Bamako bruit, depuis quelques jours, de rumeurs sur la mauvaise santé de certaines de nos plus hautes autorités. Pourtant, le sujet est à ce point considéré comme tabou qu’il n’est point aisé d’y mener des investigations.
Ainsi, si un président de la République est souffrant au point de recevoir des soins appropriés, l’obligation de transparence devrait inciter à informer le peuple. Tout comme le dirigeant a l’obligation de déclarer sa santé financière à travers la déclaration publique de son patrimoine, les populations ne comprennent pas que ceux qui les gouvernent s’obstinent à cacher leur aptitude plus ou moins détériorée à la tête de nos pays. Les récentes rumeurs de Bamako sur le sujet appellent à un bref aperçu sur le pouvoir et…l’infirmerie ailleurs.
Bouteflika au Val-de-Grâce
Le 26 novembre 2005, à l’âge de 68 ans, le président algérien Abdel Aziz Bouteflika est hospitalisé en urgence au célèbre Hôpital du Val-de-Grâce, dans la région parisienne, officiellement pour un “ulcère hémorragique à l’estomac”. Il existe pourtant un établissement militaire de grande réputation à Alger, l’hôpital Ain-Nadjar. ” Pourquoi donc, s’interrogea la presse algérienne, fallait-il choisir la France, alors même que le président algérien critique avec constance son passé colonisateur ? Fallait-il préserver le secret face aux opposants et aux militaires algériens ? “, lisait-on alors dans les colonnes du journal Le Monde.
Au “Val” s’installèrent les deux frères du président algérien, Mustapha et Saïd Bouteflika qui, aussitôt, empêchèrent toute visite inopportune. Même le ministre des Affaires étrangères algérien d’alors, Mohamed Bedjaoui, ne put se rendre au chevet du chef de l’Etat. Qui donc pouvait connaître l’état de santé réel d’Abdelaziz Bouteflika ?
Un an plus tôt, l’hospitalisation de Yasser Arafat, du 29 octobre au 11 novembre 2004, à l’hôpital militaire Percy de Clamart (Hauts-de-Seine) cette fois, s’était révélée autrement plus complexe. Devant les risques de troubles dans les territoires palestiniens, Jacques Chirac et la hiérarchie militaire de Percy décidèrent cependant ensemble, afin de calmer les rumeurs d’assassinat, de transmettre le dossier médical au neveu d’Arafat….
Hollande opéré de la prostate
En décembre 2013, notre consœur Laure Equy du journal français Libération écrivait : «Hollande a confirmé qu’il avait été opéré de la prostate en 2011, avant son élection à l’Elysée.» L’occasion de faire le point sur la communication des présidents de la République en matière de santé.
François Hollande a été hospitalisé “quelques jours”, en février 2011 au service d’urologie de l’hôpital Cochin à Paris, pour une intervention “bénigne” de la prostate. A cette époque, il n’était pas encore président de la République et s’apprêtait tout juste à se porter candidat à la primaire socialiste. Et cette opération, très ordinaire n’a, par la suite, nécessité “aucun suivi médical”. L’Elysée n’avait donc aucune raison de le faire savoir. L’information a simplement été confirmée, dans un communiqué, après avoir été révélée par France Info. L’opposition n’a réclamé aucun compte. Pas de polémique. Seulement, le sujet de la santé de ceux qui nous gouvernent est ultrasensible. Parce que les prédécesseurs de François Hollande n’ont rien fait pour le déminer – de la maladie de Waldenström de Georges Pompidou, maquillée jusqu’à sa mort en “mauvaise grippe”, au cancer de la prostate de François Mitterrand caché durant onze ans. Et parce qu’il ne peut y avoir de principe unique en la matière. A quoi sont tenus les présidents en matière de santé ?
Le président est-il obligé de rendre public son état de santé?
Non, aucune loi ne le prévoit. Lorsque François Hollande publie son bulletin de santé, comme il l’a fait en juin 2012 ou en mars 2013, il ne fait que tenir une promesse de campagne. Interrogé par Le Quotidien du médecin (du 27 février 2012), le candidat PS avait alors jugé “important que les Français aient confiance en la capacité de leur président à gouverner”. Tout en posant une limite, celle du “respect de l’intimité du président”.
