Après avoir été les meilleurs amis du monde, Konaré et IBK ne cessent d’étaler leur inimitié sur la place publique ainsi qu’en témoigne l’absence du premier à la double investiture du second. Pourquoi cette guerre et quand finira-t-elle ? Procès-Verbal a enquêté.
Depuis l’avènement d’IBK au pouvoir, son ancien patron, Alpha Oumar Konaré, n’arrête pas de le bouder de manière ostensible. Non seulement Konaré ne l’a pas félicité pour sa victoire électorale, pourtant reconnue par l’opposition elle-même, mais en outre, il n’est pas venu à la cérémonie d’investiture du 4 septembre 2013 ni à celle, plus grandiose, du 19 septembre où une vingtaine de chefs d’Etat avaient fait le déplacement. Entre les deux hommes d’Etat, la guerre ne finira-t-elle donc jamais ?
Sources du conflit
En 1992, IBK est très proche du candidat Konaré. Il est désigné directeur adjoint de la campagne de son ami à l’élection présidentielle. Après la victoire, IBK devient conseiller diplomatique, ambassadeur en Côte d’Ivoire puis ministre des Affaires étrangères du nouveau président. Mais le pouvoir de Konaré manque de stabilité. Deux premiers ministres (Younoussi Touré et Sékou Sow) démissionnent en moins de deux ans, acculés par la toute-puissante AEEM, les rebelles touaregs et des casseurs qui se recrutent tant dans l’opposition que dans l’Adema, le parti au pouvoir, lequel ne digère pas de voir refuser la primature à son chef, Mohamed Lamine Traoré.
Konaré a urgemment besoin d’un homme de poigne pour mater ses adversaires. Son choix tombe, le 4 février 1994, sur IBK dont il connaît la forte inclination à manier le bâton. IBK, nommé Premier Ministre, remplit sa mission au-delà de toute espérance; il s’empare, dans la foulée, de la présidence de l’Adema après en avoir évincé Mohamed Lamine Traoré qui s’en va créer le MIRIA, loin des “frelons” dont il dénonce à hauts cris l’intrusion dans la Ruche.
IBK en poste, aucun nouveau péril ne menace le pouvoir de Konaré pendant six bonnes années. Warren Christopher, le secrétaire d’Etat américain, vient, entre-temps, séjourner au Mali. Il demande à Konaré de présenter la candidature d’IBK au secrétariat général de l’ONU qui, pour la première fois, doit échoir à un Africain. Polyglotte, diplomate, homme d’Etat, IBK présente, aux yeux des Américains, des atouts pour rafler le pompon. Konaré dit non. “J’ai besoin d’IBK pour des missions importantes dans un futur proche”, répond-il au ministre américain. Sous-entendu: “Je le prépare à me succéder à Koulouba”. C’est finalement le Ghanéen Koffi Annan qui devient secrétaire général de l’ONU.
Effectivement, un pacte de succession existe entre IBK et Konaré. Konaré a foi en la loyauté de son Premier Ministre et il répète souvent, en le visant, qu’il transmettra le pouvoir à quelqu’un qui “porte le même maillot” que lui.Quant à IBK, son séjour de six ans à la primature et ses états de service à l’Adema (le parti révendique au moins 85% des députés et des conseillers municipaux) en font un candidat imbattable aux élections générales prévues pour 2002. Surtout que les opposants les plus connus manquent de plus en plus de militants et de souffle financier après une décennie de traque orchestrée par la sécurité d’Etat.
Problème: Konaré, tout en s’en défendant publiquement, rêve secrètement d’un troisième mandat. Il souhaite que le Premier Ministre le lui obtienne sans que lui-même ait l’air de l’avoir cherché. IBK, qui tient, comme convenu, à mettre sa propre barque à l’eau, se rebiffe. Il ne tient pas du tout à aider le président à changer la Constitution et ne se prive pas de le faire savoir en petit comité. Les relations entre les deux têtes de l’Exécutif se tendent.
