À la tête d’une forte délégation, le chef du gouvernement représentait le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, qui l’a envoyé pour renforcer les relations entre le Mali et Brésil
Le président de la République fédérale du Brésil, Luiz Inácio Lula da Silva, plus souvent appelé «Lula» et son vice-président, Geraldo José Rodrigues Alckmin Filho, ont été investis dimanche 1er janvier 2023 au Congrès national brésilien lors d’une cérémonie solennelle grandiose qui a mobilisé des milliers de brésiliens venus lui réitérer leur soutien indéfectible. Comme pour dire à la face du monde que sa victoire n’a pas été usurpée.
Le Premier ministre Choguel Kokalla Maïga, représentant le président de la Transition, a pris part à la cérémonie d’intronisation. « Dans son discours, le président Lula a consacré tout un chapitre au rôle que les BRICS doivent jouer dans le nouvel ordre mondial. Ce qui correspond parfaitement à nos attentes », a déclaré le chef de gouvernement. Interrogé à la fin la cérémonie, Dr Choguel Kokalla Maïga, a assuré que l’audience prévue, demain avec le président Lula, sera mise à profit pour passer en revue la coopération bilatérale.
Des dizaines de chefs d’État et de gouvernement d’Afrique, d’Amérique latine, du Nord, d’Europe ou leurs représentants y ont également participé.
Le président du Congrès national après lecture des noms des membres du gouvernement Lula, a demandé à l’assistance d’observer une minute de silence à la mémoire du roi Pelé. S’en est suivi l’exécution de l’hymne national du Brésil. Les mains droites posées sur un livre sacré, certainement la bible, tenant la Constitution dans celles de gauche, ils ont juré de respecter et de faire respecter la loi fondamentale.
À eux le secrétariat général du Congrès a rappelé leurs devoirs et obligations vis-à-vis de la Nation et du peuple brésilien. Ils ont signé des documents actant ainsi le serment prêté. Investi ainsi 39è président de la République fédérale Brésil. Lula s’est adressé au Congrès. S’adressant à la Nation depuis le Palais du Planalto (présidence), cette figure emblématique de la gauche brésilienne a promis de consolider la démocratie et de bâtir une économie moderne et prospère. Il s’est engagé à protéger les couches défavorisées. Cet orateur surdoué a reçu les félicitations des délégations étrangères présentes à la cérémonie. Avant de leur offrir une réception au Palais d’Itamaty, équivalent des Affaires étrangères.
Forte mobilisation- Debout dans une décapotable, le président et son vice-président, leurs épouses à côtés, avaient fait le tour du Congrès national pour saluer le peuple pour sa forte mobilisation. Visiblement ému, le président Lula, en larmes, rend hommage au peuple à travers des gestes continus de la main. Il sert même la main à certains de temps à autres. Ceux-ci déploient leurs smartphones pour immortaliser ce moment qui se veut inoubliable.
Quelques heures auparavant, l’adrénaline montait de plusieurs crans un peu partout à travers la ville de Brasilia. Notamment tout le long du boulevards menant au Congrès national. Qui était noir de monde. Habillés en tee-shirt de couleur rouge, le drapeau national flottant au vent, la foule compacte, en larmes, scandait : « Olé, Olé Lula, Lula, Lula ». Sur des pancartes on pouvait lire : « Respectez le vote du peuple. ». Les bordures des routes ont été badigeonnées de blanc, faisant ainsi peau neuve. Des personnes de troisième âge dandinaient pour converger vers le Congrès. Jeunes, femmes et hommes ont bravé le soleil pour être témoins de cette cérémonie historique.
Haute sécurité- Cette cérémonie d’investiture a lieu sous très haute sécurité. Tous les accès étaient bouclés afin de permettre une fouille minutieuse des véhicules. Hélicoptères et drônes survolaient l’espace aérien sans discontinuité. Cavalerie, unités cynophiles trottinaient et reniflaient. Des camps provisoires ont été installés autour du Congrès.
Toutes les forces de défense et de sécurité fédérales ont été fortement mobilisées, certainement pour palier toute éventualité. Des menaces d’attentats avaient été proférées par des partisans du président sortant qui a été le grand absent de la cérémonie. Il avait annoncé qu’il se rendra en Floride, aux États-Unis, afin de priver son prédécesseur de l’écharpe qu’il devrait lui transmettre après son installation.
Le chef du gouvernement, Dr Choguel Kokalla Maïga est à la tête d’une forte délégation composée notamment des ministres des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, et du Développement rural, Modibo Keïta.
Outre le président de la Commission des Affaires étrangères du Conseil national de Transition (CNT), Aboubacar Sidiki Koné, elle comprend également la conseillère diplomatique du président de la Transition, Mme Traoré Fatou Binta Diop et le Directeur Amériques du ministère des Affaires étrangères, l’ambassadeur Mehidi Diakité.
