Gouvernance en République du Mali : Le pays va mal !

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Ce n’est pas le refrain d’une célèbre chanson du reggae star Moussa Doumbia alias Tiken Jah Fakoly ! Mais, une triste réalité que les Maliens vivent aujourd’hui.

Le Mali s’est rarement aussi mal porté. On nous rappellera sans doute les années de la dictature du général Moussa Traoré avec souvent les 6 à 8 mois d’arriérés de salaires. Aujourd’hui, certes les salaires tombent dans le délai. Mais, est-ce qu’ils nous servent réellement à quelque chose en relation avec le coût réel de la vie ? Le Malien est aujourd’hui un loup pour ses compatriotes, et cela dans tous les domaines. Dans tous les secteurs, ce sont des bénéfices faramineux qui sont réalisés sur le dos des consommateurs. L’Etat ? Ses cadres sont les principaux acteurs de  ce commerce qui frôle l’illicite, tel définit par la religion musulmane.

Le Mali va mal parce que le régime actuel a atteint les limites de l’incompétence. Il s’est enlisé dans la démagogie, car incapable de soulager la souffrance des Maliens. Comment comprendre qu’un président qui prône la lutte contre la corruption comme son cheval de bataille politique, puisse nommer à la présidence du Conseil d’administration d’un établissement bancaire (fruit de la fusion de deux banques), un homme qui n’a laissé que des casseroles partout où il est passé ?

Le pire, c’est que le président a tourné le dos pour l’investiture d’un dictateur au moment où son pays est en proie à une instabilité chronique avec des conflits intercommunautaires, une révolte communautaire à Yélimané et dans sa diaspora contre l’injustice… Sans compter que la capitale est dans le noir depuis des mois et que l’immense partie de la population malienne est privée d’eau. Que faire ?

Pour beaucoup d’observateurs, les Maliens ont intérêt à prendre leur destin en main, en prenant exemple sur les populations de Yélimané et sur la Diaspora ainsi que sur la jeunesse patriote de Gao. Et comme l’écrivait un confrère sur les réseaux sociaux, en guise d’avertissement au gouvernement, «certes la Tunisie n’est pas le Mali. La bourgade de Sidibouzid d’où est parti le printemps arabe n’est pas Yélimané. Mais…, si tout ceci devait se greffer à un front social qui veut entrer de nouveau en ébullition à Bamako, il y a lieu d’anticiper… Surtout qu’un proverbe bambara rappelle que ce n’est trop facile de saler une viande en état de décomposition».

Un malade sous la menace d’une fatale rechute

Et les fronts politique et social sont véritablement en «décomposition avancée» annonçant une turbulente fin de mandat pour le Prince du Mandé. Comme on sentait dans une récente tribune du doyen et le grand patriote Seydou Badian Kouyaté, il serait intéressant que «le côté positif de l’orgueil soit actif chez les jeunes, dans un esprit révolutionnaire et pacifique comme au Burkina Faso». Une pression sans doute utile pour pousser le régime à se respecter et à respecter le peuple qu’il gouverne.

Mais, il faut être extrêmement prudent parce que notre pays sort d’une crise globale qui l’a beaucoup fragilisé sur ses fondations républicaines. C’est encore un grand malade qui n’est pas à l’abri d’une fatale rechute. À notre analyse, c’est l’efficacité de l’action publique qui est en cause. Même si le gouvernement s’abrite derrière une relative croissance économique, il est clair pour la majorité des Maliens que les actions publiques peinent à régler durablement les problèmes de notre pays. Cela, parce que ceux qui gèrent les affaires, en ce moment, ne sont pas parvenus à prendre conscience de leur immense responsabilité pour s’armer d’une vision claire et nette de leur mission. «En gestion, lorsqu’on ne  peut pas assurer l’efficacité d’une politique économique, il vaut mieux ne pas agir, car le coût de l’inaction est toujours moins élevé que le coût de l’action inefficace», conseille un économiste.

