Selon une source bien introduite, la démission du Premier ministre Oumar Tatam Ly interviendra dans quelques jours. Plus précisément la semaine prochaine, c’est-à-dire début mars. Certains parlent même de la fin de cette semaine. Le temps de finir avec l’agenda diplomatique gouvernemental et autre intendances
Dans certains départements, le seul fait de penser à une éventuelle démission du gouvernement imprime un faux rythme au train-train quotidien. Tous les regards sont rivés sur Koulouba. Cependant IBK devait réserver une part importante à son parti selon les langues fourchues.
Forte d’une coalition majoritaire de 126 députés sur 147, le président de la République se frotte aujourd’hui les mains. Son parti- le Rpm- a failli s’arroger à lui seul la majorité avec 66 députés plus les quatre députés indépendants, ce qui fait 70. Il lui fallait seulement 4 autres élus pour avoir la majorité absolue. Mais on n’en est pas là. Pour le moment le Rpm est obligé de composer avec ses alliés qui sont l’Adema Pasj avec 16 députés, l’alliance Fare Anka Willi et Sadi avec 11 élus ou encore la coalition de partis dénommée alliance pour le Mali avec 26 députés. Dès lors, la recomposition du gouvernement devient obligatoire, afin de prendre en compte les alliés de la majorité parlementaire. C’est une tradition à laquelle le Premier ministre doit sacrifier : il présente sa démission et celle de son gouvernement après la mise en place de l’Assemblée nationale. Quitte à Ibrahim Boubacar Kéïta de le reconduire ou de chercher un autre.
Mais selon de bonnes sources, Oumar Tatam Ly doit rempiler. Mais plusieurs de ses ministres vont devoir céder leur place à des nouveaux. Non pas par incompétence mais parce que c’est comme ça.
A la primature, la question est bottée en touche. En revanche, on préfère travailler à sauvegarder les acquis d’un Premier ministre qui semble avoir la cote.
Alhassane H. Maïga
Bonjour,
Les gros calibres des partis politiques ne sont pas indispensables dans le gouvernement. Ils doivent rester à la tête de leurs partis.
Des cadres compétents des partis politiques seront plus adaptés.
Ce qu’il faut, c’est la compétence, être travailleur et le dynamisme pour sortir le pays de la crise actuelle et le hisser au rang des grandes nations qui se sont prises en charge.
Certains ministres du gouvernement actuel incarnent ces valeurs tels que: Le Premier Ministre, Zahabi Ould Sidi Mohamed, Ousmane Ag Rhissa, Cheick Oumar DIarrah, Soumaïla Boubeye Maïga.
Ils doivent être reconduits.
Des compétences doivent être recherchées au niveau de la société civile et des cadres Maliens sans étiquette sans oublier la diaspora Malienne.
Ne nous trompons pas, c’est eux qui permettront au Mali de s’en sortir durablement en mettant en avant l’intérêt général et le bien-être des Maliens.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
E-mail: Webanassane@yahoo.com
TEL 78 73 14 61
je pense qu’il est temps de voir d’autre compétence…
et faire confiance à la jeunesse et aux femmes…
Arrêtons les choix politiciens et sortons le pays de l’impasse d’abord.
Le prochain gouvernement doit répondre à l’aspiration du peuple, à savoir unifier le Mali, sécuriser le Mali, réconcilier les maliens et donner l’envie à chaque malien de contribuer à l’émergence du Mali…
Comments are closed.