Comme un serpent de mer, les élections locales qui devaient se tenir depuis le mois d’avril 2014 nous tiennent en haleine depuis près de deux ans. Reportées plusieurs fois, la détermination du Gouvernement à les tenir le 25 octobre prochain n’arrive pas à convaincre les nombreux sceptiques sur la tenue effective de ce scrutin pourtant déterminant pour la démocratie malienne et les futures évolutions institutionnelles.
Les acteurs politiques, normalement les principaux soutiens des élections car c’est leur raison d’être, semblent les moins pressés à aller à ces municipales et régionales. Ils sont imités en cela par de nombreux observateurs. Tous emploient le même argumentaire, la sécurité balbutiante sur une partie du territoire et son corollaire en termes de déplacés, de difficultés logistiques, d’obstacles administratifs…Il est vrai qu’il n’est pas facile de rassembler les documents administratifs quand l’administration n’est pas présente tout comme il est difficile de déposer une liste dont le modèle n’est pas disponible et encore moins l’autorité censée recevoir le dépôt. Les entraves à la circulation par endroits rendent compliquée une campagne, qui plus est dans un contexte où des groupes armés décrètent une ” interdiction ” des élections sur leur ” territoire “.
Pour autant, faut-il remettre en cause des consultations électorales concernant près de 720 circonscriptions car une cinquantaine d’entre elles présentent des risques ? Des scrutins mobilisant plus de six millions d’électeurs car moins de 10% d’entre eux risquent d’avoir des difficultés de voter ? Assurément non si les conditions permettent que ces élections se tiennent à peu près normalement et si cette assurance est donnée par les autorités. Le risque de partition avancé par certains commentateurs n’existe pas et n’a jamais existé. Dans le passé, plusieurs communes au Nord comme au Sud ont dû reprendre des élections locales dans notre pays. La loi ne l’interdit pas, l’administration peut prendre cette initiative partout où cela est nécessaire. Rien n’interdit de prévoir, plus tard, d’organiser des consultations là où cela paraît souhaitable. C’est vers cette solution qu’il faut tendre et dans cette optique, l’Accord de paix et de réconciliation issu du processus d’Alger, assurément peu exploité, offre une solution idéale pour le Gouvernement.
L’annexe 1 de l’accord, relative à la période intérimaire, dispose que le Gouvernement, le cas échéant, mette en place des autorités chargées de l’administration des communes, cercles et région du Nord pour une période de 18 mois pendant laquelle l’essentiel des textes nécessaires selon l’Accord seront pris afin de définir le nouveau cadre institutionnel et de gouvernance du pays. L’Accord dispose également que le Gouvernement en accord avec les autres parties signataires, définisse les compétences et les modalités de désignation et de fonctionnement de ces autorités. Ces dernières, selon la lettre et l’esprit de l’Accord, devront comporter des élus, des autorités traditionnelles et religieuses, des représentants de la société civile dont une partie désignée par les signataires de l’Accord. Nos autorités devraient utiliser ces dispositions pour faire taire les polémiques autour des élections locales et régionales en engageant un processus en quelques étapes.
Il s’agit d’abord d’identifier les communes du Nord où l’on pourrait organiser des élections et celles où cela serait difficile en l’état. Cela permettrait d’identifier clairement les communes où on appliquerait les dispositions de l’annexe 1 de l’Accord. Tous les cercles et les trois régions seront concernés par l’application des dispositions de l’Accord. À contrario on organiserait les élections communales et régionales du 25 octobre prochain dans toutes les cinq autres régions et leurs cercles, le district de Bamako et toutes les communes du Mali à l’exception de celles identifiées comme difficiles à recevoir les scrutins. Le Gouvernement proposerait ensuite au Comité de suivi de l’Accord un dispositif conduisant à la mise en place des autorités administratives transitoires dans les collectivités concernées, au Nord, à compter d’octobre ou novembre 2015 et pendant une période prévue par l’Accord. Les signataires de l’Accord s’entendraient sur les modalités pratiques de mise en place et chacun s’emploierait ainsi à faire sa part du travail dans le processus.
