Les deux pays partagent une vision commune d’un monde de paix et de sécurité au sein des instances internationales. Nos échanges commerciaux ont atteint, en 2016, un record de 48,16 millions de dollars, environ 27 milliards de Fcfa
Le Premier ministre, Choguel Kokalla Maïga, est attendu en fin de semaine à Brasilia (Brésil). Le chef du gouvernement représentera le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, à l’investiture du président brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva, plus souvent appelé «Lula» qui, à 77 ans, sera intronisé dimanche prochain en tant que 39è président de la République fédérale du Brésil.
Lula, fondateur du Parti des travailleurs (PT), a remporté dimanche 30 octobre 2022 le second tour de l’élection au terme du scrutin présidentiel le plus serré de l’histoire de son pays, en obtenant 50,9% face au président sortant, Jair Bolsonaro. Tel un phénix qui renaît de ses cendres, il revient au pouvoir après ses deux premiers mandats (2003-2010) et une incarcération de 580 jours, d’avril 2018 à novembre 2019.
La présence du chef du gouvernement à cette cérémonie d’investiture est loin d’être fortuite. Le Brésil a reconnu l’indépendance du Mali, le 7 octobre 1960, soit près de 15 jours après l’accession de notre pays à la souveraineté nationale et internationale le 22 septembre. Nos deux pays établiront des relations diplomatiques dès 1962 et celles-ci ont pris du volume au cours de ces six dernières décennies.
Elles ont été par exemple marquées par l’ouverture d’une ambassade du Brésil à Bamako et celle du Mali à Brasilia, ainsi que des visites de haut niveau de part et d’autre. Cette volonté politique affichée et assumées a été soutenue par la signature de plusieurs accords de coopération technique et scientifique dans les domaines, de l’agriculture, de l’aviation civile, de la protection civile, de l’éducation et de la formation.
En la matière, le dernier en date remonte à quelques mois. Les deux pays ont procédé, le lundi 27 mars 2022, à la signature de deux conventions dans les domaines de l’élevage et de la pisciculture portant sur un financement de plus de 2 milliards de Fcfa que le Brésil mettra à la disposition de notre pays. Objectif : augmenter la production et la productivité en viande bovine de qualité dans la zone périurbaine de Bamako et dans la Région de Kayes, ainsi que la production de poisson dans la zone périurbaine de Bamako, Koulikoro et Sélingué.
Au plan commercial, nos échanges ont atteint, en 2016, un record de 48,16 millions de dollars (environ 27 milliards de Fcfa). Au plan multilatéral, le Brésil et le Mali partagent une vision commune d’un monde de paix et de sécurité au sein des instances internationales dont ils sont membres, notamment l’Organisation des Nations-unies, ayant en vue la promotion économique et le développement. «Le projet coton C+4 dont les deux pays sont les principaux acteurs, reste l’illustration de cette vision axée sur le développement», selon la diplomatie brésilienne.
La présence du chef du gouvernement à cette intronisation contribuera, sans nul doute, à renforcer davantage ces partenariats multiples qui lient nos deux pays. Afin de profiter ainsi de l’immense expérience et expertise brésiliennes et de son poids économique au plan mondial. Pivot de l’Amérique latine et membre très influent des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), le Brésil est, avec l’Inde et la Chine, considéré comme les grandes puissances émergentes actuelles. Il est même dans le top 10 des économies les plus puissantes, c’est-à-dire qui produisent le plus de richesses. Une percée économique et diplomatique due, en partie, aux investissements massifs injectés dans le pays sous la présidence Lula, premier président brésilien de gauche et chantre de la démocratie participative.
L’investiture de cette figure emblématique du syndicalisme se déroulera dans un contexte socio-politique un peu tendu. Les dernières élections ayant divisé le pays. Des partisans du président sortant continuent de contester la victoire de son successeur. Le septième et avant-dernier enfant d’Aristides Inácio da Silva (1913-1978) et d’Eurídice Ferreira de Mello (1915-1980) devra alors rassembler son peuple. Son discours d’investiture pourrait déjà donner le ton. «Je vais gouverner 215 millions de Brésiliens, et pas seulement ceux qui ont voté pour moi. Il n’y a pas deux Brésil, nous sommes un seul peuple, une seule nation», avait-il lancé, à l’annonce de sa victoire.