Gérer un pays post-crise n’est pas de la sinécure. Il faut faire des choix opportuns et judicieux et consentir des sacrifices énormes. Et cela, notamment au niveau des relations familiales et des alliances politiques. Les Maliens l’avaient compris en faisant massivement confiance à Ibrahim Boubacar Kéïta dit IBK en 2013 (77,6 %). Ce plébiscite visait à l’affranchir de toutes les contraintes politiques et des alliances destructrices afin qu’il puisse essentiellement se consacrer à la réconciliation, à la reconstruction et surtout à redonner à nous, Maliens, notre «honneur et notre dignité» égarés depuis janvier 2012. Malheureusement, Ladji Bourama a interprété cela comme un blanc-seing pour faire ce qu’il veut à la tête du pays, en s’embourbant notamment dans la mare politique et en s’égarant dans l’ascenseur socio-familial. Ibrahim Boubacar Kéita a perdu du temps à renvoyer l’ascenseur à sa famille (politique et biologique) qu’à mener une vraie réflexion pour mieux baliser sa mission et agir efficacement. Toute modestie mise à part, IBK aurait dû demander conseil et prendre exemple sur Alassane Dramane Ouattara et Paul Kagamé, les deux leaders africains qui sont en train de réussir la prouesse de relever leurs pays après des crises tragiques qui les avaient secoués et profondément divisés.

Une coalition socio-politique pour changer la donne

La gouvernance sans repère n’accouche que de la déception et de la détresse des populations. Comment inverser cette situation et trouver des solutions idoines aux préoccupations du peuple malien ?  Pour sortir de ce genre «d’enfer», préconisait une amie française, il faudrait créer «une coalition, une entente avec le peuple pour faire front de manière intelligente à l’asservissement des puissances économiques et de leurs multinationales». Elle a raison, car les difficultés de nos pays sont en partie liées à «l’aliénation inqualifiable» de nos dirigeants et de leur asservissement volontaire à la France.

À cela s’ajoute aussi le manque de discernement des élites. Depuis quand, demande-t-on l’autorisation de l’oppresseur pour sortir de l’oppression ? Comment en arrive-t-on à appeler votre oppresseur à vous libérer ? «Si la France contrôle nos économies, de manière injuste, dénonçons-la et dénonçons ses complices et valets locaux. Battons-nous pour reprendre notre dignité et notre liberté et arrêtons de pleurnicher devant la France», réagissait ainsi un confrère sénégalais, dépité par les propos d’un écrivain et d’un ancien Premier ministre africains sur une radio internationale. Plus que dans la révolution, la solution serait probablement dans un vaste élan de solidarité national pour cerner les dirigeants et les contraindre à aller dans le sens des attentes du peuple. «Ils vous faut être solidaires d’un même projet afin d’améliorer vos conditions… Sinon, les révoltes ne servent généralement à grand-chose et n’ont jamais profité aux peuples», conseille une amie, une activiste française. Ce qui explique que le Mali soit encore moralement, politiquement, socialement et économiquement dans le trou après la Révolution de mars 1991.

Nous sommes aussi convaincus que si Révolution il y a, elle doit commencer au niveau individuel, personnel. Que chaque citoyen comprenne qu’il doit d’abord changer dans son comportement pour contribuer au changement à l’échelle communautaire et nationale. N’est-ce pas que Gandhi nous enseigne que «notre pouvoir ne réside pas dans notre capacité à refaire le monde, mais dans notre habilité à nous recréer nous-mêmes…Vous devez être le changement que vous voulez dans ce monde». «None but ourselves can free our minds. Emancipate yourself from mental slavery», c’est-à-dire, «nul d’autre que nous-mêmes ne pouvons libérer nos esprits…Libérons-nous de l’esclavage mental», disait Tonton Bob Marley dont le 35ème anniversaire de la disparition a été célébré le 11 mai dernier dans le monde entier. Libérons-nous de nos propres contraintes et peurs par rapport au changement. N’ayons donc pas peur de perdre nos conforts personnels, si cela doit aboutir au bien-être de tous dans une société affranchie de l’injustice et des inégalités.  Quand nous comprendrons cela, nous cesserons d’être esclaves de nos craintes ainsi que des politiciens qui nous prennent pour des moutons de panurge. C’est bien de s’indigner, de se révolter, mais il faut se remettre en question et se corriger pour être un acteur positif et efficace du changement. Et il est temps d’en prendre conscience !

Moussa BOLLY

Commentaires via Facebook :

53 COMMENTAIRES

  1. Le président IBK est sans reproche dans la gestion de notre pays.C'est pourquoi il fait fi de toutes ces accusations gratuites que l'opposition malienne formule à dessein dans le but de discréditer le Président.

    Mais l'homme est propre et ce sont ces collaborateurs qui sont maintenant leur motif pour attaquer le président.