Les nouvelles autorités désignées selon le processus convenu au comité de suivi prendront fonction à la tête des collectivités identifiées avec un mandat et une feuille de route établis dont l’essentiel portera sur la mise en œuvre de l’accord sur le terrain, l’accompagnement de l’État dans les réformes institutionnelles à mettre en place, la gestion des collectivités locales et l’engagement de tous les voies et moyens tendant à la réconciliation nationale et au retour de la normal au Nord. Au même moment, dans toutes les autres collectivités, des élections déboucheront sur le renouvellement des organes dirigeants qui joueront également un rôle dans l’accompagnement de l’État dans la conduite des réformes prévues par l’Accord. L’État prendra des mesures législatives et règlementaires pour prévoir dans nos textes ces autorités administratives transitoires.
Le nouvel environnement créé d’ici la fin de l’année 2015 présente l’avantage qu’il permet que des élections locales cruciales soient organisées tout en engageant la mise en œuvre de l’Accord de paix. Il crée aussi un contexte où des élus légitimes se trouveront à la tête des collectivités pour accompagner idéalement l’État dans la définition et la mise en œuvre des réformes institutionnelles et de gouvernance prévues par l’Accord. Les autorités administratives transitoires cèderont la place à des organes élus, au Nord du pays, à la fin de la période transitoire, début 2017 après que l’essentiel des réformes aient été conduites. Ces réformes profiteront aux collectivités dont les organes dirigeants auront été renouvelés en octobre 2015 et qui auront ainsi un surcroît de pouvoirs et de moyens pour mener à bien leurs programmes.
Le contexte particulier du pays nous oblige à être innovants et entreprenants pour ne pas subir les évènements. En la matière, avec l’Accord de paix, nous disposons d’un outil précieux pouvant nous permettre d’avancer sur le sentier difficile de la réforme de l’État, du renforcement des institutions, de l’approfondissement de la démocratie tout en veillant à ce que la sécurité, la réconciliation et la paix fragiles en cours de construction ne soient remises en cause.
Moussa MARA
moussamara@moussamara.com
Merçi mr Mara pour votre contribition et bonne arrivêe parmis les terriens !!! La lucidité est le seul bien qui ns reste personne ne pourra ns la prendre
C’est bien la limite de la loi, qui n’a rien prévu que d’organiser le scrutin après. Pas de délégations spéciales, onéreuses pour les maigres ressources du pays. De même, les maires actuels ne doivent plus continuer à diriger, parce qu’ils ont perdu à la fois la légitimité et la légalité. Le seul moyen restant est bien la tenue des scrutins. Pas de mesures exceptionnelles. L’Etat doit s’assumer, et pleinement.
Alors, vivement le 25 octobre, pour la tenue au moins des communales. Les régionales pourraient attendre. Dans cette optique, le gouvernement sera invité à prendre un autre décret de convocation du collège électoral, pour les communales seulement.
Ainsi, si pour une raison ou une autre, valable, pour laquelle le scrutin ne serait pas tenu dans une commune ou plusieurs, les dispositions réglementaires et législatives en matière électorale seront appliquées.
Les listes ont été déposées dans toutes les régions, y compris à Kidal. Alors pourquoi reporter? Bamako doit éviter ce piège, qui discrédite le pays, et qui renforce la Coordination des mouvements de l’Azawad, qui entend faire de Kidal son territoire.
Il faut organiser le scrutin communal pour prouver que Kidal est bien Malien, parce que des citoyens de là-bas ont exprimé leur volonté d’aller aux élections, en faisant acte de candidature. La rigueur, le respect des textes, le souci de la bonne gouvernance, disons de la gouvernance partagée, doivent conduire le gouvernement à respecter et à faire respecter la loi.
s’il faut attendre une hypothétique sécurité, sur laquelle le gouvernement n’a aucune emprise, il n’y aura jamais d’élections jusqu’à la fin du quinquennat d’IBK.
