Nous avons alerté le peuple sur l’issue des élections législatives de 2020. Nous avons pensé que pour une fois au moins on espérait que la Cour Constitutionnelle mettra sa conscience nationale et sa clause de conscience en éveil pour sauver le système électoral au Mali.
Malheureusement, le journal Nouvel Horizon dans sa parution du mardi 9 juin 2020 nous révèle : qu’avec la cour de la controverse, les jours de Manassa Danioko semblent compter. Soixante-douze (72) heures après la marche du vendredi 5 juin, les négociations entre le gouvernement et la société civile se décantent. La team de la fusible car, un accord est en passe d’être trouvé pour la fin de mission des sages de l’institution à l’origine des tensions.
Après la tempête populaire du Boulevard de l’Indépendance, place aux pourparlers. A travers un communiqué, l’équipe du Dr Boubou Cissé avait dit : « Dans la foulée du Conseil des ministres, tout sera clair car, même s’il ne démissionnait pas avant l’heure, Boua est quand même dos au mur. Il lui faut un fusible pour se tirer d’affaire et la première tête qui va tomber semble être trouvée !. » au dialogue via son porte-parole. Si la majorité présidentielle multiplie les rencontres à l’Hôtel de l’Amitié pour tirer les leçons de la crise actuelle, en sourdine ça négocie. Il nous revient que des émissaires des mouvements concernés ont été du côté de la cité ministérielle.
Parmi les points au cœur des débats, il y avait la question de la dissolution de l’Assemblée Nationale et de la Cour Constitutionnelle. Cette dernière institution citée pourrait voir les neuf (09) sages rendre le tablier. Autrement dit, Manassa Danioko et compagnie seraient en passe d’être limogés. Les résultats définitifs publiés par l’institution située près de l’Hôtel Sheraton passent mal et sont à l’origine de la grogne sociale de la vox populi.
Pire, la présidente aux affaires, depuis mars 2015, a snobé à maintes reprises les manifestants en sortant des communiqués dissuasifs. Ce qui aura sapé les négociations à fin d’empêcher la tenue de la marche qui tendait à se transporter dans le domicile de son employeur : Ibrahim Boubacar Keïta.
De sources bien introduites provenant de la cité, où sont logés les ministères du Mali, précisent que son cas aurait été acté. Il n’est donc pas exclu d’entendre bientôt la fin de mission de celle qui aura été avant, pendant et à la fin de la crise. Par contre, le dauphin constitutionnel actuellement à Mopti, pourrait bien continuer sa mission.
Si la tête de l’honorable Moussa Timbiné est réclamée par les frondeurs pour avoir été repêché par cette même Cour Constitutionnelle et a commis la bourde de remercier le Chef d’Etat de l’avoir installé, son départ n’a pas été acté.
Les échos des négociations indiquent qu’il y a blocage autour d’une dissolution du Parlement. Le pouvoir n’a pas cédé sur ce point, chose compréhensible car, il semble être prévu que les partis des frustrés soient consolés avec le remaniement gouvernemental.
Une sortie du Chef de l’Etat est attendue pour savoir ce qui sera décidé enfin de compte. Il est évident que dans la fièvre du Conseil des ministres, tout sera clair car, même s’il ne vidait pas le plancher avant l’heure, Boua est quand même dos au mur. Il lui faut un fusible pour se tirer d’affaire et la première tête qui doit tomber semble être trouvée !
L’Assemblée Nationale est également citée pour être dissoute.