    Voila que celui qui est à la tête de l'opposition fait objet d'une enquête pour avoir détourné de l'argent de réalisation de forages au Sénégal.

    Les grands hommes se surclassent par le comportement.IBK est un grand des grands.

  2. Chacun est guidé par sa conscience.Le président IBK comme le peuple malien le sait fait une gestion parfaite du pouvoir.Il a donc la consciente tranquille.Soumi lui,il fait fasse actuellement à un problème que sa consciente lui avait commandé dans la gestion de l’argent des forages au Sénégal.

  3. L’homme est toujours égal à lui même.Le président IBK est un homme juste qui se souci énormément du bien être des populations maliennes.Comme il ne cesse lui même de le dire sa conscience ne lui permet pas de faire des choses qui iraient à l’encontre du bien de notre pays.

  4. Le président IBK a le mérite d’être un homme droit.Les personnes qu’il choisit pour travailler sont choisies selon leur expérience professionnelle.Pour ce qui est de la morale des uns et des autres,le président IBK ni personne d’autres d’ailleurs ne peut l’appréhender avec exactitude.C’est au pieds du mur qu’on voit le vrai maçon.Le président n’est donc pas à blâmer pour le comportement peu exemplaire de certains de ses collaborateurs.

  5. Le FMI à saluer les progrès réalisés par le Mali sur le plan économique, y compris au cours du premier trimestre de 2016, dans la mise en œuvre des réformes structurelles, en particulier dans le domaine de la gestion des finances publiques.Cela signifie que le gouvernement malien fait une bonne gestion de l’argent du contribuable malien.Faisons confiance aux experts.

  6. Le président IBK était l’homme dont le pays avait besoin. Son élection est la traduction des populations de sortir de la crise et des maux qui minaient les pays. IBK a dit: “Je serai le président de la réconciliation nationale, une réconciliation nécessaire pour répondre aux exigences légitimes de la population : reconstruction de l’État de droit, redressement de l’armée et de l’école, lutte contre la corruption, développement économique et social (…) Je serai le président de la refondation nationale”, a-t-il ajouté.
    C’est pourquoi il place pleins d’espoir en l’accord d’Alger car elle est la prérogative aux actions de son programme de gouvernement.
    Quand on sait d’où vient notre pays on ne demanderait pas l’impossible.
    Le problème dans notre pays c’est notre opposition qui manipule la presse et certaines personnes afin de jeter le discrédit sur la gouvernance d’IBK c’est pour cette raison que la majorité a entrepris une démarche vers cette opposition afin que cela puisse prendre fin.

  7. Je pense que de plus en plus le gouvernement doit communiquer sur ses actions de développement pour que nous puissions savoir ce qui se fait réellement pour nous. Le pays a été tellement détruit que les efforts pour le mettre debout ne peuvent pas être vus du premier coup d’œil. Seule la communication vraie avec des preuves à l’appui permettra de mettre fin à la manipulation de l’information que font certains journaleux afin que nous sachions réellement ce qui se fait pour notre bien-être.

  8. Je crois que nous devons laisser le président IBK travailler parce que lorsque nous voyons d’où notre pays vient on ne demanderait l’impossible. La gouvernance du président IBK a certes connue des bas mais cela ne veut pas dire qu’il n’a pas de vision pour sortir notre pays de la crise. S’il tient à l’accord de paix; c’est justement parce que c’est un moyen efficace pour apporter d’abord la paix et ensuite permettre d’établir les bases d’un développement qu’il veut pour ce pays. Le président de la république connait les aspirations des populations de ce pays mieux que quiconque. Il est en train d’établir le cadre institutionnel pour que notre pays puisse aller de l’avant. Si nous connaissons tous ces problèmes aujourd’hui, c’est parce que notre pays a accumulé de nombreuses tares durant toutes ces années et il convient de les corriger.

  9. Le président IBK est dans une dynamique qui n’a rien à avoir avec celle de ses prédécesseurs. Cela se traduit par la feuille de route du gouvernement qui prend en compte la plupart des aspirations profondes du peuple. Ses exploits vont surprendre plus d’un car nous n’allons rien accepter sans preuve et ceux qui passent leur temps à crier au scandale sur tous les toits devront fournir les preuves de ce qu’ils affirment que nous allons comparer aux actions du président IBK.
    Jusqu’à présent il est la solution aux problèmes de ce pays et les deux années de son premier mandat permettront de prouver que nous n’avons pas eu tort de voter pour lui.

