Dans deux petites semaines, le président de la République Ibrahim Boubacar Keita va boucler un an à la tête de notre pays. Un an marqué par des scandales à répétition, la gestion patrimoniale du pouvoir, la fronde syndicale, le mécontentement social et un pilotage à vue. Quand on y ajoute le retrait des bailleurs de fonds, on aboutit à un an qui montre un président, seul face à son destin. Peut-il se ressaisir ?
L’intrusion de la famille dans les nominations aux hautes fonctions de l’Etat, sa boulimie déconcertante à s’emparer du pouvoir et par ricochet aux richesses du pays ont pris de court les Maliens. Eux qui pensaient que leurs souffrances seraient abrégées, ou tout au moins amoindries, avec l’arrivée au pouvoir d’Ibrahim Boubacar Keita. Que de déceptions, de frustrations et de sentiment général de révolte.
La famille du président agit comme si demain c’était la fin du pouvoir et qu’il faut aller vite et en profiter au maximum. A l’allure où vont les choses (accumulation de richesses, arrogance et mépris), les Maliens sont condamnés à souffrir pendant cinq longues années de pouvoir d’IBK.
En plus de la famille, IBK souffre de son gouvernement dont le Premier ministre Moussa Mara peine à imposer son autorité et à imprimer à ses ministres sa méthode. La presse rapporte régulièrement les divergences, à la limite, conflictuelles, entre Moussa Mara et nombre de ses ministres. En vérité, les ministres ne se reconnaissent pas en lui, puisqu’ils ne lui doivent rien. Il n’a nommé aucun ministre et du point de vue politique, il est très affaibli, avec un seul député à l’Assemblée. Nombre des ministres doutent de la sincérité du PM vis à vis du président. Au bout des lèvres, le Premier ministre prétend défendre le programme du président, mais en réalité, il suit son propre agenda. Ses sorties intempestives à la télévision nationale pour présider des cérémonies les plus insignifiantes pour son rang cachent mal ses ambitions à embrigader l’opinion publique. Sa visite à Kidal s’inscrivait bien dans cette logique. Un coup médiaticopolitique qui a, malheureusement, mal tourné.
Les Maliens attendent d’un gouvernement des actes et faits qui participent de l’amélioration de leur cadre de vie.
Depuis son installation, qu’a fait le gouvernement de Mara de consistant. Visiblement, pas grand-chose. Pour preuve, les deux jours de grève de la Centrale syndicale (Untm) les 21 et 22 août derniers. Sans compter que le pays traverse une situation financière et économique des plus difficiles.
Des scandales à répétition
Le budget spécial d’investissement (BSI) est réduit à près de 75% dans plusieurs départements ministériels. Le FMI a suspendu son aide au Mali jusqu’en septembre prochain, si ce n’est décembre. D’autres bailleurs restent dubitatifs en attendant d’y voir clair.
Sur la question de Kidal, le PM ne sait plus par quel bout il faut commencer. Lui d’ailleurs qui est venu envenimer la situation avec sa mission imprudente et inopportune à Kidal. Selon nos informations, ni la Minusma, ni Serval, n’avaient approuvé cette visite du PM pendant la période indiquée dans la capitale de l’Adrar des ifoghas.
Comme si cela ne suffisait pas, les scandales à répétition devraient s’ajouter à la solitude étouffante d’IBK. Achat controverse de l’avion de commandement du président, accointances douteuses avec des personnalités peu recommandables comme Michel Tomi, rumeurs relatives à la construction d’une piste d’atterrissage d’hélicoptère au domicile du président, etc.
Le parti “Rassemblement Pour le Mali” (Rpm) n’est malheureusement pas reste en dehors des ennuis du président. A cor et à cri, à en croire la presse, le Rpm réclame la tête de Moussa Mara. Le parti estime que le poste de PM lui revient de droit. Ce qui affaiblit davantage, et le PM et le président. Donc, on n’est pas à l’abri d’une éventuelle crise politique.
