Le Bureau politique du PDES a animé une conférence de presse, le 3 février dernier, au siège du parti, sis à Hamdalaye ACI. Objectif, débattre du problème de l’insécurité au Nord et soutenir l’action du Président ATT. Le conférencier, Hamed Diane Séméga, était entouré d’autres cadres du parti, dont Hamed Sow, Maharafa Traoré, Ousmane Karamoko Simaga et Ndiaye Ba.
A l’entame de la conférence de presse, Hamed Diane Séméga a déclaré que les débats allaient porter sur la situation au Nord du Mali et qu’il ne répondrait donc pas à toute question qui ne serait pas relative au thème du jour. Avant d’enchaîner «le patriotisme nous invite à plus de cohésion».
Il a donc demandé aux hommes et femmes de médias de se référer à notre devise «Un peuple, Un but, Une foi et à dire non à cette tentative d’amalgame qui sévit actuellement dans le pays. Ne vous laissez pas instrumentaliser». La richesse de notre pays, a continué le conférencier, c’est la diversité. Avant de déclarer «nous devons tous être debout face aux agresseurs, comme stipulé dans notre hymne national». Il a aussi invité la classe politique à l’union sacrée pour aider les autorités à relever le défi. Et Hamed Diane Séméga de soutenir qu’il y a bel et bien des frères touareg qui se battent aux côtés de l’armée nationale. Le conférencier a ensuite soutenu que ce que nous vivons aujourd’hui est une agression qui nous a été imposée et que nous sommes aussi visés par des tracts qui insultent notre pays et notre démocratie.
«On a imposé à notre pays une guerre qui n’est pas la sienne, sinon la seule guerre qui vaille aujourd’hui se rapporte au développement. Au Mali, tout se discute, tout est ouvert. Je ne sais pas comment on peut encore prendre les armes. Le Mali a la chance d’avoir un Président qui sait ce que c’est que la guerre. Le piège dangereux, c’est de s’enfermer dans des revendications qui désintègrent la Nation. Notre volonté est d’aller au dialogue et la démarche du gouvernement est responsable. Où que nous soyons, méfions-nous de ce danger nouveau. Ce qui s’est passé à Kati est une volonté délibérée de déstabiliser le Mali», a-t-il conclu.
A la question de savoir pourquoi le Mali n’avait pas demandé aux revenants de la Libye de déposer les armes, Hamed Diané Séméga dira que la discussion, la main tendue et le dialogue sont les meilleures armes, car, contrairement à beaucoup d’informations diffusées, la situation au Nord Mali est beaucoup plus complexe que ce que certains décrivent souvent. Il dira aussi que ceux qui attaquent certaines villes du Nord procèdent par harcèlement, parce que nos forces armées et de sécurité ont en charge plus de 33 000 villages.
Concernant les élections de 2012, Séméga a été très clair: «tout est mis en œuvre pour qu’il y ait élection. La volonté de ne pas tenir les élections n’est pas à l’agenda de l’Etat. C’est une constante chez le Président ATT, organiser des élections crédibles et transparentes. Incha Allah’, le prochain Président du Mali sera investi le 8 juin 2012». En conclusion, Séméga a averti: «que personne n’instrumentalise la presse. Nous avons le droit de faire fi de toute tentative de déstabilisation. Mais il faut que chacun se mobilise pour soutenir l’armée. Nous avons déjà lancé une campagne et réuni 10 millions de FCFA. Chacun doit pouvoir y contribuer. Il faut que les Maliens se mettent debout, comme un seul homme, pour dire non à cette agression».
Pierre Fo’o Medjo
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Encore une fois, c’est vous le vrai probleme du pays avec les clans que vous aviez crees de part et d’autre avec l’etat, le gouvernement et les barons du pays. Vous devriez tous payez des clans d’aok a att, le Maliba n’a jamais ete aussi pire et mal en point.
1)Nous disions et nous l’avions toujours dit que l’exécutif malien sous la demande du législatif devait rapidement déclarer l’état d’urgence dans toute la zone Nord y compris la zone du Ouagadou et d’y envoyer l’armée pour ratisser toute la zone en vue d’arrêter tout suspect de faire passer de vie à trépas ceux parmi les déserteurs lâches de l’armée libyenne ou ceux parmi les touaregs maliens venus de Libye ou ceux des maliens vivants au Nord qui auraient des velléités rebelles ou indépendantistes ou ceux parmi les islamistes vivants dans le Ouagadou qui refuseraient de quitter le Mali Nous disions que l’armée pouvait se faire aider par le mouvement patriotique d’auto-défense « le GANDAKOYE » qui a 1bonne connaissance de la zone Nous disons que des mandats d’arrêt internationaux ou appels doivent être également lancé à l’encontre de toutes les personnes qui soutiennent ou soutiendront ces dites velléités aux fins de les mettre hors d’état de nuire
2)Nous disons quelle est cette armée où 1soldat ou 1officier peut déserter rejoindre l’armée ennemie et après revenir reprendre sa place sans aucune sanction Nous disons qu’il est temps que cette inconscience ce laxisme ce favoritisme cesse au nom de la rigueur et de la responsabilité Comment 1armée responsable peut elle garder en son sein ses pires ennemies soit disant au nom de la paix Nous demandons aux vrais soldats de ne plus accepter ce état de fait Nous disons que l’ennemie doit être toujours mis hors d’état de nuire par tout les moyens Nous disons également que tout déserteur allant rejoindre l’armée ennemie doit être traduit devant la cours martial et condamné à la peine capital ou la peine à perpétuité et il est inhumain et irresponsable d’envoyer des soldats se battre sans moyens conséquents Nous disons que les responsables de cela doivent passer devant la justice à la demande des parents des soldats
3)Nous disons qu’il est temps que l’exécutif et le législatif maliens cessent d’être pris en otages par ces « Touaregs paresseux sans foi ni loi » au nom du développement de leur région Nous disons que le développement des autres régions est le fait du dynamisme du labeur au travail de leurs populations et aussi grâce à l’argent des émigrés issus de ces zones car le Mali est classé parmi les pays les +pauvres de ce monde Nous disons qu’il est temps pour ces « Touaregs paresseux » d’utiliser l’argent destiné à l’achat des armes l’argent issu de leur émigration à créer des projets régénérateurs de revenues dans leur zone et de se mettre au travail Nous disons que les armes n’apportent que faim misère maladie mort hyper retard dans leur région Nous disons que c’est triste déshonorant paresseux triste et ignoble d’attendre toujours l’aide d’autrui des autres
4)Nous disons encore 1fois que l’exécutif et le législatif maliens doivent mettre de côté leurs intérêts politiques personnels familiaux égoïstes et primaires aux fins de résoudre 1fois pour toute ce problème des rebelles touaregs et les Suppôts de Satan d’Aqmi car aucun exécutif et législatif étrangers ne viendront faire ce travail à leur place Nous disons que le temps des dialogues est dépassé il faut opter pour la solution finale Nous disons que s’ils en sont incapables ils doivent démissionner selon la déontologie démocratique Nous disons au cas ils refusaient de démissionner sans résoudre ce problème avant les futures élections présidentielles nous demandons au peuple malien de sanctionner tous les membres de l’exécutif (gouvernement) et du législatif (assemblée nationale) qui seront candidats en ne les votant pas
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