Relance du développement économique, défense et sécurité, éducation, lutte contre la corruption, l’agriculture… les fondements d’un quinquennat prometteur en septembre 2013 ont été effondrés. Le laxisme dans certains dossiers brûlants et le mépris envers le peuple ont eu raison de l’homme providentiel.
Se référant aux réalisations qu’il considère comme des acquis durant les cinq ans, Ibrahim Boubacar Keita a sollicité lundi, depuis sa résidence à Sébénikoro, un nouveau mandat. «Je vous demande de renouveler votre confiance en moi», s’adresse-t-il ainsi aux Maliens.
IBK a coupé court aux rumeurs à travers cette déclaration officielle sur les antennes de la télévision nationale, l’ORTM. Dans une adresse d’une dizaine de minutes, IBK est revenu sur les conditions particulières de sa prise de pouvoir le 4 septembre 2013.
«J’ai trouvé un Etat menacé dans son existence où il fallait s’engager sur les fondements. Et à la recherche de conditions meilleures aux Maliens, nous nous sommes attelés dans les domaines prioritaires notamment la santé, l’éducation, l’agriculture et bien attendu la sécurité. Les efforts conjugués des uns et des autres ont permis d’enregistrer des acquis…» s’auto congratule-t-il.
Cette déclaration chez soi n’est-elle pas un désaveu pour la plateforme qui voulait soutenir sa candidature ? En tout état de cause, des Maliens s’interrogent sur ce qu’il appelle acquis. Pour bon nombre de Maliens, l’urgence d’une nation meurtrie et fracturée qu’IBK a prise en 2013 reste d’actualité.
La République reste affaiblie et se fissure. Le Mali est aujourd’hui un pays humilié et paupérisé.
Après le nord, c’est le centre de notre pays qui s’embrase. Des violences intercommunautaires se déroulent dans un silence coupable. C’est grave et inacceptable. IBK n’a pas créé les conditions d’une réconciliation intercommunautaire. Le président IBK ne s’est pas engagé dans un processus politique pour résoudre la crise au centre. Le processus n’a pas été fondé sur un dialogue intra et intercommunautaire afin que les populations de ces régions conviennent des conditions de leur cohabitation et de leur accès aux ressources naturelles de leur contrée, dans la paix et la concorde. L’Accord d’Alger, qui était d’une importance capitale dans notre quête de paix et de réconciliation, souffre dans sa mise en œuvre.
Selon une frange importante de la population, en 2013, les enjeux de la présidentielle étaient la sécurité, la paix, l’éducation…Cinq ans après, les mêmes défis restent d’actualité. La guerre au Mali a enregistré des milliers de victimes. Les soldats de la paix et Barkhane ont perdu des centaines d’hommes dans leurs rangs.
Selon le Haut-commissariat de l’Onu pour les réfugiés (HCR), plus de 44.000 personnes ont fui vers la Mauritanie, le Niger et le Burkina Faso, alors qu’ils étaient 22.000 en date du 7 février. 4,1 millions de Maliens ont besoin, cette année, d’une assistance humanitaire, soit 400 000 personnes de plus qu’en 2017.
Ces estimations du bureau de coordination humanitaire des Nations unies au Mali sont les conséquences directes du déficit pluviométrique, de la décrue précoce du fleuve Niger et de l’insuffisance des financements en 2017.
À l’échelle du pays, plus de 500 écoles étaient fermées dans les zones touchées par l’insécurité. Selon le «Cluster Éducation», environ 150.000 enfants sont déscolarisés ou non-scolarisés du fait de ces fermetures d’écoles. Par ailleurs, environ 1.630 enseignants sont absents dans les zones touchées par l’insécurité. Malgré l’ampleur des besoins, la capacité de réponse des partenaires humanitaires est grandement limitée faute de ressources. IBK n’a pas comblé les attentes.
La division de ses adversaires
Ces cinq dernières années, Soumi a mis sur pied son parti, conçu comme une machine à gagner. Mais lors de cette élection présidentielle, le challenger à IBK profitera aussi des faiblesses de la CMP en perte de vitesse. Sur 67 partis signataires de la CMP, une vingtaine a quitté la majorité. Il s’agit de l’Amat, le Pdp, le Psd, le Rpd, le Pdd, le Rcd, le Pdj, l’Ades, le Pecsam, le Mdd, le Pso, l’Adpem, Monade, Adp-Maliba, Yelema, Cnid et Codem.
En plus des défections dans la famille présidentielle. Alors, qui voudra encore confier le destin des Maliens à IBK ?
Zan Diarra
👤EST CE QUE UN DE VOS GRANDS SIRIFOUW NE SERAIT PAS CANDIDAT?…SI OUI, VOTEZ POUR EUX ALORS LE MALI SERA RATTACHE AU ROYAUME SAOUDIEN OU AU QATAR, …SI VOUS VOTEZ SOUMAILA OU SIDIBE VOUS SEREZ TOUS COMME EUX RAMASSEURS DE POUBELLES-FRANCAIS COMME AU SENEGAL,,LAISSEZ IBK TRAVAILLER ET PARRACHEVER SON OEUVRE DE REDRESSEMENT ET DE RECONSTRUCTION!..AINSI, LE SUIVANT SERA MIEUX JUGE!..,.APRES DIX ANS!..👤
Le Mali peut compter quelques fous comme “Combats Ideologiques” ou le roi BIDON de segou ou le Bouare Djeli, mais je ne pense pas que les autres 17 millions et quelques de Maliens sont fous au point de remettre leur destin entre les mains d’IBK le Mande Fougari Keba, le Mande Djito Keba ani Mande Zon Keba.
