Rien ne va plus dans le pays sous l’impulsion du président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta. Cherté de la vie, mauvaise gouvernance, népotisme, hausse des tarifs d’électricité et d’eau, grève de 48 h de l’Union nationale des travailleurs du Mali (Untm)… Ce sont là quelques problèmes qui prouvent que le gouvernement Moussa Joseph Mara est noyé et incapable d’apporter des réponses appropriées.
Le Mali ne bouge pas d’un iota. Pire, on recule de jour en jour. En vérité, tout le monde sait que rien ne va plus dans le pays. La grève générale de 48h de l’Union nationale des travailleurs du Mali (Untm) vient de prouver que le gouvernement Moussa Joseph Mara a montré ses limites et son incapacité à apporter des réponses appropriées aux préoccupations des Maliens.
En fait, pour donner un nouveau souffle à l’action gouvernementale, le président de la République doit, sans hésitation, procéder rapidement à un remaniement ministériel. À commencer d’abord par le limogeage de son Premier ministre qui est de plus en plus décrié par non seulement l’opposition, mais aussi par le parti présidentiel.
À court d’initiatives, le Premier ministre Moussa Joseph Mara et certains ministres semblent être noyés dans des problèmes et incapables d’apporter de solutions aux préoccupations de nos compatriotes. Conséquences : les Maliens sont étouffés et ne savent plus à quel saint se vouer.
L’heure est grave et le président de la République doit réagir avant qu’il ne soit trop tard. D’autant que le ton a été donné par la principale Centrale syndicale pour se faire entendre. Quoi qu’on en dise, cette grève de 48 h des travailleurs du Mali est légitime à tous points de vue. Les syndicalistes ont le droit de demander de meilleures conditions de vie pour les travailleurs dans un pays en crise où le président de la République s’offre un avion à 20 milliards de Fcfa. Pourtant, l’ensemble des revendications de l’Untm qui concerne 17 points ne coûterait que 17 milliards de Fcfa au Trésor public au titre de l’année 2014.
Le gouvernement, pour justifier que le Mali n’a pas cet argent pour satisfaire toutes ces revendications, évoque comme argumentaire la crise sécuritaire et politique que notre pays a connue. Cette argumentation mise en avant par le gouvernement composé d’incapables et d’inexpérimentés, à commencer d’abord par le Premier ministre, ne tient pas la route.
Selon toute vraisemblance, l’achat de cet oiseau de malheur (avion présidentiel) est à la base de tous les problèmes du Mali. À cela, s’ajoute le pilotage à vue et les combines politiques et familiales qui nuisent au pays, à tel que point que le Mali s’enfonce de jour en jour.
Diango COULIBALY
A donc c’est M coulibaly le président de la république.
Je nomine Luis Camara de FUNÈS, alias ministre de la connerie numérique du Mali
Au lieu de tweeter inutilement des âneries et prendre l’argent public du Mali pour payer des badauds internet qui continuent d’insulter à ta place ou de changer constamment toi même de pseudo sur Malij.et et sur MW pour insulter dans l’anonymat, rends toi utile (pour une fois).
Au moins tu rentabiliseras l’argent public qui t’entretient inutilement au Mali.
– Crée un espace internet dans chaque école du Mali
-Crée une filière Nouvelle technologie dans nos lycées scientifiques et techniques
-Initie un concours national des TIC au lycée et dans nos universités pour l’éclosion des talents TIC afin de développer des entreprises maliennes dans le secteur des TIC. Il s’agira de repérer des talents et de financer leurs projets TIC.
-Crée un centre de développement des TIC à la FAST de Badalabougou et initie une bourse TIC devant permettre à étudiants d’aller au Japon ou dans le Silicom Valley aux États-Unis pour étudier dans le domaine des TIC.
-Crée un concours national des TIC entre les entreprises maliennes pour les encourager à s’approprier les TIC et à le développer chez nous.
-Fait en sorte que toutes les communes, mairie, bureau de poste, poste de police, gendarmerie, du Mali aient leurs centres ou espaces de TIC permettant aux citoyens maliens de surfer sur internet pour s’informer et se former dans tous les domaines.
Voilà, Luis Camara de FUNÈS si tu parviens à faire ça avant 2018 tu ne seras plus considéré comme un rigolo danseur de balafon de dimanche.
“An ka sama ta sèguè, fignè douma, ni fignè bôra mi ni, fignè douma Cam 2 FUNÈS…”
Wa salam!
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