Ne pouvant obtenir qu’IBK s’implique dans un plan de troisième mandat, Konaré décide de l’encadrer plus étroitement au sein du parti. Il lui demande d’intégrer au Comité Exécutif des hommes qu’IBK ne peut voir en peinture, à commencer par SoumailaCissé, ministre des Finances, et SoumeylouBoubèyeMaiga, directeur de la Sécurité d’Etat.IBK refuse net. “Je ne veux pas travailler, tonne-t-il, avec des gens prêts à me poignarder dans le dos !”. Le Premier Ministre, à la faveur d’un congrès, rempile à la tête de l’Adema et chasse de la direction du parti les lieutenants du chef de l’Etat. C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Les proches de Konaré lui murmurent à l’oreille: “Si cet homme, qui ne t’écoute déjà plus, vient au pouvoir, il te fera un sort ainsi qu’à nous autres !”.
Le président, fin renard, prépare sa vengeance.
Il refuse de recevoir le nouveau Comité Exécutif de l’Adema. La presse proche de Koulouba se met à dépeindre IBK sous les traits d’un impénitent bourgeois qui dort toute la journée et fête toute la nuit.
Parallèlement, un courant dit des “rénovateurs”, conduit par ceux qu’IBK a chassés du Comité Exécutif du parti, exige la tenue d’un congrès extraordinaire de l’Adema. Ce courant remet en cause l’idée qu’IBK soit le “candidat naturel” de l’Adema à la présidentielle et demande l’organisation de primaires. Une première dans un parti malien. Les frondeurs bénéficient du soutien évident de Konaré qui, après avoir démis IBK de la primature, leur répartit les plus importants ministères tout en menant, dans l’administration, la chasse aux IBKistes.
Après une résistance farouche aux côtés d’ inconditionnels comme Dioncounda Traoré et Bakary Traoré alias Pionnier, IBK perd la bataille. Le congrès extraordinaire qu’il refusait se tient en février 2000 et il démissionne du parti. La rumeur court que Konaré projette de le faire arrêter. Il se retrouve en semi-exil en Côte d’Ivoire, en Afrique du Sud, au Gabon…
L’élection de 2002
Retourné au Mali, IBK porte à la présidentielle de 2002 les couleurs du RPM, le parti fondé en son absence par ses amis. Il surfe sur la vague de popularité née de la conviction générale qu’il a été trahi par Konaré. Ce dernier confie à des proches que lui vivant, son ancien Premier Ministre ne dirigera jamais le Mali. De fait, alors que des sources indépendantes créditent IBK d’une victoire acquise, dès le premier tour, avec 53% des voix, le pouvoir, organisateur du scrutin, ne lui reconnaît que 21% et l’exclut du second tour. La rue gronde. IBK l’appelle au calme. Il se rallie à la candidature d’ATT au second tour et, dans les dix années suivantes, collabore cahincaha avec le général putschiste revenu en politique après avoir dirigé la Transition de 1991.
Tentatives de réconciliation
Président de l’Assemblée Nationale de 2002 à 2007 puis simple député à partir de 2007, IBK ne souhaite pas rester brouillé avec l’ancien président Konaré auquel il doit, malgré tout, d’avoir assumé les plus hautes charges de l’Etat. Lors d’une visite en Ethiopie, où Konaré officie en qualité de président de la Commision de l’Union Africaine, IBK appelle à sa résidence. Au bout du fil, il entend Konaré dire : “Répondez-lui que je ne suis pas là !”.
Blessé, IBK n’en revient pas moins à la charge en sollicitant la médiation d’amis politiques communs. Konaré ne veut rien entendre. Les derniers à intervenir pour réconcilier les deux personnalités sont des membres du Haut Conseil Islamique conduits par leur président, l’imam Mahmoud Dicko. Vaine démarche. Parallèlement, Karim Kéita, le fils d’IBK, n’a jamais rompu avec la famille de Konaré où il effectue des visites régulières, notamment lors des fêtes rituelles.
