Le candidat du RPM à la présidentielle du 28 juillet prochain, l’ex premier ministre Ibrahim Boubacar Keïta, est arrivé véritablement à la croisée des chemins, à un tournant décisif de sa longue carrière politique riche et mouvementée. Lors de ce scrutin de toutes les incertitudes, avec quatre anciens premiers ministres en lice, et son concurrent le plus redoutable, Soumaila Cissé, qu’il retrouve encore une fois en face de lui et pléthore d’autres candidats d’envergure nationale, la compétition s’annonce rude.
L’ancien Premier Ministre de l’ex-président Alpha Oumar Konaré est l’un des prétendants sérieux à la Magistrature suprême de notre pays. Les moyens à la hauteur de ses ambitions de hisser le Mali dans le concert des grandes nations, il en a.IBK l’a démontré quand il était Premier Ministre sous Alpha Oumar Konaré
La question qui taraude maintenant les esprits, est de savoir si les Maliens sont fin prêts, pour le vrai changement avec IBK? L’on serait tenté de répondre par l’affirmative, étant donné que le parcours de cet homme est impressionnant.
C’est un militant engagé pour le développement et la justice depuis qu’il était élève, à Dakar, dans l’Association des Scolaires Maliens de Dakar (ASMD). Puis en 1966, Paris, avec les Ali Nouhoum Diallo et Boubacar Bah dans l’Association des Etudiants Stagiaires Maliens en France (AESMF)qui se battait pour les compatriotes travaillant en France. Après l’AESMF, c’était le tour du Comité de Liaison Etudiants Travailleurs (CLET) de bénéficier des services de l’homme.
C’était avant de donner un regain de dynamique à la Fédération des Etudiants d’Afrique Noire en France (FEANF) qui a lutté pour la libération totale de notre continent. Après le renversement du président Modibo Keita en 1968 et l’arrestation des anciens dignitaires, un Comité de Défense des Libertés Démocratiques au Mali (CDJDM) a été mis sur les fonts baptismaux par les Ibrahim Boubacar Keita, Ali Nouhoum Diallo et Boubacar Bah et autres.
Ce comité luttait pour les anciens compagnons de Modibo Keita arrêtés. IBK a présidé ce comité, dont le siège était à son domicile de Paris. Il va donc sans dire que le président du RPM reste un défenseur des principes démocratiques. D’autant qu’il a continué sa lutte jusqu’à la chute du Général Moussa Traoré et la naissance du parti Adema-PASJ.
A l’issue du congrès constitutif de l’Adema, tenu en mai 1991 au Palais de la culture, un bureau de 23 membres a été formé, dirigé par Alpha Oumar Konaré. Dans ce bureau, IBK a hérité du poste de Secrétaire aux relations africaines et internationales. C’est à partir de là que les autres qualités de l’homme se révélèrent.
Après l’arrivée d’Alpha au pouvoir, IBK fut nommé Conseiller diplomatique du président de la République. En septembre 1994, il prend les rênes du parti, lors de son premier congrès. A l’époque, le pays était plongé dans l’anarchie totale à cause des agissements au sein même de la famille des Abeilles. Entre temps, il fut nommé Ambassadeur en Côte-D’ivoire.
Nommé pour la première fois Premier Ministre, le 4 février 1994, alors que le régime du président Konaré est confronté à une crise scolaire, à des grèves syndicales et à une recrudescence de l’insécurité dans tout le pays et plus particulièrement dans le Nord, IBK réussit à juguler ces crises qui avaient ébranlé le pouvoir. Il sera reconduit au poste de Premier Ministre en février 1997 et affrontera la grave crise qui secouera le pays, lors des élections présidentielles et législatives.
Après, il va démissionner de son poste de Premier Ministre et de la présidence du parti. En 2001, il va créer son propre parti, le Rassemblement pour le Mali (RPM). Pour l’élection présidentielle en avril 2002, IBK se porte tout naturellement candidat et il terminera 3éme à la surprise générale.
