Chose promise, chose due. Le chef de file de l’opposition, l’honorable Soumaïla Cissé, était devant la presse, le jeudi 30 juillet dernier à la Maison de la presse, pour faire le point sur l’état d’avancement du processus de mise en œuvre du statut de l’opposition. Un statut qui traine (s’il n’est bloqué ?) à cause de l’absence de décret devant élucider un certain nombre de détails quant au fonctionnement du cabinet du chef de file. Par ailleurs, le président de l’Union pour la République et la Démocratie (Urd) s’est prononcé sur des sujets cruciaux, notamment l’insécurité grandissante, la corruption et la délinquance financière généralisée, qui annihilent l’espoir de tout développement pour le Mali.
Au-delà de l’adoption du statut de l’opposition par l’Assemblée nationale et sa promulgation par le président de la République en juin dernier, rien de tangible n’a été fait pour sa mise en œuvre. C’est du moins ce qui ressort de la conférence donnée par Soumaïla Cissé qui, devant une centaine de militants et sympathisants des partis membres de l’opposition, n’a occulté aucune question intéressant la vie de la nation.
Faisant le point de la situation, le conférencier rappela d’abord que le statut du chef de file de l’opposition n’est pas quelque chose d’extraordinaire comme certains tentent de le faire passer dans l’opinion. En effet, c’est la Constitution du Mali qui le mentionne et le régime IBK n’est pas le premier à avoir entrepris des démarches pour sa mise en œuvre. Soumaïla a évoqué à cet effet les efforts des régimes précédents, tout en reconnaissant l’avancée majeure engrangée par le pouvoir actuel. Aussi, Cissé a tenu a indiqué qu’il a inscrit son action dans l’opposition depuis le lendemain de sa défaite à la présidentielle et qu’il n’a pas besoin d’un statut pour accomplir ce rôle. « On ne peut pas nous acheter », a-t-il précisé à l’attention de ceux qui lient son choix aux avantages que confère le statut. Un statut qui, d’ailleurs à ce jour, se trouve dans une sorte d’impasse qui ne dit pas son nom. En effet, un flou artistique demeure autour de la mise en place des membres du cabinet du chef de file de l’opposition. Ce, du fait que le projet de décret fixant la composition dudit cabinet, les avantages du chef de file et les membres du cabinet, n’a pas encore été adopté par le Gouvernement.
Les dérives du pourvoir IBK
Le conférencier a fortement insisté sur les missions de l’Opposition qui, selon lui, doivent suivre l’action gouvernementale, la critiquer de façon objective et constructive dans le sens du renforcement de l’idéal démocratique. C’est là tout le sens des dénonciations que fait l’opposition par rapport à la gestion du régime. «Il faut que les gens comprennent que personne n’aime le Mali plus que nous. La démocratie, c’est une majorité et une opposition. S’il n’y a pas d’opposition, la démocratie n’a pas la chance de survivre et répondre aux aspirations des citoyens » a-t-il indiqué. Et d’ajouter que l’Urd ne cessera jamais de dénoncer, sans violence, les dérives du régime IBK qui enchaîne les scandales, les uns plus rocambolesques que les autres. Et sous lequel, le favoritisme, le clientélisme, l’impunité et le népotisme s’institutionnalisent. Selon Soumaïla Cissé, « malgré l’arrogance des réponses réservées à nos nombreuses critiques, motion de censure et autres interpellations, les maux demeurent nombreux ; les dérives insupportables à tel point que le Président de la République, après les avoir reconnus récemment à l’occasion de la fête de l’Aïd El Fitr, a promis de sévir et d’être impitoyable». « L’emploi est fonction de la coloration politique comme c’est le cas à la CMDT où le DG a été relevé et humilié parce qu’il est de l’URD. Les ministres sont devenus des ‘’cas sociaux’’ comme on l’a vu avec l’attribution des logements sociaux. Un ministre ne peut et doit casser la maison de quelqu’un verbalement», a-t-il dénoncé.
Il rassure que l’opposition fait et continuera de faire des critiques constructives. La preuve, elle a demandé au pouvoir qu’au lieu de construire un pavillon présidentiel à l’aéroport à 8 milliards FCFA dans la perspective du sommet Afrique-France, que cette somme soit utilisée dans l’équipement de notre armée.
Issa B
Soumi est notre seule solution, notre espoir unique d’atteindre le véritable changement. Nous sommes fière de lui. IBKon est un malade mental qu’il faut urgemment évacué en Turquie. Il est trop nul ce monsieur. Un vaurien, un corrompu et un alcoolique.
Vraiment merci à Soumi de nous ouvrir les yeux. Vos critiques permettent aux maliens de savoir qu’IBKon est un vrai Kon…
Les terribles conséquences d’un président élu sans élection !
Un président élu sans élection est une nomination par des forces extérieures à la république dans l’espace des intrus. Il doit se soumettre à ces dernières, obéir aux ordres et camoufler les traces et les indices. Point de transparence !
Un président élu sans projet politique est une attribution de contrat de travail de gré à gré sur le compte du peuple et de la nation. Sans projet politique, le Président s’agite dans l’improvisation et le bricolage.
Un président élu sans élection est une donation compensatoire à la partition prochaine du pays, à la libération des sentiers qui mènent aux richesses nationales au profit des hommes qui fréquentent les paradis fiscaux. Pour son titre, le président doit débourser pendant la durée de son mandat des commissions et des royalties à ces personnes qui ont trafiqué son introduction au sommet de l’Etat par le trucage des élections et la mobilisation folklorique d’une partie de la jeunesse du pays.