Pas d’évolution en 2013
Les observateurs espèrent une évolution positive en 2013 quand SoumeylouBoubèyeMaiga, un des fils spirituels de Konaré, rompt avec l’Adema et dépose ses valises de nomade politique à Sébénicoro. D’aucuns pensent à un stratagème de Konaré pour renouer, à travers Maiga, avec son IBK. Il n’en est rien ainsi que le prouvera l’absence de Konaré à l’investiture d’IBK. C’est parce qu’il est choqué au plus haut point de la bouderie de Konaré, pourtant officiellement invité, que le nouveau chef de l’Etat, lors de son discours d’investiture du 4 septembre 2013, croit bon de saluer avec une extrême chaleur la présence, dans la salle, de son autre prédécesseur à la tête de l’Etat: le général Moussa Traoré. Au grand dam des adversaires politiques de Moussa Traoré, fort nombreux dans la salle, IBK le qualifie de “grand républicain” et l’affuble d’autres mielleux épithètes…
Dans l’entourage de Konaré, on nous révèle que si l’intéressé n’est pas venu à l’investiture, c’est parce qu’IBK ne lui aurait pas rendu visite les jours précédents alors qu’il se serait rendu au domicile de Moussa Traoré. De plus, on rappelle que Konaré s’exclut systématiquement des affaires politiques nationales depuis son départ de Koulouba et que même quand son fils a été arrêté par la junte, il n’a pas ouvert la bouche. On fait enfin état de l’agenda international chargé de celui qui, depuis juillet 2013, est nommé par la présidente de la Commission de l’Union Africaine, Mme NkosazanaDlamini-Zuma, Médiateur en chef dans la crise égyptienne. D’autres sources croient savoir que Konaré se gêne de rencontrer un homme qu’il combat depuis 13 ans.
Paradoxalement, un homme ne semble pas faire les frais des tensions persistantes entre Konaré et IBK. Il s’agit Mamadou Lamine Konaré, fils de l’ancien président. Après avoir usé de son influence pour le faire libérer par la junte, IBK vient de lui accorder le grade de colonel.
Tiékorobani
Je pense très bien Alpha à tort pour ne pas être à l’investiture de son premier ministre IBK.je dis bien l’ avenir nous parlera beaucoup de gens ne savent pas ce qui est entre ces deux hommes ce notre l’ adage”il n’ a jamais eu le feu sans fumé”qu’il se réconcilie où que Dieu béni le Mali ce sont des jeux des enfants un adulte ne doit s’y mêlé à bientôt
I wanted to post you a very little remark so as to thank you yet again on your wonderful knowledge you have contributed on this website. It has been certainly open-handed with people like you to grant without restraint all that many of us could possibly have supplied for an electronic book to generate some cash on their own, and in particular since you could possibly have done it in case you desired. The good ideas also worked to become a good way to be aware that most people have a similar desire similar to my personal own to see whole lot more with reference to this matter. I think there are thousands of more pleasurable sessions ahead for those who take a look at your blog post.
A mon avis ,on n’a pas besoin face au monde entier d’afficher une position aussi négative. Ici on parle de république et du Mali. Son excellence AOK devait tout de même féliciter le nouveau président et assister a son Investiture . La dure réalité aujourd’hui pour lui c’est bel et bien son excellence IBK qui est le président de tous les maliens lui même compris . Ils leur faut faire preuve de grandeur et faire la paix . La preuve les enfants et les deux familles se fréquentent . Pourquoi ? La vie continue et chacun a son tour .
Le tandem AOK/IBK etait le meilleur duo de l’histoire politique du Mali avant le clash. Je pense que c’est Dieu seul qui sait la cause de leur divorce.
