A quelques jours de la nomination d’un nouveau gouvernement de consensus regroupant toutes les composantes de notre pays, nous nous sommes amusés à réaliser un petit sondage au près d’un échantillon de maliens au sein de toutes les sociales et sociétales de notre pays. A l’issu de deux jours de travail, deux noms sont revenus à plusieurs reprises. Il s’agit de celui de Sékouba Diarra du CSLP comme ministre de l’économie et des finances et Sidi Sosso Diarra, ex Végal comme ministre de la Justice.
D’une manière générale, nous avons constaté que, les maliens en ont assez des hommes politiques qui selon eux, sont les premiers et seuls responsables des différente crises qui secouent actuellement notre pays.
Pour mettre le pays sur les rails, ils estiment dans leur grande majorité qu’il faut des technocrates aguerris, des maliens dignes et garnis de sens patriotiques. Parmi la pléiade de noms que les uns et les autres ont proposés aux différents portefeuilles ministériels, celui de Sékouba Diarra et Sidi Sosso Diarra apparaissent à plusieurs reprises.
Qui sont-ils ?
Si, Sidi Sosso Diarra n’est plus à présenter aux maliens pour avoir été le premier Monsieur anticorruption du président ATT, en revanche Sékouba Diarra est un cadre non moins méritant qui a fait ses preuves à différent échelon du ministère des finances depuis plusieurs décennies. Coordonateur du cadre stratégique pour la Croissance et la Lutte contre la Pauvreté (CSLP) dans notre pays depuis plus de 15 ans, il est devenu un interlocuteur privilégié des bailleurs de fonds de notre pays grace à son intégrité et à son patriotisme. Malgré, sa longévité à ce poste clé de notre stratégie de développement, Sékouba Diarra n’a aucunement été cité dans une affaire louche. Fort de ce parcours irréprochable, le coordonateur du CSLP est aujourd’hui réclamé par le peuple malien pour diriger les reines de ses finances pendant cette transition qui s’annonce.
Tout comme Sidi Sosso Diarra pendant tout son mandat à la tête du bureau du vérificateur général, Sékouba Diarra brille par son absence sur la scène politique. Technocrates dans l’âme, ces deux hommes peuvent être des pistes de sortie pour le Mali. L’un pour le redressement de nos finances et l’autre pour terminer la lutte contre la corruption qu’il a commencé avant d’être flinguer par les cols blancs avec la bénédiction de ATT.
Il reste à savoir, si les éternels gourmands politiques penseront pour une fois au Mali, en écoutant leur voix.
Lamine Diallo
Ne nous trompons pas Sidi Sosso Diarra n’est pas forcement incorruptible. Ce monsieur avait voulu faire payer deux fois sa maison qu’il occupait par le gouvernement malien. Pendant qu’il etait en fonction, il vivait dans sa propre villa. A ce titre il recevait une indemnite de logement. Au meme moment il facturait la location de la meme maison a son service. Il n’aurait arrete de faire n’eut ete l’intervention d’un de ses collaborateurs les plus integres.
SIDI CONDUIRA LES FINANCES DU MALI EN DERIVE. TOUT SAUF SIDI SOSSO A LA TETE DU GOUVERNEMENT.
On se souvient aussi de ce qu’il avait fait a femme legitime pour pouvoir courrir apres sa collaboratrice qu’il a finalement marie. IL EST MOINS SERIEUX CE MONSIEUR POUR ETRE A LA TETE DU GOUVERNEMENT
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