S’il faut attendre la paix, qui est un processus continu, il n’y aura pas non plus d’élections. Il faut y aller avec la sécurité qu’on a, d’autant qu’il n’y aura jamais de sécurité à 100%.
Il faut aller aux élections avec le niveau de paix actuel. Les futurs élus contribueront à asseoir la paix définitive dont on rêve, avec, bien sûr, des hauts et des bas. Vivement donc le scrutin du 25 octobre prochain.
Dans la vie il faut comprendre qu’à chaque chose en son temps et chaque temps en sa chose. La tenu des élection à la date du 25 Octobre est une bonne date. prions afin que ces élections soit crédible et transparent comme tous les autre et en des bonnes conditions sécuritaire.
L’accord de paix consiste une bonne base pour arriver à la paix, avec la réalisation de ces élections l’accord peut facilement retrouver son chemin pour cella, la réussite de ces élection doit être de la prière de tous les maliens.
Le Mali n’a pas eu un président plus déterminé, plus responsable, plus optimiste, plus disponible et dévoué qu’Ibrahim Boubacar KeÏta, même dans l’avenir il sera difficile d’en trouver comme lui. Par toutes ses potentialités, son n’expérience et son bon sens de patriotisme, il est au four et au moulin, il se donne corps et âme pour ressortir notre patrie de cette crise existentielle et multidimensionnelle
Certes, IBK est le chef de l’Etat, il a la commande de la magistrature suprême, mais le Mali c’est pour nous tous, alors ou devons tous le soutenir. Sinon la défaite d’IBK est celle de tous les maliens.
Cette fois-ci les élection peut se tenir sous la sécurisation et la stabilisation de la MINUSMA. La population doit soutenir le gouvernement dans cette nouvelle décision, la tenus de ces élection dépend du comportement de la population.
Je pense c’est le moment opportun pour la tenue des élections régionales et communales. Elle a été trop reporter. Ne jamais laisser à demain ce dont nous pouvons faire aujourd’hui. ➡ ➡ ➡
When will the country be totally secure? It is time for this election to take place. Or do you not want this country moving.
Je pense que le gouvernement a raison cette les élections régionales et communales doit être faites dans les plus brefs délais. Elles été plusieurs reporter pour des raisons d’insécurité et d’instabilité en particulier dans le septentrion malien. C’est le septentrion qui cause tous es tous les problèmes dans les élections régionales et communales sont fixées au 25 octobre. Le comité de suivi doit agir et fait preuve de son efficacité dans leurs tâches.
Vue la situation actuelle du pays, la communauté internationale et la MINUSMA devrait épauler le gouvernement dans l’élaboration des élections régionales et communales fixées au 25 octobre dans les zones considérés comme à haut risque. Si la communauté internationale et la MINUSMA ont obligé la GATIA a quitté Menaka ensuite Anéfis, alors je pense qu’ils doivent être capable d’obliger les intervenants à laisser les élections régionales et communales sont fixées au 25 octobre se déroulé dans les règles de l’art.
Presidential and parliamentary elections were also held in difficult circumstances. The holding of the election in the October 25, falls within the framework of the reconstruction of Malikura. This election was postponed twice, we must in no accepted that it is still postponed.
A quand le pays sera totalement sécurisé? Il est temps que cette élection ait lieu. Où bien vous voulez pas que ce pays bouge.
La tenue des élections régionales et communales sont fixées au 25 octobre, n’est l’affaire du gouvernement seule. Tous les acteurs politique ont particulier l’opposition devait donner son point de vue sur l’état des faite. L’opposition est resté inactif et maintenant on n’attaque le gouvernement d’avoir forcé une élection presqu’impossible temporairement. Je pense que c’est l’opposition qui est le plus fautif.
Helping the government to organize the elections so that it can also handle other major problems. I agree. I am Malian my président.En I certainly like the intelligent Toto said, must do its candidates demonstrated good times and more I we saw everything with his clowns in public. I can tell the public is attentive and enormously attention to make choices. because we want the true laborers.
