« Excellence, excellence, Macky Sall vous provoque! Rejetez Compaoré et Ouattara, le plus loin possible. Essayez de doubler la France et même la classe politique, etc.» Voilà en résumé une série de conseils prodigués au président Ibrahim Boubacar Keïta par ceux qui se veulent les meilleurs amis qu’il puisse en disposer. Depuis quand conseiller un ami à couper les ponts est synonyme à un bon conseil ?
Pompistes. Au Mali où rien n’est encore joué, il est plus important de chercher à limiter les dégâts que d’envenimer la situation et revenir après pour jouer aux pompistes.
Selon de bonnes sources, depuis son élection, le président IBK a presque doublé le nombre des ses amis d’autrefois, sans réelles convictions.
Si ce n’est qui lui dit « ferme la porte à tel ou tel dirigeant, c’est un autre qui le conseille à faire ce qu’il veut par ce qu’il est bien élu et, est différent des autres», commente un ancien député.
Ingrat. Ses collaborateurs, aussi tentés par l’oubli ont-ils oublié que si le peuple malien a pu voter pour élire IBK en 2013, c’est grâce à la solidarité internationale ? Serait-on, sans même être débout, ingrat ? Il ne s’agit pourtant pas d’être une marionnette, mais au juste, savoir ce qu’on veut.
Le Mali, a aujourd’hui, plus besoin de se faire des amis que des ennemis.
Maladresses. Le seul fait que le président sénégalais ait suggéré le risque d’enlisement que pourrait engendrer un éventuel procès d’ATT, dans un Mali non encore stable, a poussé d’aucuns à y voir des maladresses. Il faut plutôt se demander ce qu’attend l’assemblée nationale siège de la cour, saisie.
S’entendre. L’un des pêchés du président Blaise Compaoré avec lequel IBK entretenait de bonnes relations avant même son élection, fut le fait que ce dernier ait aussi, lors d’un sommet ouest-africain, prononcé le mot « Azawad » dans son discours. Et, bien qu’il ait raison, les conseillers ou saisonniers d’IBK l’ont poussé à couper les ponts.
Il convient, pour mieux agir, de tenter à s’entendre, même avec Satan, pour tout au moins résoudre ses tourments et s’en débarrasser après.
N’écoute. Si au Mali, il est jusque là enregistré un statu quo, ce n’est ni lié en la personne d’IBK ou à un de ses partenaires extérieurs. Mais plutôt, à ceux-là qui ont côtoyé tout le monde dans ce pays. Ceux-là qui savent bien la vérité, mais ne désirent qu’un éventuel échec d’IBK pour s’écarter et dire à qui veut l’entendre, demain : « Nous lui avons dit et redit. Mais IBK n’écoute personne.» L’histoire nous en dit assez.
Des nouveaux venants ont accumulé des dossiers non prioritaires sur sa table, pour le simple désir de vengeance, empêchant même le président de s’orienter vers les priorités du pays.
Les poches. « La plupart d’entre ceux qui courtisent les rouages de Koulouba à ce jour n’y sont que pour sauver leurs intérêts personnels, profiter de la confiance du président, de ses proches pour s’octroyer soit des marchés ou un poste où s’en mettre pleines les poches, a concédé un jeune militant du parti de la majorité présidentielle, on ne les a connus que quand le pouvoir a frappé à notre porte.»
Certains Maliens, qui, jusque là, ont confiance à IBK n’ont pas épousé les lacunes de son régime.
Carnets d’adresse. « IBK a pris le pouvoir à peine six mois, tout le monde le croyait disposer de grands pays amis dans ce monde, mais il n’en est rien. Qui a vu un chef d’Etat dans ce monde être qualifié d’un inconditionnel d’IBK pouvant lui apporter le soutien nécessaire ? Regardez tous ces ministres et hauts placés, qui d’entre eux a su dire au président d’emprunter telle ou telle direction pour aider son pays à se relever ? Où sont leurs carnets d’adresses dont on nous en parlait ?», s’interroge un vieil enseignant.
