IBK : 150 millions fcfa de salaire mensuel mais un bilan négatif : Sur les traces d’un homme sans vision qui a l’art de lâcher la proie pour l’ombre

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IBK à France 24
IBK

Pour les autres candidats le programme fait foi face au choix à faire, et pour le Président sortant c’est le bilan qui parle au point que l’intéresser ne devrait pas avoir besoin de battre campagne, d’user de la propagande. Alors que dire du bilan d’Ibk qui, juste après son investiture, la priorité des priorités a été d’acheter un avion à 20 milliards de FCFA et de s’octroyer un salaire mensuel de 150 millions de FCFA (5 millions par jour). Et dire qu’en venant au pouvoir, le Mali était miséreux. Suivez notre regard !

A cette phase cruciale, la vie de notre nation est marquée notamment par l’insécurité récurrente et généralisée du Nord au Sud, la mal gouvernance, les crimes économiques à répétition, les incertitudes et l’application incantatoire de l’accord pour la paix, l’activation accélérée des mouvements djihadistes dans le pays, le chômage endémique des jeunes, la pauvreté généralisée des hommes et des projets, bref un vrai chemin de croix pour cette nation meurtrie depuis 2012.

Ce catalogue peu réjouissant doit donner à tout responsable politique à fortiori le premier d’entre eux à l’occasion de cette grande fête électorale, de livrer à tous nos concitoyens un message d’espoir, de fermeté, de justice et de responsabilité à la hauteur des enjeux. Un discours mobilisateur et concret, fondateur d’une nouvelle gouvernance tant attendue par tous les Maliens.

Malheureusement, pour le Président, il n’y a aucun péril en la demeure, tout va bien dans le meilleur des mondes après la signature de l’accord pour la paix, ou plutôt les accords pour la paix aux forceps imposés en mai et juin 2015 à notre gouvernement qui a dû abandonner une dizaine de pages d’amendements au profit des exigences des rebelles et dont l’application s’annonce comme un véritable chemin de Sisyphe.

Pour un Président responsable et qui se dit attaché viscéralement à son pays, l’ennemi à combattre, la proie doit être l’insécurité, la corruption, l’injustice, la mal gouvernance, les incertitudes de lendemains d’accords de paix chaotiques, le népotisme, l’impunité. Nous aurions aimé entendre à défaut d’un aveu sans complaisance des dérives, au moins un engagement ferme, vigoureux avec effet immédiat par des mesures concrètes de redresser la situation, les Maliens attendaient un sursaut présidentiel.

Au lieu de cela, il nous a été servi l’ombre d’une gloriole pitoyable à propos des accords pour la paix qui ont bien malmené la souveraineté nationale, l’ombre d’une autosatisfaction ubuesque jamais égalée et hors du temps qui n’est pas ressentie par le peuple malien en ces moments difficiles, ce peuple qui n’a pas besoin de Césars, de Généraux hissés sur des chars ou de héros grecs ou romains mais d’hommes intègres, simples, consciencieux, travailleurs, soucieux du bien commun et de l’avenir de ce vieux pays !

Le véritable profil d’Ibk

Oui, avec Ibk, les scandales financiers ont pris l’envol, l’impunité est devenue la règle, la récompense aux corrompus est devenue la cerise sur le gâteau. En se présentant à sa propre succession malgré un tel bilan négatif et le rejet systématique jamais opposé à un président malien, IBK  démontre son mépris pour son peuple et sa propension pour la revanche à prendre sur ceux qui critiquent son échec cuisant. Il veut se jouer des Maliens après avoir brisé le ressort du développement économique de notre pays, après avoir échoué à ramener la paix, à sécuriser le pays, à rétablir l’école, à développer l’agriculture, l’élevage et la pêche, etc. Comme si le pays doit vivre éternellement sous sérum de la malédiction.

Le Mali vibre au son de la désinformation et de la propagande politique devenue le cheval de bataille d’Ibrahim Boubacar Kéïta pour arriver à ses fins. Alors pour éclairer la lanterne des Maliens de l’intérieur comme de l’extérieur sur cette campagne rétrograde, nous vous livrons ici des raisons suffisantes du machiavélisme d’IBK.