➡ ➡ ➡ ➡ ➡ Les élections communales doivent se tenir coûte que coûte, sinon le temps finira par faire défaut. ➡ ➡ ➡ ➡ ➡
I see no problem in holding the election on the date mentioned in this article. We can not continue to postpone the election to approach all scheduled dates. Getting to a certain point, one is obliged to do so. Otherwise there is a risk of violating the law on all day long.
Il faut aussi que la CMA arrête son jeu et faire face à la préoccupation des Maliens. Nous souhaitons que ces élections soient faites pour que les peuple élue leur conseiller régional ?
Les élections présidentielles se sont tenues pendant que le Mali était couché sous l’épée Damoclès alors épargnez nous vos arguments ridicules et allons aux élections.
La tenue de cette élection communale est capitale pour l’émergence du Mali. Notons que cette élection fut repoussée à deux grandes reprises. Cette fois ci elle ne doit pas être repoussée. Je suis entièrement d’accord avec sa tenue.
Les élections présidentielles se sont ténues dans les conditions les plus effrayantes qu’aujourd’hui, alors celles du 25 octobre peuvent belle et bien se tenir. Les partis qui ne veulent pas participer n’ont qu’à se retirer.
Je ne vois pas d’inconvénient au fait que l’élection communale se tienne en la date convenu. De toutes les milles et une façon elle doit avoir lieu, autant de le tenir maintenant enfin de passer à autre chose.
Je crois qu’il est temps de tenir les élections communales et régionales. Déjà qu’on a été confronté à deux reports dus à l’impossibilité engendrée par la situation de notre pays. Le gouvernement est maintenant dans l’obligation de tenir les élections. Certains individus pensent que c’est pour que le Rpm puisse gagner dans plusieurs circonscriptions. 😀 😀 😀 😀
Je ne vois aucun problème à la tenue des élection à la date mentionnée dans cet article. On ne pourra pas continuer à reporter les élection à l’approche de toutes les dates prévues. Arriver à un certain moment, on est dans l’obligation de le faire. Sinon on risquerait de violer les loi à la longueur de journée. 👿 👿 👿 👿 👿
A force de s’acharner sur le président et de vouloir obtenir des postes importants, ils ont oublié de préparer les élections, de faire respecter le rang au sein de leurs partis respectifs. Le Mali a intérêt à aller aux élection le 25 Octobre, sinon c’est des milliards qui seront perdus pour RIEN
Comment ça le gouvernement est pris dans le piège, M. Dramane Aliou Koné? Le gouvernement n’est-il pas obligé de tenir les élections communales et régionales? 😛 😛 😛
Aidons le gouvernement à organiser ces élections afin qu’il puisse s’occuper d’autres problèmes aussi majeurs. je suis d’accord. je suis malien je suis mon président.En tout cas comme le dit Toto intelligent, il faut que ses candidats fassent preuve de bonne fois et en plus je on en a tout vu avec ses clowns dans les communes. ce que je peux dire la population soit attentive et fasse énormément attention aux choix. car on veut des vrais laboureurs.
Les élections présidentielles et législatives ont aussi eu lieu dans les circonstances difficiles. La tenue de l’élection en la date du 25 octobre rentre dans le cadre de la reconstruction du Malikura. Cette élection fut reporté deux fois, nous ne devons en aucun accepté qu’elle soit encore reporté.
Ce qui est sûr, les élections communales et régionales se tiendrons le 25 Octobre. Personne en peut s’y opposer. D’ailleurs nous soutenons tous ces élections pour le bien des communes et régions. 😆 😆 😆
De leurs côtés, les groupes armés rebelles ont, à travers un communiqué laconique, déclaré leur opposition à toutes « mobilisation, sensibilisation ou campagne » relatives aux élections communales régionales dans ce qu’ils appellent dans leur jargon « leur territoire ». On demande aux rebelles d’arrêter cela pour le bonheur des Maliens.