Pour avoir le pouvoir de la « paix » et non celui de la république le président doit honorer les demandes incessantes de ces hommes par l’argent de la corruption ou attribution de marché sans marché.
Il doit aussi payer le silence des hommes d’influence à l’interne comme à internationale, les médias et certaines ONG. Son pouvoir est un poulet farci au peuple.
Un président élu sans élection doit autoriser son périmètre immédiat à :
Voler les richesses nationales au nom des lois de la république avec les cautions des hommes du pouvoir et les faussaires de tout acabits ;
Surfacturer ou détourner autant que faire se peut l’argent destinée à l’équipement de l’armée nationale ;
Mentir au peuple au nom des prétendues fautes commises par ses prédécesseurs ;
Escroquer le trésor public par des achats de toutes sortes ;
Trahir la nation par la vente des richesses nationales à des prix dérisoires. L’important pour ces hommes étant les commissions empochées ;
Envahir l’espace public pour déraciner les germes de la démocratie ;
Ne pas respecter la loi pour rester fort, viril, dominateur et démolisseur des habitats des citoyens ;
Faucher les compétences nationales et les patriotes pour laisser places aux béni-oui-oui… ;
Haïr le peuple pour son amour de sa nation ;
Salir l’image du pays par leur comportement indécent ;
Détourner les biens du peuple au profit de sa propriété privée ;
Affaiblir les démocrates, les nationalistes et les patriotes par le harcèlement permanent pour éliminer le spectre du réveil du peuple.
Un président élu sans élection est un pouvoir au service des autres, le peuple reste dans l’attente des jours heureux.
Les terribles conséquences d’un président élu sans élection !
Un président élu sans élection est une nomination par des forces extérieures à la république dans l’espace des intrus. Il doit se soumettre à ces dernières, obéir aux ordres et camoufler les traces et les indices. Point de transparence !
Un président élu sans projet politique est une attribution de contrat de travail de gré à gré sur le compte du peuple et de la nation. Sans projet politique, le Président s’agite dans l’improvisation et le bricolage.
Un président élu sans élection est une donation compensatoire à la partition prochaine du pays, à la libération des sentiers qui mènent aux richesses nationales au profit des hommes qui fréquentent les paradis fiscaux. Pour son titre, le président doit débourser pendant la durée de son mandat des commissions et des royalties à ces personnes qui ont trafiqué son introduction au sommet de l’Etat par le trucage des élections et la mobilisation folklorique d’une partie de la jeunesse du pays.
Pour avoir le pouvoir de la « paix » et non celui de la république le président doit honorer les demandes incessantes de ces hommes par l’argent de la corruption ou attribution de marché sans marché.
Il doit aussi payer le silence des hommes d’influence à l’interne comme à internationale, les médias et certaines ONG. Son pouvoir est un poulet farci au peuple.
Un président élu sans élection doit autoriser son périmètre immédiat à :
Voler les richesses nationales au nom des lois de la république avec les cautions des hommes du pouvoir et les faussaires de tout acabits ;
Surfacturer ou détourner autant que faire se peut l’argent destinée à l’équipement de l’armée nationale ;
Mentir au peuple au nom des prétendues fautes commises par ses prédécesseurs ;
Escroquer le trésor public par des achats de toutes sortes ;
Trahir la nation par la vente des richesses nationales à des prix dérisoires. L’important pour ces hommes étant les commissions empochées ;
Envahir l’espace public pour déraciner les germes de la démocratie ;
Ne pas respecter la loi pour rester fort, viril, dominateur et démolisseur des habitats des citoyens ;
Faucher les compétences nationales et les patriotes pour laisser places aux béni-oui-oui… ;
Haïr le peuple pour son amour de sa nation ;
Salir l’image du pays par leur comportement indécent ;
Détourner les biens du peuple au profit de sa propriété privée ;
Affaiblir les démocrates, les nationalistes et les patriotes par le harcèlement permanent pour éliminer le spectre du réveil du peuple.
Un président élu sans élection est un pouvoir au service des autres, le peuple reste dans l’attente des jours heureux.
SOUMAILA CISSE A PEUT ÊTRE OUBLIÉ SON PASSÉ;
Les maliens ne sont pas encore dupés pour suivre ces réactions bibons.
mais de quelles dérives fait-il encore allusion?
Soumi veut juste jouer au populiste.
Je ne pense pas que SOUMAILA soit la solution au soulagement du peuple malien, une personne comme lui qui soit à la base de la création de la loi sur la concurrence dans un pays où les salaires sont parmi les plus plats en Afrique. Il n’aura jamais, jamais pitié du citoyen lambda. Je suis sidéré quand je vois SOUMI faire des gesticulations eu égard à la souffrance des maliens. Cela ne ressemble pas à cet homme qui se moque de la souffrance d’un peuple qui n’a jamais, jamais été heureux depuis la nuit des temps. Aucun régime n’a eu pitié de ce peuple qui a toujours souffert depuis l’esclavage, la colonisation et l’indépendance jusqu’à nos jours. Un peuple qui paye ses impôts et taxes pour former ses fils et ces fils une fois formés reviennent se dresser contre ce même peuple en volant ses deniers, en surfacturant les achats des biens publics, en trichant sur des ressources que ce peuple doit avoir pour soulager ses peines de santé, d’éducation et de nourritures.
Comments are closed.