Morceaux choisis : “Mon pouvoir n’est pas un gâteau à partager”, “Parmi les membres du gouvernement, il y a des gens qui nous ont beaucoup aidés. Quelqu’un ne saurait se lever un jour et nous exiger de les virer ! Non, je ne le ferai pas ! Je ne trahis pas un allié…”.
Seulement de septembre 2013 à avril 2014, le prince de Sébénicoro se mélange les pédales. En perte de vitesse, au lieu de résoudre les problèmes quotidiens de ses compatriotes, il s’adonne à des menaces, la marginalisation, la contradiction.
Au sortir de la présidentielle, le président 77% avait émis l’idée de ne pas partager son pouvoir. Car, disait-il, mon pouvoir n’est pas un gâteau à partager. Désignant du coup ses alliés. Du jour au lendemain, après la claque du Premier ministre Oumar Tatam Ly, il se déballe.
La situation actuelle du pays exige de nous tous un certain nombre de réserves. Surtout de la part d’un président en difficulté. Alors, le sage de Sébénicoro devait se dire que la roue de l’histoire tourne et que rien ne peut l’arrêter. Se faisant blanc comme neige et jeter l’opprobre sur les autres ne sauraient résoudre les problèmes. Alors, il est opportun pour le mandé mansa de revenir sur terre afin de se conformer à la réalité. Sinon le verbiage ne nous amènera nulle part.
C’est pourquoi, les grands maîtres de la parole indiquent que la parole mange son propriétaire. Fraîchement élu et en vue de la formation du premier gouvernement, IBK n’avait pas hésité à déclarer que son pouvoir ne saurait être un gâteau à partager. La suite est connue. Le pouvoir est totalement encré dans les mains de la famille, des belles familles. D’où désormais du slogan de campagne “Le Mali d’abord”, nous assistons impuissamment à “La famille d’abord”. Pour corroborer cette perte de vitesse, IBK, déjà paniqué, s’adonne à de graves contradictions. Et ce pour jeter en pâture le jeune homme qu’il a amené pour le servir et servir la patrie, OTL. Bien qu’étant le seul comptable devant le peuple, personne ne peut travailler avec des gens qui entravent la bonne marche de ta démarche pour l’atteinte des objectifs assignés. Ayant des principes, OTL a indiqué à chacun des ministres des comportements à suivre pour la bonne marche de l’action gouvernementale. Au lieu d’être soutenu et appuyé dans ce sens, c’est le président 77% qui lui coupait de l’herbe sous les pieds. Acculé finalement jusque dans son subconscient, il a claqué la porte en dévoilant au public les raisons de son départ. Pour autant, il avait été indiqué qu’il a été viré. Comme si cela ne suffit pas, à chaque sortie nationale ou internationale, le président IBK s’adonne à son sport favori avec des diatribes, des contradictions tout azimut. Cherchant toujours à se blanchir, à se diviniser.
L’heure n’est pas au discours dilatoire mais au travail. Pour résoudre le problème récurent d’électricité, d’eau pour les populations de Daoudabougou, d’infrastructures routières pour faciliter le commerce. Alors, président 77%, revenez sur terre pour l’honneur du Mali et le bonheur des Maliens, pour la fierté du Mali.
Boubacar DABO
C’est bien cela le constat par le citoyen lamda Mr. Dabo. On est tres mal parti avec ladji bourama, balla faceke.
C quoi Bella fasceque! 😯
merci mr le journaliste tu à touché le fond du problème IBK ma famille mes copains vraiment il nous a deçu IBK nous a déçu comme on dit en football l’élection de IBK à été un auto Gool (but contre sont camp)
Monsieur Arouna , je vous demande de franchir la porte du complexe néo colonialiste de maitrise de la langue Française. Cette langue n’est plus la mieux indiquée pour accéder à la science donc à la haute technologie. Je vos demande très respectueusement d’apprendre l’anglais. Ce qui nous importe ce sont les idées et non la langue.
Voilà un article gangréné de fautes. Tu as intérêt de se payer un syllabaire au lieu de nous montrer la paille sur la tête d’autrui ne vois-tu les poutres dans tes yeux?
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