Rien n’est moins sûr, sachant bel et bien qu’à l’Adema, il y a beaucoup de cadres qui naviguent en eau trouble. La cohésion du parti est menacée car les candidats à la candidature du parti aux élections présidentielles sont nombreux. Si l’on ne procédait pas par le vote, la désignation d’un candidat consensuel enlèverait tout sens au pluralisme de candidatures. En outre, il n’est un secret pour aucun observateur averti de la scène politique, en particulier de l’Adema que la désignation d’un candidat consensuel suscitera des frustrations.
Si c’était le cas ce sont les chances du parti qui seraient fortement réduites à l’occasion des présidentielles de 2013. Jusqu’ici à l’Adema, il n’y a pas de candidat qui fasse l’unanimité. C’est cela le gros problème. Cette équation sera très difficile à résoudre le moins qu’on puisse dire, c’est que l’Adéma part fragilisé aux élections présidentielles de 2013.
D’ailleurs, la cohésion du parti n’arrange pas les autres formations politiques qui redoutent toujours sa force électorale, sa capacité de mobilisation. Au rythme où les choses vont à l’Adéma, les probabilités sont maigres avec son candidat désigné par la commission de bons offices, que ce parti fasse des miracles à l’occasion des élections présidentielles qui pointent à l’horizon. Si les cadres et responsables du parti ne prennent garde, ils contribueront à sa perte.
Le choix de Dramane Dembélé, ce qui est sûr, ne fera pas l’unanimité. Certes c’est un cadre valable du parti, mais il n’a pas une envergure nationale au plan politique. La plupart des candidats à la candidature du parti n’accepteront pas de rouler pour lui. Ainsi, avec le choix de Dramane Dembélé, fut- il par souci du renouveau, les adémistes peuvent être certains qu’ils ne remporteront pas les élections présidentielles de 2013. Il semble qu’ils aient décalé de devenir plutôt une force d’appoint, un faiseur de roi. Le temps nous en dira.
Tiémoko Traoré
en tout cas, celui la n’as pas la tete d’un chef d’etat. il ya beaucoup d’autres par leur nom seulement ils sont aimer. mais le nom de ce monsieur n’es pas presidentiel. de toute les facons il ne seras pas voter par les maliens. il viens d’ou?
Le Mali n’a pas forcément à perdre si ADEMA passe à l’opposition.
Il faut que Mali arrive à la bipolarisation de la vie politique. Mais à condition d’avoir une majorité claire qui gouverne le pays pas la petite combinaison que l’on a connue sous ATT. Ainsi, cela permettra à ADEMA de revoir ses fondamentaux et s’opposer efficacement afin de proposer un projet alternatif crédible. Peut-être, je vais trop vite car je dessine l’après-présidentielle mais si Dramane Dembélé n’y accédait pas à la présidence de la république en 2013, la carte jeunesse lui permettrait toutefois de se reconstruire et de revenir mais à condition d’être constant idéologiquement.
En effet, la politique au Mali est une industrie qui rapporte de la richesse et du confort personnel. C’est tout le contraire, de ce je pense de la politique: la politique est une vocation. La vocation de participer et de construire une nation forte en se mettant au service de l’intérêt général. S’opposer, c’est difficile et non payant.
l’air du changement est venue, HE ADEMA mogow, ha tè sabali sa:::::::::ns avons pas besoins de vous, laisse la voix a des patriotes
l’air du changement est venue, Les Malien ont déjà tire les leçons, les gros caïman son caches,dit moi qui tu es; je te dirai ce que les gens de ADEMA pense, nous avons besoin des patriote pour ce pays, et non les petit et les MOYEN CAIMAN……..
Hum ces gens roulent pour qui ?
C’est Dieu qui a fait ce choix pour que l’adema perde. Ce parti ne mérite pas de diriger le Mali.
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