Au moment où le pays est menacé dans ses propres fondements, curieusement et contre toute attente, c’est ce moment douloureux que le gouvernement malien a choisi pour se donner des vacances, abandonnant ainsi les populations meurtries et inquiètes à leur triste sort. C’est un mimétisme de mauvais aloi, si c’est pour singer le gouvernement français.
Incompréhensible. Alors que le lundi 3 août 2015 vers 5h30, le camp des Gardes de Gourma Rharous était attaqué par des jihadistes, faisant 11 morts et un blessé parmi nos vaillantes forces armées, IBK et son gouvernement se donnaient des vacances. Tant pis pour les soldats morts à Gourma Rharous et récemment à Sévaré. Tant pis pour les ménagères dont les paniers sont troués. Tant pis pour les paysans à qui on a servi des engrais frelatés. Tant pis pour les caisses de l’Etat dont l’hémorragie est annoncée…
Eux, ministres de la République, n’en ont cure. Ils sont en vacances et vont se la couler douce dans les grandes capitales du monde. Ils peuvent aller se balader, par exemple, au Brésil sur les belles plages de Rio. Quant au citoyen lambda, il peut mourir de sa belle mort, ce n’est pas leur problème. Or, avec la situation extrêmement difficile que connaît notre pays, l’heure doit plutôt être au travail et non à la distraction et à la pagaille.
Pour ceux qui ne le savent pas, le régime d’IBK veut à tout prix singer le modèle français, puisque, dit-on, il se considère lui-même comme un «Français de souche». L’école, l’armée, l’agriculture, la santé, la diplomatie, les infrastructures, l’assainissement….tout doit être calqué sur le modèle français. Et pourquoi pas alors les vacances gouvernementales ?
Du mauvais «copier-coller». Car le gouvernement français est en vacances pour un peu moins de trois semaines. La dernière journée de travail avant la trêve estivale avait été studieuse : Conseil des ministres, puis séminaire gouvernemental sur l’Europe et surtout déjà, la rentrée est envisagée. Des vacances donc, mais des ministres toujours mobilisés. Ce qui n’est pas le cas chez nous ici au Mali, car, une fois en vacances, c’est la belle vie et certains ministres ont même tendance à oublier la date de la rentrée gouvernementale.
«Certes, il faut que l’équipe gouvernementale prenne le temps du repos. Mais l’exercice de l’Etat, la réforme gouvernementale, l’attente des Français, leur exigence, c’est un travail continu qui nécessite une attention permanente», déclarait le Premier ministre Manuel Valls. Travail continu, alors que pour nos ministres, c’est la rupture d’avec le travail.
En outre, il y a un paramètre aussi important qu’il faut prendre en compte. En France, les vacances gouvernementales se prennent en été, période de grande chaleur (canicule), histoire pour les ministres d’aller se rafraîchir ailleurs et de se faire une nouvelle santé. Mais, chez nous ici au Mali, nous voici en pleine période hivernale et il fait frais, pour ne pas dire froid. Alors, nos ministres se donnent-ils des vacances pour aller chercher la chaleur ailleurs ? Ou cherchent-ils tout simplement à se moquer de nos populations ? Si tel n’est pas le cas, ils doivent arrêter cette singerie de mauvais aloi !
Bruno E. LOMA
Gouvernance médiatique du Mali : Mettre le POINT sur les i !
L’autre jour, par le pur des hasards, j’ai rencontré une vieille connaissance, Professeur agrégé de sciences politiques, officier respectable et respecté de l’armée française, dans un train de la banlieue de l’Est parisien. Nous avons discuté bien sûr de la crise au septentrion du Mali, avant l’arrivée du train. À l’arrivée du train, nous nous installâmes. Une fois bien installés, il ouvrit son sac et me tendit un numéro de l’hebdomadaire français, Le POINT, tout récemment paru. Je pris le journal et connaissant très bien mon ancien professeur, sans détours, je lui demandais de quoi s’agissait-il ? Il reprit le journal, ouvrit aux pages justes et me retendit le journal. Je constate que le Mali en crises venait de s’offrir 4 pages d’auto-promotion dans un hebdomadaire français. De la classe ! Me dira-t-on certainement. En réalité, ce gaspillage de l’argent public frôle indécence. Mais que le Mali est très mal géré !
Par la suite, j’ai conversé avec beaucoup de gens un peu dans tous les sens à propos de cette publicité. À dire vrai, cette auto-promotion, au lieu d’attirer des investisseurs vers notre pays, a fait de nous encore une fois la risée dans les beaux salons parisiens. Comment IBK, qui se vante d’avoir vécu un quart de siècle en France, peut-il cautionner pareille légèreté ? En 25 ans de vie en France, IBK n’a pas encore compris la mentalité de l’élite française. Ou se moque-t-il du Mali et des Maliens ? Le Mali d’aujourd’hui n’a t-il pas besoin de recruter davantage de soldats du rang, du matériel militaire que d’une publicité idiote ? Si le Mali veut des investisseurs, nul besoin de publicité, car aucun investisseur sérieux ne viendrait se risquer à investir chez nous, eu égard à notre justice. Je ne parle pas d’investissement dans un casino comme Tomi Michel l’a réalisé. L’ex-Garde des Sceaux, Fanta Sylla, a raison de dire : «La justice malienne est indépendante de tout, sauf de l’argent sale». Or, notre justice se réformera de trois façons.
D’abord, réformer le recrutement des magistrats en le confiant non à des magistrats, mais à la direction de l’ENA. Nous constatons que les enfants de magistrats commencent malhonnêtement à remplacer leur géniteur. Des sans-pistons crèveront, conséquence de leur lâcheté. Ensuite, supprimer l’oral du recrutement des magistrats. Car c’est à l’oral qu’on élimine les très bons candidats qui n’ont pas les bons tuyaux, qui n’ont personne pour les appuyer. Enfin, donner le pouvoir au noyau dur de 15 magistrats qui sont supposés être les plus honnêtes. Ils sont connus.
Tant que notre justice n’inspirera pas confiance, nous pouvons faire des auto-promotions même dans le Washington Post, nul de sérieux et d’averti n’investira chez nous. Même des Maliens de souche n’ont pas confiance en notre justice. C’est cela le frein aux investissements étrangers et aux investissements de nos nationaux établis ailleurs. Une publicité n’y changera rien. Il faut des actes concrets. Des radiations pures et simples de magistrats corrompus.
Mais un pouvoir politique corrompu, empêtré dans des affaires plus scandaleuses les unes que les autres, ne peut sanctionner personne. Qui peut au Mali me dire le nom d’un seul ministre parti dans son village voir les siens pendant les vacances en cours ? La meilleure connaissance est celle de soi. Quand on oublie d’où l’on vient, l’on se perd certainement de sa destination.
Notre pays, sous le règne d’IBK, n’est pas encore à l’entame de nous tirer d’affaire. Dans la vie, tout est lié. Tout s’explique. Les investisseurs n’ont pas peur de l’insécurité. Mais, ils ont peur de notre justice inique qui est à la base de notre insécurité. Les injustices créent la rancœur, la haine et la soif de justice personnelle, donc de l’insécurité. Quand la corruption et l’impunité se joignent, le cocktail devient explosif. Et voilà tous nos soucis actuels.
Boubacar SOW
boubacarsow@hotmail.fr
Desoler mr le journaliste même les ministres français sont en vacance stp au mali on décidé de faire deux vagues quinze jours chaque vague tu étais ou quand le pm a parler de ça que vu la situation actuelle le gouvernement ne peut se permettre que tout les ministres va en vacance vu l urgence va a l ortm tu auras l image de l interview du pm allons y doucement le mali n a pas besoin sortons des détails avançons sur l essentiel c est le mali
Le Mali doit mettre place un systeme de lutte contre la corruption institutionalisee et une justice efficace.La corruption de nos administrations,l’injustice et l’insecurite doivent etre elemines.La Construction et le Development du Mali sont en DANGER a cause du fleau de la corruption et de la mauvaise des resources.
Bravo Sow!!!!! Belle analyse. Merci pour ton patriotisme. Quand on aime son pays, on dit les choses tel qu elles le sont, et c est ce que tu viens de faire. Encore bravo
Merci à tous détracteurs du Président qui se cachent derriière des journalistes véreux.Mais sachez que vous ne réussirez jamais votre mission d’incitation à la haine dans notre pays.Vive IBK…
Vacances gouvernementales,publicité du Mali a l’extérieur…Qu’ya t’il de mal a tout cela?Le PR fait tout ce qui est en son pouvoir pour le bonheur des maliens.Mais si toutes actions sont sujettes a de interprétations fantaisistes par des pseudos intellectuels,c’est vraiment dommage….
