Si, comme le dit si bien le président Ibrahim Boubacar Keïta, il doit beaucoup plus son plébiscite à l’ensemble de ses compatriotes qu’à son parti, l’homme doit aujourd’hui faire face à la pression des siens aussi bien du cercle familial que politique. Des pressions aujourd’hui diversement interprétées et à l’origine d’amers sentiments chez le citoyen lambda et d’un coup de semonce sur la côte de popularité de l’homme. En définitive, IBK semble plus seul qu’il n’y paraît et c’est certainement le lieu et le moment pour les siens de l’accompagner au lieu de l’exposer.
On le sait désormais de mieux en mieux: c’est la pression politico-familiale qui est finalement parvenu à bout d’IBK lors de l’élection du président de l’Assemblée Nationale. Son choix originel portait sur Abdrahaman Niang. Mais le parti et certainement, la famille, ne perçurent pas cette option avec enthousiasme. Et on connait la suite.
Auparavant, c’est le choix de la candidature du rejeton qui a été à l’origine de quelques divergences au sein des deux familles. Là aussi, le boss fut mis en minorité. En clair, le président de tous les maliens a été plusieurs fois contraint de s’en remettre à la volonté de son parti qui, aime-t-il rappeler, ne l’a pourtant pas élu. Une prise d’otage en règle ?
Il faut cependant le dire: la famille dont il est aujourd’hui question se confond en maints endroits avec le cercle politique. Tenez : c’est bien sous les couleurs du RPM que le fils Karim Keïta a été élu député. Et c’est encore sous la bannière du même parti que son beau a été élu au perchoir. En somme, les mêmes acteurs se retrouvent à la fois dans les deux cercles, familial et politique. Et force est de l’admettre, cette famille, qu’elle soit consanguine ou politique, n’a pas été en reste dans la carrière politique du père IBK lequel se sent aujourd’hui visiblement redevable aux siens.
Aux membres de la famille, donc des sources de la forte pression, il faudra désormais ajouter celle du Cherif de Nioro, lequel a également pesé de tout son poids dans le sacre de son protégé. Ses désirs étaient, jusqu’là, perçus comme des ordres au sein de la formation politique. A lui aussi, IBK se sent profondément obligé.
Bien entendu, gravitent autour de lui, d’autres personnages se réclamant des deux cercles et attendant tous un retour d’ascenseur pour services rendus. Conséquence : si jadis les familles politiques et consanguines ont constitué sa force, une véritable source d’inspiration et un tremplin pour sa carrière présidentielle, elles se montrent aujourd’hui encombrantes et désobligeantes puisque en passe de constituer une véritable déchirure entre l’homme et son peuple. La preuve: nombre de ses concitoyens se sentent aujourd’hui désabusés, à tort ou à raison suite à cette forte implication de la famille dans la gestion de l’Etat au plus haut niveau. Parmi eux, figurent en bonne place des militants et cadres du parti ayant assisté impuissant à un revirement de situation en faveur du cercle familial.
Au regard de la situation exceptionnelle et du tournant décisif qu’amorce désormais le pays, il importe surtout pour les proches, de desserrer l’étau du cou du père, de l’époux et du camarade politique. En somme, il faut protéger, voire sauver le «soldat IBK». Il y va de l’intérêt de tous, y compris des familles elles-mêmes. Et pour cause: son éventuel échec signifierait le leur.
B.S. Diarra
le premier probleme du mali ces les journalistes de ortm je ne sais pas sil voit les taxis de laeroport de senou il faut pouser ces voitures pourkils s allume une veritable honte
VRAIMENT NS SOMME INQUIET MAINTENANT.
IBK ete elut puiqu’il est veridique et ne masse pas ses mots, mais enfin on en voit ce meme IBK.
karim devait rester en marge et son bau pere devrais aussi renoncer a ce poste.
Le Mali n’a pas besoin de trop questions pour l’instant la seul question pour l’heure est celle du nord. il doit laisser att et autres hoes politique en paix et s’adonner la relance de la Securite et l’economie.
en suite juger tout hoe sucectible de pres ou de loin de l’effondrement de l’etat.
Mais pour l’heure le Nord encore le Nord et le Nord d’abort.
je voter IBK mais je commence a voir peur je le jure.
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