😊faut-il encore confier le destin de 18 millions de Maliens à IBK ?😊
👤POUR QUI SAIT D OU VIENT CE PAYS?…POUR TOUS QUI SURTOUT DE L EXTERIEUR ONT VU LEUR PATRIE DISPARAITRE SOUS LES ACTIONS DE CES MEMES POLITICIENS CANDIDATS PROFESSIONELS AUX PRESIDENTIELLES, SORTIS DES ECOLES A PRESIDENTS ET NON D HOMMES DE TRAVAIL ET D IMPOTS AU BENEFICES DE LA NATION, ……POUR CEUX LA QUI ONT CONSCIEMENT VU LE MALI REVENIR DIPLOMATIQUEMENT, SOCIALEMENT, MILITAIREMENT, ECONOMIQUEMENT TOUT COMBINE PAR LES EFFORTS DE TOUT UN CHACUN GRACE A L ESPOIR ET L ASSURANCE DONNEES PAR SES GOURVERNEMENTS SOUS IBK, DES DIZAINES D HOMMES ET FEMMES MINISTRES ONT AMENE LE PAYS A UN RESULTAT POSITIF A NE PAS ISURPER , NIER, ANEANTIR, MAIS…CONSOLIDER PAR LA CONTINUITE LA PERSEVERENCE ET LE SOUTIEN STRATEGIQUE A IBK!….IL VAUT MIEUX QUE CES AUTRES SOUS-IBK AFFAMES MALHONNETES ET FENEANTS-A-DEVENIR SEULEMENT PRESIDENTS COMME S IL N Y AURAIT RIEN D AUTRE A FAIRE AU MALI!…👤
👟🐏STRATEGIQUEMENT VOTEZ IBK POUR LA PERSEVERENCE ET LA CONTINUITE D ACTIONS SALVATRICES RESULTATIVES DANS LA DUREE!..🐏👟
Nous sommes fiers du président IBK pour son bilan positive en faveurs du développement de notre pays qui est le mali chantons tous aux choeurs vive IBK pour sa continuité.
C’est grace a lui que nous dormions bien aujourd’hui donc la voix etst libre et claire pour sa reelection.
Les U$A prétendent faire de la dissuasion, mais dans le passé ils ont bombardé la Syrie, pays souverain ou plus recemment ils ont poussé le putsch contre le Venezuela! Tout ça n’était certainement pas pour faire de la dissuasion…
https://www.sudouest.fr/2019/05/24/moyen-orient-les-etats-unis-veulent-pousser-l-iran-a-la-faute-6122339-4803.php
Comme ils ont toujours fait, les U$ cherchent réellement à DÉCLENCHER un CONFLIT MAJEUR!
Mais pourquoi pas les maliens n’ont pas dit non au président Ibk c’est cette bande d’inconscients qui crie sur tout toit sur le mal du Mali si non nous maliens dignes disons oui oui oui à Ibk en 2018.
Nous ne doutons même un instant sur les capacités du pouvoir en place ,donc nous ne voyons pas pourquoi chercher problème ou il n’y a pas .un coup ko.
La question n’a aucun sens vu que le président IBK sera réélu dès le premier tour. Le caractère laïc et républicain de notre pays qui était contesté en 2013 ne l’est plus. Le Mali républicain a été sauvée par le président IBK.
L’armée malienne est en pleine reconstruction avec la loi de l’orientation militaire qui est en cours d’exécution. L’armée de l’air après plus de 20 ans de somnolence a poussé des ailes car le président IBK l’a doté des avions de guerres et de transport de troupe.
L’agriculture malienne n’a jamais eu l’attention des autorités malienne que sous IBK. 15% du budget national est consacré à l’agriculture malienne. La mécanisation de l’agriculture malienne est en marche avec des dons dans toutes les régions de productions des tracteurs. Les intrants sont subventionnés par l’Etat malien.
L’économie malienne n’est jamais aussi bien portée que sous IBK. En effet le budget national a atteint la barre des 2 milles milliards pour la première fois dans l’histoire de ce pays. Et les organismes financiers internationaux comme le FMI ont de nouveau confiance au Mali.
La diplomatie malienne se porte bien aujourd’hui grâce à l’offensive diplomatique du président IBK pour repositionner le Mali sur le plan mondial. Pour rappel le Mali était inscrit sur listes des pays à éviter en 2012. Mais aujourd’hui le Mali est fréquentable et fréquenté.
Les infrastructures routières sont en pleines constructions dans le pays avec la politique national de désenclavement du président IBK. Plusieurs chantiers sont terminés et plusieurs autres en cours.
Le Mali a déjà son saveur qui est le président IBK. A moins que les maliens veulent remplacer leur sauver comme les libyens ont aidé la france à tuer kadhaffi
Le Mali a déjà son sauveur qui est le président IBK. Et les maliens ne feront jamais l’erreur que les libyens ont fait en aidant la france tuer Khadaffi. Le peuple malien sait très bien que tous ces candidats ne sont guidés que par leur propre intérêt. Notre sauveur est déjà dans la maison. Les actions salvatrices sont plus qu’évocatrices. Il y reste donc en 2018.
Comments are closed.