Cheick Moctar TRAORE
toi, le vaurien choguel, tu es content de prendre une photo avec un president elu par le suffrage universal. par contre tu es le premier ministre d’un regime venu au pouvoir par un coup d’etat. si triste pour le mali.
sangare, si pour toi la CEDEAO vaut quelque chose pour moi c’est une institution de merde financée et instrumentalisée par la maudite France. Quand aux elections, le Brésil avait 2 deux choix entre l’extreme droite et la gauche et il a choisit la gauche, donc arrêtes de raconter du mensonge. En ce qui concerne les elections au Mali nous savons que les politiciens de l’ADEMA et affilies ont tres faim car n’ayant pas acces au trésor Malien mais nous allons prendre notre temps afin que tous les Maliens sans exception puissent avoir l’opportunité de voter librement, pas dans la precipitation et pas des elections bâclées, pas d’achat de conscience ou de bourrages des urnes comme l’ADEMA et le RPM ont l’habitude de faire.
Ton médicament est en rupture?
Donc il n’y avait que deux candidats en lice pour les élections présidentielles du Brésil?
SI LULA A GAGNÉ AU DEUXIÈME TOUR,C’EST QU’IL Y A EU PREMIER TOUR.
Ça veut dire naturellement qu’il y avait plus de deux candidats,donc PLUSIEURS POSSIBILITÉS DE GESTION DU PAYS étaient proposées.
Le Mali est un membre de la CEDEAO.
Donc ses règles s’appliquent à lui.
Les fossoyeurs décidés à confisquer le pouvoir voient toujours les mains de la France derrière les décisions de la CEDEAO.
Tes CINQ COLONELS ET CHOGUEL MAIGA sont des fossoyeurs décidés à confisquer le pouvoir.
L’ADEMA PASJ et le RPM sont un parti politique légal qui ne peuvent exercer le pouvoir que si le peuple est d’accord.
Donc ils sont sanctionnés ou récompensés selon leurs attitudes de gestion du pays.
Ce n’est pas à des délinquants sortis de nulle part de les sanctionner.
Il faut rappeler que le MPR de CHOGUEL MAIGA et le CNID de MOUNTAGA TALL sont des partis au pouvoir depuis 2002.
Si on doit accuser des partis politiques de bourrage d’urnes,ils en font partie.
La réalité est que les grands partis politiques sont connus avant même l’organisation des élections.
Il suffit de faire un tour sur le terrain.
Certains leaders tel CHOGUEL MAIGA qui sont actifs dans les médias sont inexistants sur le terrain.
Lui et MOUNTAGA TALL se sont toujours servis des personnalités pour rester dans les allées de pouvoir.
Avec IBK en 2002 ils ont gouverné avec ATT, avant de l’abandonner cinq ans après pour suivre ATT.
Ils sont revenus avec IBK en 2013 qui les chasse du gouvernement après trois ans d’exercice.
Ils sont accueillis par une autre personnalité dans l’opposition.
Grâce à SOUMAILA CISSÉ,ils sont actuellement avec les tombeurs d’Ibk alors que lui,vivant,n’aurait jamais accepté de se soumettre aux PUSCHISTES.
C’est conscients qu’avec l’organisation des élections sincères et transparentes,ils vont retourner dans l’opposition,qu’ils aident les COLONELS à confisquer le pouvoir.
Bonjour
Il ne faut pas continuer à se laisser faire par ces G€ℕO∁𝕀𝓓€𝕌ℜ𝔄ℳ€ℜ𝕀∁𝔄𝕀ℕ$!
Merci mille fois Choguel Maiga et Abdoulaye Diop!. Bravo pour la cooperation sud-sud un meilleur future pour nos deux pays!
Le meilleur futur n’est possible entre nos deux pays que si le pendant se produit au Mali c’est à dire qu’on permet que les maliens aussi votent pour élire leurs représentants au sommet de l’État.
LES BRÉSILIENS ONT FAIT UN CHOIX PARMI PLUSIEURS POSSIBILITÉS DE GESTION DU PAYS.
Au Mali,les usurpateurs ne permettent même pas que les maliens fassent leurs choix.
On leurs impose.
ON PENSE,À TRAVERS UNE MOBILISATION POPULAIRE MANIPULÉE,QUE LES MALIENS S’OPPOSENT À LA FRANCE.
On carrese dans le sens de la poile dans le seul but de rester aussi longtemps que possible au pouvoir.
QUAND LES TRAITES S’ASSEMBLENT,ÇA FINIT TOUJOURS MAL.
Le peuple malien n’est jamais sollicité,mais manipulé.
On se sert de sa naïveté née d’une inculture générale.
On ne peut pas procéder autrement car conscients perdre dans les urnes,s’il s’agit de solliciter les MALIENS comme l’a fait LULA.
LES TENANTS ACTUELS DU POUVOIR NE REPRÉSENTENT PAS LE PEUPLE MALIEN.
Ils agissent en son nom sans son consentement.
Une USURPATION inacceptable nécessitant l’intervention militaire de la CEDEAO.
Une USURPATION qui se confirme par un retard constaté dans le calendrier considéré par la CEDEAO.
Ce qui accrédite de plus en plus la possibilité d’une intervention militaire de la CEDEAO pour sauver le peuple malien des délinquants logés au sommet de l’État sans son consentement.
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