Landerneau politique – Adema-Pasj : “Croyez-vous que nous allons jeter notre parti dans la gueule du chien ?”, lance un vieux du Pasj

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BE ADEMA.Etaient à l’ordre du jour de la 13ème conférence nationale de l’Alliance pour la Démocratie au Mali – Parti Africain pour la Solidarité et la Justice (Adéma – Pasj). Conférence qui a occulté l’essentiel sauf une tentative de plaidoyer du revenant professeur Tiémoko Sangaré pour se faire plaisir et tenter de se mettre dans le diapason des jeunes leaders incontournables de l’heure.
Après plusieurs tentatives vouées à l’échec, le parti de feu Abdrahamane Baba Touré a tenu sa conférence nationale statutaire. Non sans difficultés majeures inhérentes à une tentative de vieux avares sans base conséquente de mettre les jeunes leaders au sommet de leur art.
En effet, l’organisation de cette conférence revêt une importance capitale pour le professeur Sangaré. Etant tant contesté alors qu’il entend se confirmer à la présidence du parti, il lui fallait se choisir un thème d’actualité pour se dérober de la réalité au sein du parti. Il a, semble-t-il, réussi son pari. Désormais courtisan du sage professeur émérite Dioncounda Traoré, Tiémoko cherche à ce que le jeune Dramane Dembélé et son grand frère Abdel Karim Konaté puissent s’aligner avec lui. Si ceux-ci n’entendent pas se battre pour la présidence, selon des proches du parti, ils veulent être respectés et considérés au vu de leur poids actuel au sein de la ruche. Sans cela, la cause serait perdue et l’un et l’autre va tirer la conséquence afin de se décider pour la suite des événements.
En attendant, presque sans base réelle, les prétendants au fauteuil de la présidence, Tiémoko Sangaré et Moustaph Dicko sont deux lourds au poids mouche. D’autant plus qu’au sein du parti, ils ne répondent pas aux aspirations du peuple Adéma. Pour plusieurs raisons dont ce qui choque plus est leur avarice. Peut-on éternellement se servir du parti sans le servir ? S’interrogent bon nombre de militants.
Et ce vieux acteur de première heure d’ajouter : “Nous, pauvres enseignants sans salaire mensuel mais trimestriel cotisaient pour entretenir l’association jusqu’à la chute du régime sanguinaire de Moussa Traoré. Mais ni Tiémoko encore moins Moustaph qui furent tous ministres n’ont jamais fait un geste salutaire pour le parti. Sauf si je ne suis pas au courant. Sinon, Alpha, IBK, Soumi, SBM, Dioncounda, Marimatia, Mme Konté, Adama Sangaré, Mme Sy et son mari entre autres ont toujours servi le parti. Aujourd’hui Empé, Dra, Imbarcawane sont là à répondre aux sollicitations de toutes les couches du parti. Croyez-vous que nous allons jeter notre parti dans la gueule du chien ? Non et non ! Qu’ils se battent pour autre chose mais pas pour présider notre parti. Car, cela serait un déclin, une implosion à un moment où nous souhaiterions que tout le monde revienne. C’est-à-dire IBK, Soumi, Boubeye, Modibo Sidibé, Zoumana Mory, etc. afin que nous
redevenions le 2ème parti de l’Afrique après l’ANC de Mandela. C’est en tout cas mon souhait et je pense que c’est celui d’AOK qui même de loin ne va jamais accepté que ce parti aille dans les ténèbres.”
Boubacar DABO

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4 COMMENTAIRES

  1. Il n’y a pas de Chien à l’ADEMA, un peu de respect pour les cadres qui ont dirigé et qui continue de diriger ce pays.
    Le grand problème de l’ADEMA c’est que le Parti a été géré par une presse qui lance des flèches et les pousse à la déroute pour mieux se répositionner et critiquer. Dire que Tiemoko Sangaré et Moustapha Dicko n’ont pas de base relève de méconnaissance du Mali démocratique et de la pauvreté intellectuelle.
    Le Professeur Tiemoko Sangaré a été le premier président du groupe parleementaire ADEMA en 1992 et grâce à lui l’ADEMA a gagné les partielles après la mort de Sinayko dit Gaucher à Bougouni durant la législature 2007.
    Moustapha Dicko n’a jamais été battu à Douentza. S’il y a un leader politique qui a un idéal, qui milite dans l’ADEMA, qui n’est pas avare, Moustapha est un des rares. ATT a tout fait pour l’enterrer, il n’a pas pu. Faites un tour de terrain et revoyer les militants ADEMA pour parler de ce parti. Ton article n’influencera personne.
    Marimantia Diarra qui a aidé Iba Ndiaye et le groupe de 10 à faire échouer Soumaila Cissé, candidat de l’ADEMA en 2002 n’est pas un exemple pour défendre les intérêts de l’ADEMA.
    Abdoulkarim Konaté dit Ampé qui a tout fait pour phacocyter la section ADEMA de Douentza entre 2001 et 2007 n’est pas un exemple. Il a financé, les indépendants contre l’ADEMA en 2004, pire Ampé a informé tous les autres de la mise en place de l’ADP à Douentza sans informer son parti, l’ADEMA. Il n’est un porteur des valeurs de l’ADEMA.
    Ousmane Sy qui a suspendu les maires ADEMA du district et la commune I sans raison juste pour humilier des militants n’est pas un exemple à suivre. Sachant que les ministres de la transition ne pouvaient pas se présenter aux élections présidentielles, en sa qualité de secrétaire général de la présidence en se lançant pour les primaires, il a montré son incapacité de respecter la loi.
    Malgré les millions investis par le PSP, les ménaces des fonctionnaires rmée politisé et l’administration instrumentalisée, il a fallu faire voter les absents depuis le samedi dans les communes de Diaptodji, DangolBoré et autres pour nommer des députés en 2007 à Douentza et ATT et son prefet le regretteront toute leur vie durant. Moustapha Dicko, Tiemoko Sangaré, Mme Sy, Kadiatou Sow et Mme Konté sont les porteurs des valeurs de l’ADEMA et pourront réorganiser le Parti.
    Personne dans ce monde ne fera dévier les militants dans leurs choix de porter des hommes et des femmes responsables et capables de diriger à la tête du parti pour Koulouba 2018. Moustapha Dicko est l’un des rares cadres qui a montré sa fidélité au parti et respecter les décisions comme en 2007 et 2013. Grâce au soutien de Moustapha Dicko de 5 442 voix, IBK s’est retrouvé au second tour avec plus de 30 000 voix à Douentza creusant un écart de près de 7000 voix. Au premier tour Soumi était en tête avec plus de 17 000 voix.
    Monsieur le Journaliste cherche deux autres cadres ADEMA qui n’ont pas de base pas Moustaph et Tiemoko Sangaré.
    L’ADEMA ne se trompera plus et ne suivra pas les petit mots de la presse au service des ennemis du parti pour confier ses destinées aux amateurs qui laissent les membres se moquer des textes.
    Militants ADEMA, prennez vos responsabilités comme l’a dit le secrétaire général de la section de Tombouctou.

