Un proche du président nous fit récemment l’honneur de cette révélation : «La grandeur d’un homme ne se mesure pas à l’aune des prouesses physiques et intellectuelles, mais plutôt, morales, et en l’occurrence, son humilité et sa capacité à se remettre constamment en cause. Moins prosaïquement, reconnaître sa force est force, mais reconnaître ses faiblesses est force supérieure. Vu sous ce prisme, IBK est loin d’être fort puisque incapable de se remettre en cause, donc d’évaluer ses faiblesses et y remédier». Des faits démontrent à suffisance en effet qu’IBK a montré beaucoup de lacunes de nature à créditer ces observations.
De l’avis du président fraichement élu, son sacre n’est nullement du fait de sa formation politique, le «Rassemblement pour le Mali – RPM». Comparez cette allégation à cette autre déclaration de l’ancien président Alpha Oumar Konaré à la fin de son second quinquennat : « Je serai certes un ancien président, mais jamais un ancien militant ». Comme pour dire qu’il est resté militant de son parti, sans jamais le dire, durant ses deux exercices de pouvoir. On imagine aisément qu’il aurait eu de sérieux ennuis politiques s’il s’était démarqué de son parti une fois élu, à l’image d’Ibrahim Boubacar Keïta aujourd’hui.
IBK en a d’ailleurs eu au point qu’il a récemment rappelé ses camarades à la rescousse. Face à l’envolée de l’opposition, n’a-t-il pas remis en cause l’efficacité de la mouvance présidentielle qu’il a d’ailleurs appelée à réagir ? C’est bien pourtant lui, qui a amoindri le rôle et la place de sa propre formation politique au point de frustrer ses camarades de lutte. Les conséquences ne se sont pas fait attendre : désormais seul et fragile, ses détracteurs ont vite fait de s’engouffrer dans la brèche et de procéder à un massacre à la tronçonneuse.
S’avouant vaincu, l’homme revit finalement sa copie et appela la mouvance présidentielle à l’aide. Mais son mea culpa semble venir un peu trop tard puisque la brèche est désormais bien ouverte.
- Candidature de Karim aux législatives: ce n’est pas moi, mais le marabout de Nioro
- Son élection à la tête de la commission de défense de l’Assemblée Nationale : ce n’est pas moi, c’est le fait majoritaire
La candidature du fils de son père aux dernières législatives a donné lieu à deux nombreuses spéculations. Du point de vue de la morale pure, cette candidature a été négativement appréciée par la société civile et la classe politique. Et l’on a vite fait de voir une similitude avec le cas Karim Wad au Sénégal.
Interpellé sur la question, IBK trouva là qu’il y était, à l’origine, opposé. Mais qu’il a fallu la pression du Shérif de Nioro, à savoir l’Imam Bouillé Siby pour le faire changer d’avis. Nous croyons savoir que sur le carnet de la famille des Keïta, il est bien mentionné « Chef de famille : Ibrahim Boubacar Keïta » et non «Bouillé Siby». Il s’agit donc d’une question de responsabilité personnelle. Nous n’en dirons pas plus.
En tout état de cause, l’histoire donnera raison aux gardiens de la morale. Et pour cause. Même si le nom du fils n’a pas encore été spécifiquement cité dans le dossier des scandales portant sur le marché des fournitures militaires, les regards sont inlassablement tournés vers la famille Keïta elle-même. Et l’on soutient, à tort ou à raison, que le dossier n’aura aucune chance de connaître une issue juridique transparente au regard de la présence du Fils.
Et quand bien même, le député Karim Keïta serait éventuellement blanc comme neige dans ce dossier, très peu de personnes croiraient en son innocence. L’on dira toujours que le fait du prince a prévalu. Une allégation difficilement irréfutable.
De ce point de vue, IBK aurait dû entendre la voix de la sagesse et dissuader le rejeton de postuler. Car après tout, et nonobstant les pressions sociales, il reste le seul et unique chef de la famille Keïta. A moins qu’il ne le soit pas. Ce qui est difficile à imaginer,
Election du président de l’Assemblée Nationale : on m’a mis en minorité. Mon choix n’était pas le beau-père
Il existe une similitude symétrique entre le cas du fils et celui du beau-père. Aux dires d’IBK, il était opposé à la candidature du fils, mais a cédé face à la pression sociale. S’agissant de l’élection de son beau-père au perchoir, il trouva, là aussi, qu’Issiaka Sidibé n’était pas son choix; mais qu’il a été mis en minorité. En clair, c’est la pression politique qui a eu là aussi, raison de lui. L’on constate donc que Monsieur Ibrahim Boubacar Keïta éprouve beaucoup de mal à résister à la pression et politique et sociale. Ce qui laisse des doutes sur sa capacité à gouverner efficacement et sereinement. Un chef est censé, non insensible mais imperturbable aux yeux de ses administrés. Ce qui n’est manifestement pas le cas ici.
