La fin de la superstition : La superstition est-elle une réalité pour la nouvelle génération ?

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Ibrahim Boubacar Keïta, IBK, à Bamako, 25 juillet 2013. RFI
Ibrahim Boubacar Keïta, IBK, à Bamako, 25 juillet 2013.
RFI

La génération 21 ne croit plus à la superstition à cause des mensonges. Selon les jeunes d’aujourd’hui, il n’y a eu jamais de mythe mais des imaginations.

 

 

Cette philosophie qui était gravée dans la mémoire des gens, qui disait que depuis le jour où le pouvoir d’Almamy Samory Touré a pris fin au pont de Woyowanyankô, tous ceux ou celles qui résideront derrière le pont Woyowanyankô ne deviendront jamais le président de ce pays.

 

 

Le 15 Août 2013 a mis fin à cette pensée, après la proclamation des résultats provisoires des élections présidentielles de 2013, par le ministre de l’administration territoriale, le général Moussa Sinko Coulibaly. Depuis le jour que les gens ont appris la candidature d’Ibrahim Boubacar Keita (IBK) à l’élection présidentielle de 2002 au Mali, cette superstition à fait croire aux autres candidats qu’IBK ne sera jamais président de la République du Mali, qu’il ne fait que jeter son argent par la fenêtre.

 

Dieu merci, aujourd’hui Ibrahim Boubacar Keita (IBK) sera le 3ème président du Mali démocratique.

 

Un nouveau chef de l’Etat qui n’a jamais quitté son quartier de résidence depuis son retour au pays, après 26 années d’absence. Les gens ne vont plus croire à des superstitions à cause de cette imagination inutile qui a duré tant d’années. Alors, le mythe est tombé.

Mamadou Salif DOUMBIA

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4 COMMENTAIRES

  1. Maintenant que IBK à été élu avec le soutien d’une partie des musulmans partisans de Boué de Nioro et les militants de Sabati 2012, alors nous demandons que IBK après sa prestation, organise un grand meeting au stade du 26 mars pour prêter serment sur le Coran afin de ne pas trahir le Mali. Boyan Bè Mandé, Boyan Ma Séki Fana Bè Mandé

    • Rien n’oblige IBK a prêter serment sur le SAINT CORAN. La constitution du 25 février 1992 encore moins la la loi electorale n’exigent du Président élu de la République du Mali de jurer sur le saint oran ou sur la bible ou sur les fétiches, vu la laïcité de notre Etat. Où étais tu pour ne pas reclamer cette pratique de ses prédecesseurs. Le taux de partcipation et sa victoire nette et indiscutable demontrent suffisamment que le peuple est avec lui.

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