Kidal : le gouverneur s’installe, IBK en visite

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KidalLe gouverneur de la Région de Kidal, le colonel Adama Kamissoko, s’est enfin installé. Ce qui marque une étape décisive dans le processus de retour de l’Administration dans la région. En effet dans la foulée, les directeurs régionaux de la Santé et du Développement social ont pris fonction. L’installation du gouverneur de la Région de Kidal intervient 4 jours après sa brève visite dans la ville. Une visite cours de laquelle, il avait précisé que l’objet de ce premier contact avec la ville était de faire le point de la situation avant son installation définitive.

 

 

Une tâche urgente attend le gouverneur : la préparation de l’élection présidentielle dont le premier tour est prévu pour le 28 juillet. C’est à cet effet qu’un groupe électrogène a été acheminé hier par avion depuis Bamako afin de faciliter les conditions de travail de l’Administration au moment où le retrait des cartes Nina qui tiennent lieu de cartes d’électeurs bat son plein.

 

 

L’autre fait majeur de la journée de lundi à Kidal est l’arrivée dans la ville d’un candidat à l’élection présidentielle, en l’occurrence  le candidat du RPM, Ibrahim Boubacar Keïta. L’ancien Premier ministre avait quitté Bamako aux environs de midi. La nouvelle avait été rendue publique par un communiqué de son staff de campagne.

 

 

Ibrahim Boubacar Keita est accompagné de plusieurs cadres ressortissant des régions du nord dont l’Ancien ministre Soumeylou Boubèye Maïga, qui est également le coordinateur de sa campagne, Aly Ould El Mocktar de Tombouctou et Sidi Mohamed Ag Attya de Kidal. IBK devait rencontrer à Kidal, la chefferie traditionnelle et les notabilités. Egalement au programme du candidat, un meeting devant ses partisans, militants et sympathisants sur la grande place de la cité de l’Adrar des Ifoghas.

 

 

« En se rendant le premier à la rencontre des Maliennes et des Maliens à Kidal qui focalise toutes les attentions et toutes les passions, moins d’une semaine après le retour de l’administration à travers le gouverneur, le candidat IBK prouve son attachement à l’unité nationale et à l’intégrité territoriale ainsi qu’à la paix et la réconciliation nationale », indique le communiqué annonçant la visite.

 

 

Outre les notables dont Intallah Ag Attaher et Baba Ould Sidi Ahmed, Ibrahim Boubacar Keïta a rendu une visite de courtoisie au gouverneur de Kidal fraîchement installé  ainsi qu’à nos militaires.

A.  DIARRA

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34 COMMENTAIRES

  1. Merci Dabo, Ceux ci sont a etre ecrit en lettre d’or ds les annales du Mali
    1 – IBK se veut un saint parmi les saints contrairement à la réalité.
    2 – IBK ne connaît que la violence comme système de gouvernance politique.
    3 – IBK est cynique.
    4 – Pour IBK, ce sont les autres qui sont toujours en cause
    5 – IBK se dit bourgeois dans un pays qu’il a maintenu dans la pauvreté
    6 – IBK est un revanchard
    7 – C’est clair, rien n’arrête IBK devant la conquête du pouvoir
    8 – IBK est un manager du mensonge politique à outrage.
    9 – IBK n’est pas reconnaissant envers ses serviteurs, en l’occurrence Alpha et ATT.
    10 – IBK se dit « Kankélétigui » alors qu’il est le premier à trahir sa parole donnée. Oui, la mystification la plus scandaleuse de IBK, c’est quand il s’est autoproclamé « Kankeletigi » repris en chœur par ses thuriféraires.

  2. Maintenant que le Gouverneur est labas il court pour aller visiter. Le peureux au moment des troubles il ne parlait meme pas. Seul Mariko a eu le courage d’aller a Kidal. Quel fausse impression de ce bourgeois dans un pays pauvre comme le Mali. Mes freres et soeurs ne vous laisse pas aveugler pas un assoiffe comme IBK. Ou etait ce IBK quand ATT etait au pouvoir? Ou etait ce IBK quand on a enleve un president elu democratiquement a un mois de la fin de son mandant. Qui a soutenu les auteurs de ce coup. Wake up and smell the coffee!