Les priorités. « Gare à l’opposition si elle s’atèle à jouer son rôle, car elle sera taxée de bande d’apatrides », commente un militant de l’opposition, faisant allusion à la récente réaction de l’honorable Soumaïla Cissé, qui jugeait le bilan d’IBK, en six mois de mitigé. Tout en ajoutant que « le président semble en mal de dégager les priorités, etc. [n.d.l.r]».
Il faut constater qu’à ce jour, à part le ministre de la défense, qui tente d’amener le président à composer avec Alger et les pays du champ, aucun de ceux qui étaient qualifiés de grands connaisseurs des institutions de Breton Wood n’a pu l’aider à mobiliser les fonds afin de juguler la crise économique que traverse le pays. Pour preuve : « Depuis leur arrivée, il faut attendre le début du mois suivant pour percevoir son salaire », selon un fonctionnaire malien.
Dans un climat aussi tendu où presque rien ne bouge, il est d’une impérieuse nécessité pour le président IBK à savoir avec qui composer. « L’habit ne fait pas le moine », dit-on très souvent. Et, les Maliens ne connaissent qu’un homme à qui la destinée de leur pays est confiée : IBK et personne d’autre. En plus, une diplomatie impulsive asphyxie le pays.
Par ailleurs, il faut rappeler qu’aucun pouvoir ne peut longtemps tenir s’il ne dispose de bons alliés, amis et conseillers, à l’intérieur comme à l’extérieure.
La Révélation
Adam BA KONARE a fait un bon livre sur les amis de l’homme de KOULOUBA en son temps ! Cela restera toujours d’actualité !
Fabriquez nous tous ceux que vous voulez, on en rien a cider. Les politicards ou nos politicards si vous preferez,on en rien a branler, ceux ils viennent, partent et disparaissent mais Le Peuple demeure et demerreura eternelement.
Aboulaye Bathily a démenti vendredi toute brouille entre lui et le président malien, Ibrahim Boubacar Kéïta qui proviendra d’une meilleure considération à l’endroit du président burkinabé. Sur RFM, il a déclaré que c’est une pure invention. Mieux, il continue à faire son travail correctement.
«Ça m’a fait sourire ; c’est éventé de toutes pièces. Mes relations avec IBK qui est un ami de plus de 30 ans, sont excellentes. On se voit régulièrement, dans le cadre de mes fonctions, tout comme en privé, à ce jour.
Donc, c’est tout à fait inventé, cette affaire-là. Quant à mon départ du Mali pour l’Afrique centrale, il faut savoir que je suis sollicité aussi bien par les Nations-Unies que par l’Union africaine et d’autres organisations sur tous les théâtres d’opérations sur le continent africain, compte tenu des relations que j’ai développées dans les différentes régions du continent. Pour l’heure, je suis à Bamako, j’ai signé un contrat d’un an. Et à la fin de ce contrat, on verra bien si je décide de rester au Mali, je le ferai, si je décide d’aller à la demande d’autres organisations ou des Nations-Unies sur d’autres théâtres de crise, je le ferai, évidemment. Mais, de manière volontaire. Pour le moment, je suis au Mali. Dans le cadre de mes fonctions, je suis en contact avec tous les chefs d’Etat de la sous-région», a dit le numéro II de la mission de paix des Nations-Unies (ONU) au Mali.
Un peu de sérieux,même si le camion porte une citerne comme réservoir, je ne vois pas où est le problème? A moins que les lois sénégalaises aient ciblé des types de véhicules à ne pas autoriser au Sénégal. Les maliens devraient en être informés à l’avance.
Nous ne voulons pas du tout de problème avec le Sénégal car c’est nous avons aujourd’hui besoin de son port pour le transit de nos marchandises. Mais, demain arrivera Inch Allah!
Le sémillant Sory Bourama s’est entouré de sa famille pour gouverner le Mali soit; mais il faut qu’il sache qu’il ne peut choisir les voisins du Mali.
Trois réservoirs sur Camions quand même, il faut être sérieux.