L’on se rappelle les débuts du mandat d’Alpha Oumar Konaré, où il a bouffé deux Premiers ministres en moins de 24 mois, avant finalement d’en imposer un du parti pour avoir la “paix”. IBK est confronté aux mêmes problèmes. Le politiquement et démocratiquement correct serait pour lui de nommer un Premier ministre à poigne qui sortirait du parti majoritaire à l’Assemblée nationale.
Que peut faire IBK face à toutes ces pesanteurs? Serait-il un homme seul ? Tout laisse à le croire. A lui de se ressaisir, pendant qu’il est encore temps.
MAFILA
La plus grosse erreur faite par IBK, c’est d’avoir sali ATT et réhabilité GMT. Dès cet instant T les MALIENS devraient savoir que c’est mal parti pour la GOUVERNANCE au MALI. Les gens découvrent IBK enfin, mais c’est tard. vous avez à supporter un long et pénible moment de régression politique,économique et social? En quoi comparer GMT à IBK? Et la lutte du peuple MALIEN à renverser la tyrannie de GMT? Malheur à IBK et à sa famille.Seule son épouse semble un peu correcte?HAAA, le MALI, GRANDE dynastie en perte de son âme?
…….Les donneurs de leçon rattrapés: Affaire Tapie : Lagarde, mise en examen, exclut de démissionner du FMI
La directrice générale du Fonds monétaire international, Christine Lagarde, a annoncé mercredi avoir été mise en examen la veille à Paris pour «négligence» dans l’enquête sur l’arbitrage entre Bernard Tapie et le Crédit Lyonnais.
Interrogée pour savoir si elle entendait démissionner du FMI, l’ancienne ministre française de l’Economie a répondu : «Non». «Je retourne travailler à Washington dès cet après-midi».
Elle avait été longuement entendue mardi -plus de quinze heures-, pour la quatrième fois, par les magistrats de la Cour de justice de la République (CJR), instance habilitée à enquêter sur les membres du gouvernement pour les faits commis dans l’exercice de leur fonction.
Une décision «totalement infondée»
«La commission d’instruction de la CJR a décidé ma mise en examen sur le fondement d’une simple négligence», a-t-elle annoncé mercredi matin au cabinet de son avo
IBK peut toujours redresser la situation s’il fait les choses suivantes:
1- Ecarter tous ceux qui sont lie’s a’ la famille presidentielle du gouvernement et du parlement
2- Suivre les recommandations des pays frères et amis et des bailleurs de fonds
3- Se reconcilier avec ses predecesseurs et creer un conseil presidential constitue’ des anciens presidents pour avoir des conseils precieux
4- Nommer Mara,Bathily et Fily comme ministers d’Etat a’ la presidence et nommer un nouveau PM (DJANGO SISSOKO ou MOHAMED AHMED AG AMANI pour former un nouveau gouvernement
5- Travailler avec les groups de pression en Europe et aux USA pour faire advancer son agenda
6- Liberer le General Sanogo et tous les membres de la junte qui sont arrete’s et eviter toutes les actions qui peuvent etre percues comme des reglements de compte
7- se montrer humble,vendre l’avion presidential,calmer le jeu au nord en accordant une autonomie de gestion et comprendre qu’il ne peut pas changer le tout du jour au lendemain!
Salut mon général de corps d’ÂNE,
Tu sais je n’entends rien d’IBK, pour plusieurs raisons, mais je ne vais te citer que deux:
1. Il s’est compromis, pactiser avec les opportunistes voire le diable, tenir des promesses sur la sécurité et autre… qu’un badaud averti de Dabanani ne saurait tenir, dans sa conquête du pouvoir.
2. Sa psychologie pose problème: imbu de sa propre personne il croit pouvoir faire de la conscience à tout le monde au lieu de faire confiance à ses collaborateurs.
Ce qui fait qu’il ne peut faire équipe qu’avec les bénis oui, oui,…
Senti, nous attendons ta presidence pour avoir le grade de GENERAL DE CORPS D’ANE que tu…porteras!!! (rire)!!!! Ceci etant dit, je suis sure que si IBK applique les points de mon post, le resultat se fera sentir immediatement!!!