  3. IBK est l’homme de la situation personne ne peut dire le contraire soyons franc entre nous les maliens et maliennes et jettons un coup d’oeil dans le retroviseur du passé il a fait quoi comme mal depuis 1992 jusqu’a nos jours IBK est le seul homme qui peut faire sortir le Mali dans le trou dont il se trouve aujourd’hui ceci etant j’attire l’intention de tous maliens et maliennes a sortir massivement le 28 juillet pour voter IBK

  4. ce quidam n’est qu’un démagogue de la première heure qui ne peut même pas assumer son si notoire et franchement pas glorieux passé politique, et nul besoin de loupe pour le décrypter. mais pis, c’est un hypocrite invétéré qui dit, dans Jeune Afrique, être parmi les “moins nantis” des candidats à l’élection présidentielle et fait au contraire une campagne propagandiste à outrance de pacha ploutocrate… une chose est sure cependant, ce serait très intéressant de voir un électorat de paumés lui accorder les rênes de ce qui reste de ce pays (comme ce fut le cas avec un certain islamiste égyptien il y a juste un an), pour qu’on en parle non pas à la fin du quinquennat mais sans aucun doute à mi-mandat… c’est tout le bien qu’on puisse souhaiter à un peuple masochiste, et ceux-la qui roulent pour ça en apporteront toute la responsabilité devant l’histoire.

  5. Présidentielle de 2013 : Dix caractères marquants de IBK, le manager du mensonge politique
    Bamako, contrairement au reste du Mali, vibre au son de la désinformation et de la propagande politique devenue le cheval de bataille de Ibrahim Boubacar Kéïta pour arriver à ses fins. Alors pour éclairer la lanterne des Maliens de l’intérieur comme de l’extérieur sur cette campagne rétrograde, nous vous livrons ici dix raisons suffisantes du machiavélisme de IBK. Attention donc à cet homme dont voici le profil!
    1 – IBK se veut un saint parmi les saints contrairement à la réalité. Cet homme a juré qu’il s’est séparé de l’alcool. Il ne rate aucune occasion pour utiliser le nom de Dieu (Soub’hana watallah !) à des fins politiques. Mais allez savoir combien de bouteilles jonchent dans sa poubelle chaque matin. Au moment où il fait tout, même l’achat de conscience, pour se faire passer comme le candidat des musulmans, allez savoir s’il a construit une seule mosquée (Att en avait construit 14 avant d’être candidat en 2002). Quel est le geste qui le singularise parmi les candidats dont on sait le combat de certains en faveur de l’Islam, notamment Me Mountaga Tall contre lequel IBK a lancé une vraie offensive de destruction à Ségou. Sans compter ces musulmans qu’il a fait tabasser par les forces de l’ordre et de sécurité.

    2 – IBK ne connaît que la violence comme système de gouvernance politique.
    L’on se rappelle que tout au long de son séjour à la Primature, IBK est apparu certes comme un homme de fermeté, ce qui est à saluer à certaines occasions, mais surtout comme un violent serviteur. Une violence qui a conduit sa gouvernance à l’échec. L’école a connu ainsi la régression la plus terrible sous IBK par le fait de la répression aveugle qui s’abattait sur nos enfants. La recette de IBK pour une école de l’excellence fut la double vacation, la création de bureau parallèle à celui légitime des étudiants d’où la violence grandissante au sein d’une AEEM (Association des Elèves et Etudiants du Mali) bicéphale rompue aux exactions de toutes sortes dont les fusillades. A cela s’ajoute la création des fameux groupes de ninjas au service de missions politiques hautement criminels.
    Avec IBK, la classe politique n’est pas restée en marge de la déconfiture. Tous les opposants crédibles ont été emprisonnés : le doyen Almamy Sylla (que la terre lui soit légère), le combattant du 26 mars Me Mountaga Tall et autres… Oumar Mariko qui sentait l’assassinat sur ses trousses a préféré s’enfuir. C’était suite à un meeting, du reste légal en démocratie, où un policier par ses actes indélicats dans la salle a été observé et passé à tabac par des militants surexcités mais en dehors de la salle où se trouvaient les responsables politiques.
    La presse non plus n’a pas été en marge de la chasse aux sorcières, des confrères ont reçu la visite des ninjas, et l’un d’eux a même fini par abandonner à l’époque la profession. En effet, notre démocratie doit à l’AEEM, à la classe politique et à la presse avant tout. Et ce sont ces piliers qui étaient dans le collimateur de IBK qui a voulu porter la peau du lion pour effrayer ceux qui ont abattu le lion debout. Incroyable mais vrai !

