Entre le 08 septembre 2013 et le 15 janvier 2016, soit en l’espace de 28 mois et 7 jours, le président Ibrahim Boubacar Kéïta aura expérimenté trois Premiers ministres, brûlé cinq gouvernements (le sixième est en exercice) qui ont vu défiler au moins une cinquantaine de ministres. Si l’on sait qu’à chaque retouche du gouvernement, les cabinets ministériels changent à près de 100% et les services rattachés à plus de 80%, l’on mesure l’impact dramatique de cette instabilité dans l’efficacité de l’action gouvernementale et la bonne marche des services publics. Pire, ce sont les membres de la famille présidentielle, les parents, proches, alliés et affidés qui écument l’administration, sans la moindre compétence. Souvent, ce sont de vieux chevaux, qui ont fait valoir leurs droits à la retraite, qui sont rappelés dans l’écurie. Cela, au détriment de grands commis de l’Etat et autres cadres valables, mis au chômage ou confinés à des tâches de second plan. Les exemples sont légion dans les trois cas de figure. Conséquence : dysfonctionnement de l’administration, morosité dans les services publics avec leur corollaire de marasme économique, crise financière, ébullition du front social.
L’instabilité gouvernementale et administrative tue l’administration malienne. L’Etat se consume à petit feu. Et si IBK n’y prend garde, il risque, dans deux ans, de se retrouver nez à nez avec le peuple malien, bredouille ; donc avec l’honnêteté «mandenka » de ne pas briguer son suffrage. Ce jour-là, le candidat élu à plus de 77% en 2103 réalisera qu’« il a tapé à côté », pendant cinq ans, à cause de son entourage, de ses choix politiques, de sa gouvernance. Aujourd’hui, le président de la République ne peut pas revendiquer le moindre acquis de rang dans n’importe quel domaine. Aucun Malien, aucun africain, personne au monde, ne peut indexer une infrastructure réalisée sous le régime d’IBK ou un important projet social initié ces deux dernières années à l’image de l’Amo (Assurance maladie obligatoire) d’Amadou Toumani Touré, une sécurité sociale qui fait aujourd’hui la fierté des Maliens.
Pourquoi Ibrahim Boubacar Kéïta est en si grand retard dans la réalisation de son programme de société (!!!) ?
La faute incombe à lui, et à lui tout seul. Et elle tient en premier lieu à ses très mauvais choix de Premiers ministres, qui l’ont conduit à faire défiler, en 16 mois (septembre 2013-janvier 2015), trois chefs de gouvernement. A leur tour, Oumar Tatam Ly (8 septembre 2013-4 avril 2015), Moussa Mara (5 avril 2015-8 janvier 2015) et Modibo Kéïta (depuis le 8 janvier 2015) procèdent cumulativement à cinq changements dont trois à l’actif de l’actuel PM en 12 mois.
En plus de la capacité de ces Premiers ministres à relever le défi qui restait à prouver, la conséquence de ces changements, c’est qu’aucun d’entre les deux premiers n’a eu le temps matériel de mettre en œuvre sa Déclaration de politique générale, encore moins Modibo qui change de ministres à tour de main.
Pire, chaque Premier ministre qui arrive vient avec de nouvelles têtes de ministres, alors que certains de ceux qui partent n’ont eu que le temps de prise de contact avec les structures relevant de leur département ; du moins pas assez pour exécuter leurs feuilles de route. Exemples concrets : en deux ans et demi, des départements importants ont connu des ballets incroyables, avec au moins trois titulaires différents. Il s’agit du ministère de la Défense et des anciens combattants (Soumeylou Boubèye Maïga, Ba Ndaw et Tiéman Hubert Coulibaly); du ministère de l’économie et des finances (Madame Bouaré Fily Sissoko, Mamadou Igor Diarra et Boubou Cissé); du ministère en charge de la Justice (Mohamed Ali Bathily, Mohamed Diarra et Madame Sanogo Aminata Mallé).
Pour ce qui est du ministère de l’administration territoriale, un confrère dessine un tableau déplorable de ce qui s’y trame : « Chargé d’organiser les élections…, le ministère de l’Administration Territoriale est devenue, depuis 2013, une véritable girouette qui ne cesse de changer de tête. Le département est revenu tout d’abord au général Moussa Sinko Coulibaly, l’organisateur des élections victorieuses de 2013. A la démission du gouvernement d’Oumar Tatam Ly, le général Sada Samaké, un proche d’IBK, est nommé à la tête du département, renommé à l’occasion « Ministère de l’Intérieur ». Sada a alors sous sa tutelle un ministre délégué chargé de la Décentralisation en la personne de Malik Alhousseyni.