La Rédaction
LA COUR CONSTITUTIONNELLE DOIT ÊTRE REVUE AVEC UN NETTOYAGE SYSTÉMATIQUE. VOUS SAVEZ ON PEUT APPORTER UN RADICAL SANS EFFUSION DE SANG ; SANS COUP D’ÉTAT ET SANS TROUBLES À L’ORDRE GÉNÉRALISÉ. PAR EXEMPLE ; LES MARCHES DE CONTESTATION SE MULTIPLIENT AYANT ABOUTI À L’ADHÉSION DE L’ARMÉE ; VUE L’AMPLEUR DU MOUVEMENT ; IL AURA CRAINTE FORCÉMENT AU NIVEAU DES GOUVERNANTS ET LE CHANGEMENT SE DÉDUIT AUTOMATIQUEMENT SANS EFFUSION DE SANG ET SANS COUP D’ÉTAT. LE MALI N’A PAS BESOIN DE COUP D’ÉTAT. LE CHANGEMENT RADICAL PEUT SE FAIRE SANS EFFUSION. LE PROBLÈME APRÈS C’EST COMMENT CHOISIR LES HOMMES VALABLES, HONNÊTES, JUSTES ET INTÈGRES ? C’EST LE GROS ET GRAND POINT D’INTERROGATION. MAIS C’EST TRÈS SIMPLE. CHOISISSONS DES CADRES QUI ONT DÉJÀ DÉMONTRÉ LEUR PREUVE DANS LA GESTION DE CE PAYS. C’EST AUSSI SIMPLE QUE ÇA. FAISONS ASTRONOMIQUEMENT ÉLOIGNER LES RELIGIONS DE LA VIE POLITIQUE DU PAYS. VRAIMENT. LÈS RELIGIEUX (CHRÉTIENS ET MUSULMANS ) DOIVENT NOUS MONTRER UNIQUEMENT LE CHEMIN ET COMMENT ATTEINDRE LE BON DIEU. VRAIMENT. AVEC LE CHOIX DE CES CADRES HONNÊTES ET INTÈGRES ; TOUS LES PROBLÈMES (ÉCOLE, ARMÉE, FONCTION PUBLIQUE, DOUANE ; RÉBELLION, URBANISATION, POLICE ETC…) SERONT EN GRANDE PARTIE RÉSOLUS AVEC CES CADRES HONNÊTES ET INTÈGRES Â LA TÊTE DES AFFAIRES DE L’ÉTAT DE L’ÉTAT; TOUS LES FLÉAUX (CORRUPTION, NÉPOTISME, AFFAIRISME, VOL INTELLIGENT ETC…) SERONT ÉGALEMENT STOPPÉS EN GRANDE PARTIE AUSSI. PARMI CES CADRES HONNÊTES ET INTÈGRES IL Y A SOUMANA SACKO AVEC CUMUL DE FONCTIONS (PRÉSIDENT ; PREMIER MINISTRE ET MINISTRE DES FINANCES ET DE L’ÉCONOMIE ); MALICK COULIBALY MINISTRE DE LA JUSTICE ; MAHAMADOU KASSOGUE DIRECTEUR PÔLE ÉCONOMIQUE ET FINANCIER ET CHEICK OUMAR CISSOKO LE CINÉASTE OU MOUSSA SINKO COULIBALY CHEF DES ARMÉES. CES CADRES HONNÊTES ET INTÈGRES SERONT IMPARTIAUX DANS LA VIE DE CE PAYS. POUR UN MALI FORT; SOYONS TRÈS DURS ET RADICAUX DANS LE CHOIX DES CADRES. VRAIMENT. SINON TROP C’EST TROP. ÉVITONS DE RESTER TOUJOURS DANS LA CASE DE DÉPART. VRAIMENT. HEY ALLAH DEH BOUGEONS UN PEU ÇA. VRAIMENT. QUE DIEU SAUVE NOTRE MALI. AMEN AMEN YARABI. MERCI BEAUCOUP.
Il faut que ces 0GR0CCIЀNTR0LLATLANTI$T€$ cessent de jouer les Ѐ$C€NDANT$ de ЀAL€UR0PÉ€N$ $P€CULAT€UR0PÉ€N$ avec leurs ÐR0G0CCIЀNTAL€$ & C€$$€NT de J0U€R les P€TIT$_CH€F$ et de faire leurs PR0C€$_D’INT€NTION!
et feraient mieux de s’occuper de ça !
midilibre.fr/2021/06/06/sale-negresse-sale-noire-carrefour-porte-plainte-apres-des-insultes-racistes-contre-une-employee-a-anemasse-9589219.php
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