It is taking the same agreement that elections must be held at rather. Since when there has been an endless postponement of these elections? For the country to move forward, we must also change the local officials who are torturing the population
Il faut coûte que coûte tenir les élections communales et régionales le 25 octobre prochain. Le gouvernement fera tout pour qu’il n’ait pas de report cette fois-ci. Les partis politiques sont tous prêts pour ces élections. Pourquoi ne pas les tenir? 😯 😯
Si nous nous mettons à reporter chaque fois cette élection à quand pensons nous finir avec le problème d’insécurité La municipale doit se tenir à la date prévue par le gouvernement et que la communauté internationale s’investit d’avantage plus précisément la MINUSMA Le pays ne fonctionne pas jusqu’à présent comme il faut raison pour laquelle cette élection doit avoir lieu Monsieur le journaliste votre article est très riche
Comme dit les BAMBAAS KO KONO KOULOU DJELEN DE BE BI FO, alors donnons-nous la main et soyons toujours souder pour faciliter la tâche au gouvernement.
Le gouvernement est pris auquel piège, monsieur le journaliste? C’est le fait de tenir les élections communales et régionales après deux reports que nous pourrons nous en sortir? 😯 😯 😯
Rien n’empêche de tenir les élections communales et régionales. Je crois que c’est une évidence de procéder ainsi. Il est temps que les actuels élus locaux partent. Leurs mandats sont arrivés à terme. Et les nouveaux qui seront élus doivent l’être dans l’immédiat. 😛 😛 😛 😛
Ce sont certains partis politiques qui craignent que l’élection soit tenue en ce moment parce qu’ils se sentent faibles Sinon je pense même que la présidentielle et la législative se sont tenue dans la même situation comme actuelle.
je viens encore avec ses mêmes arguments chers internautes,
vous êtes pressé pour les élections mais je suggérais a ce que vous disiez un mot pour les partis et les candidats, car ses derniers temps on a vu toutes sortes de maires. des gens qui ne sont pas crédibles, corrompus en un mot ceux sont des voleurs.
Bien sûr qu’on peut tenir cette élection, il suffit d’y croire c’est tout. Rappelons que les élections communales ont eu lieu dans les mêmes conjonctures pourquoi pas l’élection municipale.
Déjà que les élections ont été reportées à deux reprises, il ne faut pas qu’il y ait d’autres reports. D’ailleurs, la loi est contre plus de deux reports. Donc les élections se tiendront. 😆 😆 😆
Mara, pourtant ces arguments ne sont plus valables dès que la situation n’est pas totalement résolue. Je crois que la vie paisible, le chemin vers la paix dépendra de ces élections municipales. Qu’on les reporte ou pas, le Mali est obligé de passer par les élections municipales. “Ne jamais remettre à demain ce qu’on peut faire à tout de suite.
Nous devons soutenir le gouvernement pour que les élections puissent être lieu, Nous demandons à la population de soutenir toujours le gouvernement, car il est là pour le bonheur des Maliens, nous savons réellement que la gérance a fait sa part en signant l’accord de paix et la réconciliation, il faut que CMA se comporte en tant que fils digne de ce pays, en tant que participant à la gestion des affaires du pays, en tant que signataire de paix pour que ces élections faites.
Le Mali actuel a besoin la contribution de chacun de nous, Il reste beaucoup à faire, il faut le peuple aide le gouvernement pour que ces élections puissent sortir dans nos bilans, sinon il reste suffisamment de choses a réglés, le président a besoin la participation de tout un chacun.
Tout ce que moi je suggère c’est que le gouvernement fasse tout pour que l’élection se passe dans des bonnes conditions. Les localités doivent être rigoureusement sécurisées afin que personne ne soit blessé au cours de n’importe quelle tentative d’attaque.
The Malian government is right to hold out until -There the decision of the municipal election. If we want a new image for our country, we must all contribute to making this election a success.