IBK se veut un saint parmi les saints contrairement à la réalité. Il ne rate aucune occasion pour utiliser le nom de Dieu à des fins politiques. Au moment où il fait tout, même l’achat de conscience, pour se faire passer comme le candidat des musulmans, allez savoir s’il a construit une seule mosquée (Att en avait construit 14 avant d’être candidat en 2002). Quel est le geste qui le singularise parmi les candidats dont on sait le combat de certains en faveur de l’Islam notamment Me Mountaga Tall contre lequel IBK a lancé une vraie offensive de destruction à Ségou. Sans compter ces musulmans qu’il a fait tabasser par les forces de l’ordre. Et le Chérif de Nioro dont il a trahi la confiance sur six promesses aucunement satisfaites.

IBK ne connaît que la violence comme système de gouvernance politique. L’on se rappelle que tout au long de son séjour à la Primature, IBK est apparu certes comme un homme de fermeté, ce qui est à saluer à certaines occasions, mais surtout comme un violent serviteur. Une violence qui a conduit sa gouvernance à l’échec.

Ainsi l’école a connu la régression la plus terrible sous IBK par le fait de la répression aveugle qui s’abattait sur nos enfants. La recette d’IBK pour une école de l’excellence fut la double vacation, la création de bureau parallèle à celui légitime des étudiants d’où la violence grandissante au sein d’une AEEM (Association des Elèves et Etudiants du Mali) bicéphale rompue aux exactions de toutes sortes dont les fusillades. Les membres du bureau de l’AEEM ont été conduits à la Maison Centrale d’Arrêt de Bamako Coura, aucune intervention, aucune prière, et aucune action d’envergure n’ont abouti à faire reculer IBK. Il leur a fallu observer une grève de la faim (illimitée) pour recouvrir la liberté sur instruction expresse du Président Alpha Oumar Konaré désavouant du coup son Premier ministre zélé.

Avec IBK, la classe politique n’est pas restée en marge de déconfiture. Tous les opposants crédibles ont été emprisonnés : le doyen Almamy Sylla (que la terre lui soit légère), le combattant du 26 mars Me Mountaga Tall et autres. Oumar Mariko qui sentait l’assassinat sur ses trousses a préféré s’enfuir. C’était suite à meeting, du reste légal en démocratie, où un policier (Diarra) par ses actes indélicats dans la salle a été observé et passé à tabac par des militants surexcités mais en dehors de la salle où se trouvaient les responsables politiques.

La presse non plus n’a pas été en marge de la chasse aux sorcières, des confrères ont reçu la visite des ninjas, et l’un d’eux a même fini par abandonner à l’époque la profession. Et nul ne sait aujourd’hui si notre confrère Birama Touré est en vie. L’enquête annoncée par le gouvernement est restée lettre morte. Il va falloir qu’Ibk quitte le pouvoir pour que la lumière soit faite sur cette étrange disparition. Est-ce pour de telles raisons qu’Ibk ne veut pas lâcher prise ?

En effet, notre démocratie doit à l’AEEM, à la classe politique et à la presse avant tout. Et ce sont ces composantes qui étaient dans le collimateur d’IBK qui a voulu porter la peau du lion pour effrayer ceux qui ont abattu le lion debout. Incroyable mais vrai!

Pour IBK, ce sont les autres qui sont toujours en cause. Oui, quand il vote une loi qui finalement n’emporte pas l’adhésion populaire, IBK trouve l’astuce de dire que c’est parce que les autres l’ont voulu ainsi, sinon lui était contre. Quand au nom de l’Etat malien un accord est signé pour la paix en vue d’un développement harmonieux du pays, IBK brode dessus à la première insuffisance constatée qu’il n’était pas d’accord. Il oublie que sans ces accords, les pertes seraient grandes en vies humaines, en matériels et en infrastructures. Mieux vaut un mauvais arrangement qu’une bonne guerre (il n’y en a même pas entre les fils d’un même pays et c’est toujours regrettable d’un côté comme de l’autre).

Pis, IBK, on se le rappelle, n’a trouvé autre chose à dire aux enfants des pauvres que s’ils ne partent pas à l’école, ce sont leurs enfants (des riches) qui viendront les commander. Est-ce ce qu’il cherchait en refusant d’apporter aux étudiants les conditions adéquates pour la culture de l’excellence ? En faisant la guerre aux enseignants dont le professeur Feu Mamadou Lamine Traoré et autres syndicalistes ?

