Nombreux sont les militants du RPM qui avaient pensé que le parti allait être requinqué à bloc derrière IBK pour lui assurer un second mandat surtout après avoir sacrifié Abdoulaye Idrissa Maiga, AIM, au profit de Bocary Tréta qui s’était estimé lésé, un moment. Les langues commencent à se délier alors que l’unité et la cohésion souhaitées après le départ d’AIM de la primature ne semblent pas se réaliser. Bocary Tréta a-t-il digéré le choix de Soumeylou Boubèye Maiga comme PM ?
Dans les jours sinon les semaines à venir, le grand déballage va commencer, les masques tomberont définitivement et les positions des uns et des autres seront connues. Le malaise est perceptible dans la grande famille des tisserands, après la démission d’un grand cacique du parti la semaine dernière, à savoir Mamadou Diallo, Secrétaire à la communication. Cette démission, après celle des députés, est la énième en quatre ans au sein du parti majoritaire. Aujourd’hui, l’heure est au malaise, surtout si l’on en croit la presse qui a relayé les propos du Président IBK lors de sa rencontre avec les cadres de son parti. Ce dernier a étalé son désaccord avec sa famille politique, en laissant entendre que le RPM n’aura pas l’exclusivité de porter sa candidature. IBK serait déçu de ses camarades au rang desquels le Président du parti Bocary Tréta. Il pensait qu’après avoir accédé à la demande de démettre Abdoulaye Idrissa Maiga de la Primature que le RPM allait générer une nouvelle énergie lui permettant de porter haut sa candidature. Mais, les bisbilles au sein de sa formation ont mis fin à cet espoir. Choqués par le manque d’égard et sans élever la voix pour lui signifier leur mécontentement, Bocary Tréta et ses amis se sentent trahis par IBK qui les a toujours privés du prestigieux poste de la Primature, avant de l’attribuer à son rival politique, Abdoulaye Idrissa Maiga. Avec le renvoi de ce dernier, Tréta espérait enfin récupérer le poste qui devait lui revenir de droit pour avoir été l’un des fondateurs du parti.
En définitive, entre IBK et le RPM, incarné par Bocary Tréta, c’est je t’aime moi non plus. Ni les agitations de l’Honorable Mamadou Diarrassouba, qui compte désormais sur ses 300 associations et clubs de soutien pour faire élire IBK, ni même les propos rassurants de Tréta qui affirme urbi et orbi qu’IBK sera candidat, n’ont pour le moment pas convaincu le locataire de Koulouba à aller à la bataille électorale.
Youssouf Sissoko
Ça n’est pas un jeu
Il faut que ibk vienne pour qu’on l’humilie, lui qui a autant fait souffrir les maliens et tenté de leur ôter leur souveraineté avec sa révision constitutionnelle. Il nous trouvera ici on n’a pas oublié son avion dont il dévoilera le prix exact devant la justice.
Info sept n’est visiblement pas au Mali. Madou Diallo et Nankoma ont démenti, eu même, les rumeurs de démission. Visiblement tout est bon pour donner de fausses informations à l’opinion pour affaiblir IBK. Votre réveil sera dur. IBK appartient désormais aux maliens. Sa candidature transcende les partis politiques. Ceux qui veulent le soutiendrons. Son parti politique c’est nous autres maliens souvent même anonyme. Rendez vous en juillet, inchallah
La candidature du président IBK est déjà acquise. Il sera candidat en 2018 et gagnera inchallah.
Pour ce qui est des problèmes internes du RPM, ils trouveront des solutions comme toujours. Comme on le dit le linge sale se lave en famille. Les artisans trouveront les mots et actes justes pour parler d’une même voix pour terminer en beauté le premier quinquennat du président IBK et faire en sorte qu’il commence le second également avec le soutien de tous.
fb continu toujours à rêvé votre réveille sera le plus douloureux car ce mandat est et sera le dernier d ibrim inchalaa.
continu de dormir en faisant des rêves ; ton réveil sera brutal et douloureux ; ibk n’osera pas poser sa candidature s’il est conscient de son bilan alarmant et décevant.
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