Un trimestre plus tard, nouveau changement: le ministre délégué chargé de la Décentralisation tombe au profit d’Ousmane Sy. Devenu Premier Ministre, Modibo Kéita transforme ce département en un super-ministère de l’Administration Territoriale et de la Décentralisation qu’il confie à Idrissa Maïga, l’ex-directeur de campagne d’IBK. Sada est logé au département de la Sécurité et Ousmane Sy est remercié ».
IBK a ainsi utilisé une cinquantaine de ministre. Or, qu’il soit politique ou technocrate, chaque ministre vient avec son cabinet en poche et avec, en tête, son idée de s’enrichir au plus tôt et de renflouer les caisses du parti. D’où l’empressement de chacun à placer ses hommes à la tête des différents services centraux et des services rattachés jusqu’au plus bas de l’échelle.
Cas palpable : lors du conseil des ministres du 28 janvier 2015, le ministre des Finances, Mamadou Igor Diarra, a fait sortir un grand balai en nommant son chef de cabinet (Samba Amineta Sarr), un Conseiller technique (Modibo Maïga), trois chargés de mission (Alassane Diarra, Madame Maïga Zaliha Maïga et Baréma Bocoum), ainsi que le directeur national du Trésor et de la Comptabilité publique (Sidi Almoctar Oumar), le directeur général du Budget (Sambou Wagué), le directeur général des Douanes (Modibo Kane Kéïta), le Payeur général du Trésor (Mahamane Tiambou Haïdara), le Receveur général du District (Bakary Konaté), et l’Agent comptable central du Trésor (Madame Aminata Sow). Onze cadres ont été sacrifiés… Comme 15 autres l’ont été le même jour par d’autres ministres.
Autres exemples plus patents : lors du conseil du 4 février 2015, le ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation, Idrissa Maïga, a procédé à 15 nominations dont 7 préfets et 5 conseillers aux affaires administratives et juridiques. Son collègue de l’énergie et de l’eau, Mamadou Frankaly Kéïta, en a fait douze (12), soit une unité de plus que Dramane Dembélé de l’urbanisme et de l’habitat, qui lui aussi distançait le ministre de la sécurité intérieure, Gal. Sada Samaké. Au total, ce sont 57 cadres qui ont été changé ce jour-là. Comme pour dire qu’on casse tout et on reprend à zéro dans un élan effréné de se remplir les poches.
Pourquoi tant d’incohérences ?
Le drame, c’est que très souvent, c’est la famille présidentielle qui est indexée de tirer les ficelles dans l’ombre et de bénéficier d’un bon quota de parents à caser.
D’où cette interrogation de notre confrère mentionné plus haut: l’instabilité sert-elle de politique à IBK ? Ou traduit-elle la volonté de celui-ci de contraindre les ministres et les hauts cadres dans une obéissance aveugle ? Ça a tout l’air.
Dans une récente déclaration, le Parena fustige l’instabilité gouvernementale et la forte présente et influence de la famille présidentielle dans l’administration.
« Les tâtonnements et les improvisations sont parmi les caractéristiques principales de la gouvernance instaurée par le Président.. », constate le parti du bélier blanc. Qui en veut pour preuve : «…un ministère créé en septembre dernier (Coopération internationale et Intégration africaine) a disparu, quatre mois après, lors du remaniement du 15 janvier qui voit la création surprenante d’un ministère de la Recherche scientifique. Dans un pays comme le Mali, que vaut un ministère de la Recherche scientifique détaché de l’Enseignement supérieur? Le 13 janvier, le conseil des ministres avait créé une direction générale de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Trois jours plus tard, un ministère de la Recherche est créé ». Pourquoi tant d’incohérences?, s’interroge le parti. Qui donne un début de réponse : « Les Maliens se posent des questions et s’aperçoivent peu à peu que le remaniement ministériel du 15 janvier n’est qu’un règlement de comptes sur fond d’histoires d’argent de la corruption et de pots de vins arrosant des pans entiers des cercles du pouvoir.
Le remaniement du 15 janvier ne résout en rien les graves questions auxquelles le pays est confronté et qui ont pour noms: insécurité grandissante, enlisement du processus de paix, mauvaise gouvernance, crise du foncier, chômage des jeunes, démobilisation, désespoir et lassitude du peuple ».
