IBK face au défi de la communication

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Ibrahim Boubacar Keïta au micro de RFI. Pierre Rene-Worms/RFI

Le Président IBK fait face à  des opposants politiques qui ont choisi d’utiliser contre lui des armes qu’il a refusées  d’employer quand il était lui-même dans l’opposition. Le défi est important car le silence et l’indifférence ne sont pas des options acceptables.

En effet, s’il est des paroles inutiles, trompeuses et malheureuses, il existe aussi des silences coupables ou tout simplement accablants. L’impératif de communiquer, la contrainte de tout expliquer en démocratie ont rendu le silence suspect. Dès lors, le malaise s’installe quand le silence dure trop longtemps.

 

IL Y A UN POINT DE NON-RETOUR À PARTIR DUQUEL,

SI L’ON NE PREND PAS LA PAROLE, ON DEVIENT COMPLICE

 

Aujourd’hui, la parole des médias a bouleversé notre vision, canalisé notre réflexion, travestissant assez souvent la réalité, usurpant l’honnêteté, allant même jusqu’à porter atteinte à la liberté de penser. De ce fait, il y a un point de non-retour à partir duquel, si l’on ne prend pas la parole, on devient complice. Il y a des outrages que l’on ne peut pas laisser passer, des fondements qu’on ne peut pas laisser profaner et par-dessus tout, une conception de l’homme que l’on ne peut pas laisser piétiner. Tout citoyen du monde sensible à l’évolution de son pays doit se sentir interpellé par des dérives langagières dont la propension pourrait représenter une menace pour la démocratie. L’esprit républicain commande qu’on respecte le peuple et ses choix, donc le Président de la république qui représente à lui seul une institution de l’Etat. Quand on a la chance d’avoir été à l’école publique, d’avoir bénéficié de la gratuité de l’instruction, de bourses scolaires au lycée et dans l’enseignement supérieur, cela impose un devoir de reconnaissance vis-à-vis du peuple qui a consenti  et continue de consentir des sacrifices importants pour voir ses enfants devenir des bâtisseurs et non des prophètes de malheur.

Pour les faits, la situation socio-politique s’était tellement dégradée entre 2011 et 2012 qu’un coup d’état militaire a été possible le 22 mars 2012. De quel soutien ATT a-t-il bénéficié de ses « amis » de l’époque solidement agrippés aux mamelles de la République et des institutions internationales ? Certains parmi eux avaient même prédit avant l’heure la possibilité d’un coup d’état militaire. ATT a tout simplement été abandonné à son sort avec le secret espoir de rafler la mise après lui, mais les circonstances du coup d’état ont complètement brouillé les cartes. Sentant le danger venir, les mêmes constitueront le noyau dur du front « Tout sauf IBK », en oubliant que la voix du peuple est la voix de Dieu (vox populi vox dei). Le peuple a choisi sans équivoque le candidat perçu comme un homme honnête, sincère et loyal sur la base d’un parcours politique connu. Recueillir plus de 77% des voix au second tour d’une élection face à un adversaire présent sur la scène politique depuis plus de vingt ans et cité parmi les dauphins du président sortant n’a rien d’accidentel. C’est tout simplement la preuve d’un plébiscite pour l’élu et d’une sanction pour le battu et ce qu’il représente.

 

POUR AUTANT, LE RÉSULTAT OBTENU EN 2013 NE DOIT PAS

ÊTRE CONSIDÉRÉ COMME UNE TENTE DRESSÉE POUR L’ÉTERNITÉ

 

L’air ne semble plus assez dense pour transmettre les revendications de chacun, mais on doit à la vérité de dire que les partisans d’IBK (femmes, hommes, jeunes) qui ont cru en lui et continuent pour beaucoup encore de lui faire confiance, ne comprennent pas son approche et sa gestion de la victoire de 2013. Le RPM et les partis alliés en tant qu’entités politiques d’une part, les organisations de la société civile qui l’ont soutenu d’autre part, ne sont pas aujourd’hui dans les meilleures dispositions pour constituer autour de lui le bouclier politique et social dont il a pourtant un grand besoin pour maintenir sa popularité. Pour emprunter au langage militaire, on ne peut envoyer au front des troupes démoralisées qui se feraient tout simplement tailler en pièces. Celui qui tue son chien sous prétexte qu’il est atteint de la rage risque de se faire mordre par plus enragé. Remettre le RPM et les partis alliés en ordre de bataille est un impératif majeur. Il lui appartient de trouver la bonne formule pour réussir cela, car il y va de sa propre crédibilité en tant que toujours président non démissionnaire du parti RPM.