    3 – IBK est cynique.
    Lors de sa gestion chaotique de l’école malienne, le bureau conduit par Zarawana a commis l’imprudence d’observer une grève de la faim. Empêtrés comme un troupeau dans la Maison Centrale d’Arrêt de Bamako, aucune intervention, aucune prière, aucune action d’envergure n’a aboutit à faire reculer IBK. Les enfants ont fini par observer la grève de la faim. Et tous l’ont observé avec la dernière rigueur. Ce qui a conduit un enfant à l’hôpital, mais qui a refusé de se faire administrer le sérum, car déterminé plutôt à mourir que d’être la risée de ses camarades. C’est alors que Alpha a refusé de suivre IBK et a ordonné la libération des étudiants.

    4 – Pour IBK, ce sont les autres qui sont toujours en cause. Oui, quand il vote une loi qui finalement n’emporte pas l’adhésion populaire, IBK trouve l’astuce de dire que c’est parce que les autres l’ont voulu ainsi, sinon lui était contre. Quand au nom de l’Etat malien un accord est signé pour la paix en vue d’un développement harmonieux du pays, IBK brode dessus à la première insuffisance constatée qu’il n’était pas d’accord. Il oublie que sans ces accords, les pertes seraient énormes en vies humaines, en matériels et en infrastructures. Mieux vaut un mauvais arrangement qu’une bonne guerre (il n’y en a même pas entre les fils d’un même pays et c’est toujours regrettable d’un côté comme de l’autre). Après une marche organisée par ses partisans, il dit ne pas être d’avis avec eux, malgré la particpation des autres leaders de son parti, ainsi mis en cause.
    Pis, IBK, on se le rappelle, n’a trouvé autre chose à dire aux enfants des pauvres que s’ils ne partent pas à l’école, ce sont leurs enfants (des riches) qui viendront les commander. Comme si la faute incombat aux enfants de pauvres. Est-ce ce qu’il cherchait, l’exclusion d’enfants pauvres, en refusant d’apporter aux étudiants les conditions adéquates pour la culture de l’excellence ? Et en faisant la guerre aux enseignants dont le professeur Feu Mamadou Lamine Traoré et autres syndicalistes?

    5 – IBK c’est la bourgeoisie personnifiée. Il ne peut pas se réveiller avant 9 h deux fois dans l’année. Il aime couper toutes les routes à son passage, entouré de serviteurs. Il est partisan des dépenses faramineuses pour être à l’aise dans ses fonctions. D’ailleurs il se dit bourgeois dans un pays qu’il a maintenu dans la pauvreté.

    6 – IBK est un revanchard. Fidèle parmi les fidèles de Alpha Oumar Konaré, il a connu une ascension fulgurante durant la présidence de ce dernier : Conseiller à la Présidence, Ambassadeur, Ministre des Affaires étrangères, Premier Ministre, Président de l’ADEMA…, qui dit mieux ?
    Dès que sa candidature naturelle à la présidence de la République a été contestée, et qu’il fut question de le remplacer à la Primature en 2000, il s’estime trahi, quitte l’ADEMA et dans la foulée, crée le RPM, en s’appuyant sur le courant de sympathie créée par cette pseudo-trahison. C’est alors le début du mythe !
    Il crée « Espoir 2002 » avec le CNID, le MPR qu’il a combattus à la tête de l’Adéma et s’attache d’autres petits partis pour mieux aborder les élections générales de 2002. Il finira par briser cet espoir. Et il en sera de même pour son alliance contre nature avec Soumeylou. Retenez cela pour dit.
    A la date d’aujourd’hui, il faut reconnaître que IBK a tout perdu de sa splendeur d’antan qui relevait plutôt de l’accompagnement de ses camarades de l’Adéma d’abord et ensuite du CNID et du MPR. Mais puisque pour IBK ces camarades ne boivent plus dans la même soupe que lui, alors il lui faut prendre sa revanche. Il faut que tous soient à sa merci, il lui faut le commandement, lui qui est serait fait pour commander.