Par ailleurs, pour le Parena, ce remaniement conforte la mainmise de la famille du Président sur l’appareil d’État. Or, depuis deux ans, le parti dit dénoncer régulièrement l’accaparement de l’État par la famille du Président. «Depuis deux ans, nous appelons à desserrer l’étau de la famille sur l’État », précise le communiqué. Dans lequel le Parena révèle que « le 19 janvier, lors du premier conseil des ministres du 3ème gouvernement Modibo Kéïta, le président de la République a encouragé ses ministres à résister à sa famille comme s’il était, lui-même, impuissant à tenir les siens à l’écart de l’État et à contenir leurs assauts et leurs trafics d’influence ».
Sékou Tamboura
pendant que le pseudo justicier des causes perdues joue son vaudeville, l’injustice ravage le pays dans son moindre tréfonds.
C’est pourquoi IBK l’a démis de ces fonctions.
IBK est l’un des grand homme que le Mali connut
Mais il est temps de faire place au autres .Et sachez que Modibo Kéita est connu pour sa droiture en réalisant l’objectif de ces fonctions .
Je crois que le chef de l’état n’est pas du tout coupé des réalités des Maliens; il a une vision pour eux mais je crois que ce sont les moyens qui manquent pour leur mise en œuvre. Les bailleurs de fonds ont promis des choses qu’ils n’ont pas tenu. Quand on sait d’où vient notre pays on ne demanderait pas l’impossible.
Le problème dans notre pays c’est notre opposition qui manipule la presse et certaines personnes afin de jeter le discrédit sur la gouvernance d’IBK c’est pour cette raison que la majorité a entrepris une démarche vers cette opposition afin que cela puisse prendre fin.
La gestion du pouvoir d’IBK a toujours été transparente ; Il a hérité d’un pays gangréné par des maux qui ne favorisent pas l’essor du pays et ces maux sont à tous les niveaux de la société.
Ce n’est pas à coup de bâtons magiques qu’IBK changera le pays. Il faut avoir un esprit citoyen et républicain pour comprendre cela au lieu de toujours crier au scandale.
Savons-nous combien de temps ont mis les pays que nous citons en exemple pour se construire?
Avons-nous les mêmes potentialités économiques? Ouvrons un peu les yeux et laissons IBK travailler.
IBK par sa maîtrise claire et droite de la situation actuelle du Maliest respecté par le peuple .
Le Mali doit faire place et donner l’opportunité aux compétant comme Modibo Kéita.
VIVE IBK-VIVE LE MALI
Je pense que si l’état doit prendre en compte les sauts d’humeur de tout un chacun on ne s’en sortirait vraiment pas. Tantôt on crie sur tous les toits que les ministres sont incompétents et qu’on doit les remplacer et quand cela est fait on dit encore que c’est trop tôt qu’ils n’ont pas pu prendre contact avec les réalités de leur département. Que voulons nous donc?
Peut-être que c’est cette mauvaise appréciation des choses qui ne nous permet pas de voir le travail qui est en train d’être fait.
Le choix d’IBK envers le Pm Modibo Kéita est un choix très important pour le développement du Mali .
Merci IBK pour ce changement.
Arrête de dire des choses inutiles car vos articles n’ont aucune importance en ce moment pareille, monsieur le journaliste, sachez que le remaniement est déjà fait et le peuple écoute simplement le choix de IBK
Pauvre journaliste, vos idées ne sont pas le bienvenu en ce moment pareille, mais au lieu de critiquer le régime en place, il ferait mieux d’aller faire des recherches claire et nette concernant le mode de gestion du pouvoir.Sachez que si ces ministre ne travaille pas bien ceux ci doivent être démis de leurs fonctions.
c’est étonnant et voir très surprenant de constater que ces ministre incapable de bon résultat après limogeage seulement font la une des journaux ils sont incapables
C’est grâce à l’arrivé d’IBK au pouvoir les conditions de vie des travailleurs sont devenus meilleur, car actuellement le Mali est en train grimper vers le sommet de la pyramide, c’est grâce à lui que la vie des populations sont devenus facile.
Alors si’il limoge ces ministres ,c’est qu’il veut des résultats et les meilleurs alors que ces nouveaux ministres donnent le meilleurs d’eux même.