L’opposition politique est dans son rôle et il faut saluer son dynamisme actuel,  même si certaines de ses attaques mettent à mal des valeurs républicaines et sociétales. Les informations malveillantes ne se combattent pas à coup de communiqués officiels. D’où la nécessité de mettre en place une communication pérenne structurée autour des valeurs qui sont chères à IBK, afin d’éclairer la lanterne de ses partisans sevrés et plutôt abonnés aux rumeurs. A toujours vouloir prendre de la hauteur par rapport aux contingences, on perd le contact avec les réalités. Il faut briser le silence, refuser l’indifférence, partir en campagne avec les mots comme arme, opposer aux idées destructrices des idées constructives plus fortes. Tout le monde connaît tout le monde au Mali et le peuple est loin d’être dupe. La bonne communication ne réside pas dans l’esquive mais dans l’anticipation, l’art de vider les attaques de leur substance, de leur poison. Les Maliens cherchent à comprendre, face au feu nourri des attaques contre leur président, comment l’homme en qui ils ont placé leur confiance en 2013, peut se retrouver constamment dans les cordes, se laissant maltraiter par ceux qu’ils ont sanctionnés dans les urnes. En politique, il y a un temps pour réagir à chaque coup que l’on prend.

Chercher à humilier, blesser vaille que vaille un adversaire n’est pas un signe d’intelligence. Savoir user du bon ton est facteur d’apaisement et source de respect et de considération. Celui qui attaque sans en tenir compte court le risque de se faire rattraper par ses turpitudes. Il ne faut jamais perdre de vue que pour bien réfléchir il faut s’écarter du miroir.

Mahamadou Camara

Email : camara.mc.camara@gmail.com

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89 COMMENTAIRES

  1. Nous avons un gouvernement solide, compétent, capable de résoudre tous les problèmes du pays, la population Malienne sait réellement qu’IBK est l’homme de la situation, il fait tout ce qui est à son pouvoir pour le bonheur des Maliens.
    Les Maliens sont fiers de lui car, il est l’homme que le peuple a besoin.

  2. L’opposition malienne est une opposition irresponsable qui ne pense son temps qu’à chercher à mettre les bâton dans les roue du président IBK.
    C’est donc elle qui est la base de toutes les dérives que nous connaissons et que le président se bat pour juguler.

  3. Ce sont les opposants et les journalistes malveillants qui désinforment le peuple et empoissonnent le système du régime au pouvoir avec des mensonges et des balivernes. Le pays n’a pas besoin de cela, si vous n’avez rien n’à dire aller y vous faire voir à ailleurs. La presse et l’opposition malienne en occurrence Tiébilé Dramé ont perdu toutes leurs crédibilités, considérations, dignités et honneurs vis-à-vis de la population malienne.

  4. Le mode de gouvernance durant ces deux fait par d’IBK est irréprochable, car le Mali à connus son avancer sur tous les plans, à savoir sur le plan socioéconomique, culturel, politique, juridique, bref un Mali est en train de bâtir. Tous les Maliens doivent se donner la main pour une paix durable.

  5. La communication est avant tout chose. Le problème ici au Mali est que les journalistes se sont à la solde des opposants véreux qui veulent coûte que coûte ternir l’image du pouvoir IBK. Il est temps qu’ils se mettent au service de l’état pour l’information juste et équitable pour le bien-être du peuple malien

  6. Sait normale que la majorité et l’opposition soient d’accord avec le président IBK a son mode gestion du pouvoir de l’Etat. Nous demandons la population de continuer à croire au président IBK, car il est la solution à tous nos problèmes, il est aussi le reflet de la paix et de la réconciliation nationale.

  7. Moi personnellement, je n’attend rien de cette opposition. Voilà des gens qui ne font que parler inutilement. Des personnes pour des raisons partisanes, sabotent des visites d’état. Pitié pour le Mali. Rien que des petits messieurs.

  8. L’opposition malienne porte le chapeau de tout ce qui se passe ici. Il a hérité de certaines situation et pour remédier à cela on a besoin de l’ensemble des maliens de tous les bords.
    Nous devons rester unir pour le Mali et oublier nos intérêts personnels et partisans.

  9. Nous devons faire confiance au président. C’est quelqu’un d’honnête qui tient toujours à ses engagements d’où le Kankélétigui. Comme il l’a dit lors des vœux annuels que le meilleur reste à venir.

  10. Nous demandons toujours à la population de rester toujours calme et fidèle, s’il plait à Dieu d’ici trois ans le résultat serait beaucoup plus meilleur que celui-ci.

  11. C’est grâce à IBK que le Mali a connu son bonheur, le peuple Malien a besoin d’un président comme lui, car il a toujours souhaité que le pays ne soit pas tomber à la main des individus mal intentionnés.

  12. Le président doit son élection à l’ensemble de la coalition et non du RPM. Il fait toujours de ce parti même il est déçu du comportement de ses partisans. Le président est là pour faire avancer le Mali et non pour satisfaire des intérêts de ses amis.

  13. Le Mali vivait dans cette crise depuis 20 ans, mais malgré tout cela IBK a fait tout ce qui est à son pouvoir pour que le pays ne tombe pas dans le KO.