    7 – IBK est prêt même à la compromission pour le pouvoir. Pour preuve, tout le monde le voit aujourd’hui siroter publiquement la lie de la compromission avec Soumeylou Boubèye Maïga, celui-là avec lequel il n’a jamais été sur le même diapason politique. Soumeylou a été plutôt connu comme l’ami de longue date de Soumaïla Cissé, comme le compagnon transitoire de Amadou Toumani Touré et comme l’homme de main de Alpha Oumar Konaré. Comment peut-on être en désaccord avec tous ces trois et être en harmonie avec SMB ? C’est clair, rien n’arrête IBK devant la conquête du pouvoir.

    8 – IBK est un manager du mensonge politique à outrage.
    A la présidentielle de 2002, il est dans le tiercé de tête, exactement à la troisième place, après que près de 500 000 voix aient été annulées. Il crie à l’injustice, se déclare victime de ces manipulations de suffrages et surtout seule victime de ces annulations de voix ! Car IBK à l’époque avait indiqué que c’était lui qui était arrivé en deuxième position, en laissant croire que la crainte du pouvoir en place, c’est-à- dire d’Alpha Oumar Konaré, c’était que si IBK arrivait au deuxième tour, il avait de grandes chances de battre ATT. Alors qu’il y avait eu des manipulations du scrutin de façon à ce que ce soit Soumaïla Cissé qui arrive en deuxième position. Mais à la vérité, IBK a été troisième, et il le savait bien. Pour preuves, les chiffres vérifiables auprès de la Cour Constitutionnelle donnent plutôt Soumaïla non seulement gagnant devant IBK, mais avec plus de suffrages et de PV invalidés que lui.
    En voici la preuve :
    – Nombre de suffrages invalidés pour chaque candidat :
    * Soumaïla Cissé = 333 525 voix soit 21,31%
    * IBK = 329 143 voix soit 21,03 voix%
    En intégrant les PV invalidés on obtient :
    * Soumaïla Cissé = 479 728 voix soit 22,79%
    * IBK = 432 504 voix soit 20,55%.
    Une petite soustraction permet de constater que Soumaïla Cissé est largement en tête des PV invalidés par rapport à IBK (Soumi = 146 203 voix invalidées ; IBK = 103 361 voix invalidées).
    Nous ne désespérons pas de donner par cette occasion la bonne information à tous ceux qui sont tombés dans le piège de la mystification et de la victimisation dont IBK est passé maître.
    A contrario, qui a entendu une plainte quelconque de Soumaïla Cissé par exemple ? Nous n’en avons pas souvenance.

    9 – IBK n’est pas reconnaissant envers ses serviteurs, en l’occurrence Alpha et ATT. Pour lui, c’est Alpha Oumar Konaré qui a facilité l’élection de Att, mais il oublie soigneusement de dire que c’est bien lui IBK qui a apporté ses suffrages à ATT au second tour pour lui permettre de l’emporter contre Soumaïla Cissé ! Aussi, cette accusation est-elle la preuve que IBK n’est pas reconnaissant envers Alpha qui a fait de lui tout ce qu’il fut avant la présidentielle de 2002. Et n’est-ce pas ATT à son tour qui a fait de IBK le président de l’Assemblée Nationale, certainement en reconnaissance de son soutien à lui lors de cette présidentielle ? Car IBK avait moins de députés que l’Adéma, et à ce jour c’est le cas car il a moins de députés que même l’URD pourtant née après le RPM.