IBK c’est la bourgeoisie personnifiée. Il ne peut pas se réveiller avant 9 h deux fois dans l’année. Il aime couper toutes les routes à son passage, entouré de serviteurs. Il est partisan des dépenses faramineuses pour être à l’aise dans ses fonctions. D’ailleurs il se dit bourgeois dans un pays qu’il a maintenu dans la pauvreté.

IBK est un revanchard. Fidèle parmi les fidèles d’Alpha Oumar Konaré, il a connu une ascension fulgurante durant la présidence de ce dernier : Conseiller à la Présidence, Ambassadeur, Ministre des Affaires étrangères, Premier Ministre, Président de l’ADEMA…, qui dit mieux ?

Dès que sa candidature naturelle à la présidence de la République a été contestée, et qu’il fut question de le remplacer à la Primature en 2000, il s’estime trahi, quitte l’ADEMA et dans la foulée, crée le RPM, en s’appuyant sur le courant de sympathie créée par cette pseudo-trahison. C’est alors le début du mythe !

Il crée ” Espoir 2002 ” avec le CNID, le MPR et s’attache d’autres petits partis pour mieux aborder les élections générales de 2002.

A la date d’aujourd’hui, il faut reconnaître qu’IBK a tout perdu de sa splendeur d’antan qui relevait plutôt de l’accompagnement de ses camarades de l’Adéma d’abord et ensuite du CNID et du MPR. Mais puisque pour IBK ces camarades ne boivent plus dans la même soupe que lui, alors il lui faut prendre sa revanche. Il faut que tous soient à sa merci, il lui faut le commandement, lui qui est fait pour commander.

IBK est prêt même à la compromission pour le pouvoir. Pour preuve, tout le monde le voit aujourd’hui siroter publiquement la lie de la compromission avec Soumeylou Boubèye Maïga, celui-là avec lequel il n’a jamais été sur le même diapason politique. Soumeylou a été plutôt connu comme l’ami de longue date de Soumaïla Cissé, le compagnon transitoire de Amadou Toumani Touré et l’homme de main de Alpha Oumar Konaré. Comment peut-on être en désaccord avec tous ces trois et être en harmonie avec SMB ? C’est clair, rien n’arrête IBK devant la conquête du pouvoir.

IBK est un manager du mensonge politique à outrance.

A la présidentielle de 2002, il est dans le tiercé de tête, exactement à la troisième place, après que près de 500 000 voix aient été annulées. Il crie à l’injustice, se déclare victime de ces manipulations de suffrages et surtout seule victime de ces annulations de voix !  Car IBK à l’époque avait indiqué que c’était lui qui était arrivé en deuxième position, en laissant croire que la crainte du pouvoir en place, c’est-à- dire d’Alpha Oumar Konaré, c’était que si IBK arrivait au deuxième tour, il avait de grandes chances de battre ATT. Alors qu’il y avait eu des manipulations du scrutin de façon à ce que ce soit Soumaïla Cissé qui arrive en deuxième position. Mais à la vérité, IBK a été troisième, et il le savait bien. Pour preuves, les chiffres vérifiables auprès de la Cour Constitutionnelle donnent plutôt Soumaïla non seulement gagnant devant IBK, mais avec plus de suffrages et de PV invalidés que lui.

En voici la preuve :

– Nombre de suffrages invalidés pour chaque candidat:

Soumaïla Cissé = 333 525 voix soit 21,31%

IBK = 329 143 voix soit 21,03 voix%

En intégrant les PV invalidés on obtient :

Soumaïla Cissé = 479 728 voix soit 22,79%

IBK = 432 504 voix soit 20,55%.

Une petite soustraction permet de constater que Soumaïla Cissé est largement en tête des PV invalidés par rapport à IBK (Soumi = 146 203 voix invalidées ; IBK = 103 361 voix invalidées).

Nous ne désespérons pas de donner par cette occasion la bonne information à tous ceux qui sont tombés dans le piège de la mystification et de la victimisation dont IBK est passé maître.

