«À gouverner sans critique, on règne sans talent». Cette assertion sied bien au président de la République IBK qui, depuis sa prise de fonction à la tête de notre pays, est sous les feux des projectiles. De l’achat de l’avion président, au contrat d’équipements militaires et maintenant, le paraphe de l’accord d’Alger.
Tous les actes posés par le président de la République et son gouvernement ont fait l’objet de critiques souvent viriles de ses détracteurs, qui pensent qu’il est dépassé par les événements. Donc, incapable de sortir le pays de l’ornière.
Le président de la République Ibrahim Boubacar Keïta, depuis son installation au palais de Koulouba, n’en finit pas avec les critiques de tous bords. Ces adversaires politiques, décidés à lui rendre la tâche difficile plus qu’il ne le croyait, ne manquent pas d’occasions pour critiquer ces actions. À telle enseigne que certains de ses actes posés, même bénéfiques pour l’intérêt suprême de la Nation, sont mis en mal.
Le débat autour du paraphe de l’accord d’Alger suscite un vif intérêt au sein de la classe politique et des forces vives. D’aucuns mettent en doute la nécessité de l’accord à unir les Maliens. Pis, ils avancent que l’accord va à l’encontre de la Constitution du 22 février 1992 et signer cet accord, c’est de signer la scission du pays. Cela, malgré les multiples explications des membres du gouvernement à dire que l’essentiel a été préservé dans cet accord, à savoir l’intégrité du territoire, l’unicité du pays, la forme laïque et autres. Les supputations autour de cet accord, ont fait que d’aucuns en fait des gagne-pains et des repositionnements politiques. Bien que le président de la République a soigné sa communication gouvernementale pour davantage donner plus de clarté et de précision des actions gouvernementales. Toute chose qui ne se fait pas avant.
Malgré tout, aux moindres actions posées par le gouvernement et le président de la République, des critiques exacerbées voient le jour pour porter en mal le bien-fondé de ces actions. Jeu politique ou jeu de distraction à faire dévier le pouvoir de sa trajectoire ? La question reste posée. Pour autant, dans le jeu politique et démocratique, les critiques ont leur place, mais qu’elles soient des critiques positives, constructives et accompagnés de propositions. Mais, le cas malien, c’est des critiques sans propositions. Alors que vaut ces critiques, si elles ne sont pas dans l’intérêt supérieur de la Nation malienne.
Il urge à l’heure actuelle pour les uns et les autres de faire front commun avec le gouvernement et de proposer de meilleures initiatives, si on veut sortir du gouffre pour un Mali Un et Indivisible.
PACHI
Source : L’Oeil
Peut- on construire dans l’insécurité ? La situation sécuritaire au Mali dépasse largement le cadre national . Elle est internationale . Il y a plus de dix ans que la gouvernance de pays nous avait échappée . Rappelez vous cette phrase :<>qui n’est pas venue de n’importe qui ! Ces mots ne se prononcent que lorsqu’on a perdu tout espoir face à une situation de déchéance . C’est l’extériorisation d’un sentiment qui nous assaillent et qui nous intrigue au plus profond de notre âme . La solution de cette de crise ne se trouve plus entre nos mains . Elle se cherche ailleurs . Ouvrons les yeux . Si ça ne tenait qu’aux Maliens on serait aujourd’hui capable de rentrer à Kidal et à redéployer l’administration . De quoi vous croyez !
Ibk Traitre lache
Dans le cas malien ce n’est pas de la critique c’est souvent de la haine et de la précipitation suicidaire.
Quand le pays est tombé à genou en mars 2012, au lieu de prendre le temps d’analyser les causes profondes afin d’apporter les solutions idoines, comme le Burkina vient de le faire. On s’est précipité et entre-déchiré entre les condamnations et les soutiens, pour se trouver finalement sur aucun projet fiable porteur de reconstruction de notre pays. Dans ces conditions La CEDEAO et consorts ont scellé le sort du Mali pour nous. Est – ce que on a vu les Burkinabé partir de demander les sanctions de la communauté régionale ou internationale quand on leur demandait le retour à l’ordre constitutionnel. Idem pour le Niger quand il y eu le renversement de Tandja. ils ont mis sur place de façon consensuel un organe de transition acquérant l’adhésion de tout le monde comme pendant la première transition malienne, et dans ces condition ça ne peut être que du succès. Si on avait de cette manière, on aurait même les représentations du nord dans l’organe de transition et parementant ainsi des négociations inclusives intermaliennes au Mali au lieu d’une égide étrangère
La conséquence maintenant est que ceux qui sont ou semblent à l’origine des problèmes du pays et ben, c’est les mêmes qui continuent de plus bel Et maintenant on a que nos yeux pour pleurer!
Ibk Traitre lache
“…Pour autant, dans le jeu politique et démocratique, les critiques ont leur place, mais qu’elles soient des critiques positives, constructives et accompagnés de propositions. Mais, le cas malien, c’est des critiques sans propositions….” 😯 😯 😯 😯 Mais pourquoi, comme des perroquets aux abois, les gens en manque d’arguments pour supporter la forfaiture de MANDE ZONKEBA repetent cette formule creuse tous les jours? Qu’est-ce que les gens appellent “propositions constructives” au juste? Parce que moi je m’y perds, franchement. Malgre tout ce que l’opposition et les autres personnes qui sont contre cet accord disent et proposent comme voie a suivre, il se trouve toujours des ZOMBIES pour demander des propositions qu’on appelle meme CONCRETES (sans rire). Vraiment le Mali va mal 🙁 🙁 🙁 .
Quelle honte!!!
Ibk Traitrelache Traitre
C’est vrais
Ibk Traitre lache
C’est vrais
IbkTraitre lache
Très bien écrit!!! Un message utile pour la nation. Démocratie ne demande pas la démolition du pays. La démocratie donne la chance de partage le pouvoir, la chance de change le président de la république a un moment donne. Donc unissons pour un mali un et indivisible.
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