S’il y a un leader politique qui a du mal à se positionner depuis le coup d’Etat du 22 mars dernier, c’est incontestablement Ibrahim Boubacar Kéita alias IBK ! Autrefois réputé par son courage et surtout craint pour son héréditaire franc parler, IBK n’est jamais parvenu à choisir son camp dans la crise actuelle. En effet, il n’a ni fermement condamné le coup d’Etat ni clairement soutenu les putschistes. Pis, il a multiplié les déclarations contradictoires en soufflant le chaud et le froid sans trop se découvrir. Une très mauvaise stratégie puisque la majorité des Maliens ont du mal à le reconnaître dans ce jeu sordide et peu honorable. Et pour beaucoup d’observateurs, IBK est ce «Kankélentigui» (homme de parole) devenu un caméléon politique. Hélas !
Si un adulte veut qu’on le respecte, il ne faut pas qu’il se mette au même niveau que les Bilakorow (incirconcis) ! Une sagesse mandingue qu’Ibrahim Boubacar Kéita (IBK), sans doute jusque-là le leader le plus charismatique de la classe politique malienne, n’a pas compris. Ladji Bourama, comme le surnomment certains de ses militants, a récemment perdu beaucoup de crédit en s’associant à la Copam pour exiger la démission du président de la République par Intérim et la tenue des concertations nationales supposées repenser la transition politique malienne.
Et pour en rajouter à ce désastre en matière de communication politique, il a essayé de se laver de tout soupçon sur une radio internationale en sachant que la marche engendrée par sa déclaration était unanimement condamnée par ses compatriotes.
Trop tard ! La grande majorité des auditeurs ou téléspectateurs l’avaient vu ou écouté dans la presse nationale et internationale mettant en cause la légitimité de l’Assemblée nationale et exigeant l’organisation des concertations nationales pour statuer sur la transition. Le hic, c’est qu’IBK est député élu en commune IV du district de Bamako et il n’a pas démissionné ! Il est aussi vrai que le ridicule ne tue pas les politiciens maliens dont les vestes ont plusieurs faces délavées à force d’être retournées.
Il n’en fallait pas plus pour que le cercle de ses admirateurs, en dehors du Rassemblement pour le Mali (Rpm) se rétrécisse. «IBK était le leader politique que je respectais le plus et en qui j’avais le plus confiance. Mais, en s’alliant à des organisations controversées comme la Copam, il a démontré qu’il est lui aussi prêt à tout pour conquérir le pouvoir. Il m’a beaucoup déçu comme beaucoup d’autres Maliens», souligne Salif Doumbia, un cadre de l’administration malienne.
Une popularité en chute libre
Presque tous nos interlocuteurs sont allés dans le même sens. «Je peux comprendre que des apprentis sorciers en politique continuent à distraire les Maliens en ce moment de crise grave. Mais, pas IBK. Il n’a aucune excuse parce qu’il a au moins assumé de responsabilités importantes au sommet de l’Etat, en ayant été notamment Premier ministre et président de l’Assemblée nationale. Comment peut-il alors se permettre de retomber si bas en se mettant au même niveau que ces mégalomanes irresponsables qui n’ont aucun respect pour eux-mêmes à plus forte raison pour le peuple malien ?», s’offusque un observateur averti de la scène politique malienne. «Si IBK n’a rien à dire qu’il se taise au moins», souhaitait un internaute dans un débat sur Facebook.
Pour cet autre Malien de la diaspora, toujours au cours du même débat sur Facebook, «les masques sont véritablement tombés. Et les Maliens aperçoivent aujourd’hui le vrai visage de ceux-là qui juraient, la main sur le cœur n’agir qu’au nom d’Un Mali Un et Indivisible. Il s’agit bien d’Ibrahim Boubacar Kéita et ses amis de la Copam, lesquels, en milieu de semaine dernière (les 9 et janvier 2013), battaient le pavé en vue d’obtenir la démission du président intérimaire et l’organisation de concertations nationales. Ce, au moment où le pays est menacé jusque dans son existence».
