On le connaît comme « l’homme des missions difficiles », « le grand stratège ». Le Premier ministre Soumeylou Boubèye Maïga déploie actuellement d’énormes efforts, au four et au moulin pour traverser la mauvaise passe actuelle du pays. Bien soutenu par le président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita, dont on connaît la résilience face à toute épreuve.
– Maliweb.net – Le moins qu’on puisse écrire est que le pays traverse actuellement de nombreuses difficultés. Mais avec la détermination des premiers responsables, il semble que le bout du tunnel sera aperçu. Surtout que plusieurs observateurs appellent à la retenue face aux secousses du moment. Sachons donc raison gardée car, une nouvelle crise majeure risque de donner un coup fatal à la survie du bien commun, le grand Maliba ! Il urge d’ores et déjà d’être conscient des difficultés qui s’amoncellent sur la tête des gouvernants en particulier du duo IBK -SBM
Au plan sécuritaire, l’on annonce de violents combats, dont ceux qui ont eu lieu le mardi dernier entre des soldats de l’armée malienne et des jihadistes dans le nord du Mali. Ils ont suscité une intervention aérienne de la force française Barkhane, a indiqué jeudi le porte-parole de l’état-major français.« Les combats ont débuté le 16 octobre, dans la région de Ndaki, à environ 200 km au sud-ouest de Gao, entre les Forces armées maliennes (FAMa) appuyées par les militaires françaises de Barkhane contre une cinquantaine de membres d’un groupe armé terroriste », a décrit le colonel Patrick Steiger lors du point presse hebdomadaire du ministère des Armées. S’y ajoutent les affrontements intercommunautaires à maints endroits du pays. Tout cela nécessite des efforts financiers énormes de la part de l’Etat pour le réarmement moral et matériel des FAMAs… Un coût financier de 20 milliards chaque mois est le prix de cette crise sécuritaire.
Au plan politique, les griefs de l’opposition sur l’élection présidentielle ne se sont pas encore dissipés. Soumaïla Cissé, Tièbilé Dramé et les autres ne cessent de monter au créneau pour mettre la pression sur le pouvoir. Et le reproche que certains font au président de la République est de ne pas avoir initié un dialogue véritable pour décrisper l’atmosphère politique. Même si le Premier ministre Soumeylou Boubèye Maïga a montré une certaine ouverture d’esprit en optant pour le report des élections législatives annoncées pour le 25 novembre.
En effet, contre toute, le 12 octobre dernier, la Cour constitutionnelle du Mali s’est,dans son avis n°2018-02/CCM ;dite favorables à une prorogation du mandat des députés à l’Assemblée nationale. Même si cet avis est contraire à celui qu’elle avait rendu à moins d’un mois concernant le report des élections législatives, l’objectif est de permettre une certaine décrispation en créant des conditions de rendre les législatives à venir en 2019 plus inclusives. Ce, malgré les réserves de certains acteurs politiques farouchement opposés à la prorogation du mandat des parlementaires.
Ce tableau de pression serait moins sombre si au plan administratif, l’actualité n’est pas marquée par un projet de découpage territorial majoritairement contesté. Ce nouveau redécoupage,fustigent de nombreuses associations communautaires, pourrait donner une grande suprématie à certaines minoritésAlors que cette réorganisation du territoire se situe dans le cadre de l’application de l’Accord d’Alger, signé en 2015, dont on évoque le retard dans la mise en œuvre. Comme quoi « le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions ». Quid du projet référendaire qu’induit cet accord ?
Comme si cela ne suffisait pas, la grève illimitée des magistrats met le pays sous une tension sociale. Surtout que cette grève pourrait entrainer d’autres dans son sillage, au moment où le pays connaît une tension de trésorerie. Le moins qu’on puisse professer est sachons raison garder. Tous les acteurs concernés doivent mettre un peu d’eau dans leur …bissap pour sauver l’essentiel, la survie du pays !
Boubou SIDIBE/Maliweb.net
Accueil Politique
Digne ROI DE SÉGOU, il faut dire plutôt NI FALIDÉN YI TAN…..
Boua est un president illegitime qui a ete elu par la fraude massive facilitee par la CMA, alors Boua ne peut pas resister a une pression interieure ou exterieure, Boua ka bla.
“…Tous les acteurs concernés doivent mettre un peu d’eau dans leur …bissap pour sauver l’essentiel, la survie du pays !…
“KAMI BE A NYEMOGO TON FILE”. CHAQUE PEUPLE MERITE SON DIRIGEANT DIT-ON. LE BAS PEUPLE AUSSI REGARDE LA NUQUE DES DIRIGEANTS. TOUT CE QU’ILS FONT, LES AUTRES SUIVRONT, VOL, FRUDE, MENSONGE, DUPLICITE…..
“..En effet, contre toute, le 12 octobre dernier, la Cour constitutionnelle du Mali s’est,dans son avis n°2018-02/CCM ;dite favorables à une prorogation du mandat des députés à l’Assemblée nationale. Même si cet avis est contraire à celui qu’elle avait rendu…”
UNE COUR QUI SE DEDIE EN MOINS D’UN MOIS? IL FAUDRAIT PRENDRE SES AVIS ET SES JUGEMENTS AVEC DES PINCETTES. AH C’EST QU’ILS S’EVBERTUENT A FAIRE DANS L’OPPOSITION.