  14. La population devrait inciter et soutenir le gouvernement pour les efforts qu’ils ont d’éployer pour faciliter l’accès au passeport.
    ON CROIT A IBK A 100%

  15. Je pense que le président a compris leur jeu. C’est pourquoi il a initié avec le jeune dynamique Thiam ” les Rendez du Koulouba” et aujourd’hui le peuple est satisfait de la gestion de son président.

  16. On ne peut décrier une situation que nous sommes en partie coupables. Les opposants sont à la base de la situation que nous vivons. Je peux m’illustrer de cet article plein de vérité, de la réalité. Le peuple ne doit pas se laisser berner par les propos mensongers des certains journalistes.

  17. Le Mali a besoin d’une opposition mature et responsable qui fait des projets de sorties positifs car le pays en a besoin. Nous sommes dans un moment très sensible et elle doit éviter de créer des polémiques incitatrices aux révoltes.

  18. Remettre le RPM et les partis alliés en ordre de bataille est un impératif majeur. 😐 😐 😐 😐 😐
    Ce travail ce sont les responsables comme le secrétaire général du rpm et autres qui doivent le faire au lieu de semer le désordre partout. De nos jours le président de la république est celui de tout le pays et ne peut pas se lancer dans ce genre d’activités.

  19. La Direction de la Communication et des
    Relations publiques de communication au sein des services de la présidence de l’institution.
    Elle n’a pas toujours eu cette appellation, ni cet ancrage organique.

  20. Le président IBK est un fervent démocrate et depuis son élection leur a accordé une place de choix. Cela a permis l’adoption du statut du chef de file de l’opposition. Le président accepte les critiques des opposants mais cela ne doit pas être inutile ou nuisible pour la cohésion sociale

  21. au sein
    du Parlement, une direction de la communication
    et des relations publiques dont les missions
    essentielles sont de travailler à promouvoir
    l’image de l’institution parlementaire.

  22. Compte tenues des détracteurs qui sans scrupules salissent la réputation d’IBK , il faudrait mettre en place une technique de communication spéciale pour faire comprendre à la population qu’ IBK est l’homme de la situation.

  23. Tôt ou tard la vérité finit par se savoir. Mais plus que jamais il faut que le président de la république communique sur ses actions car le pays a été laissé sans dessus dessous par son prédécesseur et les actions pour le mettre debout ne peuvent être perceptible du premier coup d’œil. De bonnes résolutions sont adoptées en conseil des ministres mais puisqu’il n’y a pas de large diffusion de des actions la plupart du peuple ne sait vraiment pas les actions qui sont faites pour un bien-être social.

  24. Le président IBK est un grand homme d’état malgré les bas que peut connaitre souvent sa gouvernance du fait de certains collaborateurs. Mais l’opposition pourra bien faire ses manigances mais ces actions permettront de prouver que tout ce qui se dit sur lui ne sont l’œuvre que des personnes qui n’en veulent qu’a sa personne.

  25. Tout pouvoir qui se dit démocratique a besoin d’un contre pouvoir qui est l’opposition. De nos jours elle est pour d’autres actives mais force est de constater au regard de certaines revendications qu’elle fait de plus en plus de la critique politicienne qui est négative pour le pays. Avec l’aide de certains organes de presse elle fait passé des messages qui à la limite demande l’insurrection contre des institutions démocratiquement élus et qui leur donne une raison d’existence. Il faut qu’elle revoit ses revendications pour la sauvegarde de la cohésion sociale.

  26. Vraiment le président de la république est face au défi de la communication mais avec la nouvelle tribune mis en place par la maison de la presse dénommée “Rendez vous avec Koulouba”, la parité des choses sera rétablie. La presse est tellement manipulée qu’on ne sait plus quoi penser.

  27. Le président IBK n’est pas un homme impulsif raison pour laquelle il n’aime pas les réactions à chaud et surtout connaissant l’homme Malien en général et la presse de ce pays qui ne se nourrit que de polémiques; nous devons aussi comprendre son attitude.

  28. Je le dis et je le répète toujours. On peut prétendre au pouvoir mais on ne doit pas utiliser le dénigrement pour y arriver. Cela il faut que nos opposants le comprennent. Ce n’est pas toujours que tous les moyens sont bons pour atteindre nos objectifs. Pour les personnes qui sont objectives ça na fait que montrer votre bassesse d’esprit.

  29. Le président Ibrahim Kéita est un grand homme qui connait les aspirations des populations de ce pays car ayant servi dans plusieurs domaines et pendant de longues années. Son programme montre qu’il a une belle optique de développement pour pays c’est pourquoi il met celui qu’il faut là où il faut. Mais certaines personnes véreuses qui veulent toujours marquer sa gestion du sceau de l’échec à travers des campagnes de dénigrements et de désinformation à son endroit et comme vous le dites la presse est l’instrument de ces campagnes ce qui n’est pas du tout normal pour un pays qui sort de crise et qui a besoin de la compétence de tous ses fils.