«Les troubadours de la Copam et d’IBK 2012 (un regroupement politique) venaient tout simplement de perdre le peu d’estime qui leur restait encore au sein de l’opinion nationale. Leurs concitoyens venaient subitement de rendre compte que leurs discours manquaient de sincérité et que le Mali comptait en réalité, très peu pour eux. Seul le pouvoir les intéresse. Et rien d’autre ! Quelle bassesse ! Et surtout, quelle hypocrisie», avait alors commenté un confrère de la place.
Une communication politique nulle
Et pourtant, cette alliance contre nature entre IBK et les «Satans» de la politique malienne n’est pas surprenante. En effet, IBK n’est jamais parvenu à choisir son camp depuis le déclenchement de l’actuelle crise institutionnelle et sécuritaire suite au coup d’Etat du 22 mars 2012. En effet, Ladji Bourama n’a ni fermement condamné le coup d’Etat ni clairement soutenu les putschistes.
Seul leader politique influent qui n’a pas été arrêté par la junte, ils étaient nombreux ceux qui ont alors pensé qu’il était de mèche avec le Capitaine Amadou Haya Sanogo qui ne cacherait plus son désir de le voir diriger le pays, ne serait-ce que l’exécutif de la Transition. Visiblement, IBK a naïvement cru que cette parenthèse douloureuse lui ouvrait un boulevard sur Koulouba parce qu’il jouissait du respect et de l’estime de ces jeunes militaires surpris eux-mêmes par leur acte.
Loin de démentir ce soupçon, IBK a multiplié les déclarations contradictoires en essayant de souffler le chaud et le froid sans trop se découvrir. On l’attendait naturellement au sein du Front uni pour la sauvegarde de la Démocratie et de la République (Fdr). Mais, il a très vite pris ses distances quand les leaders de ce front n’ont voulu faire aucune concession politique au Cnrdre sans le rétablissement de l’ordre constitutionnel.
Sur le conseil des putschistes ? En tout cas, il a alors préféré créer son propre regroupement baptisé «IBK 2012» et composé d’organisation hétéroclites d’organisations opportunistes, à quelques exceptions près. Ce qui fait que la majorité des Maliens se demandent à quoi il joue.
Une réputation entachée
Et après des propos controversés, d’aucuns n’hésitent plus à le qualifier de «caméléon politique». Le comble pour celui qui, jusque-là, était réputé comme un «Kankélentigui», c’est-à-dire un homme qui n’a qu’une parole et qui tient ses promesses. Hélas !
Il est vrai, qu’ils sont nombreux ceux qui pensent qu’Ibrahim Boubacar Kéita est l’homme de la situation pour diriger le Mali de l’après crise. Et cela parce qu’il avait une bonne réputation de fermeté, de rigueur et surtout du sens élevé des responsabilités régaliennes.
Mais, aujourd’hui, ses déclarations hasardeuses et ses alliances contre nature ont sérieusement entamé sa crédibilité aux yeux de l’électorat malien. Il est donc temps pour lui de prendre position et d’arrêter de vouloir jouer sur tous les tableaux. Ce n’est pas en voulant plaire à tout le monde que l’on devient populaire. Bien au contraire, cela peut plus fragiliser qu’on ne le croit.
Ibrahim Boubacar Kéita doit savoir qu’un bon chef ne peut pas être aimé de tous. Cela a d’ailleurs été l’une des erreurs politiques du président déchu, Amadou Toumani Touré, qui a imposé un modèle politique dit de «gestion consensuelle du pouvoir» pour avoir tout le monde autour de lui.
Aujourd’hui, tout le monde sait où cela a conduit le Mali. Dans une vraie démocratie, on tire des enseignements aussi bien des conseils de son camp que des critiques d’une opposition objective. Le «IBK» que les Maliens admirent et respectent, est ce leader charismatique qui prend position sans ambigüité aucune et qui est à cheval sur des valeurs républicaines comme le courage politique, le patriotisme et surtout le sens élève du devoir.