SEUL LE SILENCE EST GRAND
AOK ce grand intellectuel a tord devant le peuple et la République et non IBK de ne pas se présenter 😳 😳 : C’est un ex président Logé, NOURRIT et Véhiculé par Le MALIBA ! Alors PROTOCOLE REPUBLICAIN OBLIGATOIRE et SANS ETAT D’AME ni RANCUNE FEMININE = Aimer ou ne pas aimer ? il faut respecter LE PEUPLE et le PRESIDENT , ❗ ➡ IL S’AGIT PAS D’IBK MAIS DU PRESIDENT DU MALI ELU ; RESPECTE LE EN TANT QUE TEL UN POINT 😉
Je pèse bien mes mots c’est un journaliste vendu, amateur et charlatant. les relations entre IBK et Alpha Omar Konaré ne nous intéresse pas. Ce qui nous intéresse c’est le bonheur du peuple malien ignorant point bar.
J’aime bien Alpha et j’ai un faible pour lui! Je le respecte. C’est la raison pour laquelle je tente toujours de ne pas le critiquer! Djoncounda a fait une transition reussie, ce qui a fait que j’ai un tres grand respect pour lui aussi!!!! Ceci etant dit, je pense que LES DEUX SE SONT COMPORTE’S COMME DES…ENFANTS EN REFUSANT D’ETRE PRESENTS A’ L’INVESTITURE DU PRESIDENT IBK! ILS DEVAIENT COMPRENDRE QUE LEURS PRESENCES RESPECTIVES ALLAIENT ETRE POUR LE MALI ET NON POUR EUX MEMES. NOTRE FASO VIENT DE TRES LOIN!!! AVOIR A’ LA CEREMONIE TOUS CEUX QUI ONT EU L’HONNEUR DE LE DIRIGER ALLAIT ETRE PSYCHOLOGIQUEMENT BIEN POUR LES MALIENNES ET LES MALIENS!!!! MALHEUREUSEMENT, LES PETITES CONSIDERATIONS PERSONNELLES ONT ETE’ PRIVILEGIE’ES AU DETRIMENT DES INTERETS SUPERIEURS DU MALI!!!
Qu’ils s’aiment ou qu’ils ne sèment pas en quoi cela profite aux maliens aujourd’hui, vu qu’ils partagent les mêmes responsabilité, mais à des dégrés différents dans la gestion des affaires publiques au Mali. On veut aller de l’avant maintenant.
Ils se comprendrons un jour. Donnons le temps au temps car c’est sa aussi l’amitié. Dieu et eux seuls connaissent la réalité.
Je pensse qué vous doit travailler essemblle pour developement du mali mais a.konaré né conais plus ça parce qué il a dit tamp qué lui vivant ibk né dirigéra plus le mali
avez vous entendu ça de la bouche de Konaré? c’est le journaliste qui parle sans preuve
8) Je penses bien que ce monsieur AOK est un rancunier et n’aime pas ce pays pour raison durant tout ce temps avec nos multiples problèmes il n’a pas dit un mot étant un ancien chef d’état il n’est pas du tout bon qu’il laisse le Mandé massa travaillé
Beh et alors??!!!!!!! On s’en fout!!!!!!!!!!!!
Je pense en africain, quand on ennemi obtient un honneur on s’aligne même si on n’est pas de coeur avec lui. AOK devait simplement le féliciter sans outre mesure. Les langues allaient se taire.
Dans la situation actuelle, les choses se sont compliquées m^me pour les médiateurs. Mais, il n’est jamais trop tard pour bien faire.
monsieur moulaye ne contestez pas l’évidence je n’ai rien contre AOK mais force est de constater qu’il a belle et essayé de changer la constitution pour un troisième mandat et ça tout le monde le sait.
c’est faux où est la preuve?
Merci Tiècorobani. J’aime bien lire vos articles monsieur.AOK est un grand rancunier !Sinon quelqu’un qui te tend la main, même s’il avait voulu te piquer la place tu dois la lui serrer surtout entre Hommes d’Etat. Ce que les gens oublient , on a beau faire des « examens de Bougouni » l’on ne peut pas empêcher quelqu’un de devenir ce qu’il devrait être ! »Mokow bè ou ta la-Allah fana bè a ta la ». 😉
Est-ce par naïveté ou par principe de constance et de fidélité? je peux certifier que IBK n’a jamais voulu qu’on parle mal de Alpha Omar Konaré, en tout cas pas devant lui. Force de caractère ou faiblesse? On a comme impression que l’un à l’air benêt et l’autre fourbe. Ha les méandres de la politique.
deux corrompus qui ne s,aiment pas ..nous on s,en fou d,eux qu,ils aillent brule en enfer c,est leur probleme …..