Nous voulons la paix rien que la paix, et nous voulons une élection transparente et libre, il faut que la date de 25 octobre soit une date définitive, la population Malienne devrait tout faire pour que le pays puisse stable et que les élections se fassent comme il faut.
Je crois que c’est dans l’intérêt de la nation que ces élections ont été organisées pour cette date et son teneur sera irrévocable. Je juge bon et bien la tenue de cette élection et toute la classe politique malienne a le devoir de la soutenir et se préparer moralement et physiquement.
Depuis la signature de l’accord de paix et la réconciliation beaucoup de choses ont été mise en place, concernant l’élection législative ces élections. MARRA sait réellement que l’accord ne joue pas l’organisation des élections communales, mais bien au contraire.
L’Etat malien a raison de tenir jusque –là la décision de l’ élection communale. Si nous voulons une nouvelle image pour notre pays, on doit tous contribuer à ce que cette élection soit une réussite.
POSSIBLE DE FAIRE LES ELECTIONS. QUAND ON VEUT ON PEUT.
En se référant sur les grands textes du Mali du Mali y compris la constitution, on se rend compte que le gouvernement a raison de reporter les élections qui devraient être fait le mois de Mars dernier.
Vous avez tout dit M. Mara, le malien manque de soutien et de l’accompagnement envers l’autorité. Pourtant c’est quelque chose à ne pas prendre à la légère dans un pays comme le nôtre. Au lieu de nous acharner à des critiques, il faut accompagner, il faut soutenir et reconnaitre surtout que tout ce que le gouvernement fait est dans notre intérêt.
Est ce que si les partis politiques qui y sont les principaux acteurs de l’élection insistent sur le report de l’élection est la faute au gouvernement Le gouvernement ne peut pas obliger les partis politiques de faire ce qui ne le veulent pas.
Si vous avez peur 😆 😆 :lol:quoi que vous fassiez cette élection va avoir lieu et à la date prévue.
Au lieu de soutenir le gouvernement à faire des élections en Octobre, si nous continuons à sortir toute sorte d’argumentation pour le report, le pays stagnera dans cette situation insupportable et insoutenable du point de vue local.
Les élections communales et régionales pourront-elles avoir lieu à la date indiquée par le gouvernement? Telle la question qui taraude désormais l’esprit des uns et des autres. Il s’agit du 25 octobre prochain, date arrêtée par le gouvernement à travers le ministère de l’Administration Territoriale et de la Décentralisation dirigé par Abdoulaye Idrissa Maïga, après deux reports de suite de ces élections. Pour le second report d’ailleurs, le gouvernement a eu recours à l’Assemblée Nationale pour pouvoir procéder à la prolongation à titre exceptionnel du mandat des conseillers communaux. Mais nous comptons beaucoup sur le gouvernement à la date du 25 OCTOBRE prochain.
Soutenons le président et son gouvernement pour but d’intérêt général de la Nation.
Je pense que la contribution de la MINUSMA est beaucoup sollicitée pour une organisation sécuritaire hautement réussie. A part ce côté sécuritaire, je ne vois aucune autre objection quant à la tenue de cette élection communale et régionale.
je ne suis pas contre les élections mais tout ce que je veux que les gens et le gouvernement fassent très attention.
C’est en tenant même de l’accord que les élections doivent se tenir au plutôt. Depuis quand on assiste à un interminable report de ces élections? Pour que le pays puisse avancer, il faut aussi changer les élus locaux qui sont en train de martyriser la population
Soutenons tous le gouvernement pour la tenue de ces élections pour qu’on en finisse et qu’on passe à autre chose.
C’est une très bonne proposition de la part de M. Moussa Mara. Mais moi je pense qu’on doit tous se plier à la décision du gouvernement même si toutes les conditions ne sont réunies. Ce sont les élections qui vont nous permettre de rentrer vivement dans notre souveraineté quelque part.
La tenue des élections contribuera à la réconciliation nationale. Il faut que cette élection se tienne pour que vive la paix.