  30. Ce manque de crédibilité qui est l’apanage de notre presse de nos jours est le fait que notre autorité de la communication n’ont vraiment pas encore pris fonction pour un tant soi peu réglementer ce domaine. Nos journalistes n’ont aucune notion de l’éthique encore moins de la déontologie et tout le monde s’adonne à tout genre de pratique qui n’honore pas ce noble métier.

  31. Cet article est vraiment doté d’une objectivité vraiment rare à voir dans notre pays. C’est vraiment avec amertume que pour emprunter le mot nos journalistes sont devenus des “mercenaires de la plume”. Qui sont prêts à faire des calomnies sans précédant juste pour de l’argent sans même vérifier la véracité des informations. Il faut vraiment que ça change.

  32. Mais pourquoi toutes les actions gouvernementales sont toujours vue en mal par certains personnes ? Le plus bizarre est qu’il ne dispose même pas d’arguments raisonnables et convaincants. Les arguments dont dispose les journalistes ne sont même pas véridique.

  33. Rendez-vous à Koulouba, D’autant que cela permet d’éclairer le citoyen lambda et lui faire comprendre les aspirations profondes et les ambitions réelles de ses plus hautes autorités. Or, aux premiers mois du «règne» d’IBK, tel ne semblait pas être le cas.

  34. L'opposition c'est emparer c'est-à-dire corrompu la presse dans le seul but de porter atteinte au régime d'IBK. L'opposition et la presse malienne collaborent ensemble, car il veut voir le régime d'IBK être décrédibiliser vis-à-vis de la popualtion malienne.

  35. La presse malienne a perdue toute sa crédibilité et sa dignité, parce que le manque de professionnalisme manque le plus dans ce milieu. Les journalistes maliens racontent toujours des balivernes.

  36. Ce sont les opposants et les journalistes malveillants qui désinforment le peuple et empoissonnent le système du régime au pouvoir avec des mensonges et des balivernes. Le pays n’a pas besoin de cela, si vous n’avez rien n’à dire aller vous faire à ailleurs. La presse et l’opposition malienne ont perdue toutes leurs crédibilités, considérations, dignités et honneurs vis-à-vis de la population malienne.

  37. Je ne me lasserai jamais de le dire et redire haut et fort, IBK a hérité d’un pays à bout de souffle que ce soit économiquement, politiquement et tant d’autre. Les prédécesseurs d’IBK ont mal géré le pays, leurs modes de gouvernance étaient à la pointe de la corruption, de l’impunité. Evidement le pays a fini par sombrer dans une crise sans antécédent. IBK n’est pas le fautif mais il est élu pour trouver une suite favorable aux maux de notre patrie.

  38. Quel que soit les propos sataniques des détracteurs, IBK reste toujours vérace puisque par ses compétences, il demeure toujours l’homme de la situation. L’homme qui vaut à la place qu’il faut. Il a seulement besoin du soutien de la population qui l’a élu avec plus 78% de voix, ainsi ensemble nous pourrons sortie notre pays de cette crise existentielle. Le président n’est pas le seul malgré qu’il soit le chef de l’Etat, toute les souches de la société sans exception ont leurs mots à dans reconstruction du pays.

  39. L’entourage d’IBK lui cause beaucoup de difficulté dans sa mode de gouvernance en générale. La détermination, la droiture IBK n’est pas réciproque. Voilà pourquoi je préfère qu’IBK choisisse des personnes même pas connu dans la politique malienne, s’il le faut pour que ses attentes soient comblées, le plus important reste la bonne gouvernance du pays.

  40. Tous les maliens doivent rester mobiliser derrière leur Président de la république, car l’avenir de notre pays repose entre ses mains. Le Mali travers l’un des moments les plus pénible de son existence, tous fils digne de ce pays doivent apporter leurs contribution dans la gestion de notre pays.

  41. Seuls les ignorants, les inconscients, les opposants mal intentionnés, les apatrides, les détracteurs, les corrupteurs et corrompus se permettent de critiquer IBK et son régime. Parce qu’ils ne veulent pas voir le pays avancer. Les patriotes honnêtes, les dignes fils de ce pays ne critiquent pas. Ils préfèrent accompagnés, soutenir, proposer des idées différentes et plus avantageux et plus crédibles pour le pays.