Aux élections législatives de la même année, il a démontré que le rang du gagnant des législatives, avec à la clé la présidence de l’Assemblée nationale. En 2007, il ambitionne une nouvelle fois d’être élu président. Il était face à un président sortant qui briguait aussi la présidence. Il est malheureusement battu par ATT.
Les yeux étaient rivés sur la présidentielle de 2012.Il avait été officiellement investi, à l’issue d’une Convention du RPM, le 14 janvier 2012 au stade Omnisport Modibo Keita de Bamako. Mais survint le coup d’Etat du 22 mars 2012, ensuite la prise du nord par les groupes rebelles et la grave crise politique et institutionnelle de laquelle le Mali ne sortit qu’avec l’intervention salutaire de la François Hollande et de la France et l’aide de la Communauté internationale. Avec l’échéance du 28 juillet 2013, IBK croit fermement que son heure a sonné pour gravir les marches de Koulouba.
Ahmadou Maïga
Il est grand temps Qu’IBK comprenne qu’il est presque arrivé à sa fin.
Entretenu et dirigé par Alpha contre les radicaux de l’ADEMA devant lesquels il a fini par pleurer comme pour regreter ses actes,recuperé par ATT comme president du parlement à cause de sa consigne de vote qu’il essaie de nier aujourd’hui,humilié et battu parceque mal élu face à un indépendant de son fief electoral;son parti deuxieme force politique il y’a cinq ans est aujourd’hui avant dernier à l’assemblée,sympaiisant et presque acteur du coup de fusil contre les forces démocratiques.Il ne doit pas pretendre gagner dans sa propre commune à plus forte raison ailleurs.Et voilà surtout que le poids de l’àge après ces elections l’oblige à rester passif.
Merci Jaq toi aussi tu connais l’homme IBK! Chapeau!
Merci Dabo! Un petit rappel de taille pour ceux qui semble soudainement attraper une amnesie cerebrale. Ceux ci sont a etre ecrit en lettre d’or ds les annales du Mali
1 – IBK se veut un saint parmi les saints contrairement à la réalité.
2 – IBK ne connaît que la violence comme système de gouvernance politique.
3 – IBK est cynique.
4 – Pour IBK, ce sont les autres qui sont toujours en cause
5 – IBK se dit bourgeois dans un pays qu’il a maintenu dans la pauvreté
6 – IBK est un revanchard
7 – C’est clair, rien n’arrête IBK devant la conquête du pouvoir
8 – IBK est un manager du mensonge politique à outrage.
9 – IBK n’est pas reconnaissant envers ses serviteurs, en l’occurrence Alpha et ATT.
10 – IBK se dit « Kankélétigui » alors qu’il est le premier à trahir sa parole donnée. Oui, la mystification la plus scandaleuse de IBK, c’est quand il s’est autoproclamé « Kankeletigi » repris en chœur par ses thuriféraires.
@NAKANMA c’est très simple le partage des voix.
– Ceux qui sont aigris et qui souhaitent que tout le monde se retrouve dans la même merde qu’eux votent pour IBK. Par ce que c’est à leur image . . .le discours de la haine et la violence.
– Ceux qui ne souhaitent que la stabilité et l’apaisement votent pour Soumaïla. En général c’est des gens qui savent déjà se débrouiller et ne demandent que les bonnes conditions politiques.
– Ceux qui ont eu a côtoyer personnellement Modibo ne jure que par lui. Par ce que en tête à tête sa personnalité est convaincante.
Au fait je parle des électeurs de Bamako.
Merci Toto, Toi tu connais l’homme IBK!
Le nouveau president du Mali s appelle SOUMANA SAKO.Je lance un appel à tous les jeunes pour sensibiliser partout pour une victoire eclatante de ZOU
je demande a toute les malien et malienne de n est pas vote ibk car c un homme qui aime le pouvoir pour sont bien être. pas pour le mali donc je vous demande de vote pour soumana sacko ayaké alakama pour pas regreté pour toujour parseque ibk aux coulouba cest pour toujour je vous garantie wasalam 😥 😥 😥 😥
IBK et Koulouba : Cette fois-ci ou jamais?