Toutes propositions est la bienvenue dans le but de contribuer au bien de la population malienne.Mais il est très malsain de se cacher derrirère un soit disant titre de journaliste pour raconter des sotise comme Mr le fait.
On ne finit pas de créer des scandales dans le but de nuire au régime d’IBK. Tantôt le régime a fait ceci, tantôt il a fait cela. Mais finalement où allons nous ?
C’est etre un ennemi de la République que de prédire qu’aucun investisseurs ne viendra au Mali.
Coopération Mali-Maroc : 17 accords et conventions signés
A la faveur de la visite officielle de cinq jours qu’il a effectue dans notre pays, Sa Majesté le Souverain du royaume chérifien, Mohammed VI a présidé jeudi dernier, (aux côtés du président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta) la cérémonie de signature de 17 conventions de partenariat. La cérémonie officielle s’est déroulée dans la salle des banquets de Koulouba en présence de plusieurs membres des gouvernements et des opérateurs économiques des deux pays.
En effet, ces 17 conventions de partenariat portent sur plusieurs domaines. Au nombre de ces conventions, il ya l’accord relatif à l’encouragement et à la protection réciproques des investissements dans les secteurs publics et privés. Il vise à encourager les investissements à travers l’amélioration du climat des affaires. Les deux parties s’engagent à mettre en place des mesures pouvant simplifier les procédures aux investisseurs.
A cela s’ajoute une convention pour lutter contre l’évasion fiscale et la non double imposition. Elle constitue une avancée majeure en ce sens qu’elle favorise l’élimination de la double imposition et les libertés économiques. C’est donc une autre barrière qui vient d’être levée pour les investisseurs maliens et marocains. Les gouvernements des deux pays s’engagent à lutter contre l’évasion fiscale qui ruine nos économies et prive le budget de l’Etat des ressources fiscales importantes.
Autrefois, ce qui décourageait les investisseurs, c’est le fait que les revenus de source étrangère perçus par un résident des deux pays sont imposables, ce qui entrainait une double imposition.
Un autre accord porte sur la formation professionnelle. A travers ce document, l’Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail (OFPPT) du Maroc en partenariat avec le Fonds d’Appui à la Formation professionnelle et à l’Apprentissage (FAFPA), s’engage à aider le Mali à améliorer le régime pédagogique de sa formation professionnelle. Ce, en formant chaque année 50 jeunes Maliens dans plusieurs disciplines professionnelles.
Dans le même ordre d’idées, on peut également noter une convention de coopération entre la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et le Conseil national du patronat du Mali (CNPM). Celle-ci va, d’une part améliorer les échanges commerciaux et les flux d’investissement entre le Mali et le Maroc, et de l’autre permettre au secteur privé malien de démontrer son dynamisme et ses efforts pour soutenir la politique économique du gouvernement. Ainsi, les opérateurs économiques des deux pays se sont engagés à travailler en étroite collaboration pour renforcer le rôle du secteur privé dans l’économie nationale. Aussi, l’Etat est appelé à améliorer le climat des affaires pour favoriser l’investissement privé.
Le domaine de la santé n’est pas en reste, car deux conventions de jumelage et de coopération ont été signées entre le centre hospitalier IBN Sina de Rabat et le CHU du Point G, puis entre le Centre Hospitalier Ibn Rochd de Casablanca et le CHU de Gabriel Touré de Bamako. Il convient de préciser que cette coopération transversale sera coordonnée par un conseil d’affaires qui sera mis en place pour faciliter les échanges économiques et commerciaux entre les deux pays.
Un autre document majeur a également été signé. Il s’agit d’un protocole spécifique de coopération dans les domaines de la géologie des mines et des hydrocarbures. Rien d’étonnant, quand on sait que le Mali est le troisième producteur d’or en Afrique. Sans compter les autres ressources extractives que le sous-sol malien pourrait renfermer.
Le Maroc grâce, à son expertise en la matière pourra aider notre pays à mieux faire valoriser ses ressources, que cela soit en matière de renforcement de capacités ou exploitation de ces ressources. Toujours, dans ce domaine, on peut noter la signature d’un mémorandum d’entente de coopération en matière de Zones industrielles entre la société MEDZ et le ministère malien de l’industrie. Dans le même secteur, un protocole de coopération industrielle a également été signé entre les deux pays. Ce protocole prévoit la promotion du développement industriel et favorisera les échanges d’expériences et d’expertise en matière de politique industrielle.
Le Royaume chérifien est également très préoccupé par la disponibilité de l’eau potable au Mali. Ce qui justifie la signature d’une convention de coopération entre l’ONEE du Maroc et la SOMAGEP-SA. Cette convention prend en compte tous les besoins des deux sociétés en vue de promouvoir l’accès à l’eau potable.
Les agriculteurs notamment ceux qui interviennent dans le secteur cotonnier seront également soutenus par la BIM-SA qui vient de signer un protocole d’accord avec les sociétés coopératives des producteurs de Coton.
Par ailleurs, d’autres conventions ont été signées dans les domaines aériens, de l’élevage et des télécommunications.
Ainsi, il est désormais clair qu’à travers la signature de ces conventions de partenariat dans des domaines aussi variés, le Royaume Chérifien entend se positionner comme un partenaire de choix en vue d’aider le Mali à s’engager de plain-pied sur la voie du développement.
Adama DAO
Voilà encore une preuve pour appuyer les autres, il n’y a aucun doute que des partenaires sont là.
L’effort de IBK pour redorer l’image du Mali est à saluer.Et contrairement à ce que pense Monsieur SOW,cet effort porte ses fruits car nous avons des signatures de partenariats avec des partenaires dans plusieurs secteurs.
Dites à Boubacar Sow que le Mali n’a pas un manque d’investisseur étranger. Tous ceux qui franchissent aujourd’hui la porte du Mali pour y invertir ne sont pas des maliens. Ils viennent d’ailleurs. Alors qu’il arrête de mentir. Le problème avec le mensonge est qu’il nous rattrape à tout moment.
MARK
Tu as tout à fait raison, les détracteurs font tout pour inciter la population à la haine et à la violence. Je suis sûr que le journaliste est l’un des nombreux journalistes corrompus par l’opposition dans le seul but de porter atteinte au régime en place. Se sont des apatrides qui ne pensent qu’à leurs propres intérêt et il ignorent celui du pays.
Monsieur SOW,etes vous malien où pas?Si votre réponse est affirmative,alors je dirai que vous etes indignes du Mali car vous n’etes pas du tout un patriote.En effet,le patriote est celui qui défend son pays par tous les moyens et fait sa promotion partout ou il se trouve.Alors si vous ne pouvez pas faire la promotion du Mali,de grace,ne boycottez pas les actions des patriotes qui se battent pour donner une bonne image au Mali.Et ça,IBK le fait bien.
L’Union européenne a décidé de verser 20 millions d’euros (13 milliards de Fcfa) au gouvernement pour le financement de projets d’entretien des routes qui permettront la création de 6680 emplois, a annoncé samedi l’Union européenne dans un communiqué transmis à la presse.
Ces emplois seront attribués prioritairement aux populations les plus vulnérables dans le but de lutter plus efficacement contre la pauvreté, ajoute le communiqué qui précise que ces crédits constituent l’une des actions concrètes de l’UE en faveur de la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation signé définitivement le 20 juin dernier.
Pour l’acquisition de 1000 tracteurs et accessoires promise par IBK, le ministère de l’Economie et des finances ainsi que celui du Développement rural et le Pool financier viennent de signer, le mardi 28 juillet au ministère de l’Economie et des finances, un accord de partenariat pour le financement dudit projet estimé à 10 milliards de FCFA.
Les locaux du Conseil national du Patronat du Mali ont abrité le mardi 28 janvier, la cérémonie de signature d’une convention de financement entre le Royaume du Danemark et ladite organisation. A travers ce document, le Royaume du Danemark met à la disposition du secteur privé un montant de 11, 5 milliards de FCFA pour le renforcement de la croissance économique inclusive par la génération des revenus et la promotion de l’emploi. Ce montant entre dans le cadre de la composante 1 du Programme d’Appui à la croissance économique et la Promotion de l’emploi stimulé par le secteur privé du Mali. Rappelons que ce programme connu sous le nom PACEPEP a été signé entre le Royaume du Danemark et la République du Mali, le 13 décembre dernier et porte sur un budget total de 27 milliards de FCFA.