  10. Le président IBK quelques soit ce qui peut se dire a une très belle optique pour notre pays. Mais quand on a un pays qui n’est pas encore sortis totalement de la crise on ne doit pas acculer le président de toute part. On doit plutôt l’accompagner pour une gestion plus efficiente et plus transparente. Cela passe par la critique positive mais pas par la diffamation et le mensonge comme on le constate de plus en plus.

  11. Chez nous au Mali c’est qu’on se focalise plus sur les personnes au lieu de juger les faits. On prends la doxa comme le sésame pourtant la vérité est dans la plupart des cas toute autre. Nous devons voir les choses sans faire appel à une quelconque subjectivité et avec réalisme comme ci dessus indiqué mais combien ont l’humilité pour le faire?
    Tous ceux qui veulent ce donner de l’importance ont pour objet de jeter le discrédit sur la gestion du gouvernement et des moutons les suivent par pur fanatisme sans analyser les faits.
    Cela ne doit pas distraire nos dirigeants car au final ce sont les faits qui seront jugés.

  12. Je pense qu’au plan sécuritaire personnes ne peut broncher, les moyens colossaux mis à la disposition de l’armée et avec ses moyens notre armée est très efficace avec des attentats déjoués et l’arrestation de quelques terroristes. et aussi les chantiers en cours d’exécution IBK est au travail continuer à raconte des sottises et vous serez surpris.

  13. nous devons faire un tour en arrière je dis de 2010 à 2013 avant l’arrivée au pouvoir du président IBK pour comprendre les dégâts causés par ses prédécesseurs avant de le juger. notre pays était dans un chaos total mais grâce au génie IBK en deux ans de gestion nous pouvons dire Dieu merci aujourd’hui car nous assistons à la croissance économique de 1,5% en 2013 à 7% au premier trimestre de l’année 2016, l’insertion des jeunes, les grands chantiers et autres…………… et j’en passe. le peuple malien ne doit pas se laisser manipuler pas des égoïstes opposants qui ne cherchent que leur propre intérêt.

  14. Pour l’honneur du pays le président IBK avec la ferme volonté et l’engagement à bâtir un Mali nouveau, un Mali émergent joue avec sa sagesse et la diplomatie pour arriver à ses fins et aujourd’hui nous pouvons dire Dieu merci car avec le régime IBK, la corruption a été ralenti, nous avons une armée opérationnelle, nous assistons à la croissance économique, des projets d’insertion et les nominations sur des bases strictes et j’en passe…….

  15. je demande à tous ce qui disent que le pays va mal d’êtes plus explicites car jusqu’à présent je ne comprends pas. je me demande si c’est parce qu’ils n’arrivent plus à voler, à faire la corruption et autres qui freinent le développement du pays qu’il se permettent de dire que le pays va mal sinon le pays se porte à merveille.

  16. Toute chose reste à savoir sauf que l’ASCOMA a fait quelque chose pour que les prix des produits de première nécessité ne montent pas dans ce pays. Mais dommage que nous assistons chaque jour à des augmentations de prix de ces produit. C’est cette association qu’il faut accuser et non IBK.

  17. ces vrai que le pays va mal depuis bien longtemps mais ne remuons pas le couteau dans la plaie je vous prie vivons dans la cohésion

  18. moi je ne comprends certaines personnes qui fabriquent toujours quelques choses pour distraire le peuple.le mali se porte mieux que vous ne le pensez. les salaires sont payés à temps, l’armée équipée, le processus de paix en marche et le développement est en marche.

  19. C’est aussi facile que cela de dire que la vie est chère au Mali. Notre pays vient de traverser une crise. C’est le fondement de la cherté de la vie.

  20. La cherté de la vie n’est pas du tout une fin. Comme on a l’habitude de le dire, ça fini toujours bien. Donc si ça ne va pas c’est que ce n’est pas la fin. Vu les réalisations faites dans le domaine de l’économie je suis sans doute optimiste d’un Mali émergent avec Ibrahim Boubacar Keïta et son ainé, Modibo Keïta.

  21. la situation du mali actuel est le fruit de 20 ans de mauvaise gestion du pays et l’ère IBK ne fait pas exception mais il faut toute fois noter que les choses aillent mieux de façons progressive

  22. Notre économie s’est relancée ces derniers mois. Les recettes de l’Etat ne cessent d’augmenter de chiffres. Donc je ne pense pas que le président puisse avoir de quoi se reprocher dans le domaine de l’économie. Il a fait de l’exploit dans ce secteur.