De grands défis attendent le premier ministre Modibo et son équipe gouvernementale. Partant de la réunification du pays à la réduction de la pauvreté en passant par la lutte contre la corruption.
Les défis sont énormes mais je crois que si le premier ministre bénéficie du concours de toutes les personnalités de ce pays et des membres de son gouvernement; il pourra atteindre ces objectifs.
Au delà du conseil des ministres il peut même établir un cadre où les ministres communiqueront avec les populations sur leurs activités afin que le peuple soit imprégné du travail qui est fait et donner son appréciation et préconiser des solutions.
Il faut que le paréna sache que la perfection n’est pas de ce monde et dans toutes organisations humaine, il faut innover, il faut faire des aménagements au fur et à mesure que les choses avancent. Si le président IBK a changer de premier ministre trois fois de suite; c’est pour des raisons que nous tous connaissons. Ce n’est pas la peine de faire des critiques inutiles.
Le premier ministre Modibo et son gouvernement ont devoir de résultats et je crois qu’ils ne décevront pas le peuple. Nous devons savoir aussi qu’il n’est pas très aisé de reconstruire un pays qui sort d’une crise multidimensionnelle et multi-sectorielle. Mais avec la vision qu’il a pour le pays il doit pouvoir y arriver et on doit croire en lui. La résolution des problèmes de notre pays passe aussi par la mise en œuvre de l’accord de paix pour lequel un comité de suivi national vient d’être mis en place et dégagera les voies et moyens pour que celui-ci ( l’accord de paix) ne connaisse plus de blocages afin que nous ayons la paix, socle du développement.
Notre pays a accumulé des difficultés de tous ordres pendant plusieurs années mais des personnes à l’expérience et à la sagesse reconnue de tous comme le président IBK et le premier ministre Modibo sont les mieux indiquées pour pour nous sortir de cette situation. Il sont sur la bonne voie. Nous devons être patient et attendre qu’ils finissent le travail qu’ils ont commencé.
Je crois que les prérogatives pour qu’un pays puisse se développer sont d’abord la paix et la stabilité politique et je crois que nos plus hautes autorités à savoir le président de la république et le premier ministre en sont conscientes et feront tout pour mettre en œuvre l’accord de paix pour que le pays soit réunifié, sécurisé dans son ensemble afin que le développement réel puisse être amorcé.
Aussi, on peut remarquer qu’il y a eu quelques avancées malgré tous les problèmes que le pays à connu.
LES GRANDES LIGNES DE LA GESTION DU GOUVERNEMENT MODIBO
*La touche particulière du PM dans l’Accord
*La situation dans le Nord, une priorité
*La nécessité de mettre l’Accord en oeuvre
*La mobilisation des PTF pour la reconstruction du Nord
*La reforme de l’armée et du secteur de la sécurité
*L’amélioration de la situation macroéconomique
*La lutte contre la corruption comme cheval de bataille
*15% du budget pour booster l’agriculture
TOUS CES GRANDS POINTS DU PROGRAMME DE SOCIÉTÉ DU PREMIER MINISTRE MODIBO KEITA MONTRENT D’ABORD SON DÉVOUEMENT POUR NOTRE PAYS ET CEUX-CI S’ILS ONT RÉALISÉS PERMETTRONT L’ÉMERGENCE D’UNE SOCIÉTÉ NOUVELLE CAR RIEN NE PEUT SE FAIRE D’ABORD SANS PAIX; IL S’Y EST INVESTI ET CONTINUE TOUJOURS. ENSUITE LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION ET UNE JUSTICE ÉQUITABLE LIBRE ET TRANSPARENTE GAGE D’UNE SOCIÉTÉ ÉQUILIBRÉE.
L’AGRICULTURE UN DES POUMONS DE NOTRE ÉCONOMIE OU 15% DU BUDGET EST ACCORDE CONTRAIREMENT AUX AUTRES PAYS DE L’ESPACE UEMOA OU CE N’EST QUE 10% DES BUDGETS QUI EST ACCORDE A CE SECTEUR. L’AMÉLIORATION DE LA SITUATION MACRO-ECONOMIQUE AVEC UN IMPACT SUR LA POCHE DU CITOYEN.
ET ENFIN LA SÉCURITÉ DES BIENS ET DES PERSONNES QUI EST UN GAGE DE DÉVELOPPEMENT CAR LES POPULATIONS VAQUENT TRANQUILLEMENT A LEURS OCCUPATIONS ET BÉNÉFICIENT DE LEURS ACQUIS.
