La convergence des Amis de Soumaïla Cissé : « Soumaïla Cissé une chance pour le Mali démocratique » dixit Mama Sylla

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La place de l’indépendance  de Sikasso a refusé du monde ce samedi 30 juillet 2011 lors de la cérémonie officielle de lancement des activités du Club des amis de Soumaila Cissé. C’était sous la présidence de Mama Sylla, président de la Casc en présence de nombreux cadres de l’Urd venus de Bamako pour la cause. 

 

Après la création de la Convergence des amis de Soumaïla Cissé (CASC) le 9 juillet 2011 seulement semaines après Mama Sylla, l’ancien maire de Sikasso et président de la CASC a mobilisé du beau monde sur la place de l’indépendance au quartier Sanoubougou I pour le lancement des activités de l’association.

 

 Mama Sylla n’a de cesse de répéter que l’objectif de cette convergence est d’assurer une victoire éclatante à son champion  Soumi à l’élection présidentielle de 2012, en tout cas dans la région de Sikasso. Pour lui, la convergence des Amis de Soumaïla a été créée pour diriger le Mali d’une autre manière. Il a pris l’engagement devant tous de ne ménager aucun effort, aucune ressource afin de porter Soumaïla Cissé à la magistrature suprême de notre pays. Aujourd’hui, la convergence  compte plus 5.000 volontaires dans la seule ville de Sikasso, des volontaires qui ont tous juré fidélité à leur ami commun Soumaïla Cissé. Le président de la convergence a déclaré que la force de l’association, ici à Sikasso repose sur des jeunes diplômés sans emploi, des enseignants de toutes catégories  confondues, d’associations de femmes. Ils sont convaincus que Soumaïla Cissé a des solutions aux maux dont souffre la population de Kénédougou.

 

Pourquoi le soutien à la candidature de Soumaïla Cissé ?

Aux dires du président de la convergence, Soumaïla Cissé est un homme cultivé qui a l’amour de Sikasso, l’amour de son pays. Il connaît le Mali, l’Afrique et le reste du monde pour avoir occupé des postes clés tels que le ministère de l’Agriculture, celui de l’Economie, des Transports et de l’Equipement. Il est aussi à son deuxième mandat  à la tête de la commission de l’Uemoa. Pendant ces longues années, il a été à l’écoute des chefs d’Etat et a pu ainsi s’imprégner des problèmes financiers des pays de la sous région. Il est aujourd’hui à mieux proposer des solutions aux problèmes de développement de chacun des 15 Etats membres, a ajouté M. Mama Sylla.

 

Pour lui, l’homme connaît mieux les problèmes et solutions à court, moyen et long termes. Il maitrise les problèmes de développement que sont l’école, l’agriculture, la santé, l’emploi des jeunes, les femmes, la compétitivité de nos produits entre autre.

 

« Soumaïla Cissé est un économiste chevronné dont les compétences ne sont plus à démontrer au niveau national et international » a dit le président de la convergence. Mama a aussi rappelé  que la République du Mali a été dirigée par les enseignants et les militaires, il est encore temps d’accorder la chance à un économiste, avant d’ajouter que l’heure de Soumaïla Cissé a maintenant sonné.

 

L’homme au chapelet long a salué et remercié tous ceux qui ont effectué le déplacement de leurs quartiers ainsi que les 28 villages environnants. Il a étendu les mêmes  salutations au président de la République du Mali, Amadou Toumani Touré pour les nombreuses réalisations faites depuis 2002 au profit des populations.

Envoyé spécial à Sikasso

Boubèye Maïga

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

Lomé, 22 Juillet 2011 – Le Président du Réseau africain des journalistes  sur la sécurité humaine et la paix (RAJOSEP), Sylvio Combey COMBETEY a participé du 04 au 15 Juillet 2011, à un stage de formation sur la consolidation de la paix à Bamako, au Mali.

Le Président du Réseau africain des journalistes sur la sécurité humaine et la paix (RAJOSEP), Sylvio Combey COMBETEY a été sélectionné et a pris part au sixième stage de formation sur la consolidation de la paix auxquels ont pris part des cadres civils, des policiers, des militaires ainsi certains agents de la Force Africaine en Attente.

 

C’était à l’Ecole de Maintien de la Paix Alioune Blondin Beye.

Pendant onze jours, les participants ont été, entre autres, outillés sur la notion de l’Etat de droit et de justice transitionnelle, la sécurité humaine, les dimensions humanitaires dans les opérations de consolidation de la paix, la coordination Civilo-Militaire, le droit humanitaire et la bonne gouvernance.

Ils se sont aussi frottés à l’exercice « Mérango » qui consistait à s’approprier d’un conflit d’un pays imaginaire, inspirés des éléments de conflit de certains pays africains ; d’étudier les différents moyens de sortie de crise et de proposer un plan d’action. Un représentant spécial du Secrétaire Général de l’ONU a eu à apprécier les différentes stratégies et plans d’actions proposés.

Les participants ont aussi eu à faire des exercices pratiques à l’instar des missions de maintien de la paix dans les zones de conflits armés.

Au total, Vingt cinq participants issus de 15 pays du continent africain. La formation a été assurée par des experts et d’éminents professeurs d’université venus des Etats Unis d’Amérique et de la France de même que des cadres de l’EMP Bamako.

Ce stage de formation est le troisième du genre dont a bénéficié le RAJOSEP à l’EMP Bamako, depuis janvier 2011.

Le Réseau africain des journalistes sur la sécurité humaine et la paix (RAJOSEP), est un regroupement à but non lucratif de professionnels de l’information et de la communication. Il a été créé le 17 décembre 2010 et a son siège à Lomé, au Togo.

Note sur le RAJOSEP

Le RAJOSEP se veut un Réseau panafricain qui se donne entre autres objectifs de: 

·         promouvoir un  journalisme axé sur la sécurité humaine, la prévention des conflits, les enjeux des armes légères et de petit calibre et le maintien de la paix ;

·         renforcer les capacités des professionnels de l’information et de la communication à produire des informations objectives sur les questions de sécurité humaine et de paix auxquelles l’Afrique est confrontée, et,

·         accompagner toute action visant un réel développement des populations africaines

 

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