Il faut vraiment que ces élections se tiennent afin qu’on passe à autre chose plus important. Nous devons tous soutenir IBK dans ce combat.
Toute la population malienne doit apporter son appui au gouvernement afin que les municipales ne soient pas encore une fois de plus reportées. 😆 😆 😆 😆 😆
IBK est un fin stratège. IBK est un brillant leader et un très bon manager, il sait ce qu’il fait. Faisons lui confiance et soutenons, il est l’homme qu’il faut à la place qu’il faut.
Le gouvernement est toujours sur sa décision, il n’a pas dit qu’il va changer la date des élections. Il est temps que la cma met dans sa tête qu’elles ne sont pas le maitre du monde. On doit toujours suivre le gouvernement
Les maliens ont confiance en IBK, et savent qu’il ne prendra que des décisions qui visent le bonheur des maliens, car il porte à cœur le Mali et le bien-être des maliens.
Le Gouvernement est pour la tenue des élections, nous devons les soutenir à tenir l’élection. Les partis politiques doivent tous adhérer à cette idée.
Organisées les élections communales est plus que nécessaire en ce moment, vu le nombreux report. Si réellement cette annexe existe dans l’accord d’Alger, le gouvernement doit l’exploité pour que ces élections se tiennent.
On vit dans un pays où les citoyens sont tous appelés à se donner les mains pour construire leur pays ce n’est pas que la majorité ou l’opposition seulement qui sont appelés à travailler pour construire le pays. Je pense que c’est un devoir qui incombe à nous tous.
MAR a parfaitement raison, le Gouvernement doit exploiter l’accord de paix pour organiser cette élection. Il faut vraiment que ces élections soient organisées pour que certains Maires incapable dégagent le plancher. Le gouvernement doit mette en place , selon l’annexe 1 de l’accord, comme l’a souligné Mara, des autorités chargées de l’administration des communes, cercles et région du Nord pour une période de 18 mois pendant laquelle l’essentiel des textes nécessaires selon l’Accord seront pris afin de définir le nouveau cadre institutionnel et de gouvernance du pays.
Cette élection doit lieu quel qu’en soit le prix à payer. On doit passer à autre chose, il faut les figures changes pour qu’il ait un Mali meilleur. Unissons-nous pour la bonne marche de cette l’élection municipale prévue pour le 25 octobre prochain.
Raison de plus, pour encourager le gouvernement à organiser ces élections de proximité et tourner rapidement la page de ce chapitre.
Je ne sais pas pourquoi vouloir reporter la date de l’élection du 25 Octobre. Alors que le pays a vraiment besoin de cela et maintenant. Il faut qu’on avance
La date des élections ne doit pas être changée. Toutes les organisations pour le scrutin ont déjà commencé. Pour quelle raison faut-il le changé ?
Listed political parties, positions are divided on the subject. And this is not surprising. As always, the political class is divided into two categories: There are those who see their interest and those who see their interests threatened. But Mali must move forward. He must advance.
A mon avis si les partis politiques se soucient un peu de la situation actuelle de notre pays, ils doivent soutenir la date du 25 Octobre et sensibilisé la population pour qu’ils sortent massivement pour aller voté.
Coté partis politiques, les positions sont divisées sur le sujet. Et ce n’est pas surprenant. Comme toujours, cette classe politique est divisée en deux catégories : Il y a ceux qui y voient leur intérêt et ceux qui voient leur intérêt menacé. Mais, le Mali doit avancer. Il faut qu’il avance.
La campagne visant à faire reporter les élections communales et régionales prévues pour le mois d’octobre prochain, n’est pas de nature à contribuer à une sortie de crise rapide. Mille fois reportées, les élections locales, sont, de nouveau, prévues pour octobre 2015. Pour ce faire, le gouvernement est à pied d’œuvre pour que cette échéance soit respectée.
