Le Président IBK vient d’accorder sa confiance en Moussa Mara, réputé pionnier de la lutte anti-corruption en le nommant Premier ministre, chef du gouvernement. Comme pour donner un contenu à sa volonté d’opérer le changement souhaité ? Le temps nous édifiera.
La présidentielle de 2013 à laquelle ils étaient côte à côte dans le starting- block qui aura favorisé le rapprochement des deux leaders politiques : Ibrahim Boubacar Kéïta et Moussa Mara. Qui a rejoint le premier à la tête d’un collectif pour le soutenir au round final. « Nous avons décidé de créer un collectif pour appeler l’ensemble des candidats à observer une attitude paisible pour faire baisser la tension qui pointait à l’horizon. Ce collectif s’est retrouvé pour analyser les conclusions du 1er tour. C’est après cette réflexion que les candidats jeunes ont décidé de soutenir Ibrahim Boubacar Kéïta. Nous avons pris IBK sans condition, parce qu’il est le seul candidat à porter le changement et notre collectif s’engage à battre campagne sur leurs propres ressources, afin d’élire IBK au 2ème tour sans ambages », a déclaré Moussa Mara juste après la proclamation des résultats du premier tour. Elu Président de la République, IBK lui fera appel pour diriger le ministère de l’Urbanisme et de la Politique de la ville. Mieux, il vient de lui réitérer sa confiance en le nommant Premier ministre, chef du gouvernement celui qui passe pour pionnier de la lutte anti-corruption.
C’est au scrutin législatif de 2007 que Moussa Mara révélera ses ambitions au monde politique. Alors candidat indépendant en commune IV, il avait donné du fil à retordre à son adversaire, IBK, avant de perdre la bataille au second tour.
En 2009, il réussit à se faire élire maire de la même commune, mais trois mois plus tard, un décret de la Cour Suprême annula le scrutin des communales d’avril 2009 à la demande du RPM. Populaire en commune IV et seulement à 34 ans, il créé en février 2010 son parti politique dénommé Yèlèma (Le Changement). Sous la coupe de ce parti, Moussa Mara est plébiscité à la tête de la mairie lors de l’élection communale partielle organisée en commune IV.
Par Ousmane Ballo
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Monsieur le journaliste un decret est soit presidentiel ou pris en conseil des ministres. La cour suprême prend des arrets. COmpris ? on risque de mourir de honte ici si vous ne faites pas montre d’un peu de niveau
Bonjour Maître……la décision prise par un Président de la République est réputée Décret et souventefois celle du Premier Ministre aussi et peu importe qu’il soit pris en conseil de Ministres car cela n’empiète en rien à sa teneur. Votre dernière phrase fait entorse aux règles Grammaticales de Concordances de Temps étudiées en Classes Terminales.
Si vous pensez au changement, je pense vous trompez. Le changement pour chaque Malien est Dieu l’accorde les moyens nécessaires a subvenir au besoin de sa famille. Ne comptez plus sur un homme politique pour changer ta vie ils sont tous des voleurs du trésor publique.
Je ne pense pas qu’on puisse faire du neuf avec du vieux. c’est du rafistolage.
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