Monsieur le journaliste, il me semble que tu ne meme pas au mali. “Nassongon gnini yé tienyé mais alla galotiguè, jusqu’à changé l’histoire? c’est grave”
IBK n’a qu’a géré d’abord la Commune 4. S’il ne retire pas sa candidature je dirais à koro Moussa Mara de lui barré la route en c 4 dans les années à venir. Il n’aura même plus de conseillers.
Vous savez les temps ne sont plus les mêmes. Au moment où Alpha a fait appel à IBK, c’était la rentrée du Mali dans la démocratie? Plusieurs choses pouvaient se passées sans conséquences. Mais aujourd’hui les donnes ont changés. On ne peut pas gouverner par la contrainte ou par l’imposition. En 1997 IBK s’est illustré par son autoritarisme et son sens hautain. Je ne pense plus si c’est le cas maintenant. IBK est bon comme ministre mais pas à la magistrature suprême.Il un homme hautain qui aime le plaise, la gabegie et l’autoritarisme. Voyez- vous même IBK n’est même pas coté dans son grand MANDE. Il a été rejeté par ces seins comment peut il gouverner tout un pays Sur le plan international, il n’a rien apporté au Mali quand il était aux affaires. Je demande aux maliens de ne pas être égoïste envers la personne qui a de l’expérience , qui peut apporter quelque chose aux maliens d’aujourd’hui et de demain.Que DIEU face que cette personne soit élue! Amen.
Inch’Allah IBK sera élu le président du Mali dès le premier tour.Les Maliens ne sont pas dupes de donner leur confiance aux commentataires de l’embargo sur leur propre pays par la CEDEAO et la Communauté Internationale, ce sont les candidats du FDR qui en sont responsables de tous les maux auxquels le pays est victime jusque là.Les apatrides sont avec les candidats du FDR et nous les patriotes, nous sommes avec IBK, Moussa Mara, Poulo et les autres qui veulent le changement.
IBK, cette fois ci ou le champ d’arachide à kita
messieurs je crois bien que vous prenez vos rêves pour la réalité. je suis désolé mais je pense que vos pire craintes vont se concrétisées car IBK sera le président du Mali Inchallah
Ahmadou Maïga.De grâce ne falsifiez pas l’histoire!Bien avant le coup d’état du 22 mars, le nord du Mali avait été occupée en partie, suite
à des “replis tactiques” de l’armée nationale!Ainsi Tessalit-Menaka et Aguel hog avaient été occupés sous ATT et bien avant le coup d’état de Sanogo.Et grace à ce coup d’état, le Mali devrait connaitre une certaine rupture avec le passé dans la gestion de l’état si un des candidats du changement (Soumana SACKO-CMD-Mara-Konimba-Dr Mariko….)arrivait au pouvoir!C’est pourquoi il faut voter SOUMANA SACKO SI NOUS NE VOULONS PAS VOIR LE MALI GERE COMME SOUS ATT. 😉
Alors, c’est jamais Mr le journaliste. Nous ne voulons plus de Boutéflica bis ou de Mougabé bis ou encore de Wad bis. IBK est fatigué, dites lui de se reposer. On veut plus jeune, plus en forme. On ne veut pas refaire une élection de president avant les 5 ans pour incapacité de gouverner. Allez pour les jeunes….
On dit jamais 2 sans 3. 2002, 2007 et 2013 ont consacré et consacreront la défaite de IBK. Les maliens ne sont ni fous ni amnésiques pour donner le pouvoir à un pro-putsch ou assimilé qui a voulu coute que coute éviter au Mali d’avoir le soutien des pays amis et frères sachant pertinemment que ces farfelus de soldats de Kati n’ont ni l’envergure ni la volonté de combattre l’ennemi(AQMI,MNLA ANSARDINE ou autres). Le 10 janvier ces gens proputsch avaient tt planifié sauf que Dieu serait avec le Mali. Ces soldats avec leur armée de faux religieux prétendant voter en nos lieu et place (Chérif de Nioro, M Diko et autres) sauront comme le 10 janvier que Dieu sauvera le Mali de cette bande.
IBK attendra encore inshallah…. Son etoile ne brille plus depuis hier soir… Il sera vaincu au soir du premier tour…
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