    10 – IBK se dit « Kankélétigui » alors qu’il est le premier à trahir sa parole donnée. Oui, la mystification la plus scandaleuse de IBK, c’est quand il s’est autoproclamé « Kankeletigi » repris en chœur par ses thuriféraires. Quelle parole a-t-il respectée ? Si nos souvenirs sont bons, cette chanson « Kankeletigi » a été chantée par Djénéba Seck pour magnifier le geste du Président de la Transition et de ses collègues qui avaient promis de remettre le pouvoir à l’issue de la Transition et qui l’ont fait !
    C’est cela la parole donnée et qui pourrait servir aujourd’hui encore d’exemple à ceux qui conduisent en ce moment la Transition. Au-delà de la mystification, c’est un véritable hold-up !
    La mystification suit son chemin quand aux lendemains du coup d’Etat du 22 mars 2012, après une condamnation de façade et un bref passage au FDR, IBK s’est posé et présenté comme le principal opposant à ATT. Posture qu’il garde encore ! Quel bluff ! En quoi et à quoi » Kanfilatigi « s’est-il opposé ?
    Président de l’Assemblée Nationale et membre de la majorité gouvernementale, il feint de s’opposer aux Accords d’Alger et les dénonce urbi orbi, mais quand il a fallu concrétiser cette opposition et franchir le rubicond en quittant l’attelage gouvernemental, il freina des quatre fers et avala son chapeau.
    Le scénario identique se produisit lors du vote de la loi instituant le Vérificateur Général, il dit s’être disputé avec sa conscience, mais en fin de compte comme toujours, il ne joignit point l’acte à la parole, et la loi fut votée. Nous pouvons citer à n’en plus finir des cas similaires.
    Le 22 mars 2012, il faisait partie de la majorité présidentielle et du gouvernement d’ATT, il fut l’un de ses plus proches collaborateurs de 2002 à 2012, et le jour où il fut décoré de la légion d’honneur française il n’eut de cesse de remercier ATT en se jetant dans ses bras lui disant que grâce à lui tout cela a été possible. Att, lui, s’en souvient.
    Incorrigible il a déclaré sur RFI avoir pleuré le jour de la retraite de Tessalit par notre armée. Mais a-t-il exprimé ses sentiments ce jour à ATT ? A-t-il fait une déclaration publique sur une radio ou une télé malienne ? Que nenni ! Alors, que nous valent aujourd’hui ces larmes à retardement ? Lui seul le sait !
    A force de postures, de positionnement, de revirements, de reniements, cet homme est devenu insaisissable, incohérent et infréquentable. Il finira cependant un jour par être rattrapé par la réalité, sa réalité, un homme politique ambitieux et velléitaire, opportuniste et banalement ordinaire, un Tartarin de Tarascon ou un Don Quichotte des temps modernes ! Un homme fin

  6. Tièso voleur de la republique (president des chiens WIèèèèèèèè MDRRRRRRRRRRRRRRR 😈 😈 😈 😈 😈 😈 )

  7. Tièso arrête de pleurnicher tu sens la merdre de cochon ou koi? modibo sidibé président du mali tu delire complètement sè la catastrophe;IBK ou rien, le FDR dehors. vive le Mali, a bas modibo sidibé.

