Jamais cour constitutionnelle n’a été aussi contestée et soupçonnée de complicité avec le pouvoir, que celle présidée par le juge Manassa Danioko. Celle-là même qui fut l’enfant gâtée du processus démocratique malien. Radiée de la fonction publique, sous le régime du parti unique, elle a été remise en scelle et dans ses droits, au bout d’un combat procédurier des démocrates en herbe. Puis, quelle belle revanche que d’avoir à juger le Général Moussa Traoré, qui plus est à l’origine de sa radiation.
Ironie du sort, Mme Manassa Danioko se retrouve être présidente de la Cour constitutionnelle, après l’une des élections présidentielles les plus bâclées du Mali démocratique. Au point que les protagonistes aussi bien que les observateurs maliens et étrangers en relèvent des irrégularités graves ayant empêché des électeurs d’exercer leur devoir civique : absence des cartes dans plusieurs bureaux de vote, « insécurité globale », empêchant le vote dans plus de 800 bureaux de vote à travers le pays (Koulikoro, Ségou, Mopti, Gao, Tombouctou etc…).
Sans nul doute que de telles irrégularités sont de nature à entacher gravement la crédibilité des résultats. Les parties prenantes à cette élection, les acteurs que sont les 24 candidats ont à plus de 80 % dénoncé et rejeté les résultats du premier tour. « Ces résultats ne représentent pas les votes du peuple malien du 29 juillet 2018. Nous les rejetons unanimement ».
A travers une démonstration de force au palais de la culture, la vingtaine de candidats du front pour l’Alternance au Mali (opposé au Président IBK), en meeting ont exprimé hier, leur rejet des résultats provisoires de cette élection présidentielle. Leurs exigences : la publication des résultats bureau de vote par bureau de vote, le recomptage des suffrages. Et comme tout ceci est pratiquement impossible avec la clarté recherchée, certains candidats à l’instar du Dr Oumar Mariko exigent l’annulation pure et simple de cette élection par la Cour constitutionnelle.
Il n’y a pas eu d’élection, mais une attribution arbitraire des voix à la tête du candidat. Cela est inacceptable et la situation prend l’allure d’un combat pour la défense des acquis de mars 1991. La cour des sages pourrait- elle s’y prendre autrement, qu’elle risquera de raviver la tension et attiser le feu qui couve ? Le Mali a plutôt besoin de concertation et de gestion concertée des questions nationales, et non de bandage des muscles dont on n’en a que faire.
B. Daou
Au pouvoir
Quand des maliens seront dignes nous
aurons un bon president.Sinon IBK ET SOUMAILA CISSÉ AU 2eme tour,pas d’alternance!car ils sont tous des voleurs,des corrupteurs,des demagogues,des flateurs,des manipulateurs manipulés,des soi-disants patriotes.
QU’ALLAH BENISSE LE MALI!
1- LES MALIENS, PAR LACHETE’ , ONT SU E’VITER LA GUERRE CONTRE LE TERRORISME, INDIRECTEMENT CONTRE LA FRANCE.
2- LES MALIENS, PAR LACHETE’ , ONT BETEMENT REGARDE’ LA FRANCE TRANSFORMER LA GUERRE CONTRE LE TERRORISME EN GUERRE INTER-ETHNIQUE.
3- MAINTENANT, LES MALIENS VONT-ILS SE LANCER DANS DANS UNE GUERRE CIVILE POST-ELECTORALE QUI DONNERA UNE TROISIEME DIMENSION FATALE, UN COUP DE GRACE, AU MALI, A’ LA NATION …?
VONT-ILS LES MALIENS S’ ENTRETUER POUR UN SYSTEME POLITIQUE IMPORTE’ NOMME’ ” DEMOCRATIE” ET QUI A MONTRE’ SES LIMITES , VOIRE CHEZ CEUX QUI NOUS L’ IMPOSENT.
PENSEZ-Y, LA “DEMOCRATIE-IMPORTE’E” N’ EST PAS UNE SOLUTION AFRICAINE…!
LES MALIENS ONT TROP BIEN ASSIMILE’ LA LECON LARBINISANTE DES BLANCS, SELON LAQUELLE ” LA NON-ACCEPTATION DE LEUR DEMOCRATIE EST MANQUE DE CIVILITE’ ET DE CIVILISATION” .
METTONS FIN AU LARBINISME FRANCO-ARABE….!
DEMOCRATIE, AVEC UNE CONSTITUTION ET AUTRES TEXTES COPIE’S SUR CEUX DE LA “FRONCE” , …, VOIRE LES CONSEILS DE MINISTRES SE TENANT LES MERCREDI….DES CANDIDATS(24 VALIDE’S POUR 8 MILLIONS DE VOTANTS) AUX ELECTIONS FAISANT LA QUEUE A’ PARIS POUR PROUVER SON LARBINISME CONGENITAL.