Des valeurs découvertes pendant six ans chez le 5e Premier ministre de l’histoire du Mali (4 février 1994 -14 février 2000) qui a permis au premier régime démocratique de survivre à une opposition systématique et irresponsable. Des valeurs aussi perpétuées par le président de l’Assemblée nationale entre 2002 et 2007. Ladji Bourama a donc intérêt à ne pas raser cette «touffe de cheveux» qui le distinguait des autres hommes politiques maliens.
Kader Toé
IBK est un homme fini. IBK n’a plus sa place.
cet homme nes pas un politicien, il veut tout simplement le pouvoir sans souffrir. un homme comme notre acctuel president par interime mr traore dioncounda est un homme de sagesse et avec beaucoup d’amour pour son pays le mali. ci ce n;etais pas lui aujourdhui mr ibk allais etre un menbre dans le gouvernement des islamistes, il nas aucunement participer dans la recherche de solution por que reviennes l’integrite de notre pays dans les mains des islamistes, lui comme alpha konare comme beaucoup qui ont rejuit de ce beau pays nont nulement pas montrer leurs bonne fois. mais par la grace de dieu le mali survivras sans eux.
va chercher l’information mon cher, ge ne fait pas de partie pris, mais ce que je sais, IBK a effectué des missions d’Etat, de plaidoyer, en france, USA, dans ces propres frais pour le retour des partenaires de coopération et même aujourd’hui l’intervention de l’armée française, a été bien négocier avant l’attaque de kona par les djadistes, cette intervention était planifier mon cher, IBK à joué un rôle dans ces négociations pour le retour des partenaires. Mon cher attention.
Une question pour ce fameux journaliste,tu gatte le nom des journalistes. Il faut que les journaliste pense à respecter leur profession, par ce que des chômeurs se sont mis à é 😳 crire griffer aligner les mots soit disant journaliste
on a besoin des leaders pendant la crise,non pas après lacrise.après la crise c’est la partage des postes,je suis déjolé pour toi M IBK tu n’a plus de place dans les coeurs des maliens.avnt nous etions très nombreux derrière toi;mais c’est terminé.
ARRETONS LA GUERRE DE LELECTION CES PAS LE MOMENT. IBK EST UN HOMME DE LA SITUATION. ON VERA KI EST KI. KI PE FAIRE KOI. ET KI EST CAPABLE DE KOI.
ARRETONS LA
Les maliens dès que c’est chaud, chacun tourne sa veste comme le MNLA. La stature d’homme d’état ce n’est pas d’être toujours en phase avec des gens qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. Les Maliens dans la majorité n’étaient pas d’accord avec la ligne de Djonkounda. Quant IBK a posé la question en son temps sur la concertation, pourquoi Djonkounda n’a pas répondu publiquement et dire sa vision : la peur. Quant un chef d’état a peur de s’exprimer devant ses administrés, ce n’est pas la peine.
Les ragots sur la marche et coup d’état supposé ? Si IBK voulait il pouvait être premier ministre. Vous connaissez ses capacités. La France a sauvé le Mali pour sauver ses ressortissants. Après il faut se réunir et parler. Et IBK sera l’un des plus écoutés. L’ADM, le PDS et les autres du FDR ce sont les compagnons d’ATT. Qui peut parler au PDS et à l’ADMA mal d’IBK, si ce ne sont que des postures. Chacun est libre de parler, cela ne veut pas dire que chacun dit la vérité.