IBK n’est pas reconnaissant envers ses serviteurs, en l’occurrence Alpha et ATT. Pour lui, c’est Alpha Oumar Konaré qui a facilité l’élection de Att, mais il oublie soigneusement de dire que c’est bien lui IBK qui a apporté ses suffrages à ATT au second tour pour permettre de l’emporter contre Soumaïla Cissé ! Aussi, cette accusation est-elle la preuve qu’IBK n’est pas reconnaissant envers celui-là même qui a fait de lui tout ce qu’il fut avant la présidentielle de 2002. Et n’est-ce pas ATT à son tour qui a fait de IBK le président de l’Assemblée Nationale, certainement en reconnaissance de son soutien à lui lors de cette présidentielle ? Car IBK avait moins de députés que l’Adéma, et même moins de députés que l’URD pourtant née après le RPM.

IBK se dit ” Kankélétigui ” alors qu’il est le premier à trahir sa parole donnée. Oui, la mystification la plus scandaleuse de IBK, c’est quand il s’est autoproclamé ” Kankeletigi ” repris en chœur par ses thuriféraires. Quelle parole a-t-il respectée ? Si nos souvenirs sont bons, cette chanson ” Kankeletigi ” a été chantée par Djénéba Seck pour magnifier le geste du Président de la Transition et de ses collègues qui avaient promis de remettre le pouvoir à l’issue de la Transition et qui l’ont fait !

C’est cela la parole donnée et qui pourrait servir aujourd’hui encore d’exemple à ceux qui conduisent en ce moment la Transition. Au-delà de la mystification, c’est un véritable hold-up !

La mystification suit son chemin quand aux lendemains du coup d’Etat du 22 mars 2012, après une condamnation de façade et un bref passage au FDR, IBK s’est posé et présenté comme le principal opposant à ATT. Posture qu’il garde encore ! Quel bluff ! En quoi et à quoi s’est-il opposé ?

Président de l’Assemblée Nationale et membre de la majorité gouvernementale, il feint de s’opposer aux Accords d’Alger et les dénonce urbi orbi, mais quand il a fallu concrétiser cette opposition et franchir le rubicond en quittant l’attelage gouvernemental, il freina des quatre fers et avala son chapeau.

Le scénario identique se produisit lors du vote de la loi instituant le Vérificateur Général, il dit s’être disputé avec sa conscience, mais en fin de compte comme toujours, il ne joignit point l’acte à la parole, et la loi fut votée. Nous pouvons citer à n’en plus finir des cas similaires.

Le 22 mars 2012, il faisait partie de la majorité présidentielle et du gouvernement d’ATT, il fut l’un de ses plus proches collaborateurs de 2002 à 2012, et le jour où il fut décoré de la légion d’honneur française il n’eut de cesse de remercier ATT en se jetant dans ses bras lui disant que grâce à lui tout cela a été possible. Att, lui, s’en souvient.

Incorrigible il a déclaré sur RFI avoir pleuré le jour de la retraite de Tessalit par notre armée. Mais a-t-il exprimé ses sentiments ce jour à ATT ?  A-t-il fait une déclaration publique sur une radio ou une télé malienne ? Que nenni ! Alors, que nous valent aujourd’hui ces larmes à retardement ? Lui seul le sait !

A force de postures, de positionnement, de revirements, de reniements, cet homme est devenu insaisissable, incohérent et infréquentable. Il finira cependant un jour par être rattrapé par la réalité, sa réalité, un homme politique ambitieux et velléitaire, opportuniste et banalement ordinaire, un Tartarin de Tarascon ou un Don Quichotte des temps modernes ! Un homme politique fini.