SOUTENONS DONC LE PREMIER MINISTRE POUR QU’IL PUISSE RÉALISER CETTE GRANDE AMBITION POUR UN MALI PROSPÈRE.
Le premier ministre Modibo kéïta est un grand homme qui connait les aspirations des populations de ce pays car ayant servi dans plusieurs domaines et pendant de longues années. Son programme montre qu’il a une belle optique de développement pour pays. Mais celui-ci ne semble pas depuis un certain bénéficier de l’aider politique de certains membres du gouvernement et de certaines personnes véreuses qui veulent toujours marquer sa gestion du sceau de l’échec à travers des campagnes de dénigrements et de désinformation à son endroit ce qui n’est pas du tout normal pour un pays qui sort de crise et qui a besoin de la compétence de tous ses fils.
Nous devons donc l’aider avec le président IBK à apporter d’abord la paix, la justice dans notre pays et l’essor économique que nous attendons tous.
Je pense que la population en a bien conscience que nous revenons d’une crise militaro-politique qui a fragilisé le pays. Donc, les choses peuvent pas aller comme sur des roulettes. Il faut faire confiance au président IBK et son gouvernement. Ils ont conscience de l’immensité des défis qui les attendent. Par conséquent, ils ont besoin de nos soutiens pour sortir le pays dans sa léthargie.
Contrairement à d’autres opinions avancées concernant la gestion du président durant les deux ans , je pense qu’il est satisfaisant. Certes, beaucoup d’efforts ont été consenti pour le retour de la paix et de la sécurité, mais de nombreux défis nous attendent notamment l’application intégrale de l’accord d’Alger. Et, j’ai foi car les parties signataires ont toujours montré leur bonne volonté pour son application.
Je pense que le retard accusé par le président dans la mise en oeuvre de son programme gouvernemental en général et en particulier le social, c’est le fait de la crise. En effet, pour une mise en oeuvre de ce programme, il faut la réunification, la stabilité et la sécurisation totale du pays. C’est ce à quoi le président s’attelle à faire pour le bonheur de son peuple. Donc, il faut faire confiance au président de la république.
Contrairement à ce que le journaliste avance sur la gestion administrative du pays, le président donne la change à toutes filles et fils de ce pays qui veulent servir le pays avec responsabilité et dévouement. Et il se trouve que certains ne se montre pas à la hauteur de la tâche qu’on leur a confié. Donc, monsieur le journaliste voulez-vous qu’on garde ses incapables ? je dis NON. Le président n’est pas un partisan du moindre effort. C’est pour cela, même si c’est pour changer autant de fois que cela nécessiterait un gouvernement, il le fera.
Pour ma part, mes concitoyens doivent comprendre une chose, c’est que nous venons de loin. Et le président a plus que besoin de nos soutiens pour faire avancer les choses. C’est pas du tout facile pour un pays qui revient d’une crise multidimensionnelle et sectorielle de se retrouver très rapidement. Mais avec la volonté de tous, nous y parviendrons.
Pour ma part, je pense que le défi de la paix et de la réconciliation nationale n’est pas la seule affaire du président de la république. A quoi serviraient les efforts du président en faveur de la paix et la réconciliation si nous populations sommes pas préparées à celles-ci ? Donc à mon avis, ce challenge est l’affaire de tous. Le président a dit lors de l’opposition lors de leur présentation des vœux que nous venons de loin. Cela nous interpelle tous pour la reconstruction de la nation.
Contrairement à d’autres opinions avancées concernant la gestion d’IBK , je pense qu’elle est bonne. Certes, beaucoup d’efforts ont été consenti pour le retour de la paix et de la sécurité, mais de nombreux défis nous attendent notamment l’application intégrale de l’accord d’Alger. Et, j’ai foi car les parties signataires ont toujours montré leur bonne volonté pour son application. Je souhaiterais que l’opposition emboîte les pas du président pour une sortie de crise réussie au lieu de toujours s’attaquer à la personne du chef d’Etat.
QUE 2016 SOIT POUR NOTRE PAYS, L’ANNEE DU RETOUR DE LA PAIX DEFINITIVE !