Il pourrait également réitéré sa détermination à œuvrer pour «un Brésil égalitaire, un Brésil pour tous, dont la priorité est donnée aux personnes qui en ont le plus besoin». Des défis à portée de main si l’on sait que durant sa présidence, quelque trente millions de Brésiliens sont sortis de la pauvreté. La malnutrition a également reculé de 70 % et la mortalité infantile de 47%.
Envoyé spécial
Cheick M. TRAORÉ
Cheick Moctar TRAORE
Lula est un bon dirigeant d’un grand pays émergent, mais ce niveau des échanges commerciaux a été atteint son paroxysme sous IBK qui avait logé le fonds de lutte contre la pauvreté des pays scandinave en 2001 et cela lui a permis de bénéficier des dividendes de ce dépôt. Nous espérons que le PM actuel fera évoluer les choses e dépassant ce niveau, car le Brésil est un grand pays qui peut beaucoup aider notre cher Mali dans tous les domaines de la vie socio-économique de nos deux pays. Courage cher PM et à très bientôt.
sangare nous avons tous contribue au depart de GMT et ce n’est pas une victoire de ton Alpha Omar Konare seul mais de nous tous, n’oublions pas qu’il a servi comme Ministre de la Jeunesse de GMT et chose grave c’est que quand il est venu au pouvoir il a crée les premiers milliardaires fonctionnaires dont Boua le ventru IBK, a cree un Ministere des Terres Arides pour son future gendre le Petit-Monsieur de Boua et a donne des galons de colonel a son farfelu de fils Mala en meme temps il a detruit nos FAMA avec ses flammes de l’unité a Tombouctou!
Ton koloch est usé tant il égrène des citations erronées.
ON NE PEUT PAS LUTTER CONTRE LA DICTATURE MILITAIRE ET SUPPORTER CHOGUEL MAIGA.
C’est pourquoi les MOUNTAGA TALL et autres liés intimement à CHOGUEL MAIGA n’ont pas lutté contre la DICTATURE MILITAIRE,mais contre MOUSSA TRAORE.
Contre la dictature militaire,c’est affirmer sa foi des avantages de la démocratie.
Contre MOUSSA TRAORE,c’est guetter sa place.
Travailler à installer une structure politique sur tout le territoire,dans chaque hameau du pays,c’est privilégier le POUVOIR DES PEUPLES.
En 1992,l’ADEMA PASJ était le seul parti politique présent sur tout le territoire national,en plus de l’US RDA.
AINSI ALPHA OUMAR KONARE N’A PAS AGI POUR PRENDRE LA PLACE DE MOUSSA TRAORE,MAIS POUR REMETTRE LE POUVOIR AU PEUPLE.
C’est pourquoi il n’a jamais collaboré avec ceux qui se réclament de la dictature militaire,mais ceux qui ont travaillé avec MOUSSA TRAORE comme lui-même pour servir le Mali.
CHOGUEL MAIGA a tout fait pour ressusciter l’UDPM,le parti politique qui incarne la dictature militaire.
sangare tu n’as que tes deux yeux pour pleurer car le régne de ton grand farfelu Alpha Omar Konare et son ADEMA-PSJ a été marque par la tres grande corruption avec la creation pour la premiere fois des fonctionnaires milliardaires et le grand nepotisme avec la nomination de son fils Mal comme colonel sans merite!Aussi souviens-toi aussi que Boua le ventru IBK est un pure produit de Alpha Omar Konare!
Ton kôloch pour égrèner tes citations honteuses et irréfléchies est fatigué.
Dis à CHOGUEL MAIGA de le renouveler puisque tant qu’il y sangare sur maliweb.net,tu vas continuer à les égrèner pour le bonheur des thuriferaires du dictateur MOUSSA TRAORE dégagé grâce à ALPHA OUMAR KONARE.
Lula est un champion de la cooperation Sud-Sud, alors le Mali va continuer a travailler avec ce grand pays ami non-alligne
“Ce grand pays non aligné” est dirigé par ses représentants,a chassé les PUSCHISTES au milieu des années 1980.
