Le secrétaire général du parti Union pour la Paix et la Stabilité (UPS) Ibrahima Sissoko et son premier vice-président Hamidou Haidara étaient devant la presse le samedi 27 Août 2016 à la bibliothèque nationale du Mali. Les conférenciers ont fait la rétrospection des trois années de gouvernance du président Ibrahima Boubacar Keita jalonné, selon eux, par des scandales à répétition. « Une République qui pleure durant trois ans, trois années de scandale financier, trois années d’insécurité… », ont déclaré les responsables de l’UPS, avant de faire des propositions pouvant permettre au pays d’emprunter la voie du succès dont tous les maliens aspirent.
Le secrétaire général du parti Union pour la Paix et la Stabilité (UPS) Ibrahima Sissoko, à l’entame de ses propos, a rappelé les premières déclarations du président IBK qui l’ont fait « chuter du fauteuil de kankeletiguiya à celui de kantiamatigui ». « Le peuple malien a élu IBK en septembre 2016 parce qu’il trouvait en lui le « Kankeletiguiya » l’une des valeurs fondatrices de notre société. « Le président Ibrahim Boubacar Keita avait promis de résoudre la crise du nord non pas par le « Dialogue » mais par la force ; avait déclaré : « je ne négocierais plus jamais avec un groupe armé, aucun rebelle ne se hissera à ma hauteur pour discuter d’égal à égal lors de l’inauguration du barrage de Félou le 17 décembre 2013. Oui je dis et redis que l’argent des maliens est sacré et qu’il faut désormais l’utiliser à bon escient. C’est pourquoi, je décrète l’année 2014, année de lutte contre la corruption. Aucun de ces paroles n’ont vu le jour. Il a fini par négocier avec les groupes armes et compose avec eux dans le même gouvernement devenant du coup le kantiamatigui », a-t-il déploré. Il ajoutera que la corruption et l’impunité ont gagné du terrain sous le régime IBK et aucun de ses ministres impliqués dans des affaires de corruption n’a été poursuivi devant les juridictions alors qu’il y à des juridictions nécessaires pour les juger et des prisons nécessaires pour les emprisonner. « Le problème du Mali n’est pas un problème de gouvernement ni de la qualité et de la compétence des hommes qui le composent mais un problème de leadership. C’est triste mais le Mali n’a pas de leader. Depuis l’accession d’IBK au pouvoir, nous pensons contrairement à lui que « l’Etat a disparu ».
Un gouvernement sans président ne peut pas être efficace et ne peut pas être à la hauteur des attentes de la population. Car c’est un gouvernement sans mission », a indiqué le secrétaire général de l’UPS. Il a affirmé que le Mali est devenue une République qui pleure sous IBK. Le secrétaire général de l’UPS a fait savoir qu’IBK a toujours des larmes pour les victimes étrangères mais jamais lorsqu’il s’agit des victimes maliennes. Il a noté que durant les trois années de gouvernance d’IBK, il n’a pu proposer une solution de sortie de crise et a aussi fait table rase des solutions proposées par les autres. « Depuis l’avènement de la démocratie au Mali, IBK est le seul président à ne pas proposer un programme de société aux maliens et un président sans programme aboutira à un gouvernement sans mission », a soutenu le conférencier. Sur le plan financier, le secrétaire général a signalé que depuis trois ans, le régime IBK est au centre de sandales financières.
Selon lui, le seul point fameux des trois ans d’IBK est la continuation de la politique de logements sociaux de l’ancien président ATT. « Même si les conditions d’attribution laissent à désirer », ajoute-t-il. Ibrahima Sissoko est revenu sur l’insécurité grandissante que ce soit au septentrion où à Bamako. « Tous les acquis sécuritaires du président de la transition Dioncounda Traoré se sont volatilisés sous IBK », dit-il. Comme solution pour parer à ces dérives et multiples scandales de trois années d’IBK, il a indiqué que son parti a deux propositions : la création d’une commission nationale chargée de la paix comme première et la seconde portant sur la mise en place d’un gouvernement d’union nationale. A noter que l’UPS (l’Union pour Paix et la Stabilité)qui a été porté sur les fonds baptismaux en Mars 2016.