Et comme le fils, le beau-père est lui-aussi désormais regardé de biais. Il n’a pas l’étoffe d’un véritable héritier du perchoir, dit-on. Un jugement, peut-être un peu trop sévère qui fait cependant suite à des faits réels et récents comme l’atteste, à juste titre cette première et grave opposition entre la magistrature et la législature. Une première, en effet dans l’histoire du pays. Le père, le beau-fils et le fils sont visiblement passés par là, soutient-on. Peut-être à tort ?
L’on retiendra, là aussi qu’IBK a brillé par son absence. Le chef n’a pas osé.
Achat de l’avion présidentiel : tout est propre
L’on a entendu de lui, que la procédure de passation des marchés relatifs aux fournitures militaires et de celui de l’avion présidentiel est propre et sans ambages. Monsieur le président de la République a même salué l’ingénierie financière de Monsieur Mohamed Kagnassy et affirmé que le Boeing litigieux a été acquis dans les règles de l’art. Mais les rapports et de la section des comptes de la Cour suprême et du Bureau du Vérificateur Général ont tout simplement mis e exergue des cas de mauvaise gestion, fraudes et surfacturations. Nous sommes de ceux-là qui pensent que le président de la République, après ces constats ou allégations, peut-être mensongères, auraient dû, s’abstenir de féliciter son ministre des finances comme il l’a récemment fait. Ce, d’autant plus que son partenaire stratégique, Le FMI, a émis beaucoup de réserves sur ces acquisitions et la sincérité des acteurs.
Interpellation de l’opposition : je ne m’expliquerai pas. Je ne suis pas à la barre »
«Notre Mali, comme le Titanic, fonce droit sur l’iceberg de son naufrage prévisible, avec à sa tête un capitaine et un équipage gonflés d’orgueil, soucieux de privilèges et d’honneurs, incapables de coordonner le pilotage du pays vers un cap d’espérances, appliqués à assouvir les requêtes de courtisans de première classe, sourds aux plaintes et prières de son peuple entassé misérablement dans la soute. Chacun connaît le sort tragique du Titanic».
Les propos sont d’un des leaders de l’opposition, M. Soumaïla Cissé, président de l’URD, à la faveur de la conférence de presse de son parti au mois de novembre dernier au CICB.
«Un capitaine et un équipage gonflés d’orgueil» ? Retenez bien ! Mais dites, les propos ne viennent que de Soumaïla Cissé ! Un opposant politique qui n’aspire qu’à remplacer le khalife à la place du Khalife ! Bien vrai ! Mais, cet opposant politique n’est assurément pas le seul à tenir le même langage. Les leaders de la Centrale syndicale, l’UNTM, ont fait le même constat. Le secrétaire Général de la Centrale Syndicale, M. Katilé a accusé IBK et le Gouvernement Mara d’avoir très peu d’égard pour les travailleurs du Mali et pour les Maliens en général.
On ose croire qu’IBK est de bonne foi. Il ne saurait cependant le prouver qu’en se rendant «à la barre» et convaincre ses compatriotes. Mais en se focalisant sur l’opposition qui, certes, aspire à être Khalife à la place du Khalife, il rate la meilleure occasion de se blanchir. Et, hélas, c’est bien cela l’orgueil !
Il gagnerait certainement à se remettre en cause.
- Diarrassouba
Comme tout politicard n’est que cameleon, peut qu’il finiras par se voir dans un mirroir ou son reflet dans l’eau un jour. .
IBK et son regime ont jete l humiliation la plus grande sur notre pays sur tous les plans en seulement 12 mois de gestion….
LE MAL C EST IBK MEME…
Les faits sont taitus
Jamais !Il est têtu!
Barack Hussein Obama et le Mali
Le monde a salué l’élection d’un noir comme président des USA, réalisant ainsi le rêve de Martin Luther King : « I have a dream – J’ai un rêve ». Le monde a, encore plus, salué la prestation de serment de ce premier président noir qui a insisté sur son nom : « Barack Hussein Obama ».