Le Mali,CE GRAND PAYS DÉMOCRATIQUE D’ALPHA OUMAR KONARE,est représenté par un USURPATEUR incapable de se faire élire dans son village.
CHOGUEL MAIGA EST LE VISAGE HIDEUX DE LA DICTATURE MILITAIRE EXERCÉE DANS NOTRE PAYS PENDANT PLUS DE DEUX DÉCENNIES COMME EXACTEMENT AU BRÉSIL.
D’une manipulation des acteurs du mouvement démocratique,il a pu s’installer au pouvoir à la suite du COUP D’ETAT contre ATT,non contre IBK.
IBK EST L’ALLIÉ NATUREL DE CHOGUEL MAIGA.
C’est la perte du pouvoir dans les mains D’ATT qui a facilité l’émergence des forces obscures qui se sont neutralisées pour avoir le contrôle du pouvoir.
IBK allié de MOUSSA TRAORE a été soutenu par les enfants de ce dernier du prytanée militaire de kati par l’intermédiaire de SANOGO pendant les élections présidentielles de 2013.
Eux ont été abandonnés par IBK au pouvoir épaulé par le GENERAL MOUSSA DIAWARA,un autre du prytanée militaire de kati.
Ce dernier abandonne IBK pour satisfaire les français par ses hommes de mains que sont les CINQ COLONELS
UN VIDÉO MAN AU SERVICE DE MOUSSA DIAWARA EST CHARGÉ DE TRONQUER LA VÉRITÉ.
Ce BOUBA FANÉ a été envoyé à l’extérieur par les proches de MOUSSA DIAWARA après son abandon par ses CINQ COLONELS au profit des proches de SANOGO à la tête desquels le GÉNÉRAL YAMOUSSA CAMARA et le GENERAL DAHIROU DEMBELÉ.
Ces deux officiers supérieurs sanguinaires assassins des BÉRETS ROUGES ont fait appel à CHOGUEL MAIGA aussi abandonné par IBK.
Ce dernier,à l’aise avec BA DAW,placé par MOUSSA DIAWARA,pendant la première période de la transition,est harcelé par ses ennemis revenus à la faveur du COUP D’ETAT contre BA DAW.
Il en meurt.
Celui,SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA,qui s’est chargé de l’arrestation de SANOGO et du GENERAL YAMOUSSA CAMARA a été incarcéré à la PRISON CENTRALE avec l’aide de certains juges de la cour suprême qu’on vient de récompenser.
Le but était de provoquer sa mort compte tenu de son âge et de son bilan sanitaire.
Ce scénario débuté après le coup d’Etat contre ATT ressemble à celui des officiers subalternes du 19 novembre 1968 opposant le CLAN MOUSSA TRAORE à celui de KISSIMA DOUNKARA.
CHOGUEL MAIGA a bénéficié du combat haineux entre le CLAN IBK et celui de SANOGO.
Si ce n’est pas compris ainsi,on a rien compris à la transition.
C’est pourquoi CHOGUEL MAIGA repousse toute idée de formation de gouvernement inclusif.
Il sait qu’ATT a été naïf de collaborer étroitement avec ses ennemis.
Il veut éviter cette erreur en espérant confisquer le pouvoir à la faveur d’une élection présidentielle espérant manipulée le peuple à la faveur d’ASSIMI GOITA comme on l’a fait pour IBK.
La bande des SANOGO a tiré la leçon de l’épisode IBK.
Elle ne fera plus confiance à un homme politique d’où le forcing pour ASSIMI GOITA.
Elle ne veut plus se retrouver en prison malgré l’assassinat de SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA.
Pour cela,il faut faire tout pour garder le pouvoir.
C’est peine perdue car le contexte national et international agit contre eux.
AVEC WAGNER,LES CINQ COLONELS SONT SUR LA LISTE NOIRE DES ORGANISATIONS DES DROITS DE L’HOMME.
Comme avec SANOGO,une pression intense sera menée pour les mettre à la disposition de la justice.
Ils sont avec CHOGUEL MAIGA des délinquants en sursis comme l’était KARIM KEITA aujourd’hui pourchassé par les États-Unis.
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