  23. Vous êtes un sale égoïste, cher journaliste. Aujourd’hui, les maliens peuvent dire Dieu. Grâce à l’avènement d’Ibrahim Boubacar, les maux des maliens ont tendance à disparaître pour de bon. La vie n’est plus chère comme elle l’était avant l’arrivée d’IBK.

  24. ces vrai que le pays va mal depuis bien longtemps mais ne remuons pas le couteau dans la plaie je vous prie

  25. Monsieur le journaliste, en toute franchise, j’ai été déçu par votre article du jour. Je ne m’attendais pas à une telle analyse de votre part. Dites-moi en toute sincérité si la vie est toujours chère, malgré les efforts déployés par les autorités en places depuis fin 2013?

  26. Aujourd’hui, nous sommes à 6% de croissance. C’est un vrai exploit pour le Mali car très bientôt la population sera soulagé. Cet exploit a permis d’avoir une aide de 2.4 milliards pour la relance de notre économique du FMI. Les partenaires financiers et techniques sont tournés vers le Mali. Nous sommes tous heureux de la gestion d’IBK

  27. Les grandes nations ne se sont pas construites en seul jour. Au lieu se jeter la faute sur IBK demande toi ce que les autres ont fait pour ne pas qu’on soit dans cette situation. On ne peut pas lui demander tout à la fois mon cher Moussa BOLLY, journaleux corrompu et vendu pour la cause des opposants véreux.

  28. En toute évidence, le président de la République a la volonté de refaire ce pays sous la base de la transparence et l’équilibre totale. Par contre il faut comprendre que le peuple est le cœur de l’Etat, c’est à nous de l’aider. Parlant d’un sujet comme la lutte contre la corruption, nous devons agir sans attendre.

  29. La lutte contre la corruption est une lutte de tout le monde et de tous les jours.C’est pour cette raison que je demande l’adhésion de tous les maliens pour endiguer ce fléau.
    Le président IBK fait déjà sa part et nous devons tous le soutenir dans ce sens.

  30. Moussa BOLLY, le Mali va bien au lieu d’en vouloir à ceux qui ont mis le pays en retard tu t’en prends à celui qui veut le relever. Journaliste pourri.
    On se remet toujours de ces erreurs. Donc Tréta est apte à diriger la banque dont il est le président du conseil d’administration.

  31. Le Mali a vraiment été secoué mais restera toujours debout car nous sommes une nation forte donc gardons toujours espoir.

  32. Actuellement c est pas vraiment facile pour le moment nous sommes confiant que la crise malienne sera réglé avec ce président là notre marche en avant peut ralentir mais jamais nous nous arrêterons.

  33. Monsieur le président de la république respect toujours ses engagements c est l’homme le plus honnête,le plus intègre de tous les politiciens actuel de notre chère patrie le Maliba donc nous en sommes vraiment fière de lui.

  34. Je crois que nous devons vraiment remercier notre président de la république de tout ce qui a fait pour ce pays.Car quand il prend le pouvoir c était le chao total mais comme il nous l avait promis il a puis mettre ce pays doucement sur ces pieds.
    UN GRAND MERCI A IBK

  35. le Mali d’abord ça été toujours comme ça et sera toujours le Mali d’abord IBK est en train de faire tout son possible pour que ce pays puisse retrouver la stabilité et la tranquillité tant espérer.

  36. La gouvernance d’IBK quoi qu’on dise reste la meilleure. Malgré la charge de son programme de la campagne présidentielle de 2013, il est encore confronté à d’autres problèmes plus colossaux que prévus. Le Président de République est déterminé et attentif pour redresser le pays. Les détracteurs essaient de tromper l’opinion publique, pour en tirer profit, mais le peuple reste indifférent face à cela.

  37. Comme on le dit si bien la population malienne est une population qui veut tout et en même temps. Cela n’est raisonnable. IBK étant l’homme de la situation et même par miracle, il ne pourra pas totalement redresser le pays à mi-mandat. La population doit commencer par soutenir tous les actions gouvernementales car c’est ensemble que nous vaincrons comme IBK l’a toujours dit.

  38. Je ne prends pas partie pour IBK, mais depuis son arriver le pays commence légèrement à se développer, délicatement mais assurément, il est en train de redresser le pays. Il est vraiment l’homme de la situation soyons honnête. Il peut gérer le Mali comme il se doit, il a la compétence nécessaire. Sa politique de gouvernance reste la meilleur mode gérance approprié pour sortir notre pays de cette crise.