Je ne crois pas qu’un Democrate comme Alpha Konare veuille un 3eme Mandat.C’est archi faux.Les quatre de Konare a l’Union Africaine,c’etait impressionnant.Il a fallu toutes les calomnies intrenationales pour faire echouer son projet.Il a evalue la situation et il a decide de ne pas renouveler son mandat.Il voulait se consacrer a la construction des Etats Unis d’Afrique.Bien que soutenu par l’elite, il s’est rendu compte que le moment n’etait pas propice.L’Afrique n’est pas prete.Je pense aussi que la situation politique du Mali l’a ebranle.La confiture politique etait a son comble.Les journalistes s’en donnaient a toute sorte d’analyses pleines de calomnies.Lui et sa femme ont decide de garder le silence.Il vaut mieux de rester chez soi que de sortir se battre!
Les Journalistes Maliens racontent beaucoup de choses qui font sourir.Koffi Annan a fait partir Boutros.Koffi Annan avait des amis puissants Al gore,le President Clinton,et sa femme ,Albright,Ted Turner de CNN qui d’autres
Tiekorobani,je te concede une certaine qualite dans le journalisme satirique mais pasdans celui du professionlisme!En traitant “la brouille entre AOK et IBK “tu fais de IBK un saint etAOK l’impenitent sans reference a aucun document concret,aucun temoignage ecrit ou oralet verifiable.Tu parles des relations entre AOK-IKB en insistant que le dernier est fidele jus qu’a sacrifier ses interets par fidelite..[REFUs,non prouve,d’etre candidat au s/g de l’AU].Ton article peche surtout par la falsification de certains faits Durant leur collaboration[FEVRIER 1994 A 2000].De 1992 a 1997 les seuls “CASSEURS”etaient des elements AEEM,manipules par le pouvoir!De mars 1997 a 1998ily aeu des manifestations politiques du fait de la”Tricherie”electorale du couple AOK-IBK!Tu calomnies,un grand patriote mr Mamadou Lamine Traore,en l’accusant de “CASSEs”en vue d’etre 1er minister!Saches que M.Lamine a eteMarginalise” par IBK au congres ordonne parAOK[mars1994!]S’il “y a brouille”cest pour le gateauMali!
parivo tu as raison. quant on le lie on a l’impression de lire un roman,ou l’auteur agrémente d’autre partie,modifie,ajoute,pour rendre le roman un vrais semblable. il est seul as connaitre tout ça. et pourquoi maintenant?
Bravo à Madou pour son analyse résponsable .
IBK s’était quand même emporté en qualifiant Moussa Traoré de grand républicain.
Par ailleurs on peut reprocher quelque chose à IBK du fait de son alliance, de sa souplesse à l’égard d’ATT après le premier mandat ou du moins pendant le premier mandat de celui-ci, par contre il est très difficile d’en vouloir à IBK de s’être rallié à ATT en 2002 puisque ce dernier n’avait pas pris ses fonctions et avait peu de choses à se reprocher à cette époque de 2002.
Que ceux qui ont eu les plus hautes fonctions dans ce pays donnent l’exemple ou servent d’exemples pour une bonne réconciliation dans ce pays.Quand on est une grande personnalité respectable et respecteé,c’est indigne de se rabaisser avec de telle bouderie insenseé.Une bouderie interminable est inacceptable même sur le plan réligieux.En conclusion je dirai qu’un bon musulman ,un bon politicien et un bon humain ne se comportera jamais de la sorte .C’est une attitude qui frôle une mauvaise santé mentale
bon article .félicitations!