OUAIS, DEMOCRATIE SANS POLITIQUE MONE’TAIRE NATIONALE, SANS BANQUE NATIONALE…, AVEC UNE MONAIE DE SINGE FRANC CFA, DECIDE’E AILLEURS ET MISE “EN CIRCULATION” COMME CELA CE FAIT DANS UN POULAILLER OU UNE BASSE-COUR.
QUELLE DEMOCRATIE, AVEC UNE CONSTITUTION…ECRITE EN FRANCAIS, CONSTITUTION DONT SEULEMENT 0,001% DE LA POPULATION PEUT LIRE ET COMPRENDRE…!
MALIENS, VOYEZ-VOUS DE QUELLE “DEMOCRATIE” VOUS PARLEZ..!
LE MALIEN DOIT SAVOIR QUE NOTRE CODE SOCIAL-POLITIQUE-INSTITUTIONNEL PEUT ETRE ECRIT AVEC NOS LANGUES NATIONALES TOUT EN SE BASANT SUR NOS CODES LINGUISTIQUES-HISTORIQUES.
AINSI NOUS CRE’EONS NOTRE RE’ALITE’ , AINSI NUL BESOIN DE SUIVRE-ET-VIVRE-ET-SUBIR LES RE’ALITE’S DE’BILISANTES DE LA “FRONCE”…..
C’ EST L’ ETAT ACTUEL DES CHOSES, C’ EST A’ DIRE L’ UTILISATION DU FRANCAIS, QUI CONSTITUE LE DENI FLAGRANT DU NATUREL…
LE FRANCAIS EST ECRIT, MAIS IL EST VIDE DE SENS, IL EST DESTRUCTURANT COGNITIVEMENT ET DEBILISANT. …POUR NOS PEUPLES.
LA FRANCOPHONIE EN AFRIQUE NE VA PLUS DURER, WAIT AND SEE….!
LES 70 ANS DE COLONISATION FRANCAISE NE JUSTIFIENT PAS L’ ETERNELLE UTILISATION DU FRANCAIS DANS NOS PAYS ET DANS NOS SOCIETES.
LA LARBINISATION PAR LA “FRONCE” PRENDRA FIN, NOUS Y PREPARONS….
NB:
LES 70 ANS DE COLONISATION FRANCAISE NE JUSTIFIENT PAS L’ ETERNELLE UTILISATION DU FRANCAIS DANS NOS PAYS ET DANS NOS SOCIETES.
Et pourquoi toi tu utilise le français pour raconter tes âneries ?
Djougou Sâgô.
TOUT JUSTE , CAR CE SITE EST EN FRANCAIS.
POUR UN SITE MINIANKA , J’ AURAIS REPONDU EN MINIANKA.
JE NE ME PERDS PAS NON PLUS DANS LES SITES ALLEMANDS, ANGLAIS, BASSA ET JAPONAIS.
VU TA COURTE REPONSE A’ TANT DE PROBLEMATIQUES QUE JE SOULEVE, TU DOIS ETRE PLUS PROCHE GENETIQUEMENT DE L’ ANE QUE MOI.
JE TE SOUHAITE ENCORE UN BOUT DE CHEMIN D’ EVOLUTION GENETIQUE, PARDON PLUTOT A’ TES REJETONS, CAR LE TIEN EST DEJA CLOS.
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LES 70 ANS DE COLONISATION FRANCAISE NE JUSTIFIENT PAS L’ ETERNELLE UTILISATION DU FRANCAIS DANS NOS PAYS ET DANS NOS SOCIETES.
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Le malien
Qui provoque la crise?
Le pouvoir qui n’a pas voulu organiser une élection transparente et sincère?
Ou l’opposition qui a,jusqu’à maintenant,montré qu’ elle est responsable en évitant des violences qu’ on constate dans d’autres pays,même en crise?
SOUMAILA CISSE est irréprochable car il a fait ce que IBK est incapable de faire à sa place :SE DÉPLACER AVEC TOUTE SA FAMILLE POUR LE FÉLICITER CHEZ LUI.
Cette année,il ne peut pas le faire car c’est cautionner une fraude qui peut hypothéquer l’avenir du MALI,plus que la crise post électorale.
A qui profite la situation électorale au Mali:
– Au pouvoir ;
– A l’opposition ;
– Au peuple ;
– ou A la CMA qui attend le chaos au Sud pour conforter leurs idées indépendantistes ?
Bonne réflexion.
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