DAKARACTU.COM Abdoulaye Bathily a été dessaisi de son rôle dans le cadre de la MINUSMA et réaffecté en Afrique centrale par Ban Ki Moon. Ibrahima B. Keïta, le président malien serait convaincu que Bathily roule pour Compaoré, avons nous appris… Certains observateurs analysent l’éloignement de Bathily du règlement définitif de la crise malienne comme le franchissement d’un nouveau palier dans la crise latente entre Bamako et Dakar. Une crise que Mankeur Ndiaye a pourtant niée avec véhémence devant les députés. Le cas ATT devient ainsi un abcès qu’il serait impératift de vider.
Il y a peu encore, la question des réservoirs de carburant des camionneurs maliens bloqués à la frontière du Sénégal polluaient l’atmosphère entre Dakar et Bamako, et il aura fallu l’intervention in extremis des ministres de l’Intérieur des deux pays, Abdoulaye Daouda Diallo et Sada Samaké pour que les choses rentrent dans l’ordre… Vivement la décrispation entre deux pays que tout rapproche!
IBK et MAKY devraient jouer dans la même cour.
nope ! antèson , il faut envahir le sénégal et kidnaper ces ptits Gorgui , il faut que ces gens la nous doivent du respect oubien on les annexe…..wa salam !
IL FAUT SONGER A REPRENDRE LE NORD DU MALI k quelques voyous ont pris en un tps record .
quand des militaires fuient devant l’oppresseur …
Cela fait plus de 3 mois que le trésor Malien ne paye pas les gens….Du jamais vu….même les petites sommes. l argent est réserver pour les voyages et l aménagement des salles de réunions d IBK
Honte a tous ceux qui sont entrain de mener ce faux debat de PRIORITE
S’ils pouvaient seulement nous parler d’une, une seulement qui n’est pas touchee.
On peut etre constructeur dans l’opposition, mais un desinformateur est tout autre chose…
TRES IMPORTANT !
LA SOCIETE MALIENNE DE BISCUITS –SOMABIS-
Bamako, Mali, quartier du fleuve, rue 306, porte 94 ; Tel : 00223-76-26-25-25 ou 66-23-25-25
AVIS D’APPEL A LA CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT DU PERSONNEL D’INDUSTRIE DE NIVEAU MINIMUM BT OU BTS [OU EQUIVALENT]
La Société désire recruter pour le service de sa maintenance technique industrielle.
• Des électromécaniciens (02)
• Des mécaniciens industriels(02)
• Des électriciens(02)
Les candidats intéressés par le présent avis d’appel devront remplir les conditions suivantes :
.Avoir un brevet de technicien, tout court (BT) ou un brevet de technicien supérieur(BTS) ;
.Avoir un certificat de nationalité malienne ou autre ;
.Avoir un extrait du casier judicaire vierge ;
Le dossier de candidature devra comprendre
.Une lettre de demande d’emploi adressée au promoteur ;
.Une copie de la carte nationale d’identité en cours de validité ;
.Un curriculum vitae détaillé ;
.Une copie du diplôme certifiée conforme à l’original ;
.Un extrait d’acte de naissance ;
.Un extrait de casier judiciaire ;
.Un certificat de résidence à Bamako.
Niveau d’expérience exigé : Un (01) an au minimum.
Tout renseignement complémentaire concernant le présent appel à candidatures peut être obtenu auprès du promoteur, Moussa Djigué, à l’adresse ci-dessus indiquée, tous les jours ouvrables, de 09 heures à 16 heures.
Fait à Bamako, le 28/02/2014
Le Sénégal ne souhaite que paix et bonheur au Mali. Et, je crois que nous l’avons démontré. Son Excellente Ibrahim B. Keïta devrait alors faire siennes ces paroles de Guillaume Tell: “Mes ennemis, je m’en charge. Que Dieu me préserve de mes amis”. En effet, les gens qui souhaitent qu’il échoue sont dans son “attelage”, son cercle restreint. Aucun de nos pays ne peut faire cavalier seul sans l’apport des voisins. Au port de Dakar, il y a un môle malien où travaille des policiers, des douaniers et des dockers maliens. Ce môle est comme l’ambassade du Mali au Sénégal (en somme un territoire malien). Le Sénégal ne peut pas concéder une telle faveur au Mali pour ensuite lui glisser des peaux de bananes. Des camions avec trois réservoirs (+ de 1500 litres) dont la moitié est vendue au Sénégal sans compter les risques d’explosion en cas d’accident… aucun autre pays voisin ne l’aurait toléré. La preuve ces réservoirs sont démontés avant l’entrée des routiers maliens en Côte d’Ivoire par exemple. Il ne faudrait donc pas que des conseillers intrigants, des commerçants véreux et des chauffeurs malhonnêtes viennent jeter le feu aux poudres.