Si IBK n’avait rien à foutre de la population malienne comme le pensent certains, il n’allait pas annuler son voyage pour l’Egypte. De grâce n’enlevons pas de la perde dans les écuries pour les laisser traîner sous les pieds. Sans le contester, IBK veut le bien des maliens et il se bat à coeur ouvert pour satisfaction des maliens même s’ils ne le seront jamais. En réalité, l’être humain n’est jamais satisfait.
Le gouvernement a belle et bien le droit et tout à ait fraison d’aller en vacance. Je pense que le temps ne pose pas de problème. En plus même si les ministres sont en vacance malgré cela leurs ministères respectifs continue de fonctionner.
Quand on parle de vacances,tout le monde sait que celles du président et des membres du gouvernement ne sont que des vacances de façade…Vous serez d’accord avec moi lorsque je dirai que les membres du gouvernement sont tous là ou presque.Arrètez donc de polémiquer sur ce sujet pour laisser la population suivre les réalisation de son Président…
Quand on parle de vacances,tout le monde sait que celles du président et des membres du gouvernement ne sont que des vacances de façade…Vous serez d’accord avec moi lorsque je dirai que les membres du gouvernement sont tous là ou presque.Arrètez donc de polémiquer sur ce sujet pour laisser la population suivre les réalisation de son Président.
Des importantes progrès sont en cours…. Convaincu que le développement socio économique de notre pays passe nécessairement par la modernisation et la mécanisation du monde agricole, lors de la campagne présidentielle de 2013, le Président Ibrahim Boubacar Keïta avait promis aux Maliens l’acquisition et la subvention de 1000 tracteurs et accessoires. Et nous voilà au début de la réalisation de ce projet. Car il vient de bénéficier d’un accord de financement entre l’Etat et le secteur financier composé de la BMS, chef de file du Pool financier, de la BNDA, de la BIM, du Fonds de garantie du secteur privé, de Kafo jiginew et de Nyesigiso.
A la signature de cette convention, le ministre de l’Economie et des Finances, Mamadou Igor Diarra, n’a pas caché sa joie de présider la signature de cette convention. Car, explique-t-il, le financement de cette opération est la traduction de la vision du Chef de l’Etat de faire de l’agriculture le moteur de développement économique et social de notre pays. Dans cette logique, il a instruit la modernisation et la mécanisation du secteur. Ainsi, indique le ministre, comme phase pilote, l’acquisition et la subvention de 1000 tracteurs et accessoires a été initiée. Une occasion pour lui de saluer l’engagement du pool financier dirigé par le PDG de la BMS, Babaly Ba, aux côtés du gouvernement pour la réalisation de ce projet. «Leur présence à cette rencontre est la marque, d’une part, de leur adhésion à la dynamique de croissance et d’émergence de notre agriculture et, d’autre part, de leur engagement à contribuer véritablement au développement économique et social de notre pays», a-t-il ajouté. Au sujet des tracteurs, le Ministre Mamadou Igor Diarra dira que leur acquisition a demandé des efforts importants en mobilisation de ressources budgétaires sous forme de subvention à hauteur de 5 milliards de FCFA correspondant à 50% du coût estimé du programme. Le reste du financement, précise-t-il, soit 5 milliards de FCFA, sera mobilisé auprès des bénéficiaires à hauteur de 20% comme apport personnel et du système bancaire et financier pour 30%.
Combattre le terrorisme n’est pas une affaire d’un jour ou d’un mois. Les terroristes se déplacent partout et il n’est pas facile de les identifier comme ça à l’œil nu. Pour réussir à les anéantir nous devons être très vigilant et méfiants. Le gouvernement peut décider d’aller en vacance tout en réfléchissant à tête reposée aux moyens qu’il faut mettre en place pour exterminer les terroristes.
Pour l’acquisition de 1000 tracteurs et accessoires promise par IBK, le ministère de l’Economie et des finances ainsi que celui du Développement rural et le Pool financier viennent de signer, le mardi 28 juillet au ministère de l’Economie et des finances, un accord de partenariat pour le financement dudit projet estimé à 10 milliards de FCFA.
on ne vas pas me dire des n’importes quoi alors que le pays est en train de connaitre un grand allure envers son développement.
La Banque malienne de Solidarité (BMS SA) et le Conseil national du Patronat du Mali (CNPM) ont signé le 23 octobre dernier un accord de partenariat pour le financement des PME au Mali.
En effet, cet accord fait suite à la convention de financement entre le gouvernement du Mali et celui du Danemark portant sur la mise en œuvre d’un programme dénommé Programme d’Appui à la Croissance Economique et Promotion de l’Emploi (PACEPEP).
Ledit programme vise le développement du secteur privé par le renforcement de la croissance économique, la génération de revenus et la promotion de l’emploi. Il a une durée de 5 ans (2014-2018).
Ainsi, selon cet accord de partenariat, le Gouvernement a également initié la création, sous forme d’établissement financier d’un Fonds de Garantie dénommé « Fonds de Garantie du Secteur Privé SA (FGSP SA)» pour faciliter le développement du financement des PME. En vue d’atteindre ses objectifs dans le cadre du PACEPEP, l’Ambassade du Royaume de Danemark a accepté la création d’un fonds spécial de 1 320 000 000 FCFA dont la gestion sera confiée au FGSP SA pour garantir les PME dans le cadre de l’exécution du PACEPEP. Ce fonds spécial sera domicilié dans les livres de la BMS.
Par cet accord, la BMS s’engage entre autres à examiner et répondre dans un délai de 15 jours pour compter de la date de réception de la décision du comité de décisions de financement (CDF) qui attribue la subvention PACEPEP à accepter de concevoir un cycle commun de montage et d’approbation de dossier avec le CNPM en vue d’améliorer les performances en matière de financement des entreprises, gérer avec diligence et professionnalisme tous les prêts accordés dans le cadre du PACEPEP. A ce titre, la BMS est mandatée pour ce faire et, est tenue en conséquence, de fournir au CNPM et au FGSP SA tous documents et informations relatifs aux projets financés; examiner les demandes de crédit il court terme (jusqu’à 24 mois) et moyen terme (de 24 mois à 8 ans) induits par les besoins de développement des PME; accepter l’ouverture d’un compte d’attente « PME/PACEPEP» aux conditions préférentielles.
Concernant les critères majeurs d’éligibilité indiquons que l’entreprise doit avoir au moins 2 ans d’existence et un chiffre d’affaires minimum de FCFA 5 000 000. Le projet doit être rentable, créateur de valeur ajoutée et d’emplois dans les chaînes de valeur sélectionnées. Le porteur de projet n’est pas un fonctionnaire, conventionné ou salarié d’une autre entreprise. En outre, il doit être installé dans les zones d’intervention du projet ou avoir un impact sur les entreprises installées dans lesdites zones.
A travers ce fonds spécial, les objectifs prioritaires poursuivis par le CNPM/ PACEPEP sont entre autres de contribuer au développement des PME qui jouent un rôle prépondérant en termes de création d’emplois et de revenus, lutter contre la pauvreté à travers les créations et consolidations d’emplois pour les entreprises accompagnées, faciliter l’accès des PME au crédit bancaire et résoudre les problèmes de garanties rencontrés par les PME dans le financement de leurs investissements en collaboration avec le Fonds de Garantie du Secteur Privé (FGSP SA).
Ainsi, la Banque au regard de sa vocation, cherche à développer le financement du secteur des PME en sécurisant au mieux ses risques et la qualité de son portefeuille. A cet effet, elle est disposée à recourir au mécanisme de couverture des risques et à la mobilisation de ressources adéquates à travers un partenariat mutuellement satisfaisant avec le FGSP SA et le CNPM.
Le CNPM et la Banque (BMS) ont décidé de conclure cet accord de partenariat pour déterminer les dispositions financières et opérationnelles en vue de développer et promouvoir le financement des PME du secteur productif. La mise en œuvre de cet accord s’appréciera à travers les indicateurs du PACEPEP.
Champ d’application
Les parties s’engagent à prendre toutes les dispositions utiles en vue du traitement du maximum de PME du secteur productif au regard des meilleures pratiques bancaires. Ces PME des filières volailles, maïs, bétail/viandes, lait local, fruits et légumes et artisanat, retenues pot le PACEPEP sont éligibles selon un certain nombre de critères et de conditions à remplir définis dans le manuel de procédures du PACEPEP.