Moi, je pense que l’arrivée du président IBK au pouvoir a été très important pour notre pays car il vivait une crise qui l’a plongé dans le gouffre. Mais grâce à son dynamisme et son dévouement a relevé le pays, il a donné de l’espoir au peuple avec la signature d’un accord de paix. Certes, cet accord peine a rentré dans sa phase de mise en oeuvre, mais force est de reconnaître qu’il est un moyen de restaurer la paix et la réconciliation nationale. Par conséquent, il faut les encouragements et le soutien de tous pour que nous consolidions les acquis et avancions dans sa mise en oeuvre effective. Que les opposants véreux laissent leurs intérêts mesquins au profit de l’intérêt du Mali. Car le Mali est notre bien commun donc nous n’avons pas intérêt à ce qu’il sombre davantage.
A mon avis, le Mali revient d’une crise militaro-politique qui a fragilisé le tissu social. Pour recoudre ce tissu social, il faut de la part de tout un chacun une volonté ferme car on ne peut avoir la paix et la réconciliation que si nous nous donnions les moyens pour y parvenir. Et cela réside dans notre état d’esprit et l’acceptation de l’autre tel qu’il est sans distinction de race et d’ethnie.
Le président a bien conscience de la situation actuelle de notre pays. C’est d’ailleurs pour cela dès sa prise de pouvoir, il s’est attelé à redonner confiance aux citoyens Maliens que nous sommes en concluant un accord de paix et de réconciliation nationale. Certes, cet accord tarde a rentré dans sa phase active, mais il est une issue indubitable pour le renouveau de notre chère patrie. J’appelle toutes les parties signataires de cet accord et le peuple à œuvrer pour la mise en oeuvre parfaite de cet accord.
VIVE LA PAIX ! 😆 😆 😆 😆
VIVE LE MALI ! 😆 😆 😆 😆
De peur de payer de leur erreur, le président préfère travailler avec les personnes dynamiques et dévouées à servir le pays. Après tout c’est à lui que le peuple demandera des comptes à la fin de son mandat. Si celui qui n’est pas prêt à servir notre pays doit foutre le camp pour faire place aux autres Sékou TAMBOURA.
Notre pays a besoin d’avancer et pour pouvoir cet objectif, il faut des hommes forts et compétents pour servir notre pays. Si le président a changé certaines personnes de nos administrations, cela est dû à un mauvais rendement.
D’où sort ce journaliste avec un tel article à la con. Tout gouvernement rencontre ces genres de problèmes. Mais cela ne doit pas nous laisser croire à une incapacité à gouverner.
Monsieur le journaliste, le régime IBK ne se résume à ces faits seulement et alors que fais tu des actions de développement qu’il pose. Rien que des idioties
IBK a fait beaucoup pour ce pays et donc Monsieur le journaliste pour votre information, ces irresponsables agissent dans le compte de cette opposition que tu prétends être la solution pour notre pays. Mais les connaissant, le président ne les associe en aucun cas dans la gestion de notre pays.
Encore un poulain des opposants. Sache que si nous sommes là cela est dû en grande partie à tes parrains qui ne cessent d’humilier le président et leur traiter de tous les noms. Ce sont les pyromanes qui montrent en pompiers nos sauveurs, mon oeil
On change de personnes pour être efficaces pour mieux répondre aux exigences de notre pays.
Je pense que ce journaliste doit arrêter de s’en prendre au pouvoir sans la moindre information. Le président est conscient de la réalité du Mali et ne saurait ébranlé ou ternir l’image du pays dont il a la charge de porter fièrement
IBK est un infatigable travailleur. Il a toujours su apporter les solutions aux situations qui se présentent à nous et donc il ne saurait accepter une telle humiliation de notre pays.
On ne peut pas travailler avec des paresseux et des incompétents pour mettre davantage notre en retard.
C’est de la mauvaise foi de chercher à ternir l’image d’une personne qui vous confie un poste de responsabilité. On ne peut pas en vouloir au président pour ça. Il ne peut à lui seul assumer tous les postes de responsabilité.
L’opposition malienne ne peut rien apporter à ce pays donc IBK ne leur fera pas recours. Ce sont des opportunistes qui font la politique du ventre. IBK veut les compétents pour défendre la cause du pays et non pour se servir
Sékou TAMBOURA, le président a donné la chance à certains cadres du pays qui ont abusé de sa confiance. Je pense que si les autres ont preuves d’incompétence, il est préférable de travailler avec ses proches parents.