  42. Mahamadou Camara Alias Louis De Funès Camara est mal placé pour nous distiller des conseils sur la communication, quoique les observateurs s’accordent à vous reconnaitre un très bon niveau intellectuel. Mais cela sert à quoi si vous mettez votre intelligence au service du mal, au service de IBK , de Tomi , des Boubeye et consorts. Si vous aviez peut être refusé de distiller votre fameuse lettre introductive dans la sphère de la mafia malienne personnifiée par Ibk , votre destin aurait changé. Comment un jeune intellectuel comme vous, puisse se rabaisser jusqu’à admettre l’intrusion de la mafia dans son pays sans démissionner de son poste. ‘L’histoire vous donnerait raison et vous seriez aujourd’hui plus grand et fier.Mais vous avez choisi la Rage Rover, les stylistes Italiens, les montres Rolex et que sais je encore. Votre passage aux plus grandes écoles ne vous a rien servis puisque vous aviez trahi le peuple malien sans lequel vous ne seriez pas ce que vous êtes aujourd’hui.Ce sont les taxes per capita des paysans , des éleveurs et des petites gens de ce pays qui ont payé vos études. Ce n’est pas une question ”d’opposition” quand IBK dit lui même qu’il y a eu “trop de dérives”
    – Est ce que c’est l’opposition qui a dit à IBK d’acheter un Avion occasion au triple réel
    – Est ce que c’est l’opposition qui a dit à Boubeye Maiga de creer
    11 sociétés fictives pour les marchés d’armement
    Est ce que c’est l’opposition qui a dit qu’il faut une simple chaussette à 30.000 cfa la paire au lieu de 125 cfa
    – Est ce que c’est l’opposition qui vous a dit d’écrire votre fameuse lettre adressée au ministre de la Défense nationale pour recommander Mohamed Kagnassy…..dans la vie il faut être honnête

  43. De grâce soyez réaliste, les voyages effectués par le chef de l’Etat IBK a permis au Mali de renouer ses relations avec ses partenaires. Le coup d’Etat du 22 mars a joué un impact quasiment négatif sur nos collaborations. Aujourd’hui grâce au millier de voyage du président IBK, les partenaires techniques et financiers du Mali sont de retour et font tout pour le développement du Mali.

  44. En deux ans le Représentant du FMI au Mali, martèle haut et fort qu’avec l’avènement d’IBK au pouvoir, «le Mali a décollé». En deux ans l’enseignement supérieur se modernise, les examens se crédibilisent davantage, les bourses sont distribuées dans la plus grande transparence, performance jamais égalée au Mali. En deux ans la lutte contre la corruption, qui anéantit tous les efforts du gouvernement, est bel et bien engagée. Je pense que rien ne peut les éviter de faire plus pendant les trois ans à venir.

  45. Il faut que la patience soit au rendez-vous malien, deux ans n’est rien face à la résolution d’une crise immergés depuis vingt ans. Cependant, ne nions pas les efforts fournis par nos gouvernants. Si en deux ans le Mali a renoué ces partenariats avec différents pays, en deux ans le Mali s’acquitte ses dettes intérieures pour relancer l’économie, avec le payement aux banques et aux particuliers de la somme de 500 milliards de nos francs en l’espace de six mois. En deux ans le Mali progresse, avec un taux de croissance de 7,2%, contre 1,7% au moment où IBK venait aux affaires, en septembre 2013.

  46. Comme le dit un adage qui dit que la patience est un chemin d’or. Les maliens peuvent encore attendre la fin du quinquennat d’IBK. Il n’est qu’à deux ans de son mandat, attendons d’abord la fin de son mandat enfin de le juger.

  47. C’est dommage que les maliens n’ont pas compris jusqu’à présent la gouvernance d’IBK. Les maliens doivent se réjouir du régime IBK. On n’est sans savoir que c’est les occidentaux qui entravent la mise en œuvre de l’accord de paix. Pour être précis, les occidentaux n’ont jamais eu de difficulté de détruire un pays et profité de ses ressources.

  48. Pour l’amour de Dieu comprenez que ce n’est pas IBK qui est la cause du malheur du Mali. Reconnaissez que ce pays vit dans la crise depuis vingt ans. Les seuls qui ont mis ce pays dans le K.O sont Alpha Oumar Konaré et ATT. Au contraire, vous devez remercier IBK pour son engagement dans le processus de l’accord de paix.

  49. C’est ensemble main dans la main qu’on sortir ce pays dans le gouffre, la venue d’IBK au pouvoir ne peut absolument pas tout changer en clin d’œil. Certes il est celui dont les maliens ont élu avec un score incomparable. Pour ce fait, il ne sera jamais en mesure de trahir les maliens en aucun cas.

  50. Il est temps que l’opposition et la majorité s’entende pour sauver notre cher Mali de cette dégradation de la situation sécuritaire. Le Mali va mal. Le Mali est malade. Il faudra faire le diagnostic pour que nous puissions aller de l’avant ; pour que nous puissions mettre un terme à cette rébellion pour toujours.

