Cette nouvelle équipe compte 29 membres contre 33 pour la précédente. Elle est caractérisée par l’entrée de six ministres, dont deux candidats malheureux aux présidentielles de juillet 2013. Il s’ agit de Dramane Dembélé de l’ Adema (de l’ Urbanisme et de l’ Habitat) et Dr Choguel Kokalla Maïga du Mouvement patriotique pour le Renouveau (MPR) nommé au ministère de l’ Économie numérique, de l’Information et de la Communication.
Les autres rentrants sont Kenekoro dit Barthelemy Togo (de l’ Éducation), Mme Diarra Raki Tarra (du Travail, de la Fonction publique et de la Réforme de l’ Etat, chargée des Institutions), M. Mohamed Aguerlaf (de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement durable) et M. Mamadou Igor Diarra (de l’Economie et des Finances).
Les partants sont majoritairement les ministres liés au scandale de la surfacturation du contrat d’ armement et à l’achat de l’avion présidentiel. Il s’ agit de Mme Bouaré Fily Sissoko, Mahamadou Camara et Ben Barka.
Le nouveau gouvernement compte seulement trois femmes.
Par ailleurs, même s’ ils restent dans le gouvernement, beaucoup de proches du président IBK ont changé de poste. C’ est le cas de Me Mohamed Ali Bathily qui quitte la Justice pour gérer le département des Domaines de l’ Etat, des Affaires foncières. Le précédent titulaire de ce portefeuille, Tiéman Hubert Coulibaly, est désormais le ministre de la Défense et des Anciens combattants. Et M. Mahamadou Diarra quitte l’ Urbanisme pour le ministère de la Justice, des Droits de l’ Homme, Garde des sceaux.
Quant à Abdoulaye Idrissa Maïga (directeur de campagne d’IBK), il passe du ministère de l’ Environnement, de l’Assainissement et de l’ Eau, à celui de l’ Administration territoriale et de la Décentralisation. Un portefeuille clé en vue des prochaines élections communales et régionales.
Pendant que M. Abdoulaye Diop poursuit son bail avec les Affaires étrangères, l’ Intégration africaine et la Coopération internationale, le ministère de l’ Economie et des Finances est désormais confié à l’ ex-Directeur général de la Banque internationale pour le Mali et ancien ministre de l’ Energie, M. Mamadou Igor Diarra.
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IBK rebelote avec des anciens ministres de ATT alors que jeunes brillants et compétents cadres existent dans ce pays qui n’attendent que d’être appélés pour servir le Mali. Comment faire du neuf avec du déjà vu et connu? Seules des personnalités neuves et intègres pourront l’aider à sortir ce pays de la précarité? Du côté de la majorité présidentielle vous avez des jeunes très actifs comme Bandiougou Diawara, banquier de rénom et fin diplomate de père en fils, racine thiam et autres qui peuvent être de bons ministres. J’ai participé à la 1ere Conférence Nationale de son parti APDM-Equité le 20 décembre 2014 au CRES, je puis vous assurer que ce Monsieur Diawara a beaucoup d’avenir en politique à condition qu’il garde le cap et qu’il defende farouchement la valeur Equité comme il le prétend.Diawara an bi ko! Tiens bon tu seras dans le prochain gouvernement d’IBK inchallah! Et nous saluons ta brillante intervention lors de la récente conférence nationale du RPM au palais de la Culture le 27 décembre 2014. Que Dieu bénisse le Mali. De passage très bonne chose pour IBK d’etre présent à la marche républicaine en cours ce jour à Paris auprès de Papa Hollande! La France mérite ça de la part du Mali. Salam!!!
Bonsoir,
Quelque soit la composition du nouveau gouvernement Malien, il y aura toujours des critiques.
Ce qu’il faut, maintenant, c’est de se mettre au travail, sans tarder, en privilégiant les chantiers chauds et importants (finalisation du projet d’accord d’Alger, justice impartiale, commission vérité, justice et réconciliation, réconciliation nationale, organiser la régionalisation, reconstruction durable du pays, …).
Nous sommes à quelques jours du rendez-vous pour la finalisation du projet d’accord d’Alger pour une paix durable au Mali, nous devons travailler pour homogénéiser les propositions de la partie Malienne pour rendre effectif un tel accord.
Cette homogénéisation peut se faire à travers un atelier, de trois à cinq jours, ouvert à tous (majorité, opposition, société civile, forces de défense et sécurité, religieux, …).
Mettons en avant les chantiers importants afin de sortir de la crise, d’aboutir à la réconciliation nationale et d’impulser le développement durable du pays.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
E-mail: Webanassane@yahoo.com
TEL 78 73 14 61
L’Éducation Malienne est malade il ya cela des années, mais tout problèmes à des solutions si nous les Hommes qu’il faut se mettent à chercher.
Si I.B.K ne veut pas que l’Éducation Malienne échoue comme les années passées il laissera Mr Kénékouo dit Barthélémy Togo continuer à diriger le Ministre qui est en chargé de l’Éducation car c’est un Homme de principe il connait tout les problèmes qui prévaut au sein de notre École.
Si le Président IBK ne veut pas que le Mali ne tombe plus dans une crise constitutionnelle ou autre il doit faire tout son possible donne l’audace au nouveau Premier Ministre Modibo Keita pour cette fois-ci de son administration qu’il essaie aussi d’éviter de faire manger les Maliens par le dos de la cuillère.
Que Dieu bénisse le Mali et les Maliens!
Et enfin je profite de l’occasion pour souhaiter bon vent au nouveau Gouvernement sans cherché de l’intérêt personnel car le Mali c’est mon pays, je ne souhaiterai pas l’échec a qui que ce soit.
Vane TRAORE.
menteur
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