  8. Le sens d une visite

    Visite de Modibo Sidibé à Kidal 
    ____________________
    Au nom  de la paix et de l’unité nationale
    Kidal, jeudi 12 janvier 2012. Le petit avion  de tourisme s’immobilisme enfin sur le tarmac de l’aéroport, après près d’une heure de vol entre Gao et Kidal. A son bord, Modibo Sidibé et la poignée de personnes qui l’accompagnent. L’instant est spécial. Jusqu’au dernier moment, il y avait eu comme un léger doute sur ce voyage. Modibo a tranché et décidé de venir parler aux populations de Kidal. Un voyage comme les autres ; une visite comme toutes les autres qu’il a faites depuis qu’en décembre dernier, il a décidé d’aller au contact des populations dans le pays profond, écouter les leaders et notables, chefs de villages, imams et prêtres, jeunes et femmes, avant que de prendre la décision de se lancer dans la course à la présidentielle.
    Il n’empêche qu’au moment où ils débarquent à Kidal, les visiteurs du jour ont la conviction qu’ils entreprennent une visite qui n’est pas comme les autres. La raison en est la tension latente dans toute la région. Et la situation sécuritaire qui est redevenue préoccupante.
    La paix et la concorde comme seules voies possibles
    Et Kidal a surpris par la qualité de l’accueil fait aux visiteurs. Une mobilisation des grands jours, à laquelle tout un chacun a apporté sa contribution. Exactement comme cela avait été annoncé par les organisateurs de la visite de Modibo Sidibé dans cette partie du septentrion. Les visiteurs ont été accueillis par le tout Kidal, des officiels aux chefs de fractions ; des femmes et jeunes. La fantasia des chameaux richement chamarrés ne le cédant en rien à la cohorte de véhicules 4×4 venus de tous les horizons.
    On avait dit que Kidal voulait la paix, que Kidal n’aspirait qu’à la paix. Kidal l’a prouvé par cet accueil exceptionnel. Et cela fut dit aussi à Modibo Sidibé par la voix la plus autorisée, celle du grand l’Imam de la ville, dans le recueillement rassurant de la mosquée. Ces propos venaient confirmer les assurances données par toutes les notabilités rencontrées, qui n’avaient eu de cesse de dire l’attachement des communautés à la paix et à la sécurité ; et leur aspiration au développement.
    Bien d’autres sujets ont sans aucun doute été évoqués entre Modibo Sidibé et les représentants des communautés. Mais les questions liées à la stabilité dans la région et à l’unité nationale ont sans aucun doute constitué le fil d’Ariane de cette journée intense de concertations dans la capitale de l’Adrar des Iforas, entre l’ancien Premier ministre venu en quête de bénédictions et de conseils, et des leaders communautaires conscients qu’ils se trouvaient là en présence d’une des rares oreilles attentives pour les écouter et comprendre leur désir profond de vivre en paix dans la communauté nationale.
    Cette conviction est renforcée par le fait que Modibo Sidibé a été, à ce jour, le seul des candidats à la prochaine élection présidentielle à s’être rendu dans cette partie du pays. Par nécessité, mais aussi, il faut bien le dire, par devoir. Modibo Sidibé avait plus d’une fois rappelé qu’il lui tenait à cœur de ne laisser aucune partie de notre territoire national où il ne soit passé avant d’annoncer sa candidature à la présidentielle. Maintenant qu’il est venu et qu’il a vu, mais surtout après avoir écouté les populations et entendu les autorités communautaires, il aura acquis une plus grande assurance en ce que le crédo qui était le sien à son arrivée, à savoir la préservation à tout prix de la paix et de l’unité nationale, rencontre ici à Kidal un profond écho, parce que partagé par les différentes composantes des communautés locales.
    Décidément, Kidal aura réellement surpris. Et au final, cette journée du jeudi 12 janvier aura été plus qu’une agréable journée de visite. Au gré des entretiens et des visites, Modibo Sidibé aura rencontré bien des personnalités influentes au sein des communautés, mais aussi certains des protagonistes importants de la complexe partie qui se joue depuis plusieurs années dans cette partie de notre territoire national, et dont Kidal est l’épicentre. Les rencontres faites, les apartés et les différents entretiens qu’il a eus constitueront sans aucun doute pour Modibo Sidibé de précieuses données.

  9. Présidentielle de 2013 : Dix caractères marquants de IBK, le manager du mensonge politique
    Bamako, contrairement au reste du Mali, vibre au son de la désinformation et de la propagande politique devenue le cheval de bataille de Ibrahim Boubacar Kéïta pour arriver à ses fins. Alors pour éclairer la lanterne des Maliens de l’intérieur comme de l’extérieur sur cette campagne rétrograde, nous vous livrons ici dix raisons suffisantes du machiavélisme de IBK. Attention donc à cet homme dont voici le profil!
    1 – IBK se veut un saint parmi les saints contrairement à la réalité. Cet homme a juré qu’il s’est séparé de l’alcool. Il ne rate aucune occasion pour utiliser le nom de Dieu (Soub’hana watallah !) à des fins politiques. Mais allez savoir combien de bouteilles jonchent dans sa poubelle chaque matin. Au moment où il fait tout, même l’achat de conscience, pour se faire passer comme le candidat des musulmans, allez savoir s’il a construit une seule mosquée (Att en avait construit 14 avant d’être candidat en 2002). Quel est le geste qui le singularise parmi les candidats dont on sait le combat de certains en faveur de l’Islam, notamment Me Mountaga Tall contre lequel IBK a lancé une vraie offensive de destruction à Ségou. Sans compter ces musulmans qu’il a fait tabasser par les forces de l’ordre et de sécurité.