C’EST TRES IMPORTANT D’ECARTER LA FAMILLE DE LA GESTION DU POUVOIR!!! KARIM NI AKA GRIN KA TA!!! ILS PEUVENT REVENIR AU SECOND MANDAT (QUELQUE CHOSE QUE JE NE CONSEILLE PAS.) DANS LA PHASE ACTUELLE , IL N’Y A ABSOLUMENT PAS DE PLACE POUR “ON THE JOB TRAINING!!!” IL FAUT FAIRE APPEL AUX MALIENNES ET AUX MALIENS QUI ONT DE SOLIDES EXPERIENCES ET DE TRES BONNES RELATIONS!!! Je suis personnellement UN IDIOT PARFAIT et j’ai une experience tres riche dans le domaine des IDIOTIES!!! MACHALLAH!! ALLAH YIZID!!! Je suis pret a’ servir le Mali au poste de MINISTRE DES IDIOTS ET DES AFFAIRES INUTILES!!!
ALLAH KA BE’ SON HAKILI GNOUMAN NA!!!
Bien dit sauf le point 6. Le fameux gal SANOGO n’est pas un point de discutions.pour les autre points , oui.
IBK est un homme loyale car il sait bien que le Mali était à genou malgré tout ça il a accepté de prendre son pays qui était bomber. Du courage du courage IBK les Maliens sont derniers toi
“…LOYALE…TOMBER….Les maliens sont DERNIERS…”
Kadi jolie, ITE’ SABALI !!!! Tu me donnes des maux de tete!!!!
Effectivement, Ibk devait accepter par ACTE DE CONTRITION de “prendre son pays tomber” 💡 💡 💡 à cause de ses actes posés durant 6 ans en tant que chef de l’exécutif et 5 ans à la présidence du Législatif. 👿 👿
Les maliens ne souffrent pas sinon pourquoi attendre quatre années encore ? Il faut dégager ce pseudo président par tout autre moyen.
Wasalam
moise tu as raison mais sachons raison gardée, il partira de lui-même. il oublie que 1994 est différente de 2014. ce pouvoir n’est héréditaire comme il en croit.
Avec un tel president et un gouvernement de mer-deux elus par la population par nom et non par conviction et de vrais plateformes pour le Mali, nous ne pouvons que nous condamner Nous memes, c’est Nous memes la cause et les consequences de Nos Malheurs, donc arretons de nous plaindre. Il fallait de sang nouveau pour le Mali et mettre a la poubelle tous ces vieux loups, crocodiles, rapaces etc a l’ecart. Le changm,ent ne viendra jamais avec ces mer-deux.
Au moment ou il a été élu président il savait qu’il était confronté à plusieurs de problèmes,c’est une lourde tâche qu’il l’attendait .
Eh oui il est conscient de cela et il est capable de relever le défis et malgré le fais on lui porte des ragots de tout genre .
Un président reste un président il sait pourquoi il est là
“Quand on y ajoute le retrait des bailleurs de fonds, on aboutit à un an qui montre un président, seul face à son destin.”
Président ou pas, ibk en tant que tel n’est jamais qu’un INDIVIDU, une PERSONNE; A ce titre, je me fous éperdument de “son destin” personnel (qu’il a d’ailleurs choisi lui-même!).
Ce qui est révoltant à l’inverse, c’est que c’est le destin DU PAYS et le destin DES MALIENS qui est le vrai sujet, et en l’occurrence, le SEUL sujet à considérer! 👿 👿 👿 👿 👿 👿
Avec les milliards qu’il a déjà détourné en commisions et pots de vin sur le Boeing, les marchés truqués des armées, en seulement un an avec son fiston, je doute que “son destin” (ou celui de ses comptes bancaires secrets) soit un réel problème!
Par contre, celui du pays mondialement ridiculisé, mis au ban des partenaires, etc., le cas est beaucoup plus “problématique”! Chômage, pauvreté, crise du nord, EDM, armée à reconstruire, salaires pitoyables, etc.