  51. On ne peut jamais satisfaire un peuple qui ne sait pas ni où allé, ni ce qu’il veut. Les maliens ne savent ce qu’ils veulent encore moins quel chemin emprunté pour une sortie de crise définitive. Une chose est sûre, ce pays ne restera pas ainsi. Si au bout de deux ans le Mali a connu un fort changement sur plusieurs plans. Rien ne l’empêchera de porter la flamme de la victoire dans trois ans.

  52. Les maliens ne peuvent pas se glorifier de leurs hommes politiques. Presque tous ces hommes n’ont aucun amour envers cette nation. L’intérêt personnel l’emporte sur l’intérêt général. La démocratie est devenue un système de gouvernance dans lequel tout est permis. Et nous ne voulons pas de cela.

  53. De nos jours l’opposition à faillir à son devoir. L’opposition malienne a perdue toute sa crédibilité car elle ne fait qu’attaquer le régime en place mais ne propose rien de concret. L’opposition ne doit pas se limiter aux critiques mais elle doit aussi proposer des solutions pour une sortie de crise et une bonne gouvernance du pays. Quand aux défis de communication, je crois que la communication d’IBK est bonne et précieuse.

    • L’opposition joue bel et bien son rôle. Elle dénonce ce qu’elle estime mauvais, c’est au pouvoir de redresser la barre. L’opposition ne dirige pas le pays. Les maliens ont voté pour IBK parce ce qu’ils ont estimé qu’il pouvait faire quelque chose pour ce pays. Mais hélas, des 77% plus de 70% se disent déçus et regrettent de l’avoir choisi, tant la désillusion est grande. Et pour la première fois dans l’histoire du Mali indépendant, des citoyens portent plainte contre un Président en exercice. Malgré cela, et face à l’incompétence et à l’incapacité du Roi sans soucis,certains petits opportunistes continuent de vendre leur âme en voulant défendre l’indéfendable ! Pauvre Mali !

  54. Les deux tendances de notre démocratie ne jouent plus leur mission comme cela se doit. Rares sont des politiciens qui sont préoccupés par le sort qu’aura ce pays dans les jours. Ils sont tous tourné vers la recherche du gain personnel. L’amour de la patrie n’est plus au rendez-vous de nos hommes politiques. C’est l’actuel locateur de Koulouba qui est en train de ramasser les pots cassés.

  55. Ces opposant qui n’ont aucun projet de développement pour le Mali à présenter aux populations maliennes,ce sont mis à tenir des propos inutiles ,trompeurs et malheureux pour intoxiquer le peuple malien.Mais ce jeu est perçu par tous.

  56. L’opposition malienne est remplie d’hommes politiques voyous et vicieux. Leur seul souci est le gain personnel. Peu importe ce que cela peut faire au pays. Quand à la majorité, elle a cessé d’être ce qu’elle fut au auparavant. C’est dommage pour notre démocratie.

  57. La recherche du gain facile est, sans nul doute, à la base du mal vivre de notre démocratie acquise au prix d’âpre lutte. Les hommes politiques sont peu à se soucier de la population et du pays même. Les politiciens maliens sont tous des opportunistes et ne visent que leur intérêt. C’est vraiment de la démocratie alimentaire. Et c’est ce qui est à la base de ces défis de communication qui se posent à IBK qui est mal entouré.

  58. Le chef de l’État malien n’est face à aucun défi de communication. Cher journaliste, ton article ressemble aux explications d’un enfant qui pleure et parle à la fois de ce qui lui arrive. Donc on ne comprend absolument rien de ce que tu veux dire ou dénoncer.

  59. Le Président IBK fait face à des opposants politiques qui ont choisi d’utiliser contre lui des armes qu’il a refusées d’employer quand il était lui-même dans l’opposition.A savoir le mensonge,création de scandales etc.Malgré cette barbarie le président IBK reste et demeure aux yeux des maliens l’homme qu”il faut au Mali pour relever les nombreux défis du moment.

  60. Notre opposition fait toujours preuve d’incapacité et d’incompétence. Le problème avec elle est qu’elle toujours à la baguette mais ne propose jamais rien de bon pour le développement de la nation.

    • Si le Président a réellement un programme de développement, mais qu’il l’applique ? Pourquoi compter sur les propositions de l’opposition ?

  61. Le président de la république, comme tout autre chef de l'Etat, est confronté et sera toujours confronté à un problème de communication, sinon face aux défis de communications. Actuellement, il est difficile pour un président de se faire entourer par des hommes de confiance, conscients tous des défis qui attendent leur Boss.

  62. La communication du président de la république, Ibrahim Boubacar Keïta, est bonne. La cellule de communication est occupée par Racine Thiam. Je fais confiance à lui pour relever ces défis de communication qui se posent aujourd’hui à notre chef de l’État.