  10. Merci IBK mais il faut enormement faire attention au Touareg du Mali C’est des opportuniste. Ils n’aiment que les gain faciles. Si non IBK tu porte l’espoir de tt un peuple srtt la basse classe, les sans voie.
    IBK je veux tracer ce que les maliens attend de toi
    1- Le pauvre pays qui son fils très intelligent faut de transparence dans le recrutement veux que son fils ait la meme chance que le fils de ce ministre, une justice equitable,
    2- tt les voiture soient dedouanée y compris celle du president et les porteurs d’uniforme

  11. Présidentielle de 2013 : Dix caractères marquants de IBK, le manager du mensonge politique

  12. IBK a du cran,du courage,de la force,de la volonté politique. c’est l’homme de la situation actuellement,n’en déplaise à ses détracteurs

  13. comme on le dit souvant c’est (no comments) IBK est vraiment l’Home qui nous faut pour redreser ce pays.
    IBK IBK IBK IBK IBK IBK IBK IBK IBK IBK IBK IBK IBK IBK IBK IBK IBK et encore IBK.
    l’heure de la verité est arrivée!
    nous ne pouvons plus permetre que petit voleur et grand traite c’est ventille au MALI comme si c’est pour eux que cette nation ete fait.
    Mr le President son Excellence Ibrahim Boubacar KEITA ne va plus permettre cet laisser aller.
    Que DIEU NOUS AIDE EN PERMETTANT QUE IBK SOIT LE PRESIDENT DU MALI.
    AMEN

  14. NAKANMA toi tu l’aime pas le mali la patriotism t’eu manque ont pas beson les gens comme vous au mali

    • Mamadou Diabate, c’est avec tout cela que Dieu ne permetra jamais a IBK d’etre le president du Mali. Amen!

  15. Merci Dabo, Ceux ci sont a etre ecrit en lettre d’or ds les annales du Mali
    1 – IBK se veut un saint parmi les saints contrairement à la réalité.
    2 – IBK ne connaît que la violence comme système de gouvernance politique.
    3 – IBK est cynique.
    4 – Pour IBK, ce sont les autres qui sont toujours en cause
    5 – IBK se dit bourgeois dans un pays qu’il a maintenu dans la pauvreté
    6 – IBK est un revanchard
    7 – C’est clair, rien n’arrête IBK devant la conquête du pouvoir
    8 – IBK est un manager du mensonge politique à outrage.
    9 – IBK n’est pas reconnaissant envers ses serviteurs, en l’occurrence Alpha et ATT.
    10 – IBK se dit « Kankélétigui » alors qu’il est le premier à trahir sa parole donnée. Oui, la mystification la plus scandaleuse de IBK, c’est quand il s’est autoproclamé « Kankeletigi » repris en chœur par ses thuriféraires.

    • Même si tu n’aimes pas le lièvre, aies l’honnêteté de reconnaître qu’il court mieux. “Proverbe malinké”. Excepté Zoumana Sacko, qui affiche les qualités de I.B.K.
      Il faut reconnaître au moins en lui le sens du patriotisme et de l’autorité de l’Etat. Nous avons besoins de ces deux qualités aujourd’hui pour redémarrer le Maliba. Certains candidats sont plus riches mais il peuvent résoudre la problématique de l’autorité de l’Etat. Eux ils pensent certainement que l’Etat c’est seulement les finances et le service aux proches (népotisme). Vive Ibrahim. ON ATTEND SON SACRE.
      Que les prédateurs de l’Etat s’avisent sinon le train de l’honnêteté va démarrer avec son commandant I.B.K (Intégrité. Bravoure et Kandjar)

    • Mon pti c’est facile d’enchainer les mots sur le blanc. Mais c’est cas de raisonner. Renseignes toi.

  16. Cette élection est basée sur la lutte contre la corruption injustice L’Education L’Insécurité reconciliation entre les maliens c’est pour ceux la je vote pour IBK

  17. Dieu est Grand! IBK a fait preuve de courage et de sagesse! Que Dieu lui donne longue vie et qu’il l’epargne de tout mal. Que Dieu benisse le Mali!

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