La formation était axée sur trois thèmes dont le leadership, la gouvernance et la communication. Des thèmes incontournables pour être un bon militant. Lors la cérémonie d’ouverture, le Président de la Sous-section Jeune de Kalabancoro, Yaya Diarra, a reconnu l’importance de la formation avant de remercier les responsables de son parti pour l’initiative qui leur permettra sans doute de bien jouer leur rôle de militantisme.
Il a invité les bénéficiaires de la formation à plus de sérieux. « Le MPR est le seul parti dans lequel, les responsables optent pour le partage des acquis au niveau de leurs bases », martèle Ibrahima Bamba du Centre Malien pour le Dialogue Inter partis pour le Développement qui était l’invité d’honneur. Il s’est dit très fier d’être invité à cette journée de formation à l’endroit des jeunes de Bamako.
Moussa Dicko, Vice-président National de la Section Jeune du MPR a à son tour salué l’initiative avant de remercier la Sous-section jeune de Kalabancoro pour son courage. Pour lui, cette formation a un but spécifique en raison des 3 thèmes choisis ainsi que le choix sur la jeunesse. Pour lui, ce choix n’est pas fortuit vu que la jeunesse est un noyau essentiel en matière électorale qui fait des portes à portes lors des élections. C’est-à-dire, fournit le maximum d’efforts. Il a lui aussi invité les participants à plus de sérieux pour mieux véhiculer les messages du parti dans l’espoir d’un résultat positif pour les élections communales et régionales prochaines.
Représentant le Président National, Choguel Kokala Maïga, empêché, Salia Samaké, a fortement démenti les rumeurs de morosité du parti. Pour lui, c’est parce que tout le monde ne joue pas bien son rôle au sein du parti. Selon lui, la formation sera l’occasion pour faire plus de publicité. Pour cela, il a remercié la presse qui aide beaucoup le parti dans sa politique de communication. Il a également remercié la Sous-section de la jeunesse de Kalabancoro pour son initiative. Pour lui, c’est un signe positif qui démontre que la jeunesse est consciente que s’il faut militer, il faut être bien formé. « Pour vendre un produit, il faut mieux le connaitre », a-t-il conclu.
Modibo Dolo