Malienausenegal
Diop, sans vous flatter, je pense que vous avez vus juste! Je suis Malien au Sénégal, mais certains chauffeurs de car, de gros porteurs sont effectivement pas honnête! Mais entre nos, nos économies sont intimement liées, ce qui veut dire que chacun doit préserver ses intérêts tout en regardant l’intérêt de l’autre!
Je ne maîtrise pas ce dossier “3 réservoir” des camions Maliens, donc je n’en dirais pas plus!
Mais IBK, semble mal conseillé et doit plus travailler avec la politique et la société civile Malienne
Merci ma sœur. Nous formons le même peuple. Dans mon nom complet on retrouve le prénom “Mandé”. C’est dire que pour rien au monde, je n’irai mentir sur le dos d’un malien ou d’un guinéen…
Les autorités maliennes tout comme celles sénégalaises doivent éviter que des commerçants véreux et des trafiquants sapent l’harmonie entre nos deux pays qui, en fait, ne sont qu’un.
nope ! antèson , il faut envahir le sénégal et kidnaper ces ptits Gorgui , il faut que ces gens la nous doivent du respect oubien on les annexe…..wa salam !
Diopgalsen!
Disons la vérité nos deux présidents doivent s’entendre pour mieux gerer les deux pays frères liés par le sang. si nos présidents ne s’entendent qu’ils démissionnent ils n’ont pas le droit créer de la pagaille dans notre famille Mali-Sénégal. Merci à tous et toutes;
vous les journaliers corrompu vous êtes nul et bon a rien.si on vous donnent quelque chose seulement ce fini.vous écrivez de n’importe quoi.est de rien vous êtes *****.**** abois la caravanes passe.vive le président ELHADJ IBRAHIM BOUBACAR KEITA.KANKELETIGUI.vive le Mali.a bas les voleurs a col blanc.a bas les journalistes corrompu.a bas les ennemis du Mali de l’intérieure comme de l’extérieure.a bas les politiciens voleurs et corrompu.laissez nous en paix.wallaye aw ye antoro.les maliens sont fatigué a cause de vos égoïsmes.de vos critiques mal fondé .remboursés c’est que vous avez voler d’bords au peule malien.vous êtes *******.wasalam.
De tout ce que le journaliste a bien dit sur la politique extérieure et intérieure d’IBK, je retiens la conclusion, je cite: “Par ailleurs, il faut rappeler qu’aucun pouvoir ne peut longtemps tenir s’il ne dispose de bons alliés, amis et conseillers, à l’intérieur comme à l’extérieure.”
Sincèrement
nope ! antèson , il faut envahir le sénégal et kidnaper ces ptits Gorgui , il faut que ces gens la nous doivent du respect oubien on les annexe…..wa salam !
I doro fakoly si tu es si fort tu n’allais pas abandonné 2/3 de territoire en fuyant. Cretin 😆
L’ incapacite de IBK d’accelerer la gestion de l’Etat est tres decevante et revoltante. Tout se passe comme si la pression de la belle famille, entre autres, lui faisait perdre les moyens et le freinait dans les prises de decision ! En effet, beaucoup de bonnes intentions exprimees depuis l’election de IBK sont restees vaines. Ce n’est pas en mettant son epouse dans toutes les sauces ( voyages a l’etranger ou la presence de Aminata Maiga est le plus souvent inutile et abusive, nomination de proches de la famille, etc) qu’IBK resoudra les problemes de notre pays, bien au contraire. La cadence de gestion du pays est tres lente, et meme un remaniement ministeriel est problematique! De plus, le President doit savoir qu’un signe fort de la reconciliation nationale serait d’entreprendre une tournee dans le pays profond, notamment dans les regions Nord de notre pays.
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