Il faut dire que la plupart des Constitutions n’imposent aucun devoir de transparence du chef de l’Etat sur sa santé. La Constitution du Mali du 25 février 1992, calquée sur celle de la France de 1958, prévoit simplement que si le chef de l’Etat est “empêché”, pour des raisons médicales ou autres, la plupart de ses fonctions sont confiées provisoirement au Premier ministre (au président du Sénat en France). C’est en cas de vacance du pouvoir constatée et déclarée par la Cour constitutionnelle qu’un intérim est ouvert et assumé par le président de l’Assemblée nationale.
Bruno D SEGBEDJI
djitosegbedji@yahoo.fr
Très faible
Cest leur recompense sils bouffent largent du peuple cest Allah qui les font souffrir avec tt ca ils ne voient pas qu un jour on sera tous devant Allah les africains souffrent trop mais Allah est la pour nous leur pauvre le Grand Justicier
Les présidents sont ils au dessus de la maladie? c’est toi journaliste est mortel et eux non? foutaise! Allez vous faire foutre et dégonflez vous un instant. En tout cas tout vivant tombe malade et le plus important est de savoir se soigner ( recommandé). Bonne santé à tous.
Un enfant qui n’a pas connu l’affection parentale , même adulte n’éprouve aucun sentiment pour ses prochains et ignore tout du respect envers les personnes aussi fussent t-elle âgées . L’éducation dans la rue ! C’est l’éducation permissive . On reconnait le chien par gueule .
Pourquoi s’intéresser tant à la santé du président de la république ? Pour l’affaiblir davantage et porter sur lui le discrédit . Qui y a t-il pour s’accrocher mordicus à cette question ? Qui en veut à IBK ?
L’article ne dit rien sur la santé d
´IBK, même si sa première maladie est celle de l’incompétence , de la médiocrité et de la cupidité.
Il est malade, croyez-moi!
Il est malade et tout le monde le sait. Seulement qu’ils veulent qu’il soit complètement incapable pour entamer leur cinéma à la con.
IBK doit rendre le tablier avant qu’il ne soit trop tard. Il est malade du cœur, il a été opéré du sexe, et à cela vient s’ajouter la maladie de l’Alzheimer. Trop de maladie pour qu’il libère le plancher et laisse la place à d’autre plus en forme physiquement et intellectuellement afin d’en finir avec toutes ces humiliations perpétrées par IBK lui même et ses ministres.
La maladie est le propre de tout être humain
IBK atteins de “l’alzeimer” ?
Mais il doit tout de suite démissionner sinon la nation tout entière est en danger.
Un président qui s’est fait opéré au “Katara” en France dès les lendemains de son investiture avec l’argent du Mali. Encore une maladie liée certainement à sa consommation excessive d’alcool.
Comment ses proches peuvent le laisser diriger notre pays sachant qu’il peut perdre la raison du jour au lendemain.
Il est incapable et ces jours sont comptés.. 😈 😈 😈 😈 😈 😈 👿 👿 👿 👿
Bon c’est vrais pour c’est débat.tout les être huimains peuvent tombe malade essayer de diminuer les rumeur
Bon c’est vrais pour c’est débat.tout les être huimains peuvent tombe malade essayer de diminuera les fumeur
Tout ca pour tourner autout du pot, espece de lache:
Vous savez tres bien que ibk est attaint par l’alzheimer.
Dites-le, de toutes les manieres c’est une maladie degenerative qui se developpe plus vite dans des conditions de vie stressant comme president….
le devoir patriotique n’est pas que de s’acharner contre le pouvoir.
Kassim Traoré dit: “le devoir patriotique n’est pas que de s’acharner contre le pouvoir.”
Toi, ton devoir de suppôt du pouvoir, c’est de te faire haïr en défendant ses scandales et sans vergogne.
Kassim,
Le probleme est que ce pouvoir a faille et qu’il est la cause de nos malheurs!!!
Alors je le denonce, je ne fais de mal a personne en le faisant!
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