Le peuple malien doit penser a l’avenir de leurs enfants .L’espoir s’etait envolé mais a la grace du bon Dieu Allah il est de retour. 80% de nos parents n’ont pas été a l’ecole et ne comprennent pas l’ampleur de la situation actuelle . L’école malienne a été pitine au sol pendant plus de 20 ans aux jeux de ces hommes politiques sans qu’ils ne reagissent. Alpha Konaré , ATT , Soumaila Cissé , IBK et Modibo Sidibe ont tous leurs enfants diplomés de US , Canada ou la France. L’ecole malienne n’était pas leur problème. Quand les rebelles massacraient les 118 militaires maliens le 24 Janvier 2012 aucun politicien malien n’a levé son petit doigt pour dire la verité a ATT. Personne ne critiquait la politique de ATT. Mobilisons-nous pour dire non a ces voleurs , opportinistes . Première condition a la candidature malienne tous les candidants doivent presenter les diplomes de leurs enfants après le Bac a la télévision malienne . Si l’enfant a un diplome etranger le père doit être disqualifier.
Les enfants des candidats n’ont rien à voir dans cette affaire. Chers amis garder votre calme. Faut-il faire payer à l’Allemagne d’aujourd’hui, les deux guerres mondiales ? Il faut réfléchir à l’échelon international. Les jeunes voleurs d’aujourd’ui sont plus corrumpus que leurs ainés. Séméga est-il un jeune ou un vieux ? Et Ndyaye Bah ? Cessez de rêver, le Mali se fera avec jeune et vieux, avec les gens du nord et du sud. Réflexion et réflexion. Cessez vous discussions de grain. Les maliens sont les plus pourris de l’Afrique, car les hommes politiques sont à l’image du pays. Les votes sont achetés au Mali. Dans les pays développés le droit de vote est le bien le plus précieux pour un homme ou une femme. Mais au Mali avec 10 000 FCFA ou 20 000 francs ou un sac de sucre ou de thé. que Dieu nous sauve. En plus le pays est rempli d’islamiste, j’ai peur pour notre pays. Posez vous les vraies questions. Les vraies questions ce sont les problèmes islamistes, la place du MNLA dans le Mali.
La vérité ne vas plus tardé.
Dieu aime le Mali. A quelque chose malheur est bon!!!Cette crise aura eu le mérite de mettre à mal beaucoup de mythe, en l’occurrence, le statut d’homme d’État compétent que l’opinion attribuait à tort à IBK.Cet homme ne défend pas des valeurs, il est obnubilé par la conquête du pouvoir. Sa place était au FDR et non à la COPAM. Il a ainsi manqué son rendez vous avec le peuple malien, comme le dirait un certain DSK.
Dommage pour lui et tant mieux pour le Mali.
GOD BLESS MALIBA
depuis ce buveur de wisky a montre publiquement sa simphatie pour gbagbo….plus personne ne lui fait confience….
j’ai pas envie de voir la tete de ce monsieur qui ne sait pas ce qu’il veut. il m’a deçu. lui que je voyait capable de mener le Mali sur de bonnes voies. il a mis fin à sa vie politique. que Dieu benisse le MALI. Amen
C est deplorable mais IBK s est fourvoyé il n est pas credible,il a dilapidé son capital de sympathie
Bonjour si vous avez des preuves sur ce que le secretaire general de la section de france avance sur I B K il faut les demontrer le S G aa été mis au pied du mur pour quitté le parti ou il allait être mis à la porte donc il est obligé de trouvé des mensonges pour se justifier vous savez que I B K est un homme et ça personnes ne peut rien pour ça merci DIEU est grand
J’ étais le secrétaire général d R.P.M à diboli une ville ou l’adema était le seul maître de jeu en 2000 je suis parvenu à vaincre l’adema pasj en 2000 à diboli aujourd’hui je regrette d’avoir soutenu un homme comme IBK c’est ma grande déception de l’avoir cru Depuis le début de cette crise je pensais qu’il fera quelque chose de positive aux yeux de ses sympatisants mais rien . IBK a
Bonjour chers lecteurs je vous demande de dire une fois la verite quand on intervient sur le net c’est pas pour dire ce qu’on veut donc lapersonne qui dit avoir la preuve de ce le secretaire general de la section de france avance sur I B K il faut apporté les preuves on a mit le secretaire general au pied du mur pour le mettre dehort donc obligé de trouvé des mensonges . Dieu est grand.
