeurs humanistes essentielles, refus de subir l’inacceptable, l’inadmissible et l’intolérable loi de ceux qui ont choisi définitivement de rompre avec l’HUMANITE !
    Non, ces individus sans foi ni loi n’ont rien à voir avec la religion de MAHOMET, religion de paix, de respect réciproque et de convivialité entre les HOMMES.

  74. Le monde entier doit se donner les mains pour combattre le terrorisme, notre pays à de la chance d’avoir le soutien de beaucoup d’autres pays. Ce qui vient de se passer après la première tragédie de la Terrasse dont contrairement à certaines allégations, nous avions bel et bien tiré les enseignements, cette nouvelle agression, nous oblige à prendre de nouvelles dispositions sécuritaires dont chacun comprendra aisément le bien fondé et le caractère absolument incontournable.
    Le Mali est frappé, mais le Mali reste fort.
    Le Mali est un pays des hommes courageux et déterminant, des hommes qui sont capable de tous pour défendre les intérêts de cette nation qui leurs sont chère.
    Nous remercions l'acte du président de la république .
    Vive le Mali est le plus important que tout autre chose.

  75. Le Mali ainsi que la communauté internationale doivent adopter des mandats d’arrêt contre les djihadistes dont les identités ont été connues. Je demande aux forces de sécurité et de défense maliennes d’être vigilantes et sages. Avant que des opérations internationales soient mises en place pour combattre le terrorisme. 😛 😛 😀 😀 😀

  76. Le nord du Mali est en train de se transformer en une zone terroristes comme m’Etat islamique. Les pays voisins doivent se mettre aux côtés de nos autorités pour trouver ensemble une solution à cette situation. Sinon le nord du Mali risque de se transformer en une sorte d’Etat islamique où tous les terroristes recherché vont se réfugier. Ce qui est l’œuvre et la volonté de tous les terroristes.

  77. Les terroristes en général, et ceux du Mali en particulier vont dans une logique de vengeance. Leurs groupes ne sont pas des terroristes au sens strict du mot. Ils sont des djihadistes. Ils sont dans une logique de guerre entre tribu. Il est temps que nous soyons unis pour un monde sans terrorisme. 👿 👿 👿 💡 💡

  78. Nous sommes parfaitement capables d’inventer des solutions maliennes pour lutter contre le terrorisme dans ce beau pays, le Mali. C’est une question de volonté de courage. Déjà les autorités se sont engagées dans cette lutte, la population doit les accompagner.

  79. Luttons tous contre le terrorisme c’est notre seule chance de se débarrasser du terrorisme pour toujours, une coopération entre toute la communauté internationale. Nous voulons que les attaques terroristes cessent. Nous ne voulons plus être victimes des actes terroristes. Nous voulons une vie sans terrorisme. Nous voulons un monde sans guerre et sans armes. Nous voulons une vie paisible et confortable. 😳 😳 😳 😳

  80. Le terrorisme est un problème de tous. Le Mali est, certes, la victime aujourd’hui. Mais nul n’est censé ignoré le danger que représente le terroriste sur le monde entier. Surtout quand il est plus proche de nous. De ce fait, les africains sont aujourd’hui les plus touchés. Toutes les mesures doivent être prises pour trouver une solution à cela. Il faut reconnaître aussi que les djihadistes syriens sont présent sur le continent, à l’heure actuelle.

  81. Le Mali n’avait jamais connue une rébellion aussi incontrôlable que celle-ci. On n’avait jamais connu de tels groupes terroristes au nord. Le plus difficile est le fait que ce sont certains fils du pays aux qui tout a été donné qui se rebellent contre le pays. Cette situation interpelle tous les maliens à faire ce qu’ils peuvent. Seule la cohésion, il s’agit de la coopération internationale, peut mettre un terme à cette situation.