Moussa Samba Diallo
A suivre sister Koumba Sacko,
Certe ladji bourma woloni kabakoh a été elu mais il a ete le cube maggi dans les bonnes sauces de AOK et AT et dans sa propre sauce acturllement non? Lol….quels hypocrites et doubles langues ces 3 chefs vampires en particulier lafji aujourdhui Je suis desolé IBK fait parti de ces politicards requins, rapaces, crocodiles, vautours, coyotes, loups et vampires, en tant que lui même un des chefs vampires comme AOK et ATT qui tout pris du peuple mourridond, assis les bras croisés et attend que tous tombent sur nos têtes du ciel.
Donc ces 3 chefs vampires pseudo-democrates AOK, ATT et IBK lui même sont des voleurs de milliards de fcfa qu’un petit delinquant simple voleur de djakarta a 300.000f cfa.
Je suis desolé mais Je n’ai pas d’estimes pour ces gens là .
Je persiste et signe encore le Mali est allé de mal très mal sous MK, de très mal en très très mal sous GMT, de très très mal en pire sous AOK, pire-pire en pire sous ATT et maintenant sous IBK de pire en pire en pire en pire en pire…
Pauvres de Nous, le Maliba. Helas et très très très Dommage.
Si l’UPS juge d’insécuritaire et de scandaleux le régime d’IBK, elle devait proposer des alternatives afin de faire sortir ce pays de l’ornière qu’elle suppose le mettre.
Votre arguments est médiocre ! UPS n’est pas au pouvoir, c’est IBK qui a promis de sortir le Mali de l’ornière ! C’est IBK qui doit démissionner et dire je vous ai menti, je m’en vais …
Encore des prébendiers qui réclament un gouvernement d’union nationale pour être associé à la “bouffocratie”
Nous disons et rappelons les lettrés mutants maliens politiques Hommes en armes sociétés civiles religieux à l’instar de leurs homologues africains tel le Molosse qui ne peut changer sa « déhontée façon de s’asseoir » ne peuvent jamais et ne pourront jamais changer leur « déhontée façon de s’asseoir » d’agir de se comporter à l’égard du Mali de l’Afrique des pauvres citoyens et citoyennes lambda maliens et africains car l’habitude est 1seconde nature qui revient toujours rapidement au galop
Nous disons et rappelons les lettrés mutants maliens à l’instar de leurs homologues mutants africains ont horreur de la vérité qui les met hors d’eux et ils ne respectent jamais leurs engagements vis-à-vis de leurs populations Les anciens qui ont 1sens aigu de l’observation les appellent « politiguimôgos » avec leurs paroles « sucrées mielleuses » à faire enivrer plus d’1 qui les croient dur comme du l’acier trempé et qui sont toujours déçus après Ainsi avec leurs « fidèles klébars et doungourous » ils s’encouragent « aveuglement bêtement sourdement idiotement sournoisement hypocritement cupidement malhonnêtement » pour 1gestion primaire primitive mensongère égoïste familiale clanique laxiste insouciante arrogante cupide d’iniquité d’injustice de 2poids 2mesures dans 1démocratie bananière des tropiques de la « pourriture de la gangrène de la corruption de la bouffe des deniers publics et dons
Nous disons et rappelons l’adénome de la parathyroïde dont on connait les conséquences néfastes sur la personne qui en souffre à savoir des troubles de type confusion mentale l’état de fatigue intense avec diminution des réflexes des troubles de la vue des troubles musculaires avec des fourmillements picotements douleurs des fractures spontanées etc Et tous ces symptômes sont nocifs pour diriger efficacement 1état 1pays confronté à d’énormes problèmes
Nous disons et rappelons les maliens et maliennes ont choisi comme président 1lettré mutant politiguimogo qui souffre en plus de l’adénome de la parathyroïde
Nous disons et rappelons ils n’ont comme on le dit « BOIRE LE CALICE JUSQU’A LA LIE »
Quand le népotisme reste le seul domaine de mettre en action la gouvernance d’un pays, le résultat serait chaotique et cela est sans équivoque. Comment peut-on faire fie des grandes valeurs intellectuelles de ce pays pour se focaliser sur des groupes de médiocres et d’incapables qui ne peuvent même pas soulever un petit caillou contribuant au développement de se pays? On dirai que IBK et sa famille sont devenus amnésiques en oubliant rapidement le départ Moussa TRAORE et de sa famille. Quelle comportement éhonté de la part d’IBK et de sa famille qui sont entrain de conduire ce pays vers un carnage indéniable, inexorable et très prochain. Qu’Allah le tout puissant aide et protège le Mali au bord de la décrépitude.