C’est un signe de respect, de grande considération et d’humilité de la part du président de la république vis-à-vis de l’opposition. C’est un acte de patriotisme qui ne dit pas son nom. Ibk vient une fois de montrer au malien que c’est le Mali qui compte pour lui et non lui seul ou sa famille et ses amis. Que chacun apporte sa pierre à l’édifice national.
Le mieux serait que la date des élections ne change pas. Des dépensent ont été fait pour l’organisation de ce scrutins, donc l’annuler sera un gaspillage pour le pays
Je prie Allah pour qu’il règne la paix, la stabilité, le bonheur et le développement sur toutes ses formes dans notre pays et dans le monde entier. Mais en plus de cela je lui demande également qu’il règne l’entente et la solidarité entre nos autorités de toutes les colorations religieuses, politiques, ethniques et raciales.
Si les élections présidentielles et législative a pu avoir lieu pourquoi pas le municipal ? A ce que je sache toutes ces deux élections ont été tenues dans les circonstances délicates, malgré tout ça s’est bien passé. Soyons raisonnable et soutenons nos gouvernants.
On doit se faciliter la tâche et se mettre d’accord pour que cet élection puisse se faire le 25 Octobre. Sa sera mieux pour tous. La cma se prend pour qui pour interdire les élections ? C’est décision du gouvernement qui compte
Quel qu’en soit la situation qui prévaut dans le pays, il est temps de tenir l’élection communale. Le mandat des élus sont écoulés, aussi le président IBK a fini avec ces deux années, il faut du changement pour que le pays puisse se relever.
Monsieur MARA, c’est justement cet accord de paix qui pose problème pour l’organisation de ces élections, quelles soient totales, perlées, rampantes, roulantes, hachées, découpées… je ne sais quoi…relisez bien s’il vous plait les passages qui font références rien qu’ à l’élection au suffrage universel direct des conseils de cercle, non prévu par le code électoral. Pouvez vous parler de ces accords sans en référer à une partie des protagonistes? la CMA et la Plate forme n’en veulent pas. Enfin, Monsieur MARA, tout comme vous avez fait un forcing pour aller à Kidal, faites un tour dans chacune des communes du nord et du centre pour ‘tester’ la faisabilité des élections, en ce moment vous serez suivi dans votre raisonnement. Enfin, pour ceux là qui pensent que les élus locaux veulent s’éterniser, ils doivent savoir que c’est le contexte même dans lequel évolue le pays qui justifie l’impossibilité d’organiser les élections. Nous en serons à notre 4e mandat électif, a t on jamais vu une telle unanimité pour un report? Les élus, qu’ils le veuillent ou non, ces élections se tiendront en un moment donné et ce qu’ils n’ont pas réussi en 6 ans, ce n’est pas en une année qu’ils pourront le réaliser. La pire des bêtises, sera d’installer des délégations spéciales, qui ont montré leur limite dans un passé récent. Chaque maire doit répondre de ses actes.
Enfin Monsieur MARA, je vous souhaite bonne chance pour prendre la tête de la Mairie du District et sortir Bamako de cette situation. Mais, avec le statut d’autonomie des communes de Bamako, la tâche sera pratiquement impossible. Vous devez profiter de ce report pour accélérer le changement de statut de notre ville, à l’image d’autres grandes capitales de la région où un seul maire administre, avec des responsables d’arrondissements…
Mara taisez vous tout ce qu’on vive actuellement comme malheur c’est dû à votre réaction. Sinon les élections présidentielles et législatives ont été tenues partout au Mali. Pourquoi pas cette dernière ne peut pas se tenir.
The municipal and regional elections will they take place on the date specified by the government? That the question that now torments the minds of each other. This is the 25th October, when adopted by the Government through the Ministry of Territorial Administration and Decentralization headed by Abdoulaye Idrissa Maïga, after two postponements result of these elections. For the second report, moreover, the government has resorted to the National Assembly in order to proceed to the exceptional extension of the mandate of municipal councilors. But we rely heavily on the government as of 25th October.
Support the President and his government for the general interest of the nation.
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