Bravo Ibk! 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥
” les Maliens sont condamnés à souffrir pendant cinq longues années de pouvoir d’IBK.”
Condamnés?…
N’est ce pas plutôt IBK lui-même qui se “condamne” à descendre la colline à dos d’homme, et en celà, à replonger à nouveau le pays au fond du gouffre?
Il est déjà INVRAISEMBLABLE que les Maliens aient supporté une année entière (! 🙄 🙄 🙄 ) que ce gros balourd détourne, magouille, et s’enrichisse honteusement sans lever le ptit doigt pour les populations, comment, pourraient-ils se regarder maigrir et regarder s’enfoncer le pays dans la honte PENDANT QUATRE ANS SUPPLEMENTAIRES??? 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄
La déchéance du Mali sous Ibk est désormais H.I.S.T.O.R.I.Q.U.E! Un tel foutoir en à peine une année, c’est du AOK/ATT à la puissance 1000! 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄
IBK et sa tribu de “bouffeurs corrompus” vont se faire dégager, ce n’est hélas plus qu’une question de temps! Et le Mali sera à nouveau au fond!
Mais c’est vrai qu’avec lui, au « fond », ON Y EST DEJA !… Difficile de descendre plus bas !… 👿 👿 👿 👿 👿
Le traumatisme
Si un peuple sent, dans sa chair, les conséquences néfastes de la mal gouvernance en Afrique c’est certainement le peuple malien.
Éprouvé par deux longues années de crises sécuritaires et institutionnelles qui ont mis en lumière les tares de son mode de gouvernance des 48 dernières années, le peuple malien n’est pas encore sorti de l’ornière, loin s’en faut.
Le retour à l’ordre constitutionnel normal qui marqua en fin août 2013, le grand retour du pays dans le chemin de l’apprentissage de la démocratie pluraliste, a suscité de large espoir dans le pays comme à l’étranger.
Mais le régime IBK qui nait de cet espoir s’est avéré être plus médiocre que ses prédécesseurs dans la recherche des solutions aux problèmes du pays.
Pire, il s’est adonné à des pratiques dignes de Bokassa ou de Mobutu au sommet d’un l’État malade et a laissé dans l’agonie un pays qui manque de tout.
Si tu sais que tu es faible tu te protèges et tu agit en circonstance.
Mais si tu ne sais pas que tu es faible, tu t’exposes et tu t’affaiblis davantage.
C’est le désormais triste sort de notre pays, malheureusement!
Le gaspillage à ciel ouvert de l’argent public depuis un an, a tarit les caisses de l’État, sapé la confiance des partenaires (financiers et sociaux) et fragilisé davantage nos institutions (l’armée en occurrence qui n’a reçu aucun moyen aérien alors que tout le monde sait qu’elle en avait besoin au nord).
C’est un État affaibli au maximum qu’Oumar Tatam Ly a laissé car obligé de ne plus cautionner des pratiques indignes au sommet de l’État malien.
C’est cet État affaibli que Mara a repris, mais au lieu d’être sincère avec les maliens, il a cru bon de leur mentir et de leur faire croire qu’il est fort et puissant et qu’il peut en faire qu’à sa tête.
1. “De véritables bandits ont endetté ce pays”;
2. “Avec les armes qu’on a, nous pouvons faire de Kidal, ce que nous voulons”.
3. “N’tè, ntita yôrôssi”
Voilà trois de ses sorties malencontreuses et malavisées qui ont enflammé le pays en mai 2014, sur fond de mensonges d’État, de suffisance de dirigeants imbus de leurs personnes.
“Tiôo Bélé Bélé”!
Et quand l’échec survint plus que prévu pour nos champions de “Talk and Talk”, c’est à l’armée qu’ils jettent l’opprobre pour s’en laver les mains et les pieds d’une bérézina dont ils sont les seuls à enfanter en république du Mali.
“Onron ya guèlèyara Mandé”!