Grand merci pour cet article édifiant.
Avec toute l’expérience qu’on lui connaît est-il possible qu’un simple citoyen comme moi puisse donner des conseils à AOK ? Je n’arrive pas à résister à cet exercice délicat.
M. Alpha Oumar Konaré, cher aîné, sais-tu que les africains sont nombreux à ne pas comprendre ton silence ? Tu as incontestablement commis des erreurs pendant et après tes responsabilités à la Présidence de la République. La plupart des Maliens savent que IBK a été victime de nombreuses injustices. C’est cet état d’esprit largement partagé qui permet d’expliquer en grande partie la brillante élection de cet autre fils valeureux du Mali. AOK, tu as commis des erreurs d’appréciation. C’est normal car l’erreur est humaine. AOK, tu es nommé médiateur dans la crise égyptienne. C’est flatteur. Cependant, une question se pose. Ne trouves-tu pas contradictoire d’aller à des milliers de kilomètres pour la médiation alors que chez toi tu évites ton frère IBK. Vraiment curieux !
Et à croire qu’Alpha est un musulman! Dieu lui a prouvé qu’il n’est qu’une petite créature qui ne saurait être dans ses secrets. IBK président, mine contrite d’Alpha!
“Il (IBK) se rallie à la candidature d’ATT au second tour (en 2002)et, dans les dix années suivantes, collabore cahincaha avec le général putschiste…”
POUR LES DUPES QUI CROIENT TOUJOURS QUE IBK N’A RIEN A VOIR AVEC LA GESTION DE ATT!!! 👿
😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 et après
Merci TIEKOROBANI d’avoir ecrit cet article si interessant.
Depuis des annees je ne cesse de reveler sur MALIWEB que notre IBK a bien et bel ete choisi par les AMERICAINS pour diriger les Nations Unies mais toujours on m’a traite’ d’IBKISTE et de menteur .
Inchaallah avec IBK ,Maliba be dja pian.
Merci encore TIEKOROBANI,
ALLAH KE TOUYA DEME,
doud bonne de tabaski a toi mon frere …tu sais três bien que ton ibk n,est qu,une ordure qui a colabore avec tout les vampirs de ce pays….honte a jobrin le plus corrompu de tout les politiciens maliens et le plus faible devant les chiens errant vennus de libye….
I sambè sambè. Allah ka i ka bana nokoya. Ka ban péou. Ka chitani bô i doussoukoun na. Ka IBK ka koou koun i fè.
Meilleurs voeux. Prompt rétablissement de ta maladie. Que tu en sois complètement guéri. Que ton coeur soit lavé de Satan. Qu’Allah t’aide à supporter la brillante victoire électorale de IBK.
Bien sur que c’est un griot, ils sont comme ça maintenant qu’IBK a la louche chacun cherche de la place et ce sont les mêmes qui jouent les griots qui lui traiteront de tout les noms, Malien ti yalama abada, bande crapauds,
Tiekorobani, tu nous rapportes rien de nouveau.En plus tu ressembles a un griot de plume. Il ne le pardonne pas pour avoir menti sur lui en disant qu’il cherchait un troisieme mandat.
Il le cherchait le troisieme mandat. conseille par Boutef et Eyadema de ne pas faire un mauvais precedent de rendre le pouvoir, il a dispatcher les concertations dites nationales et envoye les ministres partout dans le pays pour parler gouvernance et alternance.
Il a eu peur de la suite… c’est tout. Enfin un article base sur dees faits averes. Continue Tiekorobani
Vous racontez des histoires.
Bouteflika est au pouvoir depuis 1999 jusqu’a nos jours (14ans) et Eyadema l’a ete de 1967 jusqu’a sa mort en 2005(soit 38ans). Et vous nous dites que ce sont des gens comme ca qui ont force le president Alpha a renonce a un 3eme mandat? Tiecorobani comme vous racontez des histoires.
Quelle honte!!!
Comments are closed.