« L’habit ne fait pas le moine », autrement dit ; ce n’est pas sur l’extérieur qu’il faut juger les gens. L’intérieur étant moral, l’homme ne connaîtra assez son prochain qu’à travers les actes (dictée morale) de ce dernier. Par là encore, la remarque en est qu’on trouve mieux le confort plutôt à critiquer qu’à surpasser son prochain. Cas typique d’un président de la République qui, sans subir de pression aucune, viole la constitution dont il est sensé être le premier gardien.
Revenons dans le fond du problème:
Officiellement (selon la cour constitutionnelle, le mardi 20 août 2013), c’est IBK qui est élu président de la république du Mali avec un score à la soviétique (77,6%)-et conformément aux stipulations de l’article 37 de la constitution Malienne (du 25 février 1992) ; « Le Président élu entre en fonction quinze jours après la proclamation officielle des résultats», notamment, le 4 septembre 2013. Ce qui fut fait ce jour en grande pompe.
Ensuite, poursuit l’article 37 ; « Avant d’entrer en fonction, il prête devant la Cour Suprême le serment suivant : “ Je jure devant Dieu et le peuple malien de préserver en toute fidélité le régime républicain,-et alors, étrangement, il omet ce qui suit ; « de respecter et de faire respecter la Constitution et la Loi », mais poursuit le reste ; «…de remplir mes fonctions dans l’intérêt supérieur du peuple, de préserver les acquis démocratiques, de garantir l’unité nationale, l’indépendance de la patrie et l’intégrité du territoire national. Je m’engage solennellement et sur l’honneur à mettre tout en œuvre pour la réalisation de l’unité africaine”.».
Le constat fut amer car il n’a non pas seulement juré en ce jour « de respecter et de faire respecter la Constitution et la Loi », comme cela s’imposait à lui, les rappels et cris de la presse et des observateurs demeurèrent non entendus. Alors, comment peut-on vouloir faire plier un peuple face à ce qu’on piétine ? Ce n’est pas juste, est le moindre que l’on puisse dire!
Enfin, c’est au rendez-vous. La presse malienne qui, malgré ses maigres moyens et sa déconsidération par certains, est arrivée à attirer l’attention de son public sur le fait de la violation de l’article 37, stipulant noir sur blanc qu’ « Après la cérémonie d’investiture [à compter du mercredi 4 septembre 2013, à partir de 00 heure] et dans un délai de 48 heures[jusqu’au vendredi 6 septembre 2013 à 23 heures 59 minutes], le Président de la Cour Suprême reçoit publiquement la déclaration écrite des biens du Président de la République .Cette déclaration fait l’objet d’une mise à jour annuelle ». Si le cabinet de la présidence de la République a fini par glisser le communiqué tendant à confirmer la remise de ladite déclaration écrite des biens du président de la république à celui la cour suprême, c’est à défaut de toute autre échappatoire. Or le mal en est que la remise de ladite déclaration n’a non seulement pas été faite dans l’espace du délai constitutionnellement fixé (faite le 9 septembre), mais aussi, a été faite en catimini. Bien entendu que la cour qui devrait publiquement recevoir la déclaration n’était pas obligée à publier son contenu.
Tout cet épisode se passe dans un climat où d’un côté, la région de Kidal est encore sous une horde des hors-la-loi pendant que lutte contre la corruption, animée par des auditions d’anciens hauts responsables du pays fait la une des débats.
Incroyable mais vrai, comment ce président qui aime dire : « je n’ai jamais volé mon pays-et ne doit rien à personne », a-t-il fini par se faire avoir si banalement. Celui-là même qui parle comme un livre-et qui n’a aucun mal à rappeler en latin « dura lex sed lex », autrement dit ; « la loi est dure, mais c’est la loi ». « Il n’y a pas de fumée sans feu », dit-on souvent quand ça murmure. IBK disposerait-il des milliards ? Des centaines d’hectares d’espace libre à Bamako et/ou Ségou? Des dizaines de voitures de luxe? Des immeubles et bâtiments en location? Ou juste une somme moyennant un million de nos francs avec un cheval? De telles questions taraudent le citoyen lambda qui ne sait à combien vaudrait le patrimoine exact de cet ancien conseiller du président Alpha, par la suite ambassadeur, ministre, premier ministre, puis président de l’assemblée et enfin simple député à l’assemblée (sous ATT). Qu’il ne soit fortuné, lui coûterait peut-être moins cher. En tout cas, ici ; la confiance coûte très cher !
IMT
IBK est un vrai funambule sur une corde déjà brulée par lui meme
M.le journaliste je pense qu’il faudrait faire extrêmement attention. Vous savez l’avenir de ce pays doit être au dessus de tout.De ce fait je vous suggère de ne pas lancer des propagandes.le pouvoir actuel quelque soit notre appartenance politique, notre cher pays à besoin de la stabilité. Faites donc preuve de sagesse je vous en prie. Merci pour la bonne compréhension.