NB: Ressaisissez vous rapidement pour mettre fin à ce futur carnage.
C’est la huitième fois que je reviens sur tout ce qui vient d’être dit dans cet article. I.B.K n’est plus celui que les Maliens croyaient. C’est un I.B.K usé qui est arrivé au pouvoir. Il ne jouit plus des qualités intellectuelles et morales qu’on lui connaissait. L’homme a changé. Par l’âge? Ou tout simplement par son obsession effrénée du pouvoir? En tous cas, l’homme qui, aujourd’hui préside aux destinées des Maliens, n’est plus le même. C’est un vaurien, un incapable, irresponsable, insouciant, laxiste et corrompu qui se trouve être au devant de la conduite des affaires régaliennes de notre cher pays. Il faudra que les Maliens, tous ensemble, mettent en place les procédures et les mécanismes démocratiques nécessaires, pour chasser cet homme du pouvoir. Des lendemains douloureux qui déchantent se dessinent et profilent déjà à l’horizon. Lorsque, l’homme qui ne discute pas avec des rebelles armes à la main, se met à table avec eux, pour partager son repas, les Maliens doivent s’interroger sur les facultés et capacités de discernement de l’homme. Il est devenu dangereux pour le pays et pour lui même. Les caisses de l’état ne sont pas en reste. La facturation des marchandises destinées à l’état, a changée au Mali. Qu’il s’agisse d’achat d’avion, d’engrais, de matériel militaire, de véhicules administratifs, de matériel agricole, de frais de mission ou de perdiem, tout a changé. Il faut désormais se référer à la nouvelle grille tarifaire: ” Tomi Michel ou Kagnassy,” L’homme laisse faire son clan de cleptomanes, qui tirent sur tout billet volant. La corruption a atteint un tel niveau, que même les Nigérians, spécialistes mondiaux en la matière, se retrouvent réduits à l’état d’apprentis. Pour ce qui est de notre sécurité, I.B.K n’en fait pas sa préoccupation. Kidal est à des milliers de kilomètres de lui, et tout ce qui se passe làbas, ne le regarde pas. Si des moyens de destitution ne sont pas rapidement mis en oeuvre, pour nous débarrasser de l’homme, les Maliens ne feront pas seulement que pleurer. Ils n’auront même plus de larmes à verser. Il n’existe aujourd’hui, nul part au Mali, où l’on peut se sentir en sécurité. Bientôt, pour rallier Ségou, nous serons soumis à des convois d’escortes militaires, si I.B.K doit rester deux ans de plus à la tête de ce pays. Les fonds destinés à l’équipement de nos troupes sont détournés, nos militaires se retrouvent sans moyens de défense adéquats. Il n’existe aucun domaine de développement, dans lequel ce régime a fait le moindre progrès. Le pays est malade, malade de vision, d’orientation. La Belgique, puis l’Espagne, sont restés plusieurs mois sans gouvernements, pourtant, les pays fonctionnaient à merveilles. Alors que chez nous, c’est la Présence même d’un chef à sa tête, qui nuit au bon fonctionnement du pays. Maintenant, ce sont les libertés qui posent problème au monarque. Sa Majesté ne supporte plus les critiques. La liberté d’expression est désormais un crime au Mali. Ceux qui en usent sont passibles de peines de prison ferme. La Police Royale ne badine plus avec les manifestants. Elle a ordre de tirer à vue, et sans sommation sur tout manifestant indélicat, qui ose défier le Pouvoir de Sa Majesté. C’est la première fois, que des députés transhumants notoires pour la plupart, ont maille à partir avec le clan au pouvoir, au point de claquer, un à un, la porte de la majorité. Personne ne veut être comptable du drame politique qui se joue au sommet. L’opposition engraisse, se massifie.
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