Dans le microcosme politique malien, les jours se suivent mais ne se ressemblent vraiment plus. Le consensus politique qui avait réuni, et qui le fait encore péniblement, les forces vives de la classe politique du pays parait ne plus convenir même à ses plus fervents défenseurs. Comme le torchis d’une vieille case, l’édifice consensuel que le général Amadou
Toumani Touré a appelé de tous ses voeux au début de son mandat en cours s’effrite. Qu’est ce qui est à l’origine de cette détérioration du climat politique ? Pour les faits, retenons basketbal kleding kopen quelques exemples. Alors que les ministres des différentes tendances se serraient les coudes pour soutenir le Président de la République, les rapports entre le camp présidentiel et certains partis notamment le RPM (Rassemblement pour le Mali) tournaient au vinaigre. L’événement déclencheur des hostilités fut l’Accord d’Alger.
En réalité, cette affaire était comme une douche écossaise, car hormis lefait d’être un malheur, l’événement était un filon politique à ne pas rater. Pour les uns, le rejet du consensus, dans le fond et non dans futbalove dresy na predaj la forme, est passé inaperçu. Par contre, pour ceux qui pensent que l’initiative du général est une camisole de force, il ne fallait pas laisser passer cette brèche pour sortir de l’édifice. Mais la situation à laquelle on s’attendait le moins fut la friction entre le Parena et Koulouba. Pour, des raisons obscures le président du Parena fut amené à être entendu par la justice, suite à un faux rapport conçu par le contrôle d’Etat et consécutif à l’organisation du Sommet Afrique-France dont il était le président du Comité d’organisation.
Et c’était la fin de la lune de miel. Le Parti de la Renaissance National qui a tiré les marrons du feu pour le camp présidentiel n’a certes pas regretté d’avoir pris les devants pour défendre la loi agricole et l’Accord d’Alger, puisqu’il l’a fait dans l’intérêt du pays. Si pour les adversaires de Koulouba, le malaise du consensus est une sentence divine, punitive du péché issue des élections générales de 2002, on ne peut pas en dire autant de la rue bamakoise qui pourtant a des griefs contre le detské kopačky système. Il y a comme une espèce de grisaille de malaise à vivre sous le consensus bien que la bonne foi de son chef d’orchestre ne fait l’ombre d’aucun doute. Pour prendre le pouls de la contestation, il suffit de jeter un regard sur la presse qui a relayé le Manifeste pour la Démocratie et bien d’autres sujets brûlants. Les semaines à venir seront sans doute celles du recentrage avec de nouvelles alliances dont l’objectif est de préparer les élections présidentielle et législatives.
Soumaïla T. Diarra
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