Mamadou DABO

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9 COMMENTAIRES

  1. Cet IBK ne peut pas inspirer confiance pour de multiples raisons :
    1. De démocrate convaincu (il est plus ou moins au pouvoir depuis 1991 mais nie sa participation aux Accords de paix antérieurs), il se mue en pro putschiste le 22 mars 2012 et en pro djihadiste pendant la campagne présidentielle avec des versets coraniques mal prononcés, lancés à tout va, jusqu’à ce que SOUMI se croit obligé lui aussi, à nous sortir un AYATAL KOURSI à la dernière nuit de la campagne.
    2. En grand patriote, il s’est rangé du côté des putschistes pour s’opposer à l’arrivée des soldats étrangers en s’opposant radicalement au FDR jusqu’à ce que KONNA sonne la fin de la récréation.
    3. En grand pourfendeur de la corruption, la déclaration de ses biens et de ceux de ses ministres n’est pas encore publique, à fortiori de déclarations à la sortie et de l’existence d’un organisme de contrôle doté de vrais pouvoirs de vérification des avoirs. FAUT-IL EN CONCLURE QU’ILS DISPOSENT SIMPLEMENT DE BIENS FARAMINEUX ACQUIS FORCEMENT DE FAÇON MALHONNETE ?
    4. Dieu ne dormant pas, il s’est trouvé obligé d’arrêter ses anciens amis putschistes bien que protégeant leur griot.
    5. En homme de fermeté, il reçoit, amnistie, se lance dans la libération des ‘’apatrides/violeurs/tueurs’’ sans aucune forme de procès, LES ELEVE SUR SA LISTE LEGISLATIVE, se faisant de plus en plus complaisant avec un MNLA de jour en jour plus arrogant avec le soutien sans faille de la France qui suit ses intérêts propres à lui. IMAGINEZ LE GOUVERNEUR DE LA CORSE OBLIGE DE SE TAPIR A LA MAIRIE ALORS QUE LES TRUANDS CORSES OCCUPENT LE GOUVERNORAT SOUS LE REGARD GOGUENARD DES SOLDATS FRANÇAIS CANTONNES DANS UN COIN DE LA VILLE !!!! UN MNLA DONT LE FONDS DE COMMERCE RESTE LE SOUS-DEVELOPPEMENT DE KIDAL. UN MNLA/HCUA qui dit clairement : vous acceptez d’être rançonné, vous nous offrez des postes juteux ou on s’oppose à tout. Et cela continue : violence/impunité/récompense/violence/impunité/récompense. Comme au Congo. Comme en Centrafrique. AU RISQUE DE LAISSER LES POPULATIONS CIVILES SE RENDRE JUSTICE. ALORS QU’IBK N’A ETE ELU QUE POUR SA SUPPOSEE FERMETE, PUISQUE C’EST LA MOLLESSE D’ATT QUI NOUS AURAIT AMENE LA. Faut-il désespérer des gouvernements successifs du Mali ?
    6. Après s’être fait élire par la condamnation des rebelles, il les présente comme candidats dans la Région de Kidal où ils sont élus sous la bannière RPM : diviser pour régner (jeu très dangereux, voir Ben Laden et les USA, et l’histoire de la colonisation française). Et lesdits députés pourront-ils vivre en paix à Bamako ou à Kidal ?
    Conclusion, AVEC DES GOUVERNEMENTS FAIBLES, IL N’Y AURA GUERE DE SOLUTION DURABLE SANS UNE REACTION ENERGIQUE ET COORDONNEE DE LA SOCIETE CIVILE MALIENNE ENTENDUE AU SENS LARGE DU TERME: ONG, ASSOCIATIONS/TOUT GROUPE PACIFIQUE CONFONDU DU NORD, PARTIS D’OPPOSITION, JUSTICE, ASSEMBLEE NATIONALE, HAUT CONSEIL DES COLLECTIVITES TERRITORIALES, SYNDICATS, JOURNAUX… POUR DEFENDRE LA JUSTICE, LA LIBERATION DE KIDAL, L’EQUIPEMENT DE L’ARMEE PAR DE PETITS AVIONS, LA PATROUILLE PERMANENTE DE L’ARMEE DANS LE DESERT, LA LUTTE CONTRE LE DETOURNEMENT DES PIECES DETACHEES ET DU VOL DE CARBURANT DANS L’ARMEE, BREF LA REVISION EN PROFONDEUR DE L’ARMEE MALIENNE ET LE DEVELOPPEMENT DU MALI TOUT SIMPLEMENT.

  2. RAST BATH quand il était crédible disait ce ci : LA DEPOUILLE DE BOUA IBK VAUT 1000 FOIS MIEUX QUE SOUMAILA CISSE VIVANT.