  2. Le grand problème de l’ADEMA c’est que le Parti a été géré par une presse qui lance des flèches et les pousse à la déroute pour mieux se répositionner. Dire que Tiemoko Sangaré et Moustapha Dicko n’ont pas de base relève de méconnaissance du Mali démocratique et la pauvreté intellectuelle.
    Le Professeur Tiemoko Sangaré a été le premier président du groupe parleementaire ADEMA en 1992 et grâce à lui l’ADEMA a gagné les partielles après la mort de Sinayko dit Gaucher à Bougouni.
    Moustapha Dicko n’a jamais été battu à Douentza. S’il y a un leader politique qui a un idéal, qui milite dans l’ADEMA, qui n’est pas avare, Moustapha est un des rares. ATT a tout fait pour l’enterrer, il n’a pas pu. Faire un tour de terrain et revoyer les militants ADEMA pour parler de ce parti. Ton article n’influencera personne.
    Marimantia Diarra qui aidé Iba Ndiaye et le groupe de 10 à faire Soumaila Cissé, candidat de l’ADEMA n’est pas un exemple.
    Abdoulkarim Konaté dit Ampé qui a tout faire pour phacocyte la section de Douentza entre 2001 et 2004 n’est pas un exemple. Il a financé, les indépendants contre l’ADEMA en 2004, pire Ampé a informé tous les autres de la mise en place de l’ADP à Douentza sans informé son parti, il n’est un porteur des valeurs de l’ADEMA.
    Ousmane Sy qui a suspendu les maires ADEMA du district et la commune I sans raison pour humilier des militants n’est pas un exemple à suivre. Sachant les ministres de la transition ne pouvaient pas se présenter aux élections présidentielles, en sa qualité de secrétaire général de la présidence en se lançant pour les primaires, il a montré son incapacité de respecter la loi. Malgré les millions investis, l’armée politisé et l’administration instrumentalisée, il a fallu faire voter les absents le samedi dans les communes de Diaptodji, DangolBoré et autres pour nommer des députés en 2007. Moustapha Dicko, Tiemoko Sangaré, Mme Sy, Kadiatou Sow et Mme Konté sont les porteurs des valeurs de l’ADEMA.
    Personne dans ce monde ne fera dévier les militants dans leurs choix de porter des hommes et des femmes capables de diriger à la tête du parti pour Koulouba 2018. Moustapha Dicko est l’un des rares cadres qui a montré sa fidélité au parti et respecter les décisions comme en 2007. Grâce au soutien de Moustapha Dicko de 5 442 voix, IBK s’est retrouvé au second tour avec plus de 30 000 voix à Douentza creusant un écart de près de 7000 voix. Au premier tour Soumi était en tête avec plus de 17 000 voix.
    Monsieur le Journaliste cherche deux autres qui n’ont pas de base pas Moustaph et Tiemoko.
    L’ADEMA ne se trompera plus pour confier ses destinées aux amateurs qui laissent les membres se moquer des textes.
    Militants ADEMA, prennez vos responsabilités comme l’a dit le secrétaire général de la section de Tombouctou.

  3. Ce journaliste doit être pendu tt simplement, commenter le comportement de ces gens sans pour au tant les connaitre est aberrant, traiter Moustaphe d’avare, ce k tu ne connais pas l’homme, Ministre a trois reprises et on le traite encore de pauvre, doit suffire pr ta gouverne ou bien il doit puer ce pays kom le font la plus part de nos dirigeants et ensuite le redistribuer a ton vieux a la con qui attend des sou pr voter pr un candidat, qu’il aille chercher ailleurs :

  4. …’ Croyez-vous que nous allons jeter notre parti dans la gueule du chien ?…’ …///…

    …dans la gueule du chien ?… Non ! Mais continuer à laisser la Ruse aux abeilles… oui ! Sans discriminer… C’est bien …!

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