Les musulmans du monde entier se sont ainsi rappelés de Hussein, un des fils de l’Imam Ali le quatrième Calife de l’islam, cousin, confident et beau-fils du prophète Mohammad (PSL).
Hier aux Etats-Unis, Barack Hussein Obama a présenté les excuses du Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique à toutes les victimes des méthodes fortes de la CIA, suite aux événements tragiques du 11 septembre. Un grain de foi, n’est-ce-pas ? Parce qu’en vérité Barack Hussein Obama a appliqué cette sentence: « L’Enfer sera la rétribution du gouverneur qui trompe ses sujets. Ma’qil Ibn Yasâr (que Dieu l’agrée) a dit : J’ai entendu le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) dire : “Tout Adorateur à qui Dieu confie de l’autorité sur les musulmans et qui meurt après les avoir trompés, Dieu le privera du Paradis” (Muslim. 203.) »
Au Mali, le cure dent de notre Chef suprême est : « HASBOUNA LAHHOU WA NI’E-MAL WAKILOU – Allah Est notre Garant et Quel Meilleur Garant !».
Mais, il y a eu le scandale de Kidal au mois de mai 2013 où des centaines de maliens ont perdu la vie, les scandales de détournements et de surfacturations dans des marchés octroyés par le Gouvernement. Les rapports de la Cour Suprême et du Vérificateur Général ont été publiés. Et puis, on se rend à l’évidence que c’est Marc Gaffajoli, l’homme de confiance du parrain des parrains Michel Tomi ; l’ami de longue date de El Hadj IBK, qui a fait l’expertise de l’avion de ATT. Cet avion de ATT appartient bel et bien au peuple malien. Et c’est bien l’avion d’El Hadj IBK, qui appartient à la mafia.
Et maintenant on parle d’échange de prisonniers terroristes, sanguinaires, mafieux, voleurs et violeurs contre un otage français. « L’amitié pour son pays, la France, et notre honneur nous commandaient de prendre toute notre part dans sa libération », a avoué un communiqué laconique de la Présidence de la République. On parle de : Houka Houka, Mohamed Aly Wadoussène, Haïba Ag Acherif, Oussama Ben Gouzzi (tunisien) et Habib Ould Mahouloud (Sahara Occidental). Le surveillant Adjudant Kola SOFARA est-il mort pour rien ?
Avec tout ça, El Hadj Ibrahim Boubacar Kéïta ne dit mot à son peuple. Pas d’explications. Pas d’excuses. Pas de sanctions. Satan est-il le meilleur et le véritable garant ?
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“«Notre Mali, comme le Titanic, fonce droit sur l’iceberg de son naufrage prévisible, avec à sa tête un capitaine et un équipage gonflés d’orgueil, soucieux de privilèges et d’honneurs,”
Il ne s’agit pas ici d’être pro ou anti-Soumaila; Qu’il émane de qui que ce soit, ce CONSTAT n’est pas une prise de position politique mais bel et bien un……CONSTAT! 😥 😥 😥
Le seul point sur lequel je suis réservé, c’est que selon moi il ne s’agit plus hélas d’un “naufrage prévisible” mais d’un naufrage AVERE et CONSOMME! 🙄 🙄 🙄 🙄
Avec Ibk, le Mali a bel et bien DEJA HEURTE l’iceberg, et est DEJA en train de sombrer au fond! 😥 😥 😥
Et tout ça, en moins d’une année de “croisière”… 😥 😥 😥
La remise en question se fait quand la personne realise qu’il est en faute , le Boss ne se trompe jamais, la faute c’est pour les médiocres
Le régime d’IBK n’est pas de nature à saper l’apparence du peuple.
IBK s’attaque à la refondation d’une nation à bord de l’effondrement.
on ne gère pas un pays en faisant plaire à un groupe individu et oublier l’intérêt général du peuple. tel était la vision du régime ATT et ses compagnons.Ceux qui pensent que IBK s’enrichit au dos des maliens,qu’ils le prouvent.
IZAC CAMARA (1 commentaire = Posteur de Koulouba 😆 )
“Ceux qui pensent que IBK s’enrichit au dos des maliens,qu’ils le prouvent”
Mon cher, tu as quelques longueurs de retard!
Ses accointances avec un boss de la Mafia (le “frère qu’il ne connait pas”, grand spécialiste du blanchiment d’argent sale), ont été PROUVEES, AVEREES, et DEMONTREES depuis déjà un siècle!