    MAMADOU SOUMAILA CISSE DABO,tu es tres mal informer .150 000 000 fcfa/mois est trot petit pour BOUA IBK,vue le travail colossal qu’il effectue jours et nuits pour le Mali, le vrai montant Est 150 000 000 000fcfa/jour.

  3. Si vous voulez qu’on vous lise, faites des analyses rationnelles et non subjectives. Vous être contre quelqu’un, vous n’êtes pas bien placé pour juger cette personne. La réalité triomphera des urnes le 29 juillet 2018, laissons le jugement au peuple monsieur!

  4. Le Malien est malade.
    IBK paiera sans doute,
    la vérité éclatera au grand jour, comme tu l’as dit M. DABO
    Aux faux partisans de IBK il faudra leur rappeler que ce jour arrivera.
    Celui qui trahit son peuple laissera une tache indélébile qui se decouvre jour après jour.
    Noue ne nous plaindrons pas, car c’est une bonne chose pour le pays que de vivre de telles expériences.
    Soyez sûr que le Mali connaitra des milliers et des milliers d’élections, alors après nous les archives parleront. Qui paiera ce jour: les arrières arrières petits ils KEITA
    Là où, il sera joué le “janjo” pour SOUNDIATA, à la descendance d’IBK il sera joué le “tié kolon ba”

    En fait c’est très très bien M. DABO, parce que l’actuel président a détruit pour toujours le socle du territoire: MALI

    Mali c’est mandé donc quelle indignité que se soit un KEITA qui ait osé confirmé ce dont le pays entier accuse la jeune génération: tout ce M. DABO a écrit sur IBK est vraie et indigne d’un chef

    IBK a bafoué sa famille pas le Mali; dans quelques années il ne pourra plus voler 5f alors que 1000ans après on parlera de lui comme on parle aujourd’hui de bokassa

    Jouons le DJANDJO pour AOK, ATT, LAMINE DIABIRA, KISSIMA DOUKARA, CAPITAINE MARICKO
    A TOUS LES SOLDATS NON GRADES QUI TIENNENT POIR LE MOMENT LA MAISON

    IBK S’ENTETE, LA MAJORITE DES MALIENS A UNE BENEDICTION DIVINE QUI LE COMBATTRA, MOUSSA TRAORE NE SERA D’AUCUNE AIDE POUR LUI ET LES SIENS

    VIVE LE MALI D’AVANT 2012

  5. Article dénuée de sens. Du gros n’importe quoi. Il y’a une différence entre vos attentes démesurées et la réalisation du président. Je me demande combien on t’a payé pour écrire ce torchon.
    Journaleux

  6. Jugez BOUA par ce qu’il a fait au lieu de vous attaquez à l’auteur de cet article. Soyez juste et moins acerbes vis à vis de l’auteur de l’article, critiquez son contenu.
    Boua dit qu’il a construit 1 250 classes en 5 ans, selon une de ses affiches géantes. Cela fait 250 classes par ans, pour un pays de 1 204 021 km carré. Cependant, d’après le Trésor malien, chaque km parcouru par l’avion présidentiel lui coûte plus de 50 000 000fcfa. Quand on sait que IBK a passé plus de temps à l’extérieur qu’ à l’intérieur du Mali, on comprend que votre IBK aurait pu faire mieux. Seulement 250 classes par an pendant 5ans, c’est insignifiant et il valait mieux ne même pas le rappelez aux maliens, le taire.

  7. Et toi vermine combien t’a-t-on payé pour venir pondre cette perfidie et étaler une fois de plus ta bassesse et ta foi? J’ai honte de moi.
    Mais rassure toi et apprends que ni le soleil ni la mort ne peuvent se régarder de face, donc mieux vaut t’en accomoder plutôt que de biaiser dans ton optique.

  8. MAMADOU SOUMAILA CISSE DABO,tu es tres mal informer .150 000 000 fcfa/mois est trot petit pour BOUA IBK,vue le travail colossal qu’il effectue jours et nuits pour le Mali, le vrai montant Est 150 000 000 000fcfa/jour.

    ENSEMBLE POUR LE MALI,ENSEMBLE POUR LE PROGRES,ENSEMBLE POUR ELIRE BOUA IBK DES LE PREMIER TOUR.

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