Gouvernement et opposants du FDR :rnLe Pm Modibo Sibibé et Tiébilé Dramé, c’est «ton pied mon pied»

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Le chanteur serait encore davantage inspiré à suivre les empreintes laissées par le premier ministre Modibo Sidibé et les actes que ses opposants s’apprêtent à poser. « ton pied mon pied», ce n’est plus une chanson, c’est une vérité. Ce ne sera ni plus ni moins que ça, avec la décision que vient de prendre le Fdr. En effet, dans un communiqué déposé à notre rédaction, le tout nouveau président du Fdr  a pris l’option de rencontrer des personnalités et structures assez représentatives. Il s’agit de : Monseigneur Jean Zerbo, Archevêque de Bamako, des responsables de l’AMUPI, de l’Eglise protestante, de l’UNTM, de la CSTM, du Haut Conseil Islamique, de la FEN, de l’AMDH, de la CAFO, de l’Association des Communicateurs Traditionnels, des  Familles Fondatrices de Bamako, de la Ligue des Imams du Mali (LIMAMA).

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Faut-il le rappeler, dès sa nomination au poste de Premier ministre, question de prendre le pouls du pays, M. Modibo Sidibé a déjà rencontré toutes ces personnalités et structures. Rencontre de prise contact. Le Fdr quant à lui parle de «consultations», à l’issue desquelles il rendra compte et se prononcera. L’approche est novatrice.

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Reste à savoir de quoi il sera question entre opposition et société civile. Nul doute que la question de la vie chère sera abordée. Pourquoi pas, tant il est vrai que toutes les supposées tentatives de réduire le calvaire des Maliens se sont révélées infructueuses. Plus on en parle, plus les prix augmentent. L’Etat, trop fragilisé est aujourd’hui dans l’incapacité d’en imposer, mêmes à ceux-là à qui, pourtant a il accordé à la pelle, des exonérations dans l’objectif affirmé de baisser les prix à la consommation. En outre et par ailleurs, l’Etat rechigne à mettre un visage sur les corrompus et les corrupteurs, non satisfaits d’avoir écumer, narguent le peuple en criant plus fort que nous : « oh ! les temps sont durs ! ».

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On ne peut rencontrer la société civile sans aborder les questions d’injustice et de non équité, de corruption et d’impunité. Le tout il est là en fait ! Parce qu’en effet, des questions mis exprès au devant de l’actualité, comme l’abolition de la peine de mort ne sauraient faire oublier aux Maliens le poids des prix et l’absence de perspectives clairement énoncées dans des sujets tout aussi brûlants les uns que les autres comme la situation au nord, (notamment celle des otages), l’école, la santé, l’eau, l’électricité, etc.

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