L’organisation de l’élection présidentielle au Mali a finalement coûté 65 milliards de francs CFA (environ 130 millions de dollars) dont une grande partie fournie par les partenaires extérieurs, a rapporté à Xinhua mardi à Bamako le responsable de la communication du ministère de l’Administration territoriale, Gamer Dicko, confirmant les estimations préliminaires.
Destiné à permettre le rétablissement de la paix et d’un régime démocratique au Mali mi à mal par la rébellion du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA, un groupe armé du Nord) lancée en janvier 2012 et le coup d’Etat militaire survenu deux mois plus tard, ce scrutin constituait un défi d’organisation pour les autorités de transition représentées par le président par intérim Dioncounda Traoré.
« Pour nous, l’élection présidentielle est une solution à la crise », a admis Gamer Dicko.
Déjà connu comme un pays pauvre, l’Etat malien a lui-même consacré, a rapporté celui-ci, 25 milliards de francs CFA (50 millions de dollars) de son budget national sur les 65 milliards prévus pour la mise en oeuvre de cette consultation populaire qui, après le premier tour qui mettait en lice un total de 27 candidats, a opposé au second tour Ibrahim Boubacar Keïta, en passe d’être déclaré vainqueur, et Soumaïla Cissé.
« La communauté internationale a apporté le reste, c’est-à- dire les partenaires bilatéraux et multilatéraux au rang desquels l’Union européenne, l’Union africaine, la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, NDLR) et les pays amis du Mali », a précisé le chargé de la communication du ministère de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de l’Aménagement du territoire.
Ces chiffres viennent confirmer les indications préliminaires annoncées il y a plusieurs mois, précisément en février.
Source: Agence de presse Xinhua
Il faut revoir la Constitution et songer à instaurer un mandat présidentiel unique de 8 années au lieu de 5 ans renouvelable. Les élections coûtent trop chères pour un pays pauvre comme le nôtre. Ces 65 milliards pouvaient servir à financer beaucoup de projets de développement.
Une des mesures phares qu’IBK devrait prendre pour donner le signal (rompre avec l’ancien) est de demander l’audit financier du processus qui a conduit à son election. Les premiers voleurs et corrompus TOMBERONT. I DJI DJA IBK. “TOLERANCE ZERO ” tu avais chanté sous tous les toits!
IL VA FALLOIR FINALISER AU PLUS VITE LE RAVEC POUR ENFIN FINIR LA DISTRIBUTION DES CARTES NINA AVANT LES LEGISLATIVES
LES ELECTIONS COMMENCENT A COUTER CHER SOI 12 MILLIARDS PAR AN A PROVISIONNER
J ESPERE QU IBK TROUVERA UNE SOLUTION INFORMATIQUE POUR BAISSER CE COUT !!
Il sera intéressant de chiffre global 65milliards ils nous faut le détail au francs près. il faut la transparence. le travail de IBK doit commencer par ça. les voleurs seront châties pour donner le bon exemple.
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