“L’achat-location” de son Boeing surfacturé de 13 milliards a été PROUVE, AVERE, et DEMONTRE depuis déjà un siècle!
L’organistion du “cambriolage Kagnassy” a été PROUVE, AVERE, et DEMONTRE (et même précisément chiffré!!!!) depuis déjà un siècle!
La construction à sébénikoro de son “petit palais perso” à NOS frais a déjà été PROUVEE, AVEREE, et DEMONTREE (et même précisément chiffrée!!!!) depuis bien longtemps, etc etc etc…
Conclusion, si tu tiens vraiment à PASSER POUR UN CON aux yeux de tous, continue ce genre de commentaire!
Sacré NFP!
Tu sais parfaitement parler aux cons!
Bravo mon gars sûr!
Salute!
😉 😉 😉
Le problème, comme tu as pu le constater, c’est que les cons ne manquent pas! 😥 😥 😥
IBK n’est pas l’homme qui a l’intention de tromper le peuple malien.
Ceux qui ont trompé ce pays se reconnaissent,ils agissent actuellement en donneur de leçon.
Ceux qui ont trompé ce pays étaient des profiteurs de régime ATT;
Ceux qui ont trompé ce pays ces eux mêmes qui avaient demandé à la CEDEAO de poser un embargo contre ce cher mali au moment de coup d’Etat en 2012.
On se pose aujourd’hui la question pourquoi n’avaient -ils pas dénigré le pouvoir d’ATT qui avait commis d’énorme erreur dans sa gestion?
Une réponse simple:parce qu’ils (les gueulards) avaient en commun de partage de gâteau, c’est pourquoi ils ne pouvaient absolument rien en gueuler contre le régime de Amadou Toumani Touré, Alias oussain Bolt.
Merci de relire nfp!En attendant répond ces questions
1. IBK connait-il Tomi le corse?
2. Le B737 a coûté combien au trésor public?21, 17,20, 7,5 milliards?
3. Que veut dire Mali BBJ Ldt ainsi abrégé?
4. Existe-t-il des preuves de mauvaises gestion, fraude fiscale, abus de confiance, surfacturation?
5. Est ce que l’état autorise des citoyens à marcher, exhiber des pancartes mensongères, demander la démission de ministres sans aucune légitimité de ces marcheurs?
6. Serais-tu un Ducon? 😯
cher traore en ce qui concerne la CEDEAO vous ête s à coté de la plaque. Cette disposition de la CEDEAO a été adoptée avant l’arrivée de ATT au pouvoir.
Que sont-ils devenus? Boubacar Keita “La roue”, Toumani Djime Diallo “La Nation” et “Le démocrate”, Mountaga Tall “leader” du 26 mars…. “Sa Ka Woussa Malo Ye” ?! Que dire aux morts qui s’agitent dans leur tombe?
LADJI BOURAMA EST DEVENU PRESIDENT LE JOURS DU DEBACLE DE L’ARMEE MALIENNE A KIDAL (APRES LA VISITE DU PM MARA AU MOIS DE MAIS 2014).
Peut-on changer en profondeur à 70 ans? Dans le meilleur des cas, de la peinture sur la rouille. Un bandit armé ou désarmé peut changer durant sa jeunesse. Mais comment un vieux bandit, viscéralement putréfié, peut-il réellement évoluer? Il se pliera tout juste sous l’effet d’une force supérieure, mais reprendra sa forme initiale à la première occasion.
Ibk a tromper le peuple malien de son incapacité à diriger la mali un président qui n’est pas capable d’assumer ses faits et geste ibk est orgueilleux mais il n’assume pas la preuve les terroristes savent que notre pays est dirigée par une personne incompétent et qui n’a pas de respect pour son peuple même le parti socialiste français ce sont rendu compte qu’ils ce sont trompés sur le personnage de ibk j’espère que l’opposition va faire son devoir pour ne pas laisser ce président incapable de conduire le mali dans des problèmes et il est grand temps que le peuple se réveille pour dire a ibk et sont entourage que le mali n est pas sa propriété privée en 19 mois de gouvernance ibk a fait que s’embourgeoise et sa famille au vu des des maliens avec la complicité de sont entourage (fils beau père neveu oncle )etc etc et le peuple broie du noir des famille qui n’arrive pas a manger 3 fois par jour l’école la santé sont délaissés au détriment des achats d’avion voiture etc etc
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