  63. IBK a besoin de soutien des maliens, il doit être soutenu pour le bien de la nation, Jamais l’Etat malien n’a été face à un péril aussi imminent. Les Maliens font face au plus grand défi de leur histoire : vaincre l’ennemi qui menace de détruire leur identité. Quand il y a eu le « 11 septembre », toute l’Amérique s’est mise debout comme un seul homme. Quand la France a été frappée par les terroristes (affaire Charlie Hebdo), tous les Français se sont unis. Quand la Tunisie a été frappée dans son cœur, tous les Tunisiens ont parlé d’une seule voie… Quand un pays est menacé dans son intégrité, sa liberté, sa culture, les fils/filles de la nation se doivent de se donner la main.
    Le Mali est frappée par le terrorisme, le néocolonianisme, l’intégrisme religieux, la guerre géopolitique des grandes puissances…, les Maliens se doivent de s’unir pour y faire face. S’unir pour rester fort ou se diviser pour périr.
    La menace qui plane au-dessus du Mali, n’épargnera personne. Elle ne fera l’affaire d’aucun Malien. Qu’on ne s’y trompe ! Cette menace qui s’appelle « terrorisme religieux » « néocolonianisme » va détruire notre identité et transformer nos vies en enfer.
    Pour sauver le Mali, les Maliens doivent mettre de côté leurs différences politiques, religieuses, ethniques. Le Mali n’a qu’un seul drapeau, une seule armée, un seul territoire. Défendons le Mali. Soutenons le président de la République et son gouvernement contre les « ennemis » du Mali.

    • Mais mon cher Sissoko, d’accord qu’en période de crise les maliens doivent se donner la main, mais pas autour d’un Président qui continu à dilapider les maigres ressources de l’Etat malgré la crise. Non mon cher, nous n’allons pas servir de bouclier à un chef, qui ne pense qu’à son seul bien être et à celui de sa famille au détriment du peuple souverain. Non mon cher, plus rien ne sera plus comme avant. Aujourd’hui,il est du devoir sinon de l’obligation de tout citoyen conscient, de dénoncer, la tendance monarchique de ce régime, la corruption à ciel ouvert, bref la mal gouvernance de ceux qui nous dirigent aujourd’hui. Qu’Allah bénisse le Mali.

  64. Avec la gestion d’Ibrahim Boubacar Keïta, les maliens sont tous invités, sinon exposés à un défi. Il s’agit bien de faire preuve de patience pour atteindre les moments de bonheur et de paix. Le pays traverse une crise sas précédent, depuis 2012. Les défis de communication seront relevés par IBK.

  65. Ëtre accrédité de 77% des voix au second tour d’une élection face à un adversaire présent sur la scène politique depuis plus de vingt ans et cité parmi les dauphins du président sortant n’a rien d’accidentel. C’est tout simplement la preuve d’un plébiscite pour l’élu et d’une sanction pour le battu .Nous on est tranquille .

  66. la vérité est que les partisans d’IBK (femmes, hommes, jeunes) qui ont cru en lui et continuent encore de lui faire confiance savent pertinemment que les attaques contre leur président sont faites à dessein pour faire baisser sa côte de popularité.Cela est voué à l’échec car le peuple malien n’est pas dupe.

  67. En tout cela ce que j’ai compris est qu’aucun accord n’est parfait mais cet accord, je l’ai dit plusieurs fois, constitue une très bonne base pour faire la paix, traiter des questions de fond qui ont entraîné des difficultés au nord de notre pays, restructurer notre appareil sécuritaire et créer ainsi les fondements d’un Etat de nouveau en mesure de faire face à ses obligations.
    Si on l’applique dans la lettre mais surtout dans l’esprit, avec bonne foi, il y a de bonnes chances que le Mali retrouve de nouveau de bons espoirs vers demain.
    Engageons-nous ensemble derrière le président IBK, pour apporter au Mali ceux dont ce pays à besoin.

  68. Tout le monde connaît tout le monde au Mali et le peuple est loin d’être dupe.Je pense donc que ces attaques contre le président IBK n’ont aucun effet sur sa notoriété au contraire cela ne fait qu’accroître sa côte de popularité

  69. Ce que moi je ne comprend pas des maliens, chacun reste dans son coin pour croire que c’est au président de changer les choses, il faut la participation de tous, ce n’est pas à IBK de changer le vrais comportement des maliens, il faut que ce changement soit venu des maliens eux-mêmes.
    Une chose, Le Mali est un pauvre pays, Mais les maliens font le contraires.

    • Ah ! c’est aujourd’hui qu’on demande l’union sacré des maliens ? Ne fallait-il pas aider ATT aussi au lieu de soutenir le coup d’état des va-nus pieds de Kati ? Aujourd’hui le boss est rattrapé par tout ce qu’il a promis avant d’aller à Koulouba. On voit bien aujourd’hui, qu’il n’était pas prêt d’y être.

  70. Les Maliens ont compris que les attaques contre leur président IBK,l’homme en qui ils ont placé leur confiance en 2013, de la part de ceux qu’ils ont sanctionnés dans les urnes ne sont que des ragots pour jeter le discrédit sur le président.