  82. La situation sécuritaire du Mali se dégrade chaque jour que Dieu fait. Les maliens sont invités à la vigilance et à garder le sang-froid. Ce n’est pas du tout une chose facile d’avoir à faire à ces compatriotes transformés en djihadistes et prêts à sacrifier leur vie pour mettre à feu la vie au septentrion. Une pareille situation met en garde toute la communauté internationale à s’unir pour une seule cause. 😳 😳 😳 😳

  83. Le Mali ainsi que le monde entier se trouvent aujourd’hui dans une situation délicate du terrorisme. Des nouveaux groupes naissent chaque jour et les chefs de ces groupes terroristes sont tous des fils des pays contre lesquels ils se rebellent. Les autorités maliennes et étrangères sont interpellées face à cette situation inquiétante. C’est maintenant ou à jamais.

  84. La paix et la réconciliation sont aujourd’hui les attentes primordiales des citoyens maliens. Depuis que l’accord de paix issu du processus d’Alger a été signé jusqu’à l’heure actuelle, rien ne rassure. Donc pour que la paix ne reste pas une chose inaccessible pour ce pays, nous dévons faire recours à la conférence d’entente nationale, comme prévue par l’accord, et la période intérimaire. 😀 😀 😀 😛 😛 😛

  85. Le Mali n’est pas le seul pays africain concerné par le terrorisme ni le seul pays dans le monde. Je me demande pourquoi tous les pays africains ne s’unissent pour l’éradication du terrorisme dans notre continent.

  86. 😳 😳 😳 😳 😳 😳 Ensemble main dans la main, tous les pays africains peuvent lutter contre le terrorisme. A ce que je sache, nombreux pays africain sont touché par ce fléau. Si ces bandits ne veulent pas déposer les armes alors on va devoir utiliser les armes pour les faire taire. 😳 😳 😳 😳 😳 😳

  87. Le Mali a une politique prometteuse sauf que les maliens ne sont unanime. C’est l’union qui fait la force, nous devons laisser nos différends de côté et se donner la main enfin de reconstruire le Maliba.

  88. Kono koulou djélen debé bifo, la reconciliation nationale est indispensable dans la quête d’un Mali meilleur. Je convie tous les maliens à mettre une croix sur nos différends et à revenir un seul terrain d’entente.

  89. L’insécurité grandissante au Mali est due au terrorisme, nous devons lutter contre. Bien vrai que cela demande beaucoup d’effort sans oublier les équipements militaires. En dehors de tout cela, les maliens doivent penser à s’unir.

  90. Le Mali peut avoir une bonne politique en s’investissant dans les secteurs prometteurs. Notre pays a toujours été riche en mode rural, cela peut facilement aider le pays à une émergence sans égale.

  91. Le terrorisme joue sur l’état de rogression de notre pays, comme vous l’avez dit cela peut ni éteindre les divergences géostratégiques, ni à abolir l’ambivalence des solutions appliquées. Mais en unissant nos forces on peut lutter contre ces bandits.

  92. Le Mali traverse certes une période difficile mais cela ne peut affecter longtemps notre pays si l’union nationale devient une réalité. Les maliens doivent se donner la main pour pouvoir donner une bonne image à notre patrie.

  93. Le terrorisme a nui au voix et moyens permettant de développer notre cher pays. Malgré leur présence, nous espérons que l’année prochaine sera différente de celle qu’on est sur le point d’achever.

  94. 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 Notre cher pays fut trop affecté par le terrorisme ce qui a engendré une insécurité universel durant tout le cour de l’année 2015. Par contre, l’année 2016 peut être quasiment différente de cette année si toutes les dispositions seront prises pour lutter contre ces djihadistes. 😆 😆 😆 😆 😆 😆

  95. Oui, les autres doivent être au chevet du Mali, mais il faut retenir que le Mali aussi doit faire des efforts pour se mettre au niveau des autres en s’auto disciplinant, en refusant de se comporter mal face à la gestion des finances publiques. J’espère que les cadres qui entourent IBK comprendront que leur rôle doit être sans faille pour le bonheur du peuple malien. Que les maliens dirigeants soient sérieux, pour le bonheur du peuple maliens. Qu’Allah le tout puissant aide et protège le Mali. Que chaque malien refuse le “n’tagnini” (la recherche de ma part).

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