DES FAUT PROBLEMES POUR MASQUER L’AFFAIRE ATT
Le JOURNALISTE,MR IMT DU JOURNAL” LA SOURCE” MERITE DES FELICITATIONS! EN EFFET IL A FAIT UN VRAI TRAVAIL JOURNALISTIQUE. SON ARTICLE INFORME LE LECTEUR DE LA VIE POLITIQUE DE LA PERSONNE DONT ILVEUT CRITIQUER L’ACTION ACTUELLE, IL DENONCE LE DISPERSEMENT DE SES EFFORTS.EN CRITIQUANT CETTE FACON D’GIR,IL FAIT DES SUGGESTIONS: SE CONCENTRER DAVANDAGE SUR L’ESSENTIEL AINSI IL N’AURAIT PAS “OUBLIE” UNE PARTIE DE SON SERMENT,DE “DECLARER SES BIENS A TEMPS”,LE COMMUNIQUE QUI DEMENTAIT LA NON PUBLICATION DES BIENS DU PRESIDENT! LE JOURNALISTE SOULIGNE QUE MEME SI IBK AVAIT DECLARE UN AVOIR DE UN MILLIARD CELA N’ETONNERAIT PERSONNE, CAR LUI QUI A REMLI DE HAUTES FONCTIONS DEPUIS 1992, DECLARER UN MILLION FERAIT DOUTER CERTAINS MALIENS! POUR DONNER UNE BASE SOLIDE A LA RECONCILIATION DES PROCESDESANOGO,DES REBELLES DOIVENT SE FAIRE VITE ET AJOURNERCELUI D’ATT,ONEREUX et long. CE PROCES INFORMERA SUR LA GESTION SECURITAIREDE 1992 A 2013!EVITER LA PHRASE-CI”LA COUR EST SUFFISAMMENT INFORMEE”
Tout ce qui m’étonne dans tout ça ,c’est que le gouvernement ibk ne sait pas ou il faut commencer d’abord ,quant les maliens ont voté ibk c’est pas pour qu’il soit procureur de la république ,mais un plutôt un président de la situation ,pour le territoire national.. En plus je constate que jusqu’à présent l’homme n’a pas encore parle de l’école malienne et je crois c’est très important ou bien il a honte parceque à l’époque du président alpha ,il avais humilier les étudients et leur parents.
IBK COMME TOUS LES MALIENS DOIVENT RESPECTER LES LOIS DU MALI.
CONCERNANT SES BIENS,IL FAUT RETENIR QU’IBK A HERITE BEUACOUP DE SES PARENTS ET SURTOUT DANS LE DOMAINE FONCIER.
D’AUTRE PART IL FAUT RETENIR QUE LUI MEME A LONGTEMPS TRAVAILLE COMME EXPERT AU FED POUR LES MICROREALISATIONS,ENSUITE GERER L’ONG “TERRE DES HOMMES”.
en 1992 IBK COMME BEAUCOUP DE GENS ONT PARTICIPE A LEUR FACON A LA VICTOIRE DE L’ADEMA.
IBK EST QUELQU’UN COMME TOUS LES ELITES MALIENS DE CETTE EPOQUE ONT DES INVESTISSEMENTS EN TOUT CAS POUR CEUX QUI SE SONT INTERRESSES A INVESTIR.
Un homme s’il savait, est grand et devient utile lorsqu il évolue ou du moins cherche à aller de l’avant, le contenu de votre recit est lamentable, aucun sens , aucune logique, pas de raisonnement,un écrit vierge et abérant.L’heure n’est pas au théatre. Soyons plutot réalistes pour un Mali Fort Uni,Un et Indivisible.
Bonjour Monsieur,
Nous avons du respect pour vous.
Pour qui écrivez vous ? Contre qui écrivez vous ?
Méfiez vous. Vous n’êtes ni constituionnaliste encore moins un agent assermenté pour nous conduire sur un terrain glissant.
Le Mali a besoin d’un climat appaisé.
L’occupation de Kidal ne date pas de la prise de pouvoir de notre Président bien aimé et dévoué.
Nous savons tous qui est qui dans ce pays et qui est capable de quoi dans ce pays.
Helas, le journal n’est pas une contribution dans la démoralisation de notre peuple, il doit l’aider à s’épanouir.
Bonne lecture.
Un homme est grand et utile lorsqu il évolue ou du moins cherche à aller de l’avant, le contenu de votre recit est lamentable, aucun sens , aucune logique, pas de raisonnement,un écrit vierge et abérant.L’heure n’est pas au théatre. Soyons plutot réalistes.
➡ Toutes mes excuses, je m’adresse plutot au dit journaliste.J’avais juste voulu vous féliciter de votre conception de la chose.
On a guère bésoin d’etre constitutionnaliste pour savoir si son président a commis une faute punissable, c’est avant tout etre un bon citoyen. De la meme manière on a pas bésoin d’etre assermenté pour décrier un comportement un peu douteux du président. Oui pour l’épanouissement et la paix mais dans un état républicain et non bananière. A bon entendeur salut
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