  39. “Oui, l’espoir est permis, parce que le Mali bouge. Malgré les difficultés conjoncturelles, le Mali progresse, avec un taux de croissance de 7,2%, contre 1,7% au moment où IBK venait aux affaires, en septembre 2013″. Qui dit mieux! Personne ne pourra dire le contraire car la vérité est irréversible.

  40. Il serait absurde de croire et de faire croire que tout va bien dans la gouvernance actuelle. Nul n’est parfait et nul n’a le monopole de la vérité
    Une chose est très claire le Mali revient dans le concert des nations, grâce à la signature du l’accord de paix issu du processus d’Alger mi-mai 2015, même la mise en oeuvre s’avère difficile.

  41. Tout comme tout les voyageurs qui sont le bateau veulent que le bateau travers le fleuve saint et soif, IBK comme nous tous, nous voulions que le Mali soit pour les maliens et retrouve son intégrité, son nom d’en temps. Pour ça, il y a des étapes difficiles à franchir. IBK et son gouvernement ne ménage aucun effort pour la bonne marche du Mali.

  42. Il est pour l’amour de ce pays. Pour montrer, preuve de son patriotisme, à la majorité le président a aussi évoqué les multiples opportunités d’enrichissement auxquelles il a renoncé par respect pour la chose publique. Et d’ajouter par la même occasion qu’il est logé dans la maison paternelle à ses propres frais pendant qu’il avait la possibilité d’être propriétaire de beaucoup d’immeubles comme les autres.

  43. Le Mali nous appartient tous. Le Président a besoin du soutien de tous les maliens, et surtout de sa famille politique. Il doit être normalement compris par les membres de la mouvance présidentielle mieux que personne.

  44. Le Représentant du FMI au Mali, qui martèle haut et fort qu’avec l’avènement d’IBK au pouvoir, «le Mali a décollé». Et personne ne peut le nier, IBK sortira le Mali de ce gouffre.

  45. Par rapport à la gouvernance, on doit tirer chapeau au gouvernement. Tout dernièrement le Fonds monétaire international a certifié quand même que le gouvernement du Mali a fait de gros efforts pour assainir la gouvernance.

  46. Les élus de la majorité estiment que des efforts énormes ont été consentis par le gouvernement dans l’amélioration de la condition de vie des citoyens et dans la bonne gouvernance.

  47. Avec IBK l’espoir est permis, Oui, l’espoir est permis, parce qu’il existe un cadre pour le processus de paix, avec la signature de l’Accord d’Alger, dont la mise en route permettra à notre cher pays de recouvrer la souveraineté perdue dans la région de Kidal.
    Oui, l’espoir est permis, parce que le Mali bouge. Malgré les difficultés conjoncturelles, le Mali progresse, avec un taux de croissance de 7,2%, contre 1,7% au moment où IBK venait aux affaires, en septembre 2013. Qui dit mieux!

  48. La population malienne renouvelle leur soutien au pouvoir IBK, il est l’homme de la situation en plus des maliens si nous aidons dans ces taches extrêmement difficile, une nation en crise ne se gère pas en même tant comme une nation qui n’est pas en crise, ;le Mali vient de loin, très très loin.

  49. Quant à la cherté de la vie, je ne sais pas de quelle cherté ils parlent. Je pense que le gouvernement fait d’énormes efforts par rapport aux denrées de première nécessité.

  50. Les leaders de la majorité présidentielle estiment que l’opposition est tout à fait dans son droit de critiquer les actions gouvernementales, toutefois, ils déplorent le fait que les critiques de l’opposition ne soient pas assorties de propositions concrètes et constructives.

  51. Les élus du pouvoir en place ont raison de déclarer que l’opposition ne fait que sasser et ressasser sans apporter des solutions de rechange aux maux qui minent le pays.

  52. Je l’ai souvent dit.Vous ne m’avez pas cru.
    Maintenant,le peuple malien commence à decouvrir que leurs dirigeants politiques sont incompétents.
    Vous devrez forcer les politiciens qui veulent se faire élire à un poste de responsabilité de vous présenter leur programme et vous de vous dire le temps qu’il ont besoin pour le réaliser.
    S’ils sont élus et qu’ils ne réussissent pas leur promesse,qu’ils soient banis à jamais de la politique.

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