Chaque financement de projet est articulé autour de : (1) la subvention du PACEPEP, (2) la quote-part du porteur de projet.
La banque peut être sollicitée par le promoteur du projet pour la mobilisation de cette quote-part. Chaque financement de la Banque fera l’objet d’une convention spécifique de prêt dont les parties s’obligent à faire accepter, sans discussion, ni réserve les clauses par le promoteur du projet financé. Cette convention qui sera conforme aux procédures et règles de la Banque déterminera la gestion du crédit octroyé: mise en place, recouvrement, suivi, durée, etc., pour le compte des parties.
Les zones d’intervention actuelles du PACEPEP sont le district de Bamako élargi à un rayon de 40Km, les régions de Ségou, Sikasso et Mopti mais d’autres régions pourraient être sélectionnées au cours du programme, indique cet accord.
Les dispositions des accords, conventions, contrats ou actes qui seront établis à l’avenir entre les parties devront être conformes à celles du présent accord de partenariat. En cas de contradiction entre lesdites dispositions, les parties conviennent que ce sont les dispositions du présent accord de partenariat qui vont primer.
Notons enfin que dans le cadre du présent accord de partenariat, on entend par Banque Malienne de Solidarité (EMS-SA), l’Institution financière chargée d’accorder des prêts aux PME et le CNPM, la structure assurant la tutelle des projets devant être financés par la BMS ; Fonds de Garantie du Secteur Privé du Mali (FGSP-SA), l’Etablissement financier assurant la gestion du fonds spécial de garantie mis en place par le Royaume du Danemark intitulé «guichet PACEPEP»; PME, les entreprises dont la catégorisation est définie par le Manuel de procédures des Fonds d’Appui du PACEPEP (PME dont le chiffre d’affaires se situe entre 5 millions et 3 milliards de FCFA, évoluant dans les filières volailles, maïs, bétail/viandes, lait local, fruits et légumes et artisanat et dont le personnel est d’au moins 4 personnes), guichet PACEPEP : la ligne de financement de garantie constitué par le « fonds spécial» dont l’Ambassade du Royaume du Danemark au Mali a confié la gestion au FGSP SA conformément à l’Accord tripartite : Ambassade Royaume DANEMARK-FGSP SA-BMS.
Lien : http://www.maliweb.net/economie/developpement/accord-partenariat-cnpm-bms-dun-milliard-fcfa-booster-les-activites-pme-pmi-615492.html
Tout etre humain a droit au repos.Et les membres du gouvernement malien sont des etres humains.Ceci étant,pourquoi faire d’un tolet deux a trois semaines de repos des personnes qui ont travaillé pour notre Mali une année sans repos aucun?
En parlant de la France et les Etats Unis, vous niez les efforts fournis par notre cher et illustre partenaire la République Populaire de la Chine. Cette dernière a octroyé un gros lot au Mali lors de la visite du président IBK sur le sol de Chinois.
Chine : IBK en revient avec 5500 milliards FCFA
34 engagements signés pour plus de 5500 milliards de FCFA dans les domaines stratégiques des infrastructures, du bâtiment, du transport, de l’énergie, de l’investissement, des mines, de la technologie, du numérique…
À l’invitation du Forum Economique Mondial (WEF), le président de la République, Son Excellence Ibrahim Boubacar Keïta, a effectué du 9 au 13 septembre 2014 une visite à Tianjin, en République Populaire de Chine, pour prendre part à cet important rendez-vous qui reçoit chaque été plus 1600 participants venant de 90 pays.
Pour son édition 2014, le président du Mali était le seul chef d’Etat invité du sommet au cours duquel il a participé à un panel de haut niveau axé sur les infrastructures en Afrique, eu des entretiens avec les autorités chinoises et des capitaines d’entreprises du monde entier.
Préparée par le Secrétariat général de la Présidence et en chantier depuis six mois, la visite en République Populaire de Chine, qui intervient au moment de la revue du programme avec le FMI, a rempli son double objectif : donner une nouvelle dynamique à la coopération exemplaire sino-malienne vieille de 54 ans fondée sur l’engagement idéologique, la solidarité et le respect mutuel entre deux grands peuples d’une part, et conclure des partenariats stratégiques avec la signature de conventions pour des projets structurants conformément au programme présidentiel « le Mali d’abord » d’autre part.
Pour ce faire, au cours de sa visite à Tianjin, en marge du Forum économique mondial, le président de la République du Mali, Son Excellence Ibrahim Boubacar Keita, aura deux entretiens avec le Premier ministre chinois, Son Excellence Monsieur LI Keqiang.
Les résultats de leurs échanges attestent de l’excellence des relations sino-maliennes mais aussi de l’estime, du respect et de la solidarité des autorités et du peuple chinois envers les nôtres.
En effet, outre les 18 milliards de FCFA de don sans conditions, et le prêt de 8 milliards de FCFA sans intérêt soit vingt six (26) milliards de FCFA, la République Populaire de Chine offre gracieusement à notre pays 600 bourses d’études sur une durée de 3 ans.
Elle offre également à notre pays, à titre de don, un (1) centre de formation aux métiers du bâtiment et un (1) centre de formation agricole, la rénovation du Centre International de Conférences de Bamako (CICB) et la réalisation d’une Centrale solaire de 2KW à Koulouba.
En appui aux efforts des autorités maliennes dans la prévention contre l’épidémie de fièvre Ebola, le gouvernement chinois offre gracieusement au Mali une aide matérielle médicale d’une valeur de 80 millions de FCFA composée entre autres de :
-1000 pulvérisateurs,
-1000 combinaisons stériles,
-30 tentes d’isolement médicalisées,
-600 masques stériles,
-600 bottes,
-1000 thermomètres.
En outre, la visite de Tianjin a offert au président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta, l’opportunité de donner un coup d’accélérateur politique aux projets en instance en vue de la conclusion de conventions et accords de financement.
Dans ce cadre, et sous son impulsion, notre pays « raflé la mise » avec la signature d’accords de prêt ou de conventions dans les domaines suivants :
I.Équipement, Transports et Désenclavement.
1- La réalisation du Chemin de fer Bamako-Conakry long de 900 kms, pour 8 milliards de dollars soit 4000 milliards de FCFA,
2- la rénovation de la voie de chemin de fer Bamako-Dakar, à hauteur de 750 milliards de FCFA
3- La réalisation du 4ème pont pour une enveloppe de 60 milliards de FCFA
4- La réalisation de la phase II de l’Université de Kabala prévue en 2016 pour un montant de 35 milliards FCFA
5- La réalisation de la Route du Savoir Sénou-Kabala
6- La réalisation du Pont sur le fleuve Niger à Ségou pour un montant de 60 milliards de FCFA,
7- La réalisation de 7 ports secs à Bamako, Kati, Sikasso, Kayes, Nara, Naréna et Gao pour un montant de 32,5 milliards FCFA,
8- Le Dragage du fleuve Niger, pour un montant de 120 milliards FCFA environ,
9- L’aménagement des berges du fleuve Niger à Bamako, pour un montant de 100 milliards de FCFA,
10- La réalisation de la route Bamako- Koulikoro en deux fois deux voies aller-retour et du pont sur le Kayo pour un montant de 52 milliards de FCFA,
11- La réalisation des routes du Nord:
a)- Kwala-Goumbou-Nara, pour un montant de 31 millards,
b)- Ansongo-Ménaka-et Ansongo-Anderamboucane pour un montant de 68,2 millards FCFA,
c)- Tombouctou-Bambaramaoudé- Douentza (35 milliards FCFA),
12- La réalisation de 4 barrages en OBT sur le fleuve Sénégal: (Moussala, Badoumbé, Boudofara, Bindougou),
13- La réalisation et/ou l’extension de l’adduction d’eau à Sikasso, Ségou, San et Koutiala, pour un montant de 21 milliards FCFA,
14- La réalisation des infrastructures du sommet France-Afrique de décembre 2016, pour un montant de 60 milliards FCFA,
15- La réalisation de 24.000 logements sociaux pour un montant de 400 milliards FCFA,
16- La réalisation de la route Kayes-Aourou-Frontière de la Mauritanienne,
17- L’aménagement de 100.000 hectares à l’Office du Niger.