  71. Le Mali est en train de traverser un moment très difficile de son histoire. L’heure est de se donner les mains pour montrer à l’ennemi combien de fois nous sommes unis, car seul l’union fait la force. Ces conditions de vie sont dites à la crise et à ses inconvénients.
    Mais si dieu le veut avec la bonne volonté du président IBK, des changements serons faites.
    IBK n’abandonnera jamais le peuple et il est toujours présent pour le Mali.
    😉 😉 😉

  72. Le Mali est en train de traverser un moment très difficile de son histoire. L’heure est de se donner les mains pour montrer à l’ennemi combien de fois nous sommes unis, car seul l’union fait la force. Ces conditions de vie sont dites à la crise et à ses inconvénients.
    Mais si dieu le veut avec la bonne volonté du président IBK, des changements serons faites.
    IBK n’abandonnera jamais le peuple et il est toujours présent pour le Mali.

  73. La patience est un chemin d’or.
    L’économie du Mali ira comme ça se doit d’être.
    A chaque chose en son temps et à chaque temps a ses choses….

  74. Il n’est jamais possible d’apporter une réponse à 100% parfaites pour un pays en deux ans de gestion, mais de ce qu’on a vie, le pays avance en des bonnes conditions de fonctionnalité. IBK en ces deux ans à fait son mieux, car toutes les l’essentielles ont été touché. Si dieu le veut bien, en ses restes des ans le Mali connaitra le bonheur…

  75. de toutes les façons beaucoup des choses ont été faites et beaucoup sont en train d’être faire.
    Cela permet de comprendre qu’IBK est un bon président qui se soucis de son peuple…. 🙂 🙂

  76. Celui qui attaque sans en tenir compte court le risque de se faire rattraper par ses turpitudes. C’est la raison pour laquelle je pense que l’attitude du président IBK est la meilleure.La nature se chargera de les punir le moment venu.

  77. « Ne demandez jamais un bilan que vous souhaitez acceptable à des opposants ou à des gens qui voudraient voir tout s’écrouler, sinon, beaucoup a été fait et le meilleur est devant. »
    IBK est malheureusement très mal entourer, en âme et conscience c’est un bon président des maliens…
    :silly: :silly: :silly: :silly: :silly:

  78. Savoir user du bon ton est facteur d’apaisement et source de respect et de considération.C’est ce que ce fait le président IBK en bon chef.C’est pourquoi il ne trouve pas nécessaire de répondre à ses détracteurs.

  79. Chercher à humilier, blesser vaille que vaille un adversaire n’est pas un signe d’intelligence. Or c’est exactement ce que fait l’opposition malienne en médisant sans cesse la personne du président IBK.En homme sage celui ci ne les répond pas pour ne pas se mettre à un tel bas niveau.

  80. IBK est un vrai travailleur, il a pu redresser le pays en deux ans. Il mérite vraiment le soutien des maliens.
    Une chose est sure : c’est lorsqu’on fournit des efforts ensemble qu’il est important de prendre soin du suivis des travaux. Les maliens doivent accompagner le président dans ses difficiles tâches de la république.
    😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉

  81. L’opposition politique malienne est dans un rôle qui n’est pas le sien car ses attaques mettent à mal des valeurs républicaines et sociétales. Il faut qu’elle soit donc à mesure de canaliser ses propos pour la pérennisation de la cohésion sociale.

  82. En réalité IBK fait son mieux, et comme on le dit, qui fait les choses en cachette fini par faire apparaitre par surprise.
    Si la crise malienne n’as pas connu un avancement envers un mauvais sens,
    C’est grâce à IBK,
    Si la confiance des partenaires financer ont regagné la confiance de réinvestir au Mali, c’est grâce à IBK,
    Si le Mali continue d’être respecté malgré toutes les grandes difficultés qu’il a connu, c’est grâce à IBK,
    En ce peu de temps, IBK a beaucoup fait pour cette nation, ce n’est pas facile de changer un pays d’un jour au l’an-demain.
    Il faut du temps pour que le Mali soit un pays envié comme il le faut. IBK par sa bonne leadership à pu produire des raccourcies pour que le malien puce s’épanouir.

    • C’est aussi sous IBK que les bailleurs de fonds ont épinglés le Mali pour gestion opaques de leurs fonds. Bravo à lui !

      • Aujourd’hui on parle de surfacturation pour l’achat des armes, au moins on voit les armes achetées et tout le monde constate le changement dans l’habillement de nos militaires. Et où étaient nos opposants quand certains chefs d’état maliens détournaient les fonds budgétisés pour l’armement mieux vendaient en pièces détachées les armes acquises sous le régime de GMT ? Un de ces virulents opposant était même responsable de nos finances publiques ,donc complice de ces détournements. L’histoire nous dira plus sur qui est qui dans ce Pays !!!Rejoindre la discussion

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