Kadi Barry : Je suis à 100% ATT""

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Le Président de la République, Amadou Toumani Touré, l”appelle sa " chérie ". Kadi Barry déclare: "j”ai connu ATT en 1998, alors qu”il était Président de la Fondation pour l”Enfance. A ce moment, j”étais en 11ème année au Lycée Notre Dame. C”est à un de ses gardes du corps que j”avais remis ma photo afin qu”il la transmette à ATT. Après, j”ai obtenu une audience avec lui-même. C”est vraiment un homme honnête, que j”apprécie beaucoup". Kadi a débuté ses études à l”école Baba Cissé, puis à l”école de N”Tomikorobougou où elle a décroché son Diplôme d”études Fondamentales (DEF). Elle les continuera au Lycée Notre Dame du Niger et en 2001, y obtiendra son Bac. Elle sera ensuite orientée à la Faculté des Sciences Juridiques et Economiques (Ex-ENA) d”où elle sortira en 2006 avec un diplôme en Droit privé.
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Aujourd”hui, elle est stagiaire à la Direction Administrative et Financière (DAF) de la présidence de la République. "Durant toute ma scolarité, c”est mon père qui assurait mes déplacements. Il louait un taxi chaque mois. C”est grâce à l”ex-Première Dame du Mali, Adam Ba Konaré que j”ai eu ma première moto. C”était une Yamaha Mate 80. Ce jour-là, je n”y croyais pas du tout. C”était une grande surprise pour moi. Je ne peux pas oublier Adam Ba. Nous sommes toujours en contact, et à chaque fois que j”ai besoin d”elle, je la vois sans problème, sauf quand elle n”est pas à Bamako".

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Kadi est la fondatrice du Club des Amis de la Commune III, créé il y a quelques années. C”est Moussa Bazé Koné qui en assure la présidence. Le Club a organisé plusieurs activités, notamment dans le cadre de l”assainissement et une Coupe qui porte le nom d”ATT, le 8 juin 2006. "Cette année, je n”ai pas eu les moyens nécessaires pour organiser des actions afin d”apporter ma modeste contribution à ATT pour l”élection présidentielle. Mais, j”étais avec lui pendant toute la campagne, que ça soit à Bamako ou à l”intérieur du pays. Je ne suis pas du Mouvement Citoyen, je suis à 100% ATT. Je le serai jusqu”à ma mort"  conclut-elle.  

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 A B. HAIDARA

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