IBK est celui dont le MALI avait besoin pour se relancer économiquement, sur la scène internationale, pour entamer un procédure de développement durable, pour permettre au MALI de préserver son intégrité territoriale et de faire régner la paix et la sécurité dans notre pays !!! Et il est en train d’accomplir ces différentes tâches à merveille !!!
C’est un gouvernement Des brigands le premier ministre népotisme qui a fait bénéficier tous les membres de sa famille au logement sociaux c’est ça que vous appelez un homme intègre avec des ministres récidivistes on a besoin d’aller chercher un homme intègre en Guinée
Nous avons cru en lui, plus de 77% des maliens l’ont choisi pour leur sortir de la merde dans laquelle ils étaient plongé depuis plus de 20ans, il l’a fait !!! Nous le voulions pour mettre le pays sur la bonne voie de développement, il est en train de mettre en place une solide base de développement pour notre pays, de quoi avons besoin encore !!!
L’opposition malienne est une bande d’incapable !!! Elle est animée par des personnes qui n’ont aucune envie que ce pays se sorte de cette merde, qui ne voient que leurs intérêts personnels, pas ceux du MALI !!!
L’opposition malienne n’a nullement lieu d’exister dans ce pays de par les actes qu’elle pose nuit et jour pour porter préjudice à l’image du président de la république !!! Alors qu’elle sait très bien qu’en voulant déstabiliser le président, c’est le MALI qu’elle va déstabiliser !!!
L’opposition malienne ne souhaite qu’une seule chose, que le pays sombre dans la terreur, que la population se révolte contre le régime en place et que chaque membre de la dite opposition puisse satisfaire ses désirs purement et simplement politique !!!
Il est temps que nous prenons conscience de la gravité de la situation, il est temps que nous nous donnons la main, que nous allons dans le même sens que ça soit les journalistes, l’opposition et le régime en place !!!
N’importe quoi, l’opposition malienne ne rate pas une occasion pour s’en prendre au président de la république et son gouvernement !!! Alors qu’elle même, si je peux me permettre, est un tas de merde dans ce pays !!!
Nous sommes à un moment où nous devons faire valoir les intérêts de la nation avant tout autre chose, pour cela nous devons être à même de nous entendre sur un seul point au niveau de toutes les couches, sociales et politiques !!!
Tout a fait d’accord l’Instabilite tue l’Administration Malienne
L’instabilite est la source de la corruption de l’enrichissiment illicite, des detournements de bien public, de frustration et de perte de motivation
Le nouveau Premier Ministre, le nouveau Ministre viennent avec leurs equipes et chacun sait ce qu’il doit faire avant la releve de l’Equipe
Ce systeme existe depuis des lustres pas seulement sous IBK
Pour l’interet du Mali ce systeme doit changer car les degats sont tres importants vous ne pouvez pas savoir
Desole pour le Mali notre pays
Les affamés du pouvoir, comme le Parena de Tièbilé Dramé et l’Urd de Soumaïla Cissé, sont priés de ne pas trop se donner aux critiques, dénonciations et autres attaques contre ce nouveau gouvernement. Nous devons tous accompagner ces ministres pour que la paix règne dans ce pays.
Aucun membre de la famille du chef de l’Etat ne figure parmi les ministres qui forment le tout nouveau gouvernement III de Modibo Keïta, à ce que je sache. Mais si le Parena en connait, il peut en faire aussi un communiqué, comme il aime le faire tout le temps.
Peu importe le nombre de gouvernement depuis son accession au pouvoir à aujourd’hui. Nous attendons de la part des membres du gouvernement des résultats. Si ceux-ci ne sont pas atteints, on procédera à un remaniement. Donc que le Parena aille au diable avec ses communiqués.
Je souhaite une bonne aventure à la nouvelle équipe de Modibo Keïta. Tous les ministres de cette équipe sont des hommes qu’il faut à la place qui lui faut. Vraiment tous les ministres sont incontestables, contrairement à ce que le journaliste pense.
Je me demande réellement ce que ce journaliste entend par Etat ? Parce que je ne peux pas et je ne pourrais pas non plus comprendre qu’un homme censé informer toute une population entière réagit de la sorte face à ce remaniement ministériel. Et pourtant tout le peuple attendait du président de la république, SEM Ibrahim Boubacar Keïta et de son PM, Modibo Keïta ce remaniement.
Le nouveau gouvernement sera à la hauteur des attentes de la population. Ce gouvernement ne gouvernera pas de la même sorte que les autres. Le président de la république veut coûte que coûte mettre un terme à la crise multidimensionnelle et cela à tout prix.