“Un coût financier de 20 milliards chaque mois est le prix de cette crise sécuritaire.”.
20 MILLAIRDS PAR MOIS ET NOS AVIONS N’ARRIVENT TOUJOURS PAS A VENIR EN AIDE AUX HOMMES AU SOL? QUELQUE CHOSE DE FICHU LA! SOIT NOS AVIONS NE SONT PAS ARME SOIT “LES TERMITES ONT BOUFFE NOS ARMEMENTSA AERIENS” 🙂 🙂 🙂 :).
A CE RYTHME, MEME EN 2023, NOUS FEONS APPELE AUX FRANCAIS POUR “DEPANNER” NOS SOLDATS AU SOL.
“On le connaît comme « l’homme des missions difficiles », « le grand stratège ». ” QUI ON?
UN ANCIEN CHEF BARBOUZE DOIT POUVOIR ANTICIPE, NON PAS JOUER AU POMPIER.
L’illegitimité du régime entraîne,dans tous les pays et de tout le temps,des mécontentements exprimés diversement.
Le DUO IBK -BOUBEYE se sont rendus coupables d’une criminalité contre le peuple malien :CONFISQUER UN POUVOIR À UN MOMENT CRUCIAL DE SON HISTOIRE LUI PERMETTANT DE DONNER UNE AUTRE ORIENTATION À SON AVENIR QUE CELLE HUMILIANTE D’IBK.
La guerre est déclarée entre eux et le peuple malien.
Ce pays ne peut jamais retrouver la quiétude tant qu’ ils sont là.
Ils sont incapables de suivre la direction voulue par la grande majorité des maliens.
Ils sont aveuglés par leurs volontés de garder le pouvoir à tout prix.
Un des prix est de faire plaisir aux groupes armés alliés de la France.
Attaquer le DUO IBK -BOUBEYE est un devoir patriotique pour tout malien.
Ils n’agissent pas pour satisfaire L’INTÉRÊT GÉNÉRAL ,sinon comment comprendre leurs insensibilités à la souffrance des maliens consécutifs à la grève illimitée des magistrats et celle de l’année passée des agents de santé.?
Ils sont fermes dans l’exécution de leurs décisions face aux agissements du Sud,pourtant faits par des gens valeureux de la république,mais fiables face à ceux du Nord provoqués par les groupes armés,des criminels INQUALIFIABLES.
Un homme politique inspire le respect par son comportement .
Les valeurs qu’ il incarne provoque le respect des hommes qui les partagent.
IBK et SBM ne sont respectés que dans les milieux mafieux,ceux des trafiquants de tous genres,des OPPORTUNISTES,DES LAQUAIS,DES COCO,DES NAMI,DES TAGNINI.
Ce DUO est malsain.
OSER LUTTER ,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
Oui.
Mais pour vaincre, il faut se battre comme “nos ancêtres les Gaullois”.tout en prenant les risques et la responsabilité.
Exple: cas feu Ahmed Sekou Touré en Guinée.
Le FRONT DES SOTS ET DES DANKADÉNS continue de cristalliser le débat politique autour des futilités, au lieu de reconnaitre son échec, de faire son introspection et de tracer de nouveaux horizons pour juguler la crise actuelle et projeter le Mali dans la voie de l’émergence, à travers des propositions concrètes, pertinentes réalisables.
La seconde tare congénitale de l’opposition est de se plaindre régulièrement du « manque de dialogue du pouvoir », malgré la main plusieurs fois tendue du président de la République, Ibrahim Boubacar Keita, aussitôt investi. Elle refuse cette main tendue, récuse IBK comme président de la République et crie haut et fort que le pouvoir ne veut pas discuter. Quelle contradiction ? Quelle aberration ? Quelle duperie ? Voilà l’autre tare congénitale de l’opposition. Elle est aussi handicapante que la première.
La première condition du dialogue consiste à reconnaitre ton interlocuteur, à le respecter. Au lieu de cela, l’opposition, minoritaire dans le pays, entend imposer sa vision, ses vérités. C’est pourquoi, elle a multiplié les marches, espérant qu’elle culminerait vers un mouvement insurrectionnel. Ainsi, elle obtiendrait par la rue, ce que le peuple lui a refusé par la voie des urnes. Ce scénario a lamentablement échoué parce que l’opposition à trouvé en face, un peuple responsable. MERCI CHAHANA.
J’ai l’impression que la campagne 2023 est deja lance’e. Ce sont des partisans du president qui sont entrain de se faire une bataille pour se positionner!!! Est-ce qu’IBK survivra a’ cette guerre entre ses allie’s? Je ne sais pas!!! Le president doit faire tres attention sinon la revolution de palais n’est pas a’ ecarter!!!
Tu penses avec ton c.ul, nous ne sommes pas etonnes de lire des aneries ici le roi MAUDIT de segou.
Je ne vais pas me rabaisser a’ ton niveau ! BAMANAW KO: NI FALI YI TAN, NI IYA TAN AW BE’ KERA FALI YE’!!!!! La sagesse francaise dit: ” ON REPOND AUX IMBECILES PAR LE SILENCE.” KINGUIRANKE’, TU ES UN IMBECILE!!!!
Comments are closed.