Un gouvernement d’union d’octobre prochain : Les partants et les entrants

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Gouvernement Mara - innovationPrévu pour octobre prochain, ce gouvernement d’union nationale se fera sans le Premier ministre actuel. Et sans l’opposition politique. En revanche, il intègrera dans ses rangs certains leaders des groupes armés. Ce sera à l’issue de la signature d’un accord de paix à Bamako.

« je ne démissionnerai pas ! Né te gata yoro si ! », martelait Moussa Mara, c’était lors des débats sur la motion de censure, déposée contre son gouvernement, pas l’opposition Il ne croyait pas si bien dire. Non seulement, il partira en octobre prochain ; mais aussi avec une côte de popularité en dégringolade au sein de l’opinion nationale, voire internationale.

Après avoir usé deux premier ministre en moins d’un an, semé le doute sur sa capacité à redonner espoir aux Maliens, IBK entend prendre un autre rendez –vous avec ses concitoyens.

Selon nos informations, confirmées par une source gouvernementale, le ‘ ‘Kankélintigui’’ s’apprêterait à faire le toiletage du gouvernement actuel.

 

Les partants et les entrants

 

Plusieurs ministres seraient sur le pied de départ. Il s’agit, notamment du Premier ministre, Moussa Mara ; de Zahabi Ould Sidi Mohamed, ministre de la Réconciliation nationale, appelé à réjoindre son poste au PNUD ; de Moustapha Ben Barka, ministre des Investissements ; de Mohamadou Camara, ministre de la Communication et de l’Economie Numérique ; de Mr Oumar Moussa Diarra, ministre de la Fonction Publique et des Relations avec les Institutions ; de Housséïni Amion Guindo, ministre de la jeunesse et de la citoyenneté ; de Mme Bouaré Fily Sissoko, ministre de l’Economie et des Finances…

Au rang des futurs ‘ ‘ministrables’’, on peut citer : Mr Mohamed Alhousséini Touré, soit au poste de Premier ministre ou de ministre de l’Economie et des Finances. S’y ajoutent les leaders des groupes armés. Ce sera, nous dit –on, à l’issue de la signature d’un accord de paix, prévu à Bamako.

 

L’opposition décline l’offre

 

A en croire nos sources, l’idée de ce gouvernement d’union nationale aurait été acceptée par IBK.

Proposée par la France, elle lui aurait été rapportée par Blaise Compaoré, président du Faso. C’était à l’issue de la visite de 48 heures qu’il a effectuée dans notre pays. C’était du 30 juin au 02 juillet derniers.

Cependant, le rfus de l’opposition d’entrer dans ce gouvernement d’union aurait été prise par elle –même. Selon nos sources, généralement bien informées, Soumaïla Cissé et ses camarades ont décliné l’offre d’IBK. Car, selon eux, il ne peut y avoir de démocratie sans une opposition digne de ce nom. Autrement dit, ce gouvernement d’union nationale sera Constitué des partis de la majorité présidentielle, des leaders des groupes armés et de quelques technocrates triés sur le volet.

Contrairement à ce que nous avions écrit dans notre précédente édition septembre prochain, sa mise en place est prévue pour octobre prochain.

Oumar Babi

 

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11 COMMENTAIRES

  1. Ce journaleux ne sait meme pas de quoi il parle. Il prend ses desirs pour la realite ou quoi? Il dit gouvernement d’union Nat’le et il dit que l’opposition ne fera pas partie? C’est quoi ca?
    De toutes les facons, le Mali n’a pas besoin d’un gouvernement d’union nationale(l’oppo doit rester dans l’oppo). Tout ce dont le Mali a besoin presentement c’est de laisser Mara et son equipe travailler. Point !

  2. Baby de grâce fait nous des bons articles , en ce moment tu vit bien avec tout ce que l’opposition de donne et je vois que tu as même changé de voiture tu es payé pour ça “DIVERTIR LES MALIENS” finalement c’est honteux pour toi avec ton petit hebdomadaire et chaque parution c’est de tacler le gouvernement; regarde toi devant une glace et pense a tous le mal que tu est entrain de faire a cet Mali uniquement pour ta seule petite et moins que rien personne. Tot ou tard tu payera tous le mal fait a notre pays le grand Mali.
    Que Dieu te promet l’enfer!!!!!! Amina

    • Les mliens sont forts ! u lieu de vous en prendre à IBK et au RPM qui conduisent le pys droit ds le mur, vous vs en prenez aux journalistes qui font de la prédiction.Eux, ils font leur boulot, par contre notre gvnmt rien ou si marche à reculons.

  3. Ce journaliste est un vrai sorcier ou un espion capable d'enregistrer les pensées du président IBK. Dans le cas contraire un proche d'IBK ne sait pas tenir sa langue. De toutes les façons nous continuerons a vivre notre vie.

  4. On nomme un premier Ministre pour le Mali ou pour le parti RPM ? Finalemnt ca devien ridicule cette histoire de remanienemen ministeriel. Ceux qui n’ont rien mangé veulent faire partir ceux qui mange actuellemen. Qu’il laisse la population tranquille avec cette histoire de rémaniement alimentaire.

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  5. Ce qui est sur,octobre viendra et on verra. Mais, ce qu’il faut retenir, est qu’en de gouvernement sans l’opposition, Monsieur le journaliste, je me demande si cela s’appellerai encore Gouvernement d’Union Nationale à partir de l’expérience et la compréhension que nous avons de ce mode de gestion consensuel.

  6. Arrêtez de nous gargariser avec des informations sans fondement. Le journalisme ne doit pas être basé sur les causeries de grin comme on le voit avec beaucoup de journaux maliens. C’est triste.

  7. ce sera un erreur de nommer des chefs rebelles qui n’ont pas fini de s’éliminer comme ministre.Ils ont une haine extraordinaire entre eux, ils vont vouloir tous être ministre

  8. Je pense après tous les crimes commis par les leaders MNLA-HCUA-MAA, l’Etat ne va pas accorder une amnestie pendant que la CPI et les organismes enquètent sur les crimes pour établir les faits.Et même une commission, verité, justice et réconcialiation est aussi mise en place.Si cela est veridique l’impunité restera impunie au Mali pour toujours.

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