On s’en fou du nombre de premier ministre sous IBK. Nous attendons un résultat. Le tout nouveau gouvernement doit être celui qui nous conduira à la paix, à la réconciliation nationale, à la reconstruction du pays et à un développement équilibré de toutes les régions du nord, comme voulu par l’accord d’Alger.
Les attentes des maliens ne sont pas toutes comblées. C’est au nouveau gouvernement de combler le reste de ces attentes. Le plus important est le retour de la paix que nous attendons avec impatience depuis plus de deux ans.
Les affamés du pouvoir sont priés de ne pas trop se donner aux critiques, dénonciations et autres attaques contre ce nouveau gouvernement. Nous devons tous accompagner ces ministres pour que la paix règne dans ce pays.
Peu importe le nombre de gouvernement et le nombre de ministres. La seule chose qui nous intéresse est l’avancée de ce pays avec au préalable le retour de la paix et de stabilité. La famille du président de la république n’est pas au pouvoir. C’est seulement la personne d’IBK qui est à la tête du pays et je connais aucun membre de sa famille qui est ministre ou qui a été ministre dans les deux dernières années.
L'instabilité gouvernementale dans ce pays s'explique par l'instabilité et l'insécurité mêmes du pays. Un accord de paix, signé, doit être appliqué et le pays doit avancer. Donc si un gouvernement n'est pas efficace pour faire face à de tare de problèmes, il est nécessaire de former un autre d'où l'instabilité gouvernementale que vous fustigez.
Je suis sûr que ce remaniement sera un remaniement dont le président de la république a tant pensé pour la mise en œuvre de sa politique de bonne gouvernance ou encore sa politique mise en pratique pour sortie le pays de cette crise. Avec un bon premier ministre en bon gouvernement le Mali pourra enfin se mettre sur de bons rails et tendre vers un horizon plusieurs crédible et objectif.
Qui parle de bonne gérance, parle de bon président, de bon premier ministre, de bon gouvernement et bonne administration. L’ régime d’IBK est étant un bon régime est à quête de gouvernement compétant et qui parle de gouvernement compétent parle d’administration capable. L’administration malienne est malade depuis fort longtemps et IBK est en train de chercher le remède.
Au lieu de critiquer, pour faire preuve de patriotisme et de professionnalisme, les journalistes devraient appeler la population à soutenir le nouveau gouvernement, afin de donner à ce gouvernement une force supérieur au précédant et cela dans le but de voir notre pays sortie de cette crise multidimensionnelle.
Je pense que le nombre en plus ou en moins n’est pas forcément la situation. Même si les ministres sont plus nombreux qu’on ne peut l’imaginer, je pense que le plus important reste le résultat. Le nombre importe peu, nous avons besoin de résultats positifs et d’une manière générale les résultats sont salutaires.
Tu as raison, ce n’est pas le changement constant qui pourra tuer l’administration malienne, mais plutôt le laxisme d’IBK, en laissant des ministres incompétent dans le gouvernement. L’administration malienne est en crise depuis depuis plus de 20 ans et IBK n’est ps le fautif, le sauveur de cette administration.
Vue la situation dont traverse notre pays il n’est pas évident de garder les ministres incompétent et irresponsable dans le gouvernement. Ce n’est pour tuer l’administration malienne mais plutôt, c’est pour sauver l’administration malienne.
Mais IBK a raison de chaque fois faire tourné le gouvernement quand il le faut. Certes l’administration prend plus ou moins des coup, mais le plus important est de trouver les responsable capable de mettre en marche l’administration pour le bien être de ce pays.
Le changement constant de gouvernement est normal pour notre pays a cause de la crise dont elle fait face. Ce n’est point pour tuer l’administration comme le journaliste le prétend mais ce qui tue l’administration est le faite d’avoir des responsable incompétent au gouvernement.
C’est parce qu’IBK est à la quête d’un gouvernement capable et responsable de répondre aux besoins multidimensionnelle de notre pays en ce moment. Sans un bon gouvernement on ne peut parler de bonne gouvernance. IBK est à la recherche d’un bon gouvernement.
Je pense que ce n’est pas l’instabilité actuelle qui tue le gouvernement d’IBK mais tous d’abord la mauvaise gérance des régimes passés. Le régime d’IBK use de tous solution afin de trouver un gouvernement à la hauteur des attentes exiger pas la crise dont traverse le pays.
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