Bonsoir Awa sow,c’est avec un grand plaisir que je souhaite mettre en ligne la lettre de demission du secretaire Generale RPM de France,vous êtes à l’image de votre mentor IBK,aujourd’hui vous pouvez vous permettre de cracher sur Mr SEKOU MAGASSA,qui je vous rappel est l’un des plus enciens responsables,qui à mis en place la section RPM de France,un homme très droit,cultivé,et très combatif.Qui à tout donner au RPM et à toujours tout respectez les consignes les plus tordus de IBK,et celà malgré lui,mais homme intègre il ne pouvait plus supporter de faire le cube maggie comme Ibk.Voyez vous AWA,je ne suis pas du même bord que Mr Magassa mais je respecte et comprend son choix.contunuer comme ça vous aussi à vous bouchez le nez et fermer les yeux comme si rien ne se passe vous aller contrubué de plonger votre IBK,avec ses positions instables et archaiques en se rallient avec le diable de Mariko qu’il a lui même combattut au temps de L’Adema et dans l’hémicicle de L’ASSAMBLE.OUVRE les yeux
Awa tu as raison, le secrétaire générale devait être remplacé pour incompétence. Car il devait servir de râlait aux relations politiques du RPM en France. Comme il n’a pas de carrure (mal habillé, toujours en retard dans les rencontres), il n’a pas pu jouer ce rôle et le RPM de Bamako avait un plan pour le remplacer. C’est la raison pour laquelle il a pris le devant en démissionnant, en racontant des mensonges. Si ce cas était en France le parti devait l’assigner devant la justice. Je dis bien si c’était un membre d’un parti politique français qui avait dit cela sur son parti, il aurait été traîné devant la justice. Mais les partis maliens sont à l’image du citoyen malien, pas dynamique, toujours dans la médiocrité.
Ce Mec est un vrais opportuniste capable de s’aligner avec le diable pour avoir le pouvoir.ce n’est pas un Kankelentigi mais un cube Maggie ,il plonge dans toutes les sauces.Tantot avec Le FDR,puis il claque la porte,tantôt avec les punthistes de Sanogo,tantôt avec Les islamistes de Dicko et compagnie Aghaly qui est son ami,et maintenant il coorganise les manif contre l’assemble et le pouvoir de Djonkounda,et pires au même moment ou notre pays était attaqué sur la droite par les narco islamistes,personne ne comprend cet vieux mec.Voilá que son secrétaire générale en France qui en a marre de tous ses changements de mérdes a préfèré claquer la porte du RPM avec la moitié de ses millitants.je me permettrais de mettre en ligne la preuve de tous les reproches en 3 page que Le SEcrt Genel du RPM reproche à son mentor.
Tous ces vieux doivent laisser la place aux jeunes… 🙁
Les IBK, les Soumi, les Tall, les Zoro, les Iba N’Diaye, les Haïdara des Collectivités…etc… tous ceux qui ont occupé les hautes fonctions et les directions des partis sous ATT… il faut les mettre à la retraite, d’office, comme ce fut avec des généraux…
Comment ? C’est simple.
Profiter de l’état d’urgence pour interdire tous les partis politiques. Demander la formation de nouveaux partis politiques avec des jeunes : limite d’âge 50 ans.
N’autoriser que 5 partis politiques selon les programmes : 2 gauche, 2 droite, et 1 centre.
Dire aux jeunes de se préoccuper de leur avenir.
Ok,on va creuser une fosse commune, les mettre là-dans et les brûler tous, si tu veux 😆 😆 😆
On te demandera de prendre le poste que tu veux d’abord et tu partages le reste à qui tu veux 😆 😆 😆 Ok?