Alors la communication approximative d’une présidence voyageur et dormeuse s’en mêle les pinceaux, j’allais dire les tweets, jusqu’à qualifier nos compatriotes “d’aigris”!
“Eh Alla den”!
“Ki i ka wôri ta, ko o do pan kourou kôrôla, katila kafô ki ye Aigri yé”
“Ne dabali bè ban na”
Et voilà que le pays est complément désarmé face aux voyous armés qui dansent le “Youri Yari” partout au nord de notre pays.
“Da wili là, Son Kalan mayé”!
Que faire?
Les adeptes du luxe clinquant et insolent au sommet de notre État, ne savent plus.
“Mandé tiqui Lou ko, Môgôtè sé, Alla ye Sé”!
Donc ils ont entamé des concertations avec la classe politique (jusque la méprisée par le régime IBK) et la société civile (jusqu’à la ignorée également par le même régime dans tous les dossiers brûlants du pays).
“Kabako djidani”!
Et ils se sont lancés, à corps perdu et pieds et mains liés, dans une hypothétique négociation inter maliens à Alger.
“Eh Alla den”!
De quoi s’agit-il?
Il ne s’agit ni plus ni moins qu’une capitulation face à ceux-la mêmes qui ont pris les armes pour attaquer notre pays gratuitement, dans son septentrion, sachant très bien que nos dirigeants ont négligé notre armée.
“Kèlè sera so kôfè Ka dan”!
Qu’est-ce qu’ils veulent alors?
Ils veulent une indépendance des trois régions nord de notre pays c’est à dire Tombouctou, Gao et Kidal, qu’ils enveloppent sous le vocable AUTONOMIE pour faire diversion et ne pas éveiller les soupçons de la communauté internationale qui pour l’instant est attachée inconditionnellement à l’intégrité territoriale du Mali.
“Eh Massa Alla”!
Que fait le gouvernement IBK?
Il s’appuie sur une décentralisation poussée des régions du nord qui n’est autre chose que l’autonomie de gestion dans un État un et indivisible et espère ainsi faire plier les groupes armés indépendantistes à renoncer à leur projet sécessionniste du nord de notre pays.
“Patissakana”!
Quels sont les moyens du régime IBK?
Ce n’est pas grand chose.
Ces moyens humains sont limités et à force de gaspiller nos sous et de s’embrouiller avec tous ses partenaires, il est réduit à augmenter les taxes douanières et à endetter le pays sur les marchés financiers plus chèrement que d’habitude.
“I kana ni fô nyé ko”
“Alla kana an malo”
Cela va t-il suffire?
Non malheureusement, il nous faut revigorer et très vite notre diplomatie, pour tuer dans l’œuf toute chance de velléités sécessionnistes et de mettre sur place des forces de combat alternatives à l’armée malienne au nord si jamais on ne peut pas l’équiper et l’entraîner convenablement à très très court terme.
“Koutoubouyé”!
Et le régime IBK est-il conscient de cela?
Malheureusement non, il est aussi perdu dans sa mauvaise gouvernance que le citoyen lamba au Mali entre résignations et courbure d’échine face aux voyous armés du nord.
C’est le traumatisme total dans le pays, le Black-out!
Ils ne savent plus où ils en sont car ils n’ont ni vision, ni méthode et leurs moyens sont extrêmement limités et leurs capacités de les employer à bon escient sont infiniment petites.
“Nma gnogon ko yé”!
Et qu’est-ce qui peut leurs aider?
Il leur faut des personnes ressources de large envergure dans le pays comme hors du pays pour activer tous les canaux diplomatiques possibles dans le but de discréditer et de décapiter (à l’extrême) par tous les moyens toutes les capacités de nuisances des groupes armés qui écument le nord de notre pays.
Le plus tôt est le mieux!
Wa salam!
Kassin, chapeau bas à vous.Un digne MALIEN à mon avi. Mais le peuple malien est ignorant à 75/cent. Dommage pour ceux qui croient en IBK.PAS que ceux qui critiquent sont aigris, mais se soucie du MALI et son devenir?
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