Ibrahim Boubacar Keïta : « Je ne suis pas un fou de pouvoir, je suis un fou de Mali »

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Même si la plupart des pronostics le placent en tête du premier tour, rien n’est encore joué. Mais à deux semaines de la présidentielle malienne, Ibrahim Boubacar Keïta se veut serein, satisfait des efforts engagés et déterminé à les poursuivre.

À deux semaines du scrutin capital, même les marabouts ne se hasardent plus à prédire le verdict des urnes. Dans les salons des chancelleries bamakoises, le seul pronostic à peu près partagé est celui qui place le président sortant en tête au soir du premier tour, en fonction d’une analyse géopolitique qui vaut ce qu’elle vaut : le Grand Nord, le sud du fleuve Niger et le « pays profond » devraient voter majoritairement pour Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), ses concurrents, et en particulier Soumaïla Cissé, l’emportant dans le Centre, à Bamako, Mopti ou encore Tombouctou. IBK en tête ? Probable donc, mais avec quel pourcentage d’avance ? C’est une autre affaire. Si la plupart des observateurs n’envisagent guère une victoire du président-candidat au premier tour, le 29 juillet, aucun d’entre eux ne s’aventure à anticiper sur les résultats du second, le 12 août, tan … suite de l’article sur Jeune Afrique

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3 COMMENTAIRES

  1. Le président IBK reste tranquillement à Koulouba pour un second mandat. Il reste le seul qui est capable de maintenir le cap qu’il a tracé pour faire sortir le Mali de l’ornière. Ces adversaires politiques ont montré leur incapacité de faire mieux que le président IBK. Ils sont incapables de proposer un projet de société aux maliens et ne disent que des futilités dans leur conférence de presse. Comme le nombre de voyage du président IBK etc. IBK reste celui qu’il faut pour le Mali et les maliens l’ont compris. Le soir du 29 juillet le président IBK sera réélu au premier tour des élections pour un second tour inchallah.

  2. Nous disons et rappelons la vérité fait mal aux malhonnêtes et les met hors d’eux mais apaise et rend heureux les honnêtes

    NE DIT-ON PAS

    « L’ERREUR EST HUMAINE MAIS PERSISTER DANS L’ERREUR EST DIABOLIQUE »

    *AINSI SI LES MALIENS ET MALIENNES SONT DES DIABOLIQUES DES LUCIFÉRIENS DES MACHIAVÉLIQUES DES MÉPHISTOPHÉLIQUES DES DÉMONIAQUES ILS N’ONT QU’Á PERSISTER DANS LEUR ERREUR EN VOTANT LEUR MÊME CANDIDAT DE 2018

    *SI LES MALIENS ET MALIENNES SONT DES FOUS IL PEUVENT DONC VOTER ÉGALEMENT POUR UN DE LEUR QUI CHANTE QUI CRI QUI CACATE QUI HURLE QUI COASSE QUI ABOIT QUI MIAULE QUI HURLE DANS LES RUES ET PARTOUT IL PASSE QU’IL EST MAINTENANT UN FOU DU MALI OU UN FOU DE MALI

    *TOUTES LES PERSONNES NORMALES Á TRAVERS CETTE TERRE DES HUMAINS SAVENT OÙ EST LA PLACE DES FOUS DANS UNE SOCIÉTÉ HUMAINE DIGNE DE SON NOM BIEN ORGANISÉE BIEN STRUCTURÉE

    *LES ANCIENS QUI AVAIENT UN SENS AIGU DE L’OBSERVATION DISAIENT AUSSI

    « KO TÉ MOGÔ GNINI MOGÔ DÉ BÈ KO GNINI »

    AINSI SI LES MALIENS ET MALIENNES COMMETTENT L’ERREUR D’ÉLIRE COMME PRÉSIDENT UN FOU DU MALI OU UN FOU DE MALI CE QU’ILS CHERCHENT ILS L’AURONT

    SURTOUT QU’IL LES A BIEN AVERTI QU’IL UN FOU DU MALI OU UN FOU DE MALI

  3. 😀😆😆😆😆😆 LADJI, tu n’es pas un fou du pouvoir, tu es un fou tout court. Quand un chef d’État se met à pleurer devant le plus petit des obstacles, il ne peut en aucun cas un fou du pouvoir. Quand un Président se permet de répondre publiquement aux propos d’un activiste comme Ras Bath, cela veut dire qu’il traverse une folie. Et quand on a des problèmes mentaux, on ne peut être un fou du pouvoir.

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