En attendant, sache qu’il n’y aura pas de maliens venant d’une usine pour diriger notre cher Mali: il faudra faire avec ceux qui sont là 😆 😆 😆
Et Modibo SIDIBE sera élu président en 2013 🙄 🙄 🙄
En son temps , nous avons estimé qu’il faudrait renouveler la classe politique malienne des vingt dernières années. Parmi tous ces hommes politiques , il n’y en a pas un qui peut sauver l’autre . Pour le Mali nouveau , nous avons besoin des hommes et des femmes intègres , compétents et soucieux du bien-être de tous les maliens .
salut toé:
* Politique=alternance de froid et chaud.
* IBK est meilleur pour ces temps de crise
Kidal est dans le territoire Malien donc il faut que l’armée Malien et force de CEDEAO monte à kidal le plus vite possible, car mnla nous traitre comme des bêtes.
Il faut que aussi pour le moment les maliens parle une seule voix libération total du Mali et le plus vite possible et dans 3 mois toutes soldats étrangère doit être retourné dans leur pays. Car le Mali ne pourra pas devenir une base militaire pour les soldats étrangère. Quand même nous remercions tout les soldats qui sont venu nous aidé, mais nous ne voulais pas que cela dire plus de 3 mois. Toutes membres de mnla on commit des crimes impardonnable et aussi avoir collaboré avec les terrorismes, les mnla qui sont à kidal ce sont des membres Ansar-dine seulement ils jouent des doubles rôle, je pense qu’il y a beaucoup d’intellectuelle au mali pour analysé les doubles rôle de mnla ? 💡 💡 💡
Kankèlè tigui ? Un xxxx comme IBK ne peut être kankélétigui comme il ne peut jamais s’éloignerxxx.
IBK s’est comporté en opportuniste nostalgique du pouvoir prêt à poignarder la transition pour sa par de gâteau.
xxx Les maliens n’éliront jamais un vieil et xxxx qui a prouvé sa versatilité pour venir se soigner avec nos sous.
IBK serait-il un vrai keïta,digne descendance de Diata??????? en tout cas ” si l’éléphant entendait tout ce qui se dit en son absence, en son compte, alors il ne s’abreuvera jamais jamais dans un marigot”. IBK se serait-il laissé emporter par les “alacouta” des opportunistes qui n’ont jamais tari d’éloges en son endroit jusqu’à lui faire perdre le nord, et confondre finalement vitesse et précipitation?????? Allez y savoir!!!!! Au mandé n’aura jamais le pouvoir d’état celui qui est avide et trop pressé, cela est un ancien constat constant et vérifié.
IBK: Ce Kankeletigui qui est devenu Kanfilatigui. Que c’est drôle cette gourmandise pour le pouvoir.Les espoirs nourris en lui sont ainsi déçus et vont stupidement à vau- l’eau.
Vous avez menti monsieur Kader Toé. C’est IBK qui a été le premier à rompre le silence après le coup d’état pour faire une condamnation ferme de ce coup d’état pendant que les autres se terraient, ne sachant que faire. C’est après l’intervention de IBK que les langues se sont dénouées.
La décence de la part d’un journaliste, c’est de s’assurer de dire la vérité aux lecteurs.
Enfin, IBK est incontestablement une figure emblématique de la classe politique malienne et vos intoxications et manœuvres dilatoires ne sauront entacher sa popularité; le chien aboie et la caravane passe.
personne n’a menti ici,c’est une veritE sur IBK,les premieres heures du coup d’etat il a eu a faire une condamnation et ensuite il a changE de language pour supporter les putchistes et il a mEme dit qu’on a pas besoin de l’aide international pour liberer le nord,c’est un menteur et un voleur ce IBK,on a pas oubliE le vole que lui et DRISSA KEITA on commis a la CMDT quand il etait 1er ministre,il est tout simplement un opportuniste,il ne sera jamais president du mali,ils ont trop volE les barons politiques du mali,les biens mal acquis on dit non.
C’est ce même petit Keita que l’ex pres.Alpha O. Konaré a ramassé quelque part dans la jungle quand il est venu au pouvoir afin de le propulser sur la scène politique.
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