II. Energie:
1- La réalisation de la centrale hydro-électrique de Diré,
2- La réalisation d’une centrale hybride à Kidal,
3- La réalisation d’une centrale hybride à Tombouctou qui sera reliée à Diré et à Niafunké,
4- La réalisation de la centrale solaire de la Cité administrative,
5- La réalisation d’une centrale solaire de 40 MW à Kati, pour un montant de 81 milliards de FCA,
6- La réalisation d’une ligne de transport de 225KV Bi-ternes Koutiala-San-Mopti en prévision de la liaison du Nord et du Sud du Mali,
7- La réalisation de la ligne d’interconnexion Kayes-Diéma-Kita-Bamako de 225KV Bi-ternes qui permet de couvrir toute la zone minière de la première région,
8- La réalisation du transformateur à Sanankoroba pour permettre la stabilisation de la distribution d’électricité à Bamako,
9- Le renforcement des postes de transport et de distribution de Kalaban-Koro, de Lafia et Balingué avec la ligne de liaison de la nouvelle zone industrielle de Dialakorobougou pour un montant de 30 milliards FCFA,
10- La réalisation de la boucle de Bamako pour environ 110 milliards FCFA.
III.Industrie et Promotion des investissements
1- La création d’une usine pharmaceutique,
2- La création et l’aménagement de zones industrielles,
3- le financement d’une ligne de crédit pour la création de PME et PMI en négociation avec ICBC et SINOSURE,
4- La réalisation de 9 zones industrielles dans les différentes régions de Sikasso, Ségou, Kayes et le District de Bamako, pour un montant de 82 milliards FCFA,
5-La relance de l’usine de thé de Farako pour un montant de 22 milliards,
6-la construction d’une usine de concentré de tomates pour un montant de 30 milliards FCFA
7- La réalisation d’une usine de traitement de déchets ménagers à Bamako et sa périphérie.
En définitive, les résultats exceptionnels obtenus à l’issue de cette visite traduisent non seulement l’exemplarité et l’excellence de la coopération sino-malienne, mais aussi et surtout la volonté, l’engagement et l’abnégation du président à réaliser sa promesse de faire le bonheur des Maliens en bâtissant un Mali d’espérance et d’excellence.
Avec 34 engagements signés pour plus de 5500 milliards de FCFA, dans les domaines aussi stratégiques que les infrastructures, le bâtiment, le transport, l’énergie, l’investissement, les mines, la technologie et le numérique, il y a lieu de penser que les résultats obtenus vont au-delà de toute espérance.
Il s’agit de l’aménagement des zones industrielles dans une dizaine de localités et de l’implantation de trois usines de transformation des produits agricoles.
Notre pays abrite une grande variété de conditions climatiques qui favorisent une large gamme de productions agricoles. Malgré ces atouts, nous importons encore une grande quantité de produits agroalimentaires qui pourraient être produites localement. Et pour plusieurs produits, la transformation et la valorisation ne peuvent être étendues faute d’infrastructures industrielles adaptées.
En fait, l’agro-industrie dans notre pays comme dans la sous-région est pour ainsi dire, inexistante ou à l’état embryonnaire. En conséquence, chaque année, les zones de fortes productions connaissent d’énormes pertes après les récoltes, atteignant, dans le cas des denrées agricoles périssables comme les fruits et les légumes, une moyenne de 35 à 50 % de la production réalisable totale, et entre 15 et 25 % en ce qui concerne les céréales.
C’est pourquoi, la création et la promotion d’une industrie alimentaire performante sont considérées comme fondamentales pour le développement économique de notre pays. Les autorités du pays en sont conscientes d’où l’élaboration d’une politique de développement industriel qui favorise l’implication du secteur privé afin de créer un environnement approprié au développement de l’industrie et permettre de créer des industries locales, en mesure de fournir des emplois et d’accroitre les revenus. Car, les agro-industries peuvent non seulement promouvoir l’industrialisation et l’emploi urbain, mais aussi briser le cercle de « l’écart de productivité » du développement, réduire les coûts des aliments et les incertitudes des approvisionnements et améliorer le régime alimentaire.
UNE PRIORITE GOUVERNEMENTALE. Aujourd’hui, l’urgence et l’opportunité du chantier économique sont plus que jamais réaffirmées et figurent parmi les priorités du gouvernement. Car, il s’agit de relancer un secteur privé convalescent, une industrie grippée, un tourisme totalement à l’arrêt, un commerce au ralenti, une inflation en hausse, un budget de l’État sous forte pression, bref une économie qui bat de l’aile.
Lors de sa participation au forum économique de Tianjin, le chef de l’Etat, Ibrahim Boubacar Keita avait ainsi invité les investisseurs chinois autour des projets publics structurants du secteur industriel. Il s’agissait entre autres de la revitalisation de certaines entreprises industrielles telles que l’Usine malienne des produits pharmaceutiques (UMPP), l’Usine de thé de Farako, la promotion de la politique d’agropoles du Mali (aménagements hydro agricoles), des projets électriques (centrale électrique moderne, centrale solaire, barrage hydroélectrique), de construction de logements sociaux, l’aménagement des zones industrielles, la création d’unité industrielle de transformation des produits agricoles, la promotion des PME-PMI (ligne de crédit de financement PME et PMI). Dans le domaine du transport et de la télécommunication, des projets tels que la fibre optique, le large Bande national, le e-gouvernement, la construction de chemin de fer, de ponts, de ports secs et de routes seront également présentés au investisseurs.
Six mois plus tard, la réponse des entreprises chinoises est là à travers la Société chinoise de l’industrie légère pour la Coopération technique et économique à l’étranger (CLETC). Quatre grands projets seront bientôt réalisés. Il s’agit de l’aménagement des zones industrielles ainsi que l’implantation de 3 usines de transformation des produits agricoles.
Le protocole d’entente marquant l’adhésion de la CLETC à ces projets a été signé vendredi après-midi au département du Commerce et l’Industrie. Les documents ont été paraphés par le ministre Abdel Karim Konaté et le président du CLETC, Wang Xiangyang. La cérémonie a enregistré la présence du président du Collège transitoire de la Chambre de commerce et d’industrie du Mali, Mamadou Tiéni Konaté, des représentants de l’Organisation patronale des industries et d’une forte délégation de la coopération chinoise composés de directeurs de sociétés et entreprises chinoises installées dans notre pays. De quoi donner un nouveau souffle à la coopération économique entre le Mali et cette grande structure technique de la deuxième puissance économique mondiale.
UNE COOPERATION CONSTANTE. Dans son intervention, le président du CLETC, Wang Xiangyang a rappelé la vitalité de la coopération entre son pays et le nôtre depuis les premières heures de notre indépendance. « Depuis1960, la coopération entre le Mali et la Chine est restée constante avec beaucoup de réalisations. Et pendant la crise qui a secoué le Mali, la Chine est restée aux côtés des autorités et du peuple malien pour les accompagner à travers diverses actions aussi bien humanitaire qu’économique. Nous sommes aujourd’hui là pour concrétiser les promesses faites au président de la République Ibrahim Boubacar Keita lors de sa visite au forum d’été de Davos à Tianjin », a souligné le patron du CLETC en rappelant l’engagement de son pays à accompagner notre pays sur ses différents chantiers de reconstruction et de relance économique.
Soulignant de l’importance de ces projets, Wang Xiangyang indiquera qu’il s’agit de l’aménagement d’une dizaine de zones industrielles et de l’installation de trois grandes usines de transformation de produits agricoles pour un investissement de plus de 100 milliards Fcfa.
Pour le patron du département de l’Industrie et du Commerce, Abdel Karim Konaté, cette signature marque le nouvel élan que le gouvernement, à travers son département, entend donner au secteur de l’industrie en général et de l’agro-industrie en particulier. Ce protocole d’accord, détaillera-t-il, est relatif à l’aménagement des zones industrielles de Mopti (300 ha), de Sikasso (100 ha), de Fana (90 ha), de Koutiala (100 ha), de la commune de Mandé (200 ha), de Sanankoroba (200 ha), de Koulikoro (45 ha) et de Ouélessébougou (40 ha). Il s’agit aussi de l’implantation de trois grandes usines de transformation des produits agricoles notamment une usine de transformation de manioc et de production de concentré de tomate dans la zone Office du Niger et une usine de production d’huile d’arachide à Kita.
Le ministre Konaté révélera ainsi que ces projets mobiliseront plus de 100 milliards de Fcfa d’investissements dans le secteur industriel du Mali et contribueront à l’atteinte des objectifs de développement économique du président de la République, Ibrahim Boubacar Keita qui est de faire de l’agriculture le moteur du développement de notre pays. « En effet, la contribution du secteur industriel dans la transformation des matières premières locales s’avère aujourd’hui indispensable pour notre pays qui regorge d’énormes potentialités agricoles. Et l’implantation de ces usines renforcera la densification du tissu industriel de notre pays tout en améliorant des conditions de vie des populations des zones de production par l’accroissement et la sécurisation de leurs productions», a-t-il développé tout remerciant la coopération chinoise pour son accompagnement constant.
« Il s’agit là d’un signal fort et de la manifestation de la solidité des liens entre notre pays et la Chine. C’est aussi la manifestation tangible de la volonté et de l’engagement résolu des autorités de la République populaire de Chine à travers la Société chinoise des industries légères pour la Coopération technique et économique à l’étranger (CLETC) d’accompagner et soutenir le Mali dans ses efforts de reconstruction, de relance économique et de mieux-être de ses populations », s’est réjoui Abdel Karim Konaté.
D. DJIRE
source : L Essor
http://mali-web.org/politique/cooperation/mali-chine-quatre-projets-industriels-pour-plus-de-100-milliards-fcfa
Monsieur LOMA peut il me dire qu’il n’est jamais parti en vacance depuis qu’il est journaliste?Et pourtant il y’a toujours eu des reportages à faire dans son journal.Mais en tant que bon journaliste je pense pas qu’il ait eu le courage de renoncer à ses vacances pour l’amour de son métier.Il devait y réfléchir avant de s’attaquer aux vacances gouvernementales.
Mr Sow, le Mali est plus que jamais sollicité par les partenaires techniques et financiers, la France et l’Amérique ne sont pas les seuls partenaires de ce pays. La Chine a toujours été un partenaire digne du Mali. Ces soutiens matériels et financiers ont comme routine apporté un plus à la construction de l’édifice de notre patrie, la chine a fait sortir le gros paquet. Ainsi, à travers une cérémonie de remise de ce don qui s’est déroulée le jeudi 15 mai. Estimée à une valeur de 4 milliards de FCFA, la République populaire de la Chine a remis un don comportant 30 ambulances, 30 pick-up, 20 bus, 10 berlines, 300 ordinateurs, d’importants équipements complets d’ordinateurs, 205 groupes électrogènes de 10 à 100 KWA. S’y ajoutent 10.000 couvertures, autant de tapis et 13.500 pièces détachées pour les véhicules.
La polémique sur les vacances gouvernementales est une ruse de Soumaïla Cissé pour décrédibiliser IBK et son gouvernement aux yeux de la population toute entière et des militaires. Mais aussi bête que l’on soit on doit être en mesure de comprendre cela. Je me demande vraiment comment réfléchissent les journalistes maliens. Presque tous sont des amaldèmes en fait ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ Des lakalaka tô dadji bô ❗ 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Tout d’abord la justice malienne est depuis très longtemps la justice fait face à toute sorte de problème et cela depuis les régimes passés qui n’ont d’ailleurs rien fait pour remédier le problème. Depuis l’avènement du régime d’IBK toutes les structures sensibles ainsi que la justice sont en train de prendre une très bonne allure.
Il ne reste plus que ça, les journalistes malien deviennes des politiciens ayant un camp comme opposants.
I wonder what that shit journalist con criticizes our government, in fact, he tells nonsense !!! Did all the ministers who went on vacation? Do ministerial department are closed? The SEGAL are they not here? The cabinet they are not open? What do you want more !!!
Contrairement à vous, on voit bien que la caisse malienne se porte à merveille. Grace aux efforts fournis par le Ministre Mamadou Igor Diarra et son équipe, pour la première fois au mali, les recettes budgétaires vont dépasser le cap des 1 000 milliards de FCFA en 2016. Une première d’ailleurs au Mali depuis l’avènement de l’indépendance. Ce fort changement dans le domaine des impôts et douanes. Avec ce rythme rien n’empêchera IBK de répondre aux attentes des maliens. Si d’autres cherche à le nuire jour et nuit, d’autres font tout pour le porter haut. Malgré cette crise multidimensionnelle que notre pays traverse, l’économie atteint en même temps les attentes tant attendu. Reconnait, qu’avec le coup d’Etat du 22 mars par les putschistes, l’Economie malienne avait connu une forte baisse. Personne ne pouvait croire à moins de deux ans du mandat présidentiel que notre pays allait reconnaitre le taux de son économie habituel à plus forte raison le dépassé. Avec cette grande croissante sur le patrimoine de l’économie, le Mali connaitra un sacré changement.
Do not attempt to compare the situation to that of the MALI France, MALI is not France, our governments are not the same, our ministers are different and our countries are diametrically opposed !!! So how can one compare?
Si les maliens se veulent développer ils n’ont qu’à suivre le président IBK l’homme de la situation.
😳 😳 😳 😳 😳
Le régime d’IBK pour votre information depuis le temps de la colonisation jusqu’à nos jours, tous l’ensemble du système malien (L’école, l’armée, l’agriculture, la santé, la diplomatie, les infrastructures, l’assainissement) prend appui de celui de la France. Même la constitution malienne est le copier-coller de celui de la France, le Mali fonctionne sur la base des français. IBK n’est pas fautif de cela et il partira pour laisser cela. Mais vous accusez IBK des faits qui date depuis qu’il était encore à l’école.
😳 😳 😳 😳 😳
Le Mali n’a pas besoin du financement de ces investisseurs auxquels tu fais allusion pour progresser. A part eux, figure toi qu’il y en a en pagaille. Concernant les vacances gouvernementales, on peut tout simplement dire qu’elles ont coïncidé avec les attaques et c’est la volonté de Dieu. Personne ne possède le pouvoir de l’éviter.
Vacances,vacances,vacances…Ils n’ont que ça à la bouche.Mais comment refléchissent ces détracteurs du président IBK?
Bruno E. LOMA
Faites preuve de professionnalisme et de maturité, vous raisonnez comme un gosse. Les vacances gouvernementales au MALI peuvent coïncider avec celui de la France mais cela ne veut pas autant dire qu’IBK triche le système français. Je suis désolé, mais votre niveau de compréhension est déraisonnable.
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Cet article est un incitateur à la haine, le journaliste raconte que des sottises dans le seul but de manipuler la conscience des honnêtes citoyens. C’est un journaliste satanique, ce sont ces genres de journaliste qui n’aiment pas voir la paix et la stabilité instaurer dans notre pays.
Mon cher on ne publie pas un article juste pour un plaisir, mais pour informer et prévenir les citoyens. Les partenaires techniques et financiers ne cessent de franchir la porte de notre pays depuis la mise en place de ce régime. Après les finances et les télécommunications, le partenariat entre le Maroc et le Mali vient encore de se renforcer à travers un nouveau cadre établi par les sociétés marocaines INES et SOFA et EDM-SA. Ce projet a pour objectif de faire profiter largement EDM-SA de l’immense expérience marocaine en matière d’électricité. Croyez-moi mon cher, ce projet n’est que le minime parmi les différents projets assigné par le Maroc au Mali.
Le président de la république et son gouvernement ont promis de ramener la sécurité dans notre pays et je suis sûre qu’ils le feront !!! Ils n’ont pas besoin d’être présent physiquement pour le faire, ne nous casses pas les oreilles !!!
OLIVER QUEEN 😀 😀 😀 😀
58 commentaires
12 août 2015 à 11:00
Grâce à la bonne diplomatie du régime d’IBK, le Mali a reçu à gagner la confiance de plusieurs investisseurs étrangers à travers le monde entier. Seul des apatrides peuvent affirmer le contraire. Le Mali a plusieurs investisseurs étrangers sur lesquels nous pouvons compter.
Arrêtez de raconter des baratins, le Mali est envahie des partenaires techniques et financiers. Ce n’est pas la France et l’Amérique qui sont les seuls à investir au Mali, au cas vous l’ignorez. Grace au talent et la diplomatie de nos gouvernants. Le Mali est aujourd’hui garnie des partenaires nationaux et internationaux venu de tous les horizons qui investissent dans tous les régions de notre pays, précisément celles du nord.
Le gouvernement malien n’est pas conçu des ânes, c’est des êtres humains, tout comme vous et moi. De ce fait, ils ont droits au repos. D’ailleurs, ce statut n’a pas commencé par eux et ils ne seront pas les derniers à le pratiqué non plus.
Ces attaques terroristes qui viennes de frappé le pays peuvent être considérer comme des malheurs de guerre. C’est une lutte dans laquelle tous les maliens se sont getter. Nous devrons arrêter d’apporter nos accusations les uns sur les autres pour trouver une solution de vaincre ce terrorismes qui qui se veut installer sur notre pays.
Pour ton information Bruno E Loma, car il me semble que vous faites l’informer alors que vous ne l’êtes pas, ce ne sont pas tous les ministres français qui sont allés en vacances et chez nous aussi c’est pareil. Alors de grâce arrêtons les polémiques sur des sujets qui ne font pas le poids.
Je me demande bien ce que ce journaliste de merde à la con reproche à notre gouvernement, en fait, il raconte des bêtises !!! Est-ce tous les ministres qui sont partis en vacances ? Est-ce que les département ministériels sont fermés ? Les SEGAL ne sont-ils pas présent ? Les cabinet ne sont-ils pas ouverts ? Que veux-tu de plus !!!
Boubacar Sow renseigne toi avant de faire lire des sottises et des mensonges. Le Mali ne manque pas des investisseurs à l’heure actuelle. Tout le monde de la situation du pays pour raconter des stupidités.
Dans le passé plusieurs attaques se sont perpétrées sur le sol malien avec les ministres en fonction et aussi plusieurs maux se sont déroulés. Alors n’associons pas d’associer les vacances gouvernementales aux problèmes du pays. La présence des ministres ne peut pas empêcher les attaques. C’est inadmissible !!!!!!!!!!!!!!!
La vacance gouvernementale n’est pas un crime, avant tout c’est des êtres humains. Avant tout ils ont aussi besoin du repos tout comme nous tous. Le fait qu’ils soient allés en vacance ne signifie pas qu’ils ne travaillent pas. C’est juste une formalité, ils peuvent ne pas être présent aux bureaux, mais tout en travaillant là où ils se trouvent.
Que sous entende-vous par investisseurs ? Le Fond Monétaire Internationale n’est-il pas un investisseur international. La communauté internationale à travers la Minusma réalise crée chaque jour des emplois pour les jeunes maliens, sans compté les investissements qu’elle mise dans les projets. N’est ce-t-elle pas un investisseur étranger ? La Chine n’est-elle pas jusqu’à présent un partenaire du Mali ? Le Royaume de Danemark à travers ses ONG crée des projets et mise des fonds dans le nord Mali. N’est-il pas aussi un partenaire du Mali ? Pour ne citer que ceci mon cher journaliste, je te conseil de retourner sur les bancs, car t’es pas à la hauteur.
Ne poussez pas la population à la haine, le gouvernement intervient après chaque évènement. Ce n’est pas tout, le président de la République Ibrahim Boubacar Keita s’est rendu plusieurs fois au chevet des blessés de dernières attaques perpétrées par les djihadistes.
Je pense qu’on ne doit pas créer polémique autour des vacances gouvernementales parce que malgré ces vacances le ministère continue de fonctionner. Les vacances ne signifient pas l’arrêt systématique du gouvernement comme plusieurs détracteurs tentent de le faire croire à la population.
Ce n’est certainement pas parce que les Etats-Unis et la France n’ont pas investi au Mali qu’il n’y aura pas d’investisseurs étrangers. Donc si je comprends bien, selon lui ce sont les Etats Unis et la France les seuls investisseurs potentiels au monde ? Qu’est-ce qu’il fait du Maroc, de la Turquie, la Chine et la BOAD ? Que je sache ces pays ne sont pas du Mali.
Pour la Chine seule, je te conseille de lire très attentivement cette information ci-dessous:
IBK en Chine : des résultats exceptionnels pour une coopération exemplaire
Direction de la Communication et des Relations Publiques – Présidence de la République
Tianjin, le 11 septembre 2014 – Le président de la République, SEM Ibrahim Boubacar Keïta, effectue à l’occasion du Forum Economique Mondial d’été 2014 sa première visite en République Populaire de Chine depuis son élection à la magistrature suprême du Mali.
Le Chef de l’Etat, qui entretient des relations exceptionnelles avec les autorités chinoises, a mis à profit cette rencontre pour donner un cachet économique à sa visite à Tianjin.
Au regard, des résultats obtenus à mi-parcours du séjour, on peut dire que le Forum Economique Mondial 2014 restera désormais marqué avec l’encre indélébile dans les annales de la coopération sino-malienne. En effet, on retiendra que le voyage à Tianjin a offert l’opportunité au Président KEITA de donner une nouvelle dynamique à la coopération exemplaire sino-malienne déjà veille de plus d’un demi siècle, conformément aux aspirations des peuples chinois et maliens.
A Tianjin, en marge du Forum Economique Mondial, le le Chef de l’Etat aura deux entretiens avec le Premier ministre chinois, SEM LI Keqiang. Ces entretiens seront autant d’opportunités pour consolider les relations bilatérales sino-maliennes,déjà bâties sur un socle solide. En premier agent économique du Mali, le Président IBK réaffirmera à ses interlocuteurs l’exemplarité de la coopération sino-malienne qui, désomais, va se structurer autour de la solidarité et le renouveau à travers le commerce.
En guise de pré-bilan, outre les 18 milliards de FCFA de don sans conditions, le prêt de 8 milliards de FCFA sans intérêt soit vingt six (26) milliards de FCFA, la Chine offre gracieusement 600 bourses d’études aux étudiants maliens sur une durée de 3 ans et des équipements médicaux d’une valeur de 80 millions de FCFA.
En marge du Forum, le Président IBK a également rencontré plusieurs Consortium d’entreprises chinoises pour booster le chantier du renouveau et de la renaissance du Mali dont il s’est fait le chantre dans son projet « Le Mali d’abord ». Dans ce cadre, et sous son impulsion, plusieurs accords et conventions ont été signés dans les domaines aussi variés que les infrastructures, les transports, le logement, l’énergie, le numérique, l’industrie et les mines.
En attendant la série de rencontres prévues ce vendredi 12 septembre entre le président de la République et d’autres patrons d’entreprises chinois, le bilan à mi-parcours est déjà exceptionnel. Jugez-en plutôt :
1 – Dans le domaine de l’Équipement, des Transports et du Désenclavement.
– La réalisation du chemin de fer Bamako-Conakry ;
– La réalisation du pont sur le fleuve Niger à Ségou,
– La réalisation de 07 ports secs à Bamako, Kati, Sikasso, Kayes, Nara, Naréna et Gao ;
– Le dragage du fleuve Niger ;
– L’aménagement des berges du fleuve Niger à Bamako ;
– La réalisation de la route Bamako-Koulikoro et du pont sur le Kayo ;
– L’obtention d’un crédit fournisseur de 21 millions USD pour l’équipement du Cetrud ;
– La réalisation des routes :
a)Kwala-Goumbou-Nara,
b)Ansongo-Ménaka-Anderamboucane,
c)Douentza-Tombouctou (études de faisabilité).
– La réalisation de 04 barrages Moussala, Badoumbé, Boudofara et Bindougou) ;
– La réalisation et/ou l’extention de l’adduction d’eau à Sikasso, Ségou, San et Koutiala ;
– La réalisation d’un complexe immobilier pour le Sommet France-Afrique,
– La réalisation de 24.000 logements sociaux ;
– La réalisation d’une ville nouvelle.
2. Dans le domaine de l’Energie:
– La réalisation d’une centrale solaire de Kati ;
– La réalisation d’une centrale solaire à Koulouba ;
– La réalisation d’un transformateur à Sanankoroba qui permettra la stabilisation de la distribution d’électricité à Bamako.
3. Dans le domaine de l’Industrie et de la Promotion des investissements :
– La création d’une usine pharmaceutique ;
– La relance de l’unité de production de thé de Farako (Sikasso) ;
– La création et l’aménagement de zones industrielles ;
– Le financement d’une ligne de crédit pour la création de PME et PMI par ICBC et SINOSURE.
Ces résultats que l’on peut qualifier d’exceptionnels traduisent l’exemplarité et l’excellence de la coopération sino-malienne. Mais ils traduisent aussi et surtout la volonté du Président IBK à réaliser sa promesse de campagne de faire le bonheur des Maliens en bâtissant un Mali du futur, d’espérance et d’excellence.
Ce vendredi, le président KEITA aura d’autres entretiens avec les autorités chinoises, tout comme il supervisera la signature d’autres conventions.
Il est temps d’enterrer cette affaire des engrais frelatés. Le gouvernement malien n’y peut rien contre quelqu’un, tant que le résultat de la commission d’enquête ouverte il y’a un moment ne sont pas apparus. De même, ce n’est pas une première que le Mali soit confrontée à un tel cas. Ce pays en a connu d’autre sous le régime précédent. Donc, ce n’est pas la fin du monde que les engrais soient frelatés encore une fois.
Vous nous racontez quoi là ? Les vacances, les investissements du n’importe quoi !!! Ce journaliste est un tas de merde, il se base sur des faits qui n’ont nullement lieu d’être et des exemples qui ne valent vraiment pas la peine !!!
Le problème avec les maliens est que ils ne font jamais ce qu’ont leur demande, ils ne vont jamais dans le sens souhaité !!! Tout ce qui les intéressent ce sont les critiques sans fondement et sans raison !!!
Les maliens ne sont en aucun cas abandonné par son autorités. Les membres du gouvernement viennent de prendre ce qui leurs sont de droit, dans un pays il n’y a jamais un manque de problème. Il faut être du gouvernement pour comprendre que cela est une vérité.
Mr le journaliste si vous n’aviez rient à dire, il faut te taire et rend le camp de l’opposition les ratés du pays.
Le MALI est un État de droit et gouvernement à bel et bien droit de prendre des vacances !!! D’ailleurs, ce sont des congés de figurations, car les différents ministères fonctionnent normalement, seuls les ministres ne sont pas présents physiquement !!!
N’essayez pas de comparer la situation du MALI à celle de la France, le MALI n’est pas la France, nos gouvernements ne sont pas les mêmes, nos ministres sont différents et nos pays sont diamétralement opposé !!! Alors, comment peut-on les comparer ?
Qu’ils comparent la situation du MALI à celle de la France ne m’étonne pas du tout de leur part, car ce ne sont que des crétin et des ignorants !!!
Cette vacance gouvernementale est un droit qui est mise en place il y’a longtemps de cela. Ce droit de ces membres du gouvernement est un droit légale et aucun document ne demande de renoncé à cette vacance quel qu’en soit la cause. Ce droit n’est autre chose qu’une formalité. Dans chaque structure il y’a une équipe présent qui prendrons en charge les choses d’urgences.
Le gouvernement à bel et bien droit à des vacances et je ne pense pas qu’il y ait un moment bien précis pour cela. Il peut partir quant-il veut rien ne l’empêche, à plus forte raison votre article à la con !!!
Le problème n’est pas ni le gouvernement ni les membres du gouvernement mais plutôt l’URD qui saisi toujours du malheur pour faire campagne. Et quand Soumi faisait sa campagne en hélico en 2002 il n’y avait-il pas de malien qui mourait de faim, notre armée n’avait-elle pas besoin des armements en ce moment.
Mais finalement on ne comprend pas ce que l’opposition veut. au lieu de vous mettre à critiquer, présentez vos condoléances.
Le Mali, ayant été bâti sur le socle inaltérable de la vérité et de la justice, de l’amour, de probité morale, du respect de soi et des autres,… des mensonges d’aujourd’hui, de folie du gain, et du gain facile, des trafics éhontés du foncier, des coups bas, escroquerie, trahisons, ne nous mèneront nulle part, mieux vaut donc retourner à nos valeurs d’antan, qui ont fait la grandeur du Mali et ‘’ son bon vivre’’ à l’unisson !!
Certes, au Mali, quand vous réussissez là où d’autres avant vous ont lamentablement échoué, il faut vous attendre à des lâches diatribes, basées uniquement sur la haine, la rancœur, la méchanceté viscérale de vos adversaires, décidés désormais, à vous abattre à tout prix.
A quand, nous les maliens, allons-nous nous défaire enfin de notre naïveté et de nos défauts ? (à penser que la République est l’affaire du Président seul, à qui on s’en prend pour un oui ou non n’importe comment ! comme si c’est lui seul qui doit avoir la solution à tout, pendant que les autres, bras croisés, assistent en spectateurs aux incantations de sa baguette magique).
C’est pourquoi, rien ne bouge !!!
tièèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèè cette vacance n’est qu’une formalité. comment vous pouvez pensez ainsi? idiot de rédacteur. tu n’as pas de bonne plume,
L’opposition Malienne a perdu sa valeur, dans un Etat démocratique comme le Mali l’opposition doit tout fait pour aider le gouvernement a fait son travail.
La population Malienne sait réellement que le gouvernement est a la mesure de fait sortir le pays au crise, mais pour tout cela certains comme TRETA, DRAMANE et SADA cherchent a nuire le gouvernement.
La vacance du gouvernement est légal, certes une partie de la population a connu du malheur mais ce n’est pas toute les structures du gouvernement qui partent en vacance. que dieu accueille ces brave maliens dans son paradis.
Un petit groupe de femmes et d’hommes, une trentaine de personnes, que comptent nos gouvernants, que peuvent-ils ? Sans le concours de toutes les intelligences à leur côté, pour mener à bon port notre pays.
Nos décisions doivent venir de nous-mêmes, et non des autres et d’ailleurs à notre place…
Ainsi, de faux démocrates et pseudo-démocrates d’hier et d’aujourd’hui avides de pouvoir par orgueil et non par patriotisme, sont devenus des opposants farouches ; depuis qu’ils n’ont pas obtenu le retournement de leurs vestes tant sollicité auprès du Président de la République, ce patriote au grand cœur, fraîchement plébiscité par son peuple ; alors ils sont devenus nos pires ennemis, en créant une opposition moribonde, sur fond d’aigreur, tellement pétrie de mauvaise foi ; qu’elle ne voit que du mauvais partout, incapable d’analyses objectives, en reconnaissant nos acquis, annonçant déjà un réel changement, et encourager pour ce qui reste à faire ou à parfaire.
Ce n’est pas sérieux, et relève de l’enfantillage (pour ses propos malveillants à travers des interventions ridicules, aussi indigestes, que de mauvais goût. D’ailleurs un adage de chez nous dit : « n’sôn cagni, ni togo tignè baga sôn gné » autrement dit :’’ mon caractère vaut mieux, par rapport, au caractère de celui qui me dénigre ‘’.
Pourtant cette opposition doit être reconnaissante envers le Président Ibrahim Boubacar Keïta, qui lui a donné, ce que personne ne lui avait donné avant, j’allais dire de l’importance. Elle devait avoir une bonne conduite envers lui !
La lutte contre le terrorisme est un combat national et qui tend même à être mondialisé. Mais quoi qu’il advienne, nous ne nous soucions que pour le cas malien d’abord. En effet, pour le bonheur effectif des maliens le soutien doit venir de tous les maliens pour faciliter et aider nos autorités à mieux accomplir leur mission.
L’objectif principal de la signature de l’accord est bien sûr de faire régner la paix, la réconciliation et surtout la stabilité totale au Mali. Mais jusque-là des individus de mauvaise et sans vergogne continuent à compromettre cet objectif.
Nous sommes tous interpellés face à cette situation et sans l’effort commun le mal ne saurait être soustrait dans la société malienne.
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Le gouvernement d’IBK ne sera pas une garderie des ministres incompétents, seul les ministres qui ont fait preuves de compétences et qui inspirent confiance feront partie du gouvernement. IBK et son PM seront faire le bon choix, je suis sûr. Les ministres entrants qu’ils ne gaspillent leurs argents de chez les marabouts et les charlatans. Seul les plus méritant seront sélectionné.
💡 Mais aussi je lance un vibrant appelle à la population de soutenir les choix du président IBK et de son PM, car sans population, le gouvernement n’existe pas. Nous devons prêter main fort à notre gouvernement. tout le peuple malien doit rester unis derrière IBK et son PM comme une barre de fer conçu en fer d’acier. C’est dans les intérêts du pays et c’est ainsi que le pays pourra avancer. 😀 😀
Je demande au président IBK pour le prochain remaniement il n’a qu’à laissé tomber tous ses ministres actuelles. il dois repartir avec une nouvelle équipes s’il veut réellement terminé son mandat dans la paix.
Mon ami(e) , tu as une bonne idée mais il ne faut pas oublier que cela nous mettra beaucoup en retard. Car tout laisser et reprendre a nouveau tu vois ce que cela fait? je crois qu’il doit laisser tout simplement les ministres incompétents.
Ibk et sont gouvernement n’ont rien à foutre de la population malienne ce sont des opportunistes sans fierte a commencer par Ibk même qui ne maîtrise plus rien a part tromper vole sont peuple Ibk est une déception il n’est pas fait pour diriger
Car pour diriger il faut connaître les rouages de sont pays comme Ibk na jamais travailler dans sa vie il est débordé il a fait toute sa vie sur le dos des maliens a cause lui le Mali a